Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • T'est une fille ou un garçon? p'êt ben oui, p'êt ben non!

    La biologie, une science " patriarcale " et " viriliste "?

    Sebastien de Lyon

    Pour le philosophe Jean-François Braunstein, les discours qui prétendent déconstruire le genre engendrent des conséquences non négligeables sur le monde réel.

    […]

    "Gender Identity Clinic"

    C’est en 1955 que le terme de "genre" fut pour la première fois utilisé pour désigner le sentiment que l’on a d’être un homme ou une femme, indépendamment de son sexe biologique. L’inventeur de cet usage est un psychologue, John Money, qui estime que le genre est culturel plus que biologique. En éduquant un garçon comme une fille, il devrait être possible de le transformer en fille: Money se fondera sur le cas d’un garçon amputé très tôt de son sexe à la suite d’un accident opératoire qu’il aurait réussi, à la demande de ses parents, à transformer en fille.

    On apprendra par la suite que Money avait menti et que son jeune patient avait toujours résisté à ses tentatives de le transformer en fille, et avait fini par se suicider: c’est un double scandale, à la fois scientifique et déontologique. Mais, entre-temps, la "Gender Identity Clinic" de Johns-Hopkins où travaillait Money était devenue un modèle pour toutes les questions de traitement des "dysphories de genre" aux États-Unis: lorsque des patients ne se sentent pas bien dans leur sexe de naissance et veulent en changer, plutôt que d’essayer d’adapter leurs croyances à leur corps, on les encourage à transformer leur corps pour le faire correspondre à leur identité ressentie.

    Money n’est que l’initiateur de cette révolution du genre, qui va aboutir progressivement à une véritable évaporation du corps.

    Le professeur d’études de genre Anne Fausto-Sterling va ensuite estimer qu’il y a une infinité de sexes et que l’" assignation" d’un sexe à la naissance est une décision arbitraire, produit d’un "mode de pensée binaire". La biologie, qui constate qu’il existe deux sexes dans l’espèce humaine, est disqualifiée comme "patriarcale" et "viriliste". Avec la très influente Judith Butler, on ira encore plus loin : ce n’est pas seulement le sexe qui n’a pas d’existence matérielle objective, mais aussi le corps.

    […]

    "Dysphorie de genre"

    Si tout cela n’était que rêveries ou performances d’adultes consentants, il n’y aurait rien à redire. Mais aujourd’hui, c’est à des enfants de six ans, en Écosse ou ailleurs, que l’on enseigne: "ton genre, c’est toi qui le décides".

    On imagine sans mal leur perplexité face à un tel choix. Pourtant, ce sont des enfants de six ou huit ans qui sont aujourd’hui héroïsés dans de nombreuses émissions télévisées ou films parce qu’ils veulent changer de sexe. Certains psychiatres, au lieu de prendre le temps d’écouter l’enfant et ses parents, diagnostiquent immédiatement une "dysphorie de genre" et font entrer ces enfants dans un parcours de "transition de genre", avec bloqueurs de puberté, hormones pour changer de sexe et opération à leur majorité.

    […]

    Comme le dit le philosophe Ian Hacking, les catégories des sciences humaines "fabriquent des gens". Les idées ont des conséquences et les idées folles ont des conséquences ravageuses.

    L’article dans son intégralité sur Le Point

     

     

    Le déni de la biologie prend tellement le pas sur la réalité qu’il inquiète jusque dans les hautes sphères décolonialistes. Ainsi, Jean-François Braunstein, spécialiste de l’histoire des sciences et membre de l’Observatoire du décolonialisme, a publié une tribune dans le journal le Point, fustigeant "la déconstruction du genre  à la mode dans les milieux universitaires.

    "Il s’agit […] de satisfaire les revendications des militants pro-gender qui ont à cœur d’effacer toute différence des sexes. Ces absurdités sont l’un des résultats les plus visibles d’une théorie du genre qui fait son chemin dans les universités américaines depuis une soixantaine d’années ", écrit le professeur de philosophie.

