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Société - Page 395

  • Mieux que le sirop Typhon...

    Supercentenaire : la capacité à vivre longtemps se cache t-elle dans les cellules souches?

    La mort est une des certitudes de la vie. Mais l'analyse inédite du sang de l'une des plus vieilles femmes de la planète a permis aux scientifiques d'en savoir un peu plus sur les limites de la vie. Ils ont notamment découvert la présence de pas moins de 400 mutations génétiques chez Hendrikje van Andel-Schipper.

    Les supercentenaires désignent les personnes capables d'atteindre l'âge de 110 ans tout en restant en bonne forme physique et psychologique. Mais il s'agit d'une espèce rare.

    Hendrikje van Andel-Schipper en était une. Cette Hollandaise est devenue la femme vivante la plus vieille au monde avant de mourir à l'âge avancé de 115 ans en 2005.Née en 1890, Hendrikje van Andel-Schipper possédait une santé d'enfer et toute sa tête. Plus impressionnant, son système sanguin ne possédait aucune trace de maladie. En donnant son corps à la science, elle a permis aux chercheurs d'analyser son sang et ses tissus afin de déterminer comment ils étaient affectés par l'âge. Ils ont ainsi pu faire quelques découvertes quant à la capacité des hommes à vivre longtemps. Selon leurs résultats, l'espérance de vie humaine serait limitée par la capacité des cellules souches à régénérer les tissus. Après avoir atteint un seuil d'épuisement, ces cellules mourraient diminuant la capacité du corps à reconstituer les tissus vitaux et les cellules.

    Chez Hendrikje van Andel-Schipper, il semblerait qu'environ deux tiers des globules blancs présents dans son corps à sa mort avaient été créé par seulement deux cellules souches. Autrement dit, la plupart des cellules souches de son système sanguin avec lesquelles elle a démarré sa vie étaient déjà épuisées.

     "Y a-t-il une limite dans le nombre de divisions cellulaires ? Cela implique-t-il qu'il y a une limite à la vie humaine ? Ou bien pouvons-nous contourner cela en se régénérant grâce à des cellules prélevées et conservées plus tôt dans notre vie ?", se questionne Henne Holstege du Centre Médical de la VU University à Amsterdam, reprise par le New Scientist.

    Les chercheurs ont pu identifier le nombre de cellules souches responsables de la production de globules blancs en étudiant les mutations dans le génome des cellules sanguines. Celles-ci étaient tellement similaires chez toutes les cellules qu'elles ne pouvaient provenir que de l'une des deux cellules souches-mères.

    Selon les estimations, nous naissons avec environ 20.000 cellules souches, et à n'importe quel moment 1.000 d'entre elles s'activent pour régénérer le sang", précise Henne Holstege. Au cours de la vie, le nombre de cellules actives diminue, et leurs télomères se rétrécissent jusqu'à disparaître. Ces régions non-codantes se trouvent à l'extrémité des chromosomes et brûlent comme un bout de chandelle à chaque division cellulaire. Les scientifiques désignent ce phénomène sous le nom d'épuisement des cellules-souches. En parallèle, les chercheurs se sont aperçus que les mutations subies par les cellules sanguines étaient inoffensives et résultaient de copies erronées d'ADN au cours de la vie d'Hendrikje van Andel-Schipper.

    L'absence de mutations entraînant un risque de maladie ou de cancer suggère qu'elle possédait un système amélioré de réparation ou de destruction des cellules portant des mutations dangereuses. Autrement dit, dès qu'il y avait une mutation délétère son organisme était capable de la faire disparaitre.

    Fontaine de jouvence? La science aurait-elle enfin mis la main sur la fontaine de jouvence? Bien que la recherche avance, rien n'est moins sûr. L'étude du sang de Hendrikje van Andel-Schipper est inédite car c'est la première fois que les chercheurs étudient l'accumulation de mutations génétiques dans les tissus d'une personne aussi âgée. "Cela contraste avec les mutations germinales, présentes à la naissance, mesurées dans des études précédentes. Maintenant que nous avons observé des mutations somatiques dans des tissus normaux et sans cancer, comme le sang, nous pouvons envisager des conséquences sur la santé", précise Chris Tyler-Smith du Wellcome Trust Sanger Institute, au Royaume-Uni.

    D'après les chercheurs, cette découverte fait renaître la possibilité de régénérer des corps vieillissants grâce à des injections de cellules souches, récoltées à la naissance ou au début de la vie. Ces dernières ne posséderaient ainsi pas de mutations et auraient des télomères intacts. Toutefois, si cette possibilité apparait théoriquement possible, d'un point de vue pratique, de nombreuses questions restent en suspens. "Si je prends un échantillon maintenant et que je me l'injecte quand je suis plus vieille, j'aurai de nouveau de longs télomères. Mais il se peut que ce ne soit possible qu'avec le sang", relève Henne Holstege.

