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societé - Page 91

  • Larem de merde

    Les députés suppriment la possibilité de traçage électronique des détenus condamnés pour terrorisme sortis de prison

        Les députés suppriment, en commission, la possibilité de traçage électronique des détenus condamnés pour #terrorisme sortis de #prison.

        Cette décision provoque la colère d'@ECiotti: "On est dans le monde des Bisounours." >> https://t.co/NEC1tlSOBr #DirectAN pic.twitter.com/tHfgQti5Xz

        — LCP (@LCP) June 19, 2020

  • Seule la vérité, blesse les crétins français

    Candace Owens, conservatrice noire qui refuse de jouer les victimes.

    Je voulais m’exprimer dès le début, mais je subissais tellement d’émotions et de pressions pour que je partage l’opinion populaire sur Georges Floyd, qu’il est parfois très difficile de dire ce que vous pensez. Je croyais au début qu’il était préférable que je reste silencieuse, mais plus je réfléchissais, plus je réalisais que de nombreux mensonges au détriment de la communauté noire, au détriment de la communauté blanche et au détriment de l’Amérique en général étaient diffusés.

    J’ai donc choisi d’intervenir et de dire que je ne soutiens pas Georges Floyd ni la représentation médiatique qui l’a érigé en martyr de la communauté noire.

    Nous, les Noirs, sommes uniques dans le sens que nous sommes les seuls à lutter, à crier, à demander justice pour les gens de notre communauté qui ont commis des délits, des crimes.

    Je vais expliquer pourquoi et j’espère que certains d’entre vous comprendront. J’ai passé un temps considérable à lire de nombreux auteurs noirs, qui je le pense, représentent certains des Américains noirs les plus brillants: Walter Williams, Shelby Steele, Thomas Sol.

    Récemment, une idée plantée dans mon cœur par Shelby Steele m’est venue à l’esprit et cette idée, je ne puis l’oublier, c’est quelque chose qui demeurera en moi pour le reste de ma vie et j’espère qu’elle restera aussi plantée dans le cœur des Noirs américains, qui regardent cette vidéo, pour le reste de leur vie.

    Shelby Steele avait écrit que la communauté noire était unique, car différente des autres communautés, que notre culture était unique, car différente des autres communautés, car nous sommes la seule communauté qui réponde au dénominateur inférieur de notre société. Cela signifie que tous les Noirs américains ne sont pas des criminels, que tous les Noirs américains ne commettent pas de crimes, mais nous sommes uniques dans le sens que nous sommes les seuls à lutter, à crier, à demander justice pour les gens de notre communauté qui ont commis des délits, des crimes.

    Vous auriez du mal à trouver un Juif américain qui une fois libéré, après avoir passé 5 ans ou plus en prison, trouve la mort en commettant un crime et devienne un martyr pour sa communauté.

    Idem pour un Blanc américain ou un Latino. Quand une personne de la communauté latino-américaine a effectué plusieurs séjours en prison, vous ne verrez pas des foules de Latinos sortir demander justice pour cette personne.

    Je veux être très claire: je ne prends pas la défense de Derek Chauvin. J’espère qu’il sera jugé comme il le mérite et que justice soit rendue à la famille de G. Floyd pour l’horrible façon dont il est mort, mais ne j’accepterai pas le récit officiel que ceci soit le meilleur que la communauté noire ait à offrir. George Floyd n’était pas une personne formidable, ni un être exceptionnel.

    Depuis ces cinq, six dernières années, il est devenu normal pour nous de transformer du jour au lendemain des criminels en héros.