    Il faut dire que, depuis quelques années, la biologie est taxée de “patriarcale” et “viriliste”, pour ne reconnaître que deux sexes. Les universitaires comme Anne Fausto-Sterling lui préfèrent les “études de genre” qui permettent de justifier toutes théories plus abracadabrantes les unes que les autres, sous prétexte d’une infinité de sexes. En effet, l’assignation d’un sexe à la naissance résulte, pour ces sociologues du dimanche, d’une décision arbitraire, nullement liée à la biologie. Se servant de Foucault pour appuyer leurs théories, certains, comme Judith Butler, n’hésitent pas à affirmer que "ce n’est pas seulement le sexe qui n’a pas d’existence matérielle objective, mais aussi le corps".

    Mais le vrai danger, pour Jean-François Braunstein, provient avant tout de l’influence insidieuse qu’ont ces théories sur la société. " Si tout cela n’était que rêveries ou performances d’adultes consentants, il n’y aurait rien à redire. Mais aujourd’hui, c’est à des enfants de 6 ans, en Écosse ou ailleurs, que l’on enseigne : “Ton genre, c’est toi qui le décides” ", dénonce-t-il avant d’étayer davantage son amer constat, en prenant pour exemple le cas de Keira Bell.

    Cette jeune femme anglaise de 23 ans a en effet porté plainte contre Tavistock Clinic, qui l’avait encouragée, alors qu’elle était âgée de 14 ans, à engager une transition dont elle n’était pas en mesure d’appréhender la gravité. "Les idées ont des conséquences et les idées folles ont des conséquences ravageuses", conclut le membre de l’Observatoire du décolonialisme. À trop vouloir déconstruire, il ne restera que des ruines.

    Valeurs Actuelles

  • Scandaleux!

    LREM planque les cadavres dans les placards!

    Mise en place le 17 mars 2020 par la Conférence des présidents du parlement à l’initiative du président LREM de l’Assemblée nationale, le très “casseroleux“ Richard Ferrand, la "Mission d’information sur l’impact, la gestion et les conséquences dans toutes ses dimensions de l’épidémie de coronavirus-Covid-19" vient d’être dissoute ce mercredi 27 janvier par le même Ferrand.

    La macronie s’est méfiée de cette mission dès sa mise en place. En période de crise, en effet, moins le bon peuple connaît la vérité et mieux le pouvoir se porte.

    "Le gouvernement pense que, vu l’état de méfiance dans l’opinion, il faut saisir toutes les occasions d’explications pour dissiper les malentendus. Ce n’est pas le moment, mais la situation est comme cela" se désolait ainsi Jean-Michel Apathie, l’un des très nombreux porte-paroles officieux du gouvernement sur les médias du régime.

    Cette "Mission" a déjà entendu quelque 75 personnalités (politiques, médecins, chercheurs…) et rendu publics deux rapports, le premier en juin 2020  et le second en décembre.

    Ces rapports dénonçaient les failles béantes de l’action gouvernementale dans la gestion de la crise sanitaire. Le deuxième avait provoqué une abstention de la majorité, les élus LREM et MoDem critiquant un "rapport partiel et partial", un "réquisitoire", une "instrumentalisation politique" de la part de l’opposition. Ambiance…

    La Mission s’apprêtait à rendre public un troisième rapport, encore plus dévastateur pour le pouvoir macronien.

    Compte tenu de l’opposition croissante que rencontre son action dans la population française (les prochaines présidentielles ne sont que dans un peu plus d’un an, et un sondage récent annonce Macron et Marine Le Pen au coude à coude au second tour), voire des risques de véritables émeutes, le pouvoir a jugé plus prudent d’écarter le déballage médiatique de son incurie.

    L’opinion publique française tend désormais une oreille attentive vers les sources d’information alternative. C’est ainsi que la première intervention sur TVLibertés, en juillet 2020, d’Alexandra Henrion-Caude :

     

    https://www.tvlibertes.com

    Une généticienne aux avis très hétérodoxes sur la Covid et la gestion de sa crise par les autorités de la République, a dépassé les deux millions de vues.