    En savoir plus: http://www.maxisciences.com/%E2ge/supercentenaire-la-capacite-a-vivre-longtemps-se-cache-t-elle-dans-les-cellules-souches_art32463.html

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  • Ah mince: et les jolies fesses et corsages mouillés des filles qui lavent votre voiture?

    Nissan développe la peinture autonettoyante

    Grâce à une technologie novatrice appelée Ultra-Ever Dry qui consiste en une couche de peinture super hydrofuge et oléophobe, Nissan espère devenir le premier constructeur à produire une voiture autonettoyante

    Le quotidien est si occupé qu’il ne nous reste plus de temps pour les petits plaisirs, et encore moins pour les corvées, comme nettoyer sa voiture. Nissan s’est penché sur le problème en Europe en innovant avec une voiture qui demeure propre sans même être lavée. Vous avez parfaitement compris, cette voiture se nettoie d’elle-même, comme un chat ou chien dont le pelage reste propre et sec.

    Grâce à une technologie novatrice appelée Ultra-Ever Dry qui consiste en une peinture super hydrofuge (qui repousse l’eau) et oléophobe (qui repousse les huiles), cette peinture repousse la pluie, la boue et toutes les saletés.

    La technologie appliquée sur la carrosserie crée une couche de protection d’air entre la peinture et l’environnement, ce faisant toute matière entrant en contact avec celle-ci est aussitôt repoussée.  D’autres tests à venir

    Il reste encore d’autres essais à effectuer pour valider l’efficacité et la durabilité de la peinture répulsive sous les pires conditions crasseuses. Tous les tests auront lieu dans les centres techniques de Nissan en Europe.

    Imaginez l’intérêt de cette peinture sur nos terres contre la gadoue, le calcium et les abrasifs répandus sur nos routes pendant la longue saison froide ! Nissan ferait un joli coup ! En espérant qu’ils mèneront également leurs tests dans le nord de l’Europe.

  • Première : des cellules souches par clonage de cellules adultes

     

    C'est une avancée pour la médecine régénératrice. Des chercheurs sont parvenus à créer des cellules souches embryonnaires à partir de cellules adultes. Un espoir pour le traitement de pathologies incurables. 

    Pour la première fois, des chercheurs ont réussi à cloner des cellules adultes humaines afin de créer des cellules souches embryonnaires. Cette avancée majeure pour la science a été publiée dans l’édition numérique du journal Cell Stem Cell. Les scientifiques ont utilisé une technique similaire à celle utilisée en 1996 pour le clonage de la brebis Dolly. Ils ont donc “reprogrammé” des ovocytes, en y remplaçant le noyau par celui de cellules de la peau de deux hommes de 35 et 75 ans. En stimulant ces cellules avec un courant électrique, elles ont commencé à se diviser et se multiplier, créant des cellules souches embryonnaires à l’ADN identique à celui des deux hommes.

    Les cellules souches embryonnaires sont dites pluripotentes car ce sont les seules cellules capables de se différencier en tous types de cellules de l'organisme (cardiaques, hépatiques, pulmonaires...), qui en compte 200, et de se multiplier sans limite. L’intérêt d’obtenir des cellules souches embryonnaires clones - ce que les scientifiques appellent le clonage thérapeutique - est qu’à terme elles pourraient permettre de réparer ou de remplacer des organes endommagés pour traiter le cancer, la cécité ou la maladie d'Alzheimer.

    Une expérience similaire avait été menée en 2013, mais l’équipe n’avait réussi qu’à cloner des cellules d’enfants. Or, étant donné que "l'incidence de nombre de maladies pouvant potentiellement être traitées avec des cellules souches pluripotentes augmente avec l'âge, le clonage thérapeutique concernera surtout des adultes plus âgés", soulignent les chercheurs.

    Mais cette découverte peut poser des problèmes éthiques. En effet, si elle a le mérite de ne pas utiliser d’embryon fertilisé - une technique qui soulève d'importantes questions éthiques, car dans ce cas l'embryon est détruit - certains détracteurs estiment que cela pourrait être un premier pas vers le clonage humain.

     

  • No future?

     

    Coronavirus MERS: décès de 2 expatriés en Arabie saoudite

    Deux expatriés atteints du coronavirus MERS sont décédés à Jeddah, grande ville commerciale de l'ouest de l'Arabie saoudite, où cinq autres cas de contamination ont été diagnostiqués, a indiqué samedi le ministère de la Santé.

    Ces décès portent à 76 le nombre de morts liées à cette infection en Arabie, pays le plus touché au monde avec 231 cas de contamination, selon les autorités saoudiennes.     

