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  • Juges: des fous sectaires de la gauchiasse

    Procès de l’attentat contre Charlie Hebdo:

    Zineb El Rhazoui doit quitter la salle d’audience parce qu’elle porte un chapeau "Est-ce qu’on demande aux voilées d’enlever leurs voiles?"

     

        Dans quelques minutes mon avocat @MontbrialAvocat plaidera pour moi au #ProcesAttentats2015 et je vais rater sa plaidoirie. @E_DupondM, quelle est cette salle d’audience où des voilées sont montées à la barre avec leur voile et où on sort une partie civile à cause d’un chapeau?

    https://t.co/lkhOpXYw3T

        — Zineb El Rhazoui (@ZinebElRhazoui) October 29, 2020

     

  • Le choix entre deux patients, ou comment mieux tuer les Français?

    Une phrase du discours de Macron m’a particulièrement fait dresser l’oreille sur la lénifiante et macronesque 2: " les choix devront-ils être rendus obligatoires?".

    Il a ajouté que non, bien sûr. Avec comme argument quelque chose comme "pas le genre de la France". Mais quand Choupinet dit non, on sait ce que cela peut vouloir dire: juste le contraire.

    Le docteur Mascret a ensuite donné ses explications, et bingo, il a déclaré que les soignants seraient " obligés de faire des choix. " À cet énoncé d’une voix normale comme s’il était question de la pluie ou du beau temps, on frémit d’indignation.

    Une personne de ma famille a fait l’objet d’un tel choix sur un terrain de bataille de la Première Guerre mondiale. Gazé, blessé, une équipe médicale a décidé de le laisser là où il était. De le laisser mourir sur place, sans assistance. Heureusement il a reconnu un médecin de l’équipe, l’a hélé, a été ramassé, et a survécu à ses blessures pendant trente ans.

    Nous y sommes. Entre deux patients, l’un âgé de plus de 65 ans mais ayant tondu sa pelouse dans la semaine, fait ses courses, son sport etc., mais atteint de diabète ou ayant des stents, et un autre plus jeune, musulman et nouveau venu en France peut-être, le choix sera vite fait.

    Le plus âgé sera laissé sur le champ de bataille. Et on ne le dit pas, mais il sera sur-le-champ mis dans un cercueil fermé et sa famille ne pourra pas le voir.

    Les critères de choix seront: l’âge du patient, ses fragilités, ses comorbidités, s’il a par exemple une maladie chronique, son état neurocognitif et la gravité de sa situation. La décision sera prise au cas par cas et après concertation entre les médecins.

    Le choix sera vite fait entre un jeune mineur non accompagné fraîchement débarqué de son Afghanistan natal, un couteau dans sa poche et venu pour en jouer sur les kouffars, n’ayant jamais cotisé, ne parlant pas un mot de français, inintégrable et inassimilable, incapable de quelque travail, soutenu par sa communauté, et un Français de souche ayant des responsabilités, ayant cotisé toute sa vie, utile à la société et abandonné par la bienpensance. C’est le "jeune" qui sera choisi.

    Dans la période de mars à mai derniers, tout porte à croire que de tels choix ont été effectués. On a même vu, sur une des vidéos qui circulent, un patient être mis de côté et c’était poignant car on l’avait entendu parler et il avait toute sa tête.

    Les médecins sont soumis au code de déontologie des médecins et prêtent le serment d’Hippocrate avant de commencer à exercer la médecine. Le serment d’Hippocrate date de 450 environ avant J.-C. Il a plusieurs versions mais toutes s’opposent à un choix quelconque.

    La première version dit ceci: " je dirigerai le régime des malades à leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m’abstiendrai de tout mal et de toute injustice".

    L’injustice, c’est d’abandonner un patient.

    Le serment du conseil de l’Ordre des médecins de nos jours dit ceci:

    "Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions (…)

    J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance… (…)

    Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me le demandera".

    Un engagement à donner des soins à quiconque le demandera: le médecin ne peut donc pas abandonner un malade.

    Mais de nos jours certains médecins donnent tellement de coups de canif au serment d’Hippocrate (en particulier en pratiquant l’avortement et l’euthanasie de manière extensive) qu’ils ne sont plus à cela près…

    Le métier de médecin est devenu celui de tous les dangers. À la fois par la judiciarisation qui les guette à chaque instant et à la fois par ces coups de canifs au serment d’Hippocrate. Et par l’abandon et la mise au pilori qui est leur lot dès lors qu’ils tiennent tête au politiquement correct.

    Mais surtout, de nos jours, par l’incompétence du pouvoir, qui les met au pied du mur. Ce pouvoir qui a supprimé quantité de lits ces dernières années. Le spécialiste Jean-Dominique Michel parle de 68 000 lits en quinze ans.

    Ce pouvoir qui continue à laisser entrer en France tous les jours des migrants qui nous coûtent " un pognon de dingue " pour mettre le bazar, la délinquance dans notre société et ne nous apporter que des problèmes colossaux.