    Quant à la seconde prestation de la généticienne sur le même média, le 16 janvier dernier :

    https://odysee.com/@labibliothequealternative:4/Acte-II-Covid-vaccin-la-ge%CC%81ne%CC%81ticienne-Alexandra-Henrion-Caude-nous-dit-tout:f

    Elle a carrément été censurée par YouTube :

    https://twitter.com/tvlofficiel/status/1351236513376382983

    Sans doute à la plus grande joie du pouvoir macronien.

    On se souvient qu’en septembre dernier, l’intervention du professeur Raoult devant les sénateurs membres de cette mission avait été un grand moment de vérité :

    https://www.youtube.com/watch?v=YSMdF7hI-L0

    Une prestation-coup de poing que le pouvoir veut évidemment éviter à l’avenir.

    Pour Damien Abad, président du groupe LR à l’assemblée, la dissolution de cette Mission constitue un "naufrage démocratique totalement surréaliste (…) irrespectueux des droits du Parlement".

    Eric Ciotti, membre LR de la Mission, dénonce pour sa part "un coup de force institutionnel et une dérive solitaire dans la gestion de la crise".

    Du côté du Modem et d’Agir, groupuscules-croupions alliés de LREM au sein de la majorité présidentielle, ça grince un peu. Non sur le fond, mais sur la méthode.

    C’est ainsi que pour Agnès Firmin Le Bodo d’Agir: " Je comprends les arguments du président [Ferrand]: une mission, ça a un début et une fin. À partir du moment où un rapport a été rendu, je peux entendre que la Mission soit arrêtée. Ce qui me gêne, c’est que rien ne la remplace. J’aurais voulu que le président s’engage à cela".

    Gloubi-boulga plus centro-centriste, tu meurs.

    Les groupes LR et PS à l’Assemblée viennent d’annoncer leur intention de demander à Richard Ferrand de revenir sur sa décision de dissolution de cette Mission. On peut toujours rêver.

    Le Sénat, où l’opposition dispose en revanche de la majorité, vient pour sa part de créer une nouvelle "Mission d’information destinée à évaluer les effets des mesures prises ou envisagées en matière de confinement ou de restrictions d’activités".

    Nos gentils sénateurs vont "évaluer", alors qu’il serait peut-être temps d’agir…

    Henri Dubost

    Source:

  • Il fallait s'y attendre!

    Passe-droits : La CGT accuse la mairie de Paris d’avoir fait vacciner secrètement ses employés et des VIP

    Alors que les doses de vaccin pour lutter contre le coronavirus manquent pour les personnes âgées, la mairie de Paris aurait fait vacciner secrètement ses employés et des VIP malgré les consignes du gouvernement. C’est en tout cas les accusations portées par la CGT qui, dans un tract, indique: “Monsieur Martin HIRSCH, directeur général de l’AP-HP et Monsieur Frédéric Batteux, responsable du centre de vaccination de l’Hôtel-Dieu, ont décidé de vacciner du personnel de la Mairie de Paris et autres privilégiés en dehors de toutes les recommandations de la Haute autorité de Santé, du ministère et de tout critère médical de risque!”.
    Avant d’ajouter “Le centre de vaccination COVID-19 de l’Hôtel Dieu inauguré par le ministre de la Santé Olivier Véran, est prioritairement réservé aux professionnels de santé soignants. La tension sur l’approvisionnement des doses ne permet déjà pas de remplir cette mission”, fustige la CGT.

    Avant de poursuivre: “Or, quotidiennement, les équipes mobilisées sont obligées de refuser des soignants et des personnes âgées vulnérables, alors que leur est imposée la vaccination de personnels de la mairie de Paris et autres VIPs non médicalement prioritaires!”.