    Les deux expatriés décédés étaient âgés de 64 et 44 ans, a indiqué le ministère, sans préciser leur nationalité.

    Parmi les cinq nouveaux cas diagnostiqués à Jeddah, deux sont des médecins étrangers âgés de 54 ans, a-t-on appris de même source.

    La semaine dernière, un mouvement de panique s'était emparé des membres du personnel médical de Jeddah, conduisant à la fermeture pour désinfection du service des urgences du principal hôpital.

    Le ministre de la Santé, Abdallah al-Rabiah, s'est ensuite rendu en personne dans l'établissement et son ministère a affirmé dans un communiqué que la situation était "rassurante".

    Mais selon des informations parues mercredi dans les médias locaux, au moins quatre médecins de l'hôpital du Roi Fahd de Jeddah ont présenté leur démission pour ne pas avoir à soigner des patients atteints du virus, apparemment par crainte d'une contagion.

    Les premiers cas de MERS ont été signalés dans l'est de l'Arabie saoudite, mais ils se sont depuis multipliés à Jeddah, sur la côte ouest.

    Dans son dernier bilan communiqué jeudi, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a indiqué avoir été informée au total de 243 cas de contamination confirmés en laboratoire à travers le monde, dont 93 décès.

    Le coronavirus MERS est considéré comme un cousin plus mortel mais moins contagieux du virus responsable du Syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), qui avait fait près de 800 morts dans le monde en 2003.

     

     

  • Cette catastrophe humaine que j'annonce depuis des années...

    Ce robot qui nous ressemble tant

    Philip Hanson

     

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    Et si l’Homme devenait robot ? Et si le robot devenait Homme ? Il peut être naturel de se poser ces questions lorsque l’on quitte le stand, sur le salon Laval Virtual, de l’américain Hanson Robotics. L’entreprise de David Hanson a en effet mis au point un robot qui, avec l’apparence d’un humain, peut, en plus de parler, avoir toutes les expressions qui nous sont propres telles que le sourire ou le clin d’œil.

     

     

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    À l’arrière du crâne, un " cerveau " électronique

     

    Pour confectionner ce robot, David Hanson s’est inspiré de l’auteur américain décédé Philip Kindred Dick qui a naturellement donné son nom au robot. Comme un humain pourrait le faire, Philip le robot peut bouger la tête de haut en bas et de gauche à droite, sourire ou encore cligner des yeux. La matière qui le recouvre, autrement dite sa peau, est comparable à celle d’un homme. " C’est étrange comme impression lorsqu’on le touche… " confie un visiteur, vraisemblablement troublé. Encore plus troublant, le robot peut parler et tenir une conversation presque normalement avec un humain. Chose rassurante : le robot ne fonctionne pas sans l’homme. Car c’est bien un homme qui, dans l’ombre, grâce à un capteur, le commande. Mais jusqu’à quand ? Le robot pourra t-il devenir, un jour, la commande et l’homme le jouet ?

     

  • Les biotechnologies comme source de croissance à l’avenir

     

    Publié  le 12 avril 2014 dans Sciences et technologies

    Que sont les biotechnologies ? En quoi représentent-elles une opportunité de croissance ? Quels sont les obstacles à leur développement ?

    Par Sylvain Fontan.

    Au même titre que la machine à vapeur, l’électricité ou encore l’informatique ont constitué des ruptures technologiques majeures. Les biotechnologies pourraient également s’inscrire dans cette histoire. En effet, encore méconnues du grand public, elles constituent pourtant potentiellement des relais de croissance dans plusieurs secteurs d’activités, même si les obstacles à leur développement sont encore nombreux.

    Origines des biotechnologies

    Les biotechnologies sont le résultat des avancées technologiques antérieures. Les biotechnologies se définissent comme l’application de la science et de la technologie à des organismes vivants, de même qu’à leurs composantes, produits et modélisations, pour modifier les matériaux vivants ou non vivants, à des fins de production de connaissance, de biens et de services. Elles sont le résultat d’une part, de l’accumulation des avancées diverses et variées de la seconde partie du XXème siècle, notamment dans les domaines de la biologie et de la biochimie, et d’autre part, des avancées scientifiques des deux dernières décennies. Parmi les diverses avancées les plus connues à l’origine des biotechnologies il convient de citer notamment l’ADN, le décodage et l’analyse du génome humain, les avancées en pharmacologie et les cellules souches.

    L’intérêt pour les biotechnologies est récent. En effet, en plus de découvertes scientifiques et technologiques récentes, l’accroissement des préoccupations en faveur de l’environnement, l’importance accrue des aspects de compétitivité et le fait que certains gouvernements et agents privés anticipent la prochaine révolution industrielle font que ces technologies se sont développées.