    Je trouve cela méprisable et je refuse de le soutenir plus longtemps. Je ne veux pas participer à ce jeu, peu importe les pressions exercées par les Noirs libéraux et les Noirs démocrates et parfois aussi conservateurs qui veulent vous faire croire que la seule façon pour vous d’être noirs, c’est de dire que cette personne était formidable. G. Floyd n’était pas une personne formidable. Dès que j’ai vu cette vidéo sur Internet, j’ai fait des recherches. Tout le monde se jeta sur la vidéo de l’arrestation et tout le monde s’accorda pour dire que l’officier de police avait mal agi et ce dernier fut arrêté. Je ne discute pas de cela. Les médias n’ont pas interprété l’acte de ce policier de manière erronée, il s’est effectivement transformé en un diable, ce diable qu’il était et il n’y a plus aucune raison de nous en parler tout le temps, de nous rebattre les oreilles, car les Blancs américains n’ont pas érigé Derek Chauvin en victime ou prétendu qu’il était un être humain extraordinaire, mais G. Floyd, lui, a été élevé au rang d’un être exceptionnel.

    Au moment de son arrestation, G. Floyd était défoncé au Fentanyl et à la méthamphétamine. Son mode de vie l’a conduit à sa mort. Pour ceux d’entre vous qui n’ont pas vu les clips vidéo ou attendu que d’autres clips sortent, sachez que G. Floyd au moment de son arrestation était défoncé au Fentanyl et à la méthamphétamine, comme confirmé par deux rapports d’autopsie. Il agissait manifestement sous l’emprise de la drogue.

     

    Quand il fut menotté et plaqué contre le mur, un petit sac blanc contenant ce qui ressemblait à de la cocaïne tomba sur le sol. Cela peut être observé sur un clip que les médias refusent de montrer, mais vous pouvez le trouver sur Twitter si vous utilisez DuckDukGo et recherchez GF baggie et constater de vos propres yeux qu’il possédait de la drogue au moment de son arrestation. Indépendamment de tout cela, personne ne pense qu’il aurait dû mourir au cours de son arrestation, mais je trouve ignoble de prétendre que le mode de vie de cet homme était exemplaire, car ce n’était pas le cas. Son style de vie l’a conduit à sa mort. Je refuse d’accepter le récit qui fait de lui un martyr. Devrions-nous commencer à acheter des T-Shirts à son effigie?

    Lourd casier judiciaire: Commençons par examiner son casier judiciaire. Je ne dis pas que le détenteur d’un casier judiciaire ne mérite pas une seconde chance, après avoir purgé sa peine, mais je fixe une limite après le second, troisième, quatrième, cinquième, sixième, septième, huitième et neuvième séjour en prison. En 1998, il fut condamné à la prison pour vol à main armée, en 2002 pour possession de drogue, idem en 2004 et en 2005, mais ce qui me fit réaliser que cet homme était un être humain horrible se produisit en 2007. Une femme enceinte entendit frapper à sa porte. Elle alla ouvrir la porte et une personne se présenta comme un employé du service des eaux, mais la femme réalisa rapidement que cette personne n’était pas ce qu’elle prétendait et tenta de refermer la porte. À ce moment-là, une Ford s’arrêta et 5 hommes sortirent de la voiture, parmi lesquels G. Floyd. Ils s’approchèrent de la porte et entrèrent de force dans la maison. Imaginez: cette femme était enceinte et G. Floyd sortit un revolver et le pressa contre son ventre. Elle se mit à crier, le suppliant de la laisser en vie. Il l’enferma dans le living et chargea l’un de ses amis criminels de la surveiller, de l’empêcher de sortir, pendant qu’ils fouilleraient la maison à la recherche de drogues et d’argent. Ils ne trouvèrent rien et s’emparèrent alors, je crois de son porte-monnaie et de son téléphone. Heureusement, le voisin observa ce qui se passait, prit note de la plaque d’immatriculation et appela la police, qui retrouva la voiture conduite par G. Floyd. Il fut arrêté et condamné deux ans plus tard à 5 ans de prison.

    Je ne participerai pas à cette culture noire, qui veut toujours faire des criminels des martyrs. Les médias le décrivirent comme une personne qui était en train de mettre de l’ordre dans sa vie après avoir été libéré de prison en 2014. Il commençait une nouvelle vie. J’aimerais croire qu’il s’était tenu à carreaux pendant 5 ans jusqu’à ce jour fatidique, mais c’est défier le bon sens de croire que cette personne était soudainement devenue exemplaire. Elle était sous l’emprise du Fentanyl et de la méthamphétamine, elle essaya d’utiliser un faux billet pour payer un achat, etc. À mon avis, G. FLoyd était un criminel.