    “Ces injonctions contradictoires placent le personnel d’accueil dans une situation éthique intenable. Le syndicat CGT de l’Hôtel-Dieu est scandalisée par ces pratiques et de passe-droits d’un autre temps au détriment de la santé publique.

    La CGT de l’Hôtel-Dieu dénonce le climat anxiogène généré sans la moindre réflexion, concertation ou protocole écrit”, peut-on lire.

    Si avérés, les faits relatés par la CGT sont très graves. Il ne serait pas tolérable que ds publics non prioritaires puissent être vaccinés quand nous manquons de doses pour la 2e injection ds professionnels de santé. Psdte de l’AP-HP @Anne_Hidalgo doit faire tte la transparence pic.twitter.com/Bg68NH65fq

    — Geoffroy Boulard (@geoffroyboulard) January 28, 2021

    www.jeanmarcmorandini.com

  • J'ACCUSE MACRON et toute la gauchiasserie et la médiacratie

    d'avoir du sang sur les mains!

     Béziers : au migrant jugé pour avoir agressé une fillette et une femme, le procureur rappelle qu’il est “possible en France” de “vivre au crochet de la société” mais l’invite à ne pas le faire sur le dos de victimes croisées dans la rue

    Béziers : il frappe une fillette de 10 ans et sa mère pour 2 €

    […]

    “Vous êtes un fardeau”

    “Vous avez décrété que vous étiez malade à l’âge de 27 ans. Vous avez choisi depuis de vivre au crochet de la société. C’est possible en France, mais en revanche, ne le faites pas sur le dos de victimes que vous croisez dans la rue. Vous êtes un fardeau. Il faut vous interdire de venir à Béziers pendant cinq années”, requiert le substitut du procureur Mathieu Colomar. Le prévenu est parti exécuter sa peine de prison sur le champ.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Midi Libre

    Une mère et sa fille de 10 ans, agressées à Béziers pour avoir refusé de donner une pièce de 2 euros

    […]

    L’agresseur s’emporte quand la victime refuse de lui donner une cigarette et une pièce de 2 euros

    Le prévenu, d’origine marocaine et qui vit chez sa mène, n’a pas apprécié ce refus. Cet homme, sans travail et qui passe son temps à errer dans la rue, tente dans un premier temps de dérober le téléphone portable dans la main de l’enfant de 10 ans. Elle finit par tomber au sol. Il donne ensuite un violent coup de pied dans le ventre de la maman qui intervient pour relever sa fille, puis menace de mort cette dernière.

    […]

    L’article dans son intégralité sur France Bleu

    https://www.fdesouche.com/2021/01/27/brest-3-individus-assenent-plusieurs-coups-a-la-tete-dun-passant-pour-lui-voler-son-portefeuille-un-ivoirien-interpelle/

    https://www.fdesouche.com/2021/01/27/la-limouziniere-44-une-femme-demande-a-ses-voisins-qui-faisaient-du-rodeo-de-faire-moins-de-bruit-ils-lagressent-et-linsultent-son-mari-lui-vient-en-aide-ils-le-tabassent-sauvagement-a-5/

    https://www.fdesouche.com/2021/01/27/paris-son-appartement-squatte-depuis-2-ans-elle-ne-peut-plus-payer-son-propre-loyer/

    https://www.fdesouche.com/2021/01/27/castaner-jaurais-dissous-avec-plaisir-gi-quand-jetais-ministre-de-linterieur-pour-ce-quils-representent-et-ce-quils-font-mais-ce-netait-pas-possible-car-ils-navaient-pas-commis-de-f/

    https://www.fdesouche.com/2021/01/27/suresnes-92-un-adolescent-poignarde-a-mort-par-un-autre-dans-un-hotel-social/

    https://www.fdesouche.com/2021/01/27/reims-45-jours-ditt-pour-un-homme-qui-avait-ose-faire-une-reflexion-a-2-squatteurs-de-son-hall-dimmeuble-maj-retro-de-10-ans-de-mefaits-commis-par-isaac-lun-des-agresseurs/

