Le tout électrique: nouvelle imposture écologiste au service du Nouvel Ordre mondial?
Dans ce livre, l’auteur s’appuyant sur des considérations physiques et scientifiques imparables démontre l’imposture de la trouvaille de la technocratie bruxelloise.
Dans l’avant-propos et le premier chapitre, il dénonce la religion écologiste comme une idéologie du pessimisme infondée et entretenue au sein de l’ONU (pour mieux asservir les peuples au sein d’une gouvernance mondiale??).
Pour l’auteur, l’humanité ne peut intervenir sur le climat et, à ce titre, les pays en développement comme l’Inde ont fait savoir aux nations industrialisées, lors de la COP21 à Glasgow, qu’ils ne renonceraient pas aux énergies fossiles pour assurer leur développement.
L’Union européenne a décidé d’interdire les voitures thermiques au profit des seules voitures électriques en 2035, au motif de supprimer les émissions de CO2 et de mettre fin à la pollution de nos villes.
La voiture électrique pour tous est un mythe
Quelle sera la source de fabrication de l’électricité pour un parc automobile électrique généralisé? L’illusoire production éolienne et/ou solaire qui n’est qu’intermittente? Ou bien les indispensables productions à base d’énergies gazière, pétrolière ou nucléaire honnies par les écologistes?
La voiture électrique pour des déplacements routiers (mission difficile) et autoroutiers (mission impossible)
Sur route, il s’agira de bien planifier son trajet pour trouver des bornes de recharges car à 80 ou 90 km/h, l’autonomie de 350 km annoncée n’est pas forcément valide et il faudra se ménager une marge de sécurité de 20%, ce qui réduit d’autant la distance envisagée. De même, il faut compter 10 minutes pour une charge à 50%, 30 minutes pour 80% et 1 heure pour 100%. Alors qu’il ne faut que 5 minutes pour faire un plein d’essence !
Sur autoroute, à 130 km/h, l’autonomie est 3 à 5 fois plus faible que celle annoncée par les constructeurs. Pour optimiser l’autonomie de leurs voitures, les usagers seront contraints de rouler entre 80 et 100 km/h, réduisant à néant la fonction autoroutière de liaison rapide entre 2 points éloignés (entre 500 et 1 000 km d’une traite selon les modèles). De plus, au vu du délai de recharge (30 minutes minimum), il faudrait aménager au moins 1 000 bornes de recharge sur chaque aire d’autoroute. Enfin, au vu de la puissance nécessaire pour alimenter toutes les bornes, une centrale de production électrique (nucléaire car ne rejetant aucun CO2) serait nécessaire tous les 100 km.
L’aveu d’Elon Musk
Le 30 novembre 2019, lors des migrations traditionnelles pour la fête de Thanksgiving en Californie, des dizaines de voitures Tesla se trouvèrent bloquées à San Luis Opisco, petite localité entre Los Angeles et San Francisco, faute de bornes de recharge en quantité suffisante. Dans l’impossibilité d’augmenter le nombre de bornes, Elon Musk, en 2021, a incité (de manière implicite) les propriétaires de voitures électriques à renoncer à utiliser celles-ci, à l’occasion de cette fête en leur proposant la gratuité des recharges pendant la nuit (proposition inintéressante pour la classe sociale concernée). Alors que les véhicules électriques ne concernent que 1,3% du parc automobile californien, comment ne pas comprendre que la généralisation des voitures électriques est un objectif illusoire…
L’auteur résume le premier des sept chapitres de son livre en douze points :
À poids égal, une batterie pleinement chargée contient 20 fois moins d’énergie que des carburants essence ou diesel. Il faut une demi-heure pour recharger à 80% une batterie dans les bornes les plus rapides et 5 minutes pour faire un plein de carburant ;
La généralisation de la voiture électrique est incompatible avec le fonctionnement des autoroutes interurbaines ;
L’autonomie des voitures électriques sur autoroute est 3 à 5 fois plus faible qu’indiqué par les normes officielles ;
Les véhicules électriques ne rejettent pas de CO2 en roulant mais en génèrent autant que les véhicules thermiques du fait de leur construction et de celle de leurs batteries ainsi que de la provenance de l’électricité qu’ils consomment ;
Le volume des émissions liées à la circulation routière mondiale est tellement insignifiant en regard de la masse du CO2 présente dans l’atmosphère que sa suppression totale n’a aucun impact sur celle-ci et sur le climat, si celui-ci dépend d’elle ;
Le passage au véhicule électrique n’a aucun impact sur la pollution de l’air qui a pratiquement disparu dans les villes occidentales ;
Le coût de la voiture électrique (à l’achat et en cas de réparation) est élevé, ce qui va à l’encontre de la nécessaire démocratisation de l’automobile ;
À l’issue des 8 ans de garantie de leur batterie, la valeur de revente des voitures électriques est douteuse compte tenu du prix d’une nouvelle batterie (10 000 à 20 000 €) ;
L’industrie européenne se fragilise pour répondre aux exigences de la technocratie bruxelloise de généralisation de la motorisation électrique en 2035 au bénéfice des firmes étrangères ;
Privées de centaines de milliards d’euros venant des taxes sur les carburants, comment les pays européens vont-ils abonder leurs finances publiques pour accroître leurs réseaux électriques et construire des centrales (nucléaires?) de production électrique tous les cent kilomètres autoroutiers?
L’Europe est la seule à vouloir électrifier son parc automobile ;
L’accroissement de la demande d’électricité nécessaire pour la recharge des batteries surviendrait à un moment où l’équilibre du réseau européen est déjà en danger et accroîtrait fortement le risque de « black-out ».
Suivent ensuite 6 autres chapitres, une conclusion, un épilogue, 2 annexes et une postface d’un livre éclairant à la lecture indispensable.
Ce livre, au sujet de la voiture électrique, le troisième d’une trilogie de l’auteur concernant l’imposture écologiste, est d’une actualité brûlante. Il nous éclaire sur la stratégie de l’oligarchie mondialiste qui, sous des prétextes fallacieux pour sauver la planète et/ou l’humanité développe un narratif irréaliste et virtuel, imposé de manière répétitive ad nauseam via des médias corrompus, basé sur l’instrumentalisation du sentiment de la peur dans le but davocratique évident d’une purge économique (Great Reset) visant l’appauvrissement, l’asservissement, la diminution des populations occidentales et ce, dans trois registres depuis 2001 : la peur du terrorisme (en relation avec une immigration massive toujours plus encouragée et imposée), la peur des évolutions climatiques (pourtant à l’œuvre depuis des millénaires bien avant l’industrialisation humaine), la peur de pandémies artificiellement créées et entretenues pour le plus grand bénéfice des laboratoires pharmaceutiques (par l’accroissement artificiel de la pathogénicité de virus en laboratoires bactériologiques de type P4 qui deviennent ainsi de véritables armes de guerre).
En février 2022, un quatrième registre, menace réelle celle-là, a fait irruption dont l’union européenne était censée nous protéger mais que nos dirigeants européens semblent appeler de leur vœux : une guerre (potentiellement mondiale et nucléaire).
Au regard des décisions irresponsables de nos dirigeants d’une UE vassalisée et suiviste, concernant le conflit entre la Russie et les États-Unis actuellement en cours sur le sol ukrainien, le déclassement des sociétés européennes semble, hélas, en voie d’accomplissement accéléré.
Puisse la Providence nous épargner un Troisième embrasement mondial sur le sol européen !
Philippe Rossi