    Mais le fait qu’il était un criminel ne signifie pas qu’il méritait de mourir sous le genou d’un policier. Ceci dit, je ne participerai pas à cette culture noire qui veut toujours faire des criminels des martyrs, qui prétend que ces personnes étaient des êtres exceptionnels, qui toujours cherchaient à aider la société, à tendre la main pour l’améliorer. G. FLoyd avait un dossier criminel, long et dangereux, il fut toute sa vie l’exemple même d’un criminel violent et ce jusqu’à la dernière minute.

    La brutalité policière motivée par le racisme est un mythe. Je ne défends pas D. Chauvin, il sera puni comme il le mérite, mais pourquoi prétendons-nous que ce criminel soit élevé au rang d’un citoyen admirable, de martyr de l’Amérique noire, un martyr suite à un faux récit? À propos, la brutalité policière… la brutalité policière motivée par le racisme est un mythe. Il a fait de sa vie une galère et l’a terminée misérablement.

    Non seulement nous utilisons cette mort pour provoquer des émeutes et des protestations en laissant croire que G. Floyd était un citoyen honnête de la communauté noire, qui fut plaqué au sol et tué sans aucune raison, mais nous incitons aux troubles, au cours desquels des Noirs meurent, au cours desquels d’intègres citoyens noirs sont tués, comme le shérif David Dorn, abattu par balle par des pillards « pacifistes » alors qu’il tentait de protéger un Mont-de-piété appartenant à des Noirs. (Où sont les manifestations pour David Dorn?)

     

    Le slogan « Black Lives matter » repris en chœur par des foules hystériques à travers la planète ne s’applique donc pas à David Dorn? Il est vrai, il n’a pas été abattu par des policiers blancs racistes, cela n’intéresse aucunement les participants à la lutte contre le racisme et les violences policières.

    David Dorn était un citoyen exemplaire. Chef de la police pendant toute sa carrière, il était âgé de 77 ans. Il a toujours agi correctement. Un citoyen noir respectable et intègre a été

    assassiné à cause de la mort d’un autre citoyen noir, un criminel de carrière.

    Floyd méritait-il de mourir de cette manière? Non ! Je ne le dirai jamais assez, mais il a fait de sa vie une galère et l’a terminée misérablement. Que je sois, toutefois, damnée, si nous autres, citoyens noirs honnêtes, devions souffrir à cause de cet incident, qui se produit rarement en Amérique.

    Voici quelques chiffres pour vous, qui croyez toujours que la brutalité policière est une véritable brutalité à motivation raciale. Avant tout, si vous êtes un violent criminel blanc, vous avez 25 % plus de chances d’être tué par un policier qu’un criminel noir.

    L’année dernière, neuf Noirs non armés furent abattus par la police contre 19 Blancs.

    Pour ceux d’entre vous qui ne sont pas bons en mathématiques, vous vous dites: OK Candace, mais les Blancs représentent 60 % de la population et les Noirs 13 %. Peu importe le pourcentage de la population que vous représentez, ce qui compte c’est quel pourcentage vous représentez de la violente et criminelle communauté à laquelle vous appartenez et malheureusement, la communauté noire commet un nombre disproportionné de crimes par rapport à la communauté blanche. Permettez-moi de vous dire que 6 % de la population d’hommes noirs représentent 44 % de tous les meurtres commis dans ce pays, selon les statistiques de 2018. C’est ce qui s’appelle un énorme écart. Cela n’a aucun sens. Une variation de 6 points dans une communauté, où nous sommes des minorités extrêmes, nous commettons 44 % de toutes les infractions violentes uniformément réparties et nous ne représentons que 13 % de la population.