    https://www.fdesouche.com/2021/01/27/marseille-la-maison-dun-couple-de-retraites-squattee-par-une-trentaine-dindividus-pour-la-deuxieme-fois/

    https://www.fdesouche.com/2021/01/27/montpellier-leglise-saint-paul-dans-la-cite-de-la-mosson-a-ete-victime-dune-profanation-et-dune-tentative-dincendie/

    https://www.fdesouche.com/2021/01/27/nimes-juge-pour-avoir-agresse-sexuellement-lenfant-age-de-5-ans-qui-lui-offrait-un-sac-de-provision-le-migrant-invoque-une-pratique-coutumiere/

    https://www.fdesouche.com/2021/01/27/perpignan-les-migrants-ecumaient-la-region-en-tous-sens/

    HONTE AUX JUGES ET AUX AVOCATS QUI DÉFENDENT CETTE POURRITURE!

    Honte à la Commission de Bruxelles qui cocoonent les étrangers au détriment des Européens!

    Cette caste de criminels, les immigrationnistes, ont sur les mains, comme le dit régulièrement Philippe de Villiers, le sang de toutes les victimes de l’islam, lors de ses innombrables attentats commis sur notre sol. Ils sont responsables et coupables de toutes les autres morts, provoquées par des attaques souvent gratuites (une agression toutes les 45 secondes en France) et des traumatismes qui demeurent chez ces innocents, presque toujours Gaulois d’origine, massacrés par des psychopathes, presque toujours venus d’ailleurs.

    https://ripostelaique.com/lagression-de-yuriy-cest-la-faute-de-melenchon-de-la-licra-et-de-tous-les-collabos.html

     

  • Une spécialiste de l’ARN parle

    Alexandra Henrion: c’est de la folie de vacciner des gens sains avec de l’ARN !

    Nous avons déjà publié la transcription des 6 dernières minutes, passionnantes et essentielles, de l’interview :

    Ici:

    Voici, à présent, l’essentiel des 54 minutes qui les précèdent, tout aussi passionnantes et incontournables à qui veut comprendre ce qui se passe. Comme elle le dit à la fin, elle fait partie des quelques scientifiques dont les travaux sont signalés ou utilisés CHAQUE JOUR dans le monde entier…

    Résumé et transcription des passages les plus importants.

    Alexandra Henrion-Caude commence par dénoncer vivement le projet de loi 37-14, atroce, déposé le 21 décembre dernier, dite loi Castex, qui est une menace absolue contre les libertés individuelles.

    Source:

    Nous en avons déjà parlé à propos de l’article qui interdit aux médecins de communiquer quoi que ce soit qui ne soit pas “la vérité officielle”… Décret du 22 décembre.

    Ici:

    Ce qui compte ce n’est pas ce que je pense , mais ce que je sais.

    On n’entend que du lavage de cerveau...

    Alexandra Henrion-Caude.

    Elle déplore l’absence de débats alors que la situation présente permettrait normalement des expériences réelles, des essais cliniques gigantesques qui n’avaient jamais été faits, des échanges de données au niveau mondial… Or il n’y a pas de débat, puisque dans le débat public ce ne sont pas les “vrais scientifiques” que l’on entend. Les experts sur l’ADN sont peu nombreux et pourtant on ne les entend pas ! On n’entend que du lavage de cerveau…

    Il est même interdit de poser la question de l’origine du virus… Pourquoi est-ce dérangeant?

    On a pourtant des pistes… Un article du CNRS dit: “on dirait une création de laboratoire”…

    Des essais du vaccin Pfizer ont eu lieu en Afrique du Sud. Les Sud-Africains se plaignaient d’être traités comme des cobayes. Or, aujourd’hui on est bien dans un essai clinique, essai qui doit se terminer en 2022. Les vaccinés ne sont-ils pas des cobayes?

    NDLaR: vaccinés et “inventeurs“ grâce à ce vaccin du variant d'Afrique du Sud qui rend malades les enfants?