    Ce pouvoir qui dilapide notre argent. Fraudes massives à la sécurité sociale, retraites données à des cent-vingtenaires en Algérie. AME. Caf. Et tout ce papier-monnaie distribué aux Africains en veux-tu en voilà.

    Cette malhonnêteté de l’Europe qui, tous ces derniers temps, a demandé aux pays membres de réduire drastiquement leurs dépenses de santé mais d’accueillir toute la misère du monde.

    Cette perversion du pouvoir qui interdit de soigner à l’hydroxychloroquine et azithromycine. Si cela marche bien à Marseille, pourquoi ne pas le permettre partout?

    Le médecin, sauf celui inféodé au politique et ayant perdu son indépendance, ce qui le rend pitoyable pour ne pas dire plus, est quelqu’un de très seul aujourd’hui. Mais c’est surtout le malade qui ne doit pas être livré seul à des gens qui ont perdu toute conscience.

    " Science sans conscience n’est que ruine de l’âme " (Rabelais). Avons-nous oublié nos fondamentaux?

    Sophie Durand

    Source:

  • A bas Halloween

    Contre Halloween

    Saint-Raphaël (France): chasse aux sorcières d’ Halloween

    Article de Var Matin malgré son ton ironique pour l'information qu'il contient contre Halloween

    Défiant squelettes, sorcières et vilains fantômes, de jeunes paroissiens, conduits par le père Marc Aillet partent en "croisade" contre Halloween

    Halloween a aussi ses détracteurs. Dont le père Marc Aillet, curé de Saint-Raphaël, qui compte rallier à sa croisade, "contre ce défilé macabre de squelettes, de sorcières et de fantômes", bon nombre de jeunes paroissiens, demain mercredi (14 heures) devant l'église Notre-Dame de la Victoire.

    "Souhaitant marquer leur différence, explique le prêtre, à l'heure où tout le monde fête Halloween à grands frais et tapage publicitaire, les paroisses de Saint-Raphaël lancent une campagne de sensibilisation sur la vraie signification de cette fête religieuse et sur ses enjeux".

    Un tract d'information rappelant "les quatre vérités" sur Halloween a été abondamment distribué. Et tous les enfants sont invités au grand rassemblement festif de ce 25 Octobre contre Halloween. On y distribuera des foulards aux couleurs joyeuses, des autocollants de la Toussaint et des bonbons aux passants. Et on y participera, en outre, à un concours récompensé par une promenade en... Ferrari et en calèche !

    S'interrogeant "sur les véritables bénéficiaires de l'opération Halloween, qui excite la propension à la laideur, la vulgarité et le côté démon des enfants", Don Marc voudra ainsi rendre son sens social à la Toussaint, "que notre République laïque a conservée comme jour de fête à son calendrier".

    Halloween et Inculture

    Plus incisif et polémique, il argumente: "Comme l'a affirmé Mgr Hippolyte Simon, évêque de Clermont-Ferrant, les Français, dans leur majorité, ne savent plus reconnaître aujourd'hui le sens religieux de ces rites, qu'ils prennent simplement pour du folklore". En regrettant encore "qu'au nom de la laïcité, alors qu'on n'imagine pas qu'une institutrice conduise sa classe dans une église pour lui faire découvrir un vitrail relatif à la Toussaint, de nombreuses écoles se sont mises à fêter Halloween".

    "Le pasteur Jean-Arnold de Clermont, président de la Fédération protestante de France, renchérit en disant: je ne pense pas que les enseignants aient l'intention de développer le paganisme, mais je les soupçonne d'inculture: ce qui est aussi grave".

    Dans un monde qu'il estime désenchanté et une société qu'il juge dépressive, le curé de Saint-Raphaël conclut: "Les enfants ont davantage besoin de la beauté, de l'espérance que donne cette foule immense des saints qui nous ont précédés dans la lumière et la joie de la Vie éternelle dont seul le Christ ressuscité, vainqueur de la mort, peut nous libérer".

    J.-G. M.

    Var Matin

    Mardi 24 Octobre 2000

    Source:

    http://www.info-sectes.org/haloween/croisade.htm

     

     

  • Sans lui

    Le journal  "LE MONDE" a viré180° ! 

    Certains journalistes ne seraient-ils plus aux ordres?

    Tiens un journaliste qui ose en France. Ça surprend non. 

    Le journal "LE MONDE" a viré à 180° !

    UN DE SES JOURNALISTES ÉCRIT CECI :  

     Sans l'islam, personne ne contesterait les sapins de Noël dans la rue, ni les crèches dans les mairies.

    Sans l'islam, nous ne subirions pas la présence de 2500 mosquées, à raison d'une nouvelle par semaine, payées tantôt par les émirats du Golfe, tantôt par les pays d'Afrique du Nord, et la plupart du temps avec nos impôts.

    Sans l'islam, autour de ces mosquées, nous n'assisterions pas à la mise en place d'un État dans l'État, où le petit État islamique ronge de plus en plus le grand État républicain et lui impose ses codes

    Sans l'islam, nous n'assisterions pas à une recrudescence d'agressions homophobes, antisémites et sexuelles, encouragées par les textes sacrés du Coran et la vie de Mahomet.