     

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    Applications pratiques des biotechnologies

     

     

    Les trois domaines dans lesquels les biotechnologies ont les applications pratiques les plus importantes sont l’agriculture, la santé et l’industrie :

    ◾Dans le domaine de l’agriculture, les biotechnologies sont utilisées à des fins de production (animale et végétale). Pratiquement, ces technologies servent à sélectionner les variétés pour améliorer les produits thérapeutiques, les vaccins et la prévention des maladies, tant végétales qu’animales. Les plantes génétiquement modifiées (OGM) constituent l’application la plus connue du grand public même si cette dernière ne recouvre en réalité qu’un nombre restreint de cultures (coton, soja, maïs). Moins connue mais plus importante en matière d’espèces végétales et animales concernées, la Sélection Assistée par Marqueurs (SAM) permet de sélectionner les variétés afin d’effectuer des croisements génétiques naturels permettant d’obtenir les caractéristiques voulues.

    En ce qui concerne la santé, les applications visent à résoudre des problèmes de (1) thérapeutique (production de produits biopharmaceutiques du type vaccins, anticorps, hormones… et les biothérapies du type thérapies géniques, cellules souches…), de (2) diagnostic (utilisation de tests et notamment les tests génétiques) et de (3) pharmacogénétique (interactions entre gènes et médicaments pour personnaliser la médecine).

    L’industrie bénéficie des biotechnologies via la production de produits chimiques et de biomatériaux, se substituant ainsi aux procédés traditionnels. Les biocarburants (principalement l’éthanol) sont un exemple type de ce à quoi les biotechnologies peuvent servir dans l’industrie chimique. Les bioplastiques, ou autres matières, touchent aux biomatériaux. Tous ces marchés sont encore restreints mais en forte augmentation.

    Potentiel pour la croissance économique

     

    Agriculture

    Les défis sont liés d’une part, à la nécessité de nourrir une population mondiale en constante augmentation, et d’autre part, aux changements d’habitudes alimentaires, notamment des populations des pays en développement (Chine, Inde, Brésil…). Parallèlement, les terres cultivables sont très largement utilisées et sont le réceptacle de dégradations environnementales dues entre autres à l’agriculture intensive et au changement climatique. Dans ce contexte, il est nécessaire d’augmenter les rendements agricoles tout en prenant en considération la préservation de l’environnement.

    Santé

    La santé est le premier secteur d’investissement des biotechnologies, ne serait-ce qu’en raison de la forte valeur ajoutée des produits concernés. De plus, si à moyen ou long terme tous les produits ne sont pas totalement basés sur les biotechnologies, une large partie sera concernée de près ou de loin, augmentant ainsi les enjeux. Enfin, la perspective de vieillissement de la population et la demande accrue adressée aux professionnels de santé (notamment dans les pays développés) va mécaniquement augmenter l’offre de produits issus de ces technologies.

    Industrie

    Plusieurs éléments sont ici à prendre en compte : la hausse des préoccupations environnementales, ainsi que celles liées à la durabilité et à la réduction de la dépendance des activités industrielles aux ressources non-renouvelables (typiquement les produits issus de la pétrochimie).

    Obstacles à leur développement

    Difficultés pratiques : travailler sur le « vivant » induit de nombreuses difficultés scientifiques et technologiques qui se traduisent par un grand volume de temps nécessaire pour la moindre avancée.

    Durée de découverte : la durée moyenne entre une découverte et son application pratique sur un marché se compte en plusieurs années (entre cinq et quinze ans en moyenne). Dès lors, cela implique de lourds investissements qui ne pourront s’avérer rentables que potentiellement et dans un horizon temporel lointain. Ainsi, ce sont essentiellement les investisseurs privés dans le domaine de la santé qui peuvent se permettre plus facilement ce type d’investissements.

    Produits concurrents : Il existe de nombreux produits concurrents avec lesquels les produits issus des biotechnologies sont et seront en concurrence. De plus, la capacité des produits issus des biotechnologies à se substituer aux produits traditionnels n’est pas partout évidente. Enfin, ils devront faire face à des lobbys implantés de longue date contre lesquels il n’est pas simple de s’imposer.

    Environnement fiscal et règlementaire : le développement des biotechnologies est largement tributaire de l’environnement fiscal et règlementaire. Également, ces contraintes peuvent fortement varier d’un pays à l’autre et dans le temps. Ainsi, tous ces aspects peuvent considérablement amplifier les contraintes de temps, de mise sur le marché et de rentabilité.

    Aspects sociaux, sociétaux et religieux : L’acceptabilité des biotechnologies n’est pas forcément ni évidente ni aisée dans des sociétés où les questions touchant à l’environnement, à l’éthique et à la sécurité ne font pas nécessairement consensus.