    Le vaccin ne protège pas contre les cas sévères car il n’y a pas assez de malades du Covid.

    Voir les données de l’épidémie, la comparaison depuis 1946. Il n’y a pas une énorme différence par rapport à ces dernières années, il n’y a pas de raison de paniquer.

    Mieux encore, on constate, en regardant la mortalité mois par mois que les 2/3 de la surmortalité sont arrivés pendant les périodes de confinement. C’est beaucoup. D’autant que les pics d’épidémie très élevés ne sont survenus que dans les pays qui ont confiné.

    Or, le confinement, c’est une assignation à résidence ! C’est comme une casserole qui bout, le couvercle va partir, tôt ou tard. Il y a forcément un rattrapage, le virus DOIT circuler ! Vous aurez beau faire, la nature est la plus forte, le virus DOIT circuler! Il ne peut y avoir de notion d’immunité collective qu’une fois que le virus a bien circuler.

    Les tests PCR, qui donnent des “cas” mal nommés. Si on est positif, on croit qu’on est un cas. Or, la technique PCR n’a pas de capacité de diagnostic, sauf à faire un séquençage.

     

    L’isolement du virus qui a été fait est très critiquable car il ne suit pas le protocole de Koch. Normalement, quand on a de nouveaux malades et qu’on soupçonne un agent infectieux, on isole cette “soupe d’agents infectieux” pour voir s’il porte sur un modèle animal. C’était forcément une chauve-souris, un pangolin… je ne comprends pas que les Chinois ne l’aient pas fait. Il fallait démontrer que cet agent infectieux était capable de provoquer une infection et de faire l’inverse afin de pouvoir dire “c’est lui le responsable”.

    Or, ce test n’a toujours pas été fait, les spécialistes attendent, on a besoin de cet élément manquant.

    Retour sur les cas positifs asymptomatiques. Chacun croit qu’il peut contaminer autrui, or c’est faux. Il y a eu un papier dans “Nature“, à partir d‘une expérience chinoise portant sur 10 millions d’individus, c’est énorme, les asymptomatiques ne sont pas porteurs du virus!

    Pour être contagieux, il faut un certain nombre de particules virales dans la salive. Et si j’en ai, mon organisme réagit forcément, d’une façon ou d’une autre.

    Par ailleurs, un nouveau test se met en place, EASYCOV, très simple, c’est un test salivaire, on a la réponse 40 minutes après.

    (Note de Christine Tasin: ce dernier est remboursé et la Haute Autorité de Santé a donné son autorisation pour qu’il soit utilisé quand le PCR n’est pas possible… donc pas encore de feu vert pour remplacer le PCR.

    Source:

    Source:

    Alexandra Henrion-Caude est enthousiasmée par l’examen des eaux usées. En les collectant, on peut voir la concentration du virus. C’est un outil remarquable mis en place par la France qui permet de voir dans vos urines, avant même que vous soyez malades, le marqueur du virus. Cela devrait définir une politique sanitaire réelle.

    Le Vaccin

    Le mot vaccin n’est pas adapté à ce que nous faisons avec le vaccin Pfizer. Ces vaccins anti-coronavirus déclenchent des anticorps qui peuvent, ou neutraliser, ou – au contraire – faciliter l’entrée du virus. C’est ainsi qu’on peut avoir une augmentation du nombre de cas de coronavirus après l’injection: 4 500 cas, par exemple, en Israël.

    Confer la déclaration de l’Académie de médecine (qui avait mis en valeur l’importance de la vitamine D pendant la crise minute 40) :

    En vaccinant contre le coronavirus, on prend le risque d’empirer la maladie. Il faut un consentement éclairé au problème du coronavirus et c’est valable pour tous les vaccins, pas seulement le Pfizer.

    En faisant des injections massives, sans savoir quand on injectera la deuxième dose, on court le risque de mettre les gens en danger, il faut renforcer les gestes barrière.