    Sans l'islam, nous n'assisterions pas, dans certaines périphéries urbaines, à la mise en place d'une politique de Grand remplacement, de changement de peuple et de civilisation.

    Sans l'islam, Saint-Denis serait toujours la ville des rois de France.

    Sans l'islam, nos policiers ne subiraient pas une guerre quotidienne, visant à saper l'édifice de l'État français.

    Sans l'islam, nous n'aurions pas de halal dans l'armée française, ni des militaires musulmans qui refusent de se battre contre leurs frères.

    Sans l'islam, nous n'aurions pas, sur le territoire français, la mise à mort barbare d'animaux égorgés sans étourdissement (halal), qu'on laisse agoniser pendant un quart d'heure.

    Sans l'islam, nous n'aurions pas l'impression, dans certains quartiers, d'avoir changé de continent.

    Sans l'islam, le Qatar ne serait pas en train d'acheter des pans entiers de la France.

    Sans l'islam, nous ne subirions pas sur les plateaux de télévision, les enfumeurs comme Tariq Ramadan, Malek Chebel, Dalil Boubakeur, Dounia Bouzar et bien d'autres, qui roulent dans la farine les ignorants en leur faisant le coup de la RATP.

    Sans l'islam, un Français d'origine pourrait aimer une née-musulmane sans être obligé par sa belle-famille de se convertir.

    Sans l'islam, il y aurait moins de crachats sur les trottoirs, et le maire de Béziers n'aurait pas été obligé de faire un arrêté municipal pour sanctionner les fautifs.

    Sans l'islam, nos médecins et l'ensemble du personnel médical ne risqueraient pas de se faire agresser par des maris violents qui refusent qu'un homme observe leur épouse.

    Sans l'islam, nous n'aurions jamais subi, dans un pays laïc, des prières musulmanes sur nos trottoirs ou dans les rues, afin de marquer la volonté d'occupation de l'espace public.

    Sans l'islam, les enfants juifs pourraient encore aller dans les écoles publiques en Seine Saint-Denis.

    Sans l'islam, on pourrait enseigner la Shoah et parler de Charles Martel dans nos écoles.

    Sans l'islam, nous n'aurions pas d'appel au muezzin par haut parleur, comme à Nanterre.

    Sans l'islam, nous n'aurions pas de revendications alimentaires dans nos cantines scolaires, dans les entreprises.

    Sans l'islam, nous n'aurions pas d'accompagnatrices marquant leur religion par un voile lors des sorties scolaires.

    Sans l'islam, nos enfants ne seraient pas en danger, lorsqu'ils mangent halal sans que leurs parents ne le sachent, à cause du bacille e-coli, comme nous en alerte le docteur Alain de Peretti.

    Sans l'islam, il y aurait davantage de places dans nos prisons.

    Sans l'islam, les Français ne connaitraient pas la souffrance de voir leur pays défiguré...

    Sans l'islam, ils pourraient savourer les douceurs, les insouciances délicieuses et les frivolités légères qu'offre souvent la vie.

    Sans l'islam, les chers souvenirs resteraient doucement mélancoliques et ne seraient pas devenus des regrets brulants de nostalgie et de rancœur.

    Sans l'islam, le passé ne serait pas si présent, sans l'islam, l'avenir ne serait pas si terrifiant...

    Sans l'islam, nous ne subirions pas dans la rue, les tenues guerrières des salutistes en djellaba ou en kamis.

    Sans l'islam, il y aurait beaucoup moins de bénéficiaires de la CMU et de l'AME, considérée comme une nouvelle version des razzias du 21ème siècle dans l'esprit de certains musulmans.

    Sans l'islam, on pourrait consacrer davantage d'argent à nos malades et à nos retraités, sans oublier toutes les aides utiles qui font avancer une société.

    Sans l'islam, nous ne subirions pas, un mois par an, le cirque du ramadan, avec le bruit, les violences et les entreprises désorganisées.

    Sans l'islam, après le ramadan, il y aurait moins d'absentéisme à l'école.

    Sans l'islam, nous n'aurions pas des abattoirs mobiles où les jeunes garçons prennent l'habitude de voir égorger des animaux de manière barbare.

    Sans l'islam, nous n'aurions pas des clips agressifs, sexistes et racistes, de rappeurs haineux.

    Sans l'islam, les sites internet ne seraient pas pollués par des messages haineux et menaçants, qui nous menacent de mort, disent qu'ils vont faire la loi dans notre pays, et que nous sommes foutus.

    Sans l'islam, nous ne partagerions pas les angoisses de Michel Onfray, jugeant que dans cinquante ans, notre pays sera intégralement sous domination musulmane.

    Sans l'islam, il n'y aurait plus de péril fasciste en France, et nous pourrions jouir de tous les charmes d'un pays formidable

    Sans l'islam, nos enfants ne seraient pas confrontés à un choix terrible devenir résistants ou dhimmis, avec forcément beaucoup de dégâts dans les deux cas.