    Je suis convaincue que l’ARN peut faire beaucoup de choses, je ne suis donc pas réfractaire à l’idée de soigner par ARN. Mais c’est parce que je connais l’ARN et son potentiel que je considère que l’administrer à des individus sains, c’est de la folie!

    C’est inconcevable, compte tenu de la versatilité de cette molécule. On avait avancé sur les thérapies à base d’ADN, on n’y arrive toujours pas sur des malades. Alors, le mettre en application sur une population saine, c’est de la folie! Les risques, c’est des effets secondaires à long terme. Ce n’est pas un vaccin, c’est une information génétique expérimentale. On vous injecte une information génétique dans le corps, comme pour les tomates OGM! C’est l’injection d’un virus et on demande à votre corps de produire une molécule de virus! On ne connaît pas tous les effets d’une telle expérimentation.

    D’autant que le vaccin est fabriqué par Pfizer, qui est le seul à avoir testé, et qui a été condamné plusieurs fois pour publicité mensongère, sur 13 médicaments!

    Pfizer a déclaré que 2,7 % des vaccinés se retrouvent incapables de faire leurs activités quotidiennes, de travailler… après la vaccination. Le risque est plus grand que le risque Covid!

    Un risque pareil n’est pas possible!

    Ce risque est répertorié par Pfizer, donc, comme il est connu, on n’en parle pas!

    Cerise sur le gâteau, l’efficacité du vaccin Pfizer n’a pas été évaluée sur la population des plus de 75 ans! Ce sont donc des cobayes!

    Tous ceux qui se font vacciner sont des cobayes, mais la parole scientifique est censurée!

    Source:

     

    https://youtu.be/fqL8nbzk2cQ

     

  • Elections USA: manipulations des votes, la preuve

    États-Unis: le Washington Post admet avoir récemment effacé un épisode embarrassant pour Kamala Harris dans un article biographique de 2019

    LePanacheFrançais

     […] Lorsque le Washington Post publia un reportage sur la campagne de 2019 concernant la relation étroite entre Kamala Harris, alors candidate à la présidence, et sa sœur, il ouvrait sur une anecdote mémorable dans laquelle Harris a bizarrement comparé les rigueurs de la campagne à… la vie derrière les barreaux.

    Avant de se mettre à rire à l’idée d’un détenu suppliant pour une gorgée d’eau.

    C’était un moment extrêmement malaisant, même pour la campagne présidentielle très ratée de Harris. Mais maintenant que Harris est vice-présidente, ce moment affreux semble avoir disparu du site web du Post après que le journal a “mis à jour” l’article au début de ce mois. […]

    Le reste du contenu est toujours là, mais avec une nouvelle anecdote d’ouverture (probablement écrite par la journaliste politique Chelsea Janes, dont la signature a été ajoutée à l’article et qui a écrit plusieurs articles flatteurs sur Harris cette semaine) qui compare la relation entre l’actuel vice-président Harris et sa sœur à celle de l’ancien président John F. Kennedy et de son frère Robert. Après la section d’ouverture, le reste du papier apparaît presque identique à la version publiée initialement en juillet 2019. […]

    Reason a demandé au Post pourquoi l’article sur Harris avait été mis à jour, et si le journal pouvait citer d’autres exemples de “mise à jour” de rubriques politiques pour supprimer des détails qui montrent des responsables sous un jour peu flatteur.

    Dans le cadre d’une série en ligne lancée avant l’investiture du président Joe Biden et de M. Harris, “nous avons réorienté et mis à jour certains de nos gros articles biographiques sur les deux personnalités politiques“, a déclaré Molly Gannon Conway, responsable de la communication du Post, à Reason par e-mail jeudi. “Le profil de Maya Harris a été mis à jour avec de nouvelles informations, comme indiqué en ligne, en utilisant l’URL existante. L’article original reste disponible en version imprimée“. […]

    Reason

    A la suite de la publication de l’article de Reason, le Washington Post a annoncé rétablir l’article comme à l’origine.