    Si les Noirs sont plus souvent confrontés à des officiers de police, ce n’est pas à cause de la couleur de leur peau, mais à cause du nombre élevé de criminels violents parmi eux, responsables de 44 % des crimes. Les officiers de police ont beaucoup plus à craindre des Noirs que l’inverse.

    Vous voulez en parler, ce sont de vraies statistiques: les officiers de police ont beaucoup plus à craindre des Noirs que l’inverse. Un policier a 18 fois et demie plus de chances d’être tué par un Noir que le contraire. Donc, ce récit tout entier n’est que poudre aux yeux, il a été entièrement inventé, c’est juste un dépliant électoral. C’est le Blanc contre le Noir et non parce que les Américains noirs souffrent plus entre les mains des policiers que les Américains blancs, mais parce que cette année est une année électorale. Certains policiers se conduisent-ils mal? Oui ! Je ne pense pas qu’il existe une seule personne sur cette terre qui n’ait pas rencontré un policier sans penser qu’il était une véritable brute, un connard, un crétin, abusant de son autorité, que vous soyez noir ou blanc.

    La Société n’est pas constituée d’êtres parfaits. Nous savons que ces brutes existent et nous savons qu’ils existeront toujours, car ce sont des êtres humains et parfois des êtres humains totalement nuls. Si vous voulez attaquer une communauté pour brutalité ou meurtre violent, savez-vous que des médecins tuent accidentellement un quart de million de personnes chaque année suite à des erreurs médicales? Savez-vous que des médecins ont été arrêtés, car ils étaient des tueurs en série? Allons-nous manifester et appeler au boycott des médecins? Allons-nous supposer que tous les docteurs sont d’horribles êtres humains, à cause de certains d’entre eux ou allons-nous réaliser et accepter que la société n’est pas constituée que d’êtres parfaits?

    Un récit démocrate qui prétend que les Noirs sont traqués de manière disproportionnée par les officiers de police à cause de la couleur de leur peau.

    Des gens nuls, il y en a dans toutes les professions, mais ce n’est pas une excuse pour décrire la société de manière schématique et certainement pas une raison pour accepter un récit démocrate qui prétend que les Noirs sont traqués de manière disproportionnée par les officiers de police à cause de la couleur de leur peau. Le meilleur moyen d’éviter d’être brutalisé par un officier de police, c’est de ne pas trop résister à son interpellation, surtout quand il s’agit de crimes violents.

    Je ne vais pas défendre ce minable récit permanent transformant en martyrs de prétendus citoyens modèles, ayant effectué cinq, six, sept séjours en prison. Ce sont des conneries, des conneries, excusez mon langage, mais ce sont des conneries absolues et je suis fatiguée, je suis fatiguée de devoir jouer à faire semblant, d’être traitée de « Coon » (raton-laveur), « de bamboula » ou « d’Oncle Tom », parce que je refuse de me conformer à ce récit. Georges Floyd, un être exceptionnel qui n’hésita pas à pointer une arme à feu sur le ventre d’une femme noire enceinte.

    Si vous voulez afficher des posters de criminels sur vos murs et en faire vos martyrs, allez-y. Kobe Bryant était mon idole. Je garderai une photo de lui. Vous pouvez conserver une photo de Georges Floyd et prétendre qu’il était un être humain exceptionnel, qui n’hésita pas à pointer une arme à feu sur le ventre d’une femme enceinte.

    Pouvez-vous imaginer la réaction de cette femme noire regardant ces foules encenser Floyd, voir en lui une personne honnête, exceptionnelle? N’est-ce pas embarrassant? Nous avons une culture toxique, car personne ne veut dire la vérité.

    Dans l’Amérique noire, il est si facile d’être une victime, il est si facile de demander aux Blancs de se prosterner et de s’excuser, ce sont des conneries, des conneries, c’est un mensonge, une farce.

    Notre plus grand problème, c’est nous, c’est pour cela que nous n’en parlons pas quand des Noirs tuent des Noirs, c’est pourquoi nous demeurons silencieux quand 40 Noirs sont tués au cours du Memorial week-end à Chicago. Nous ne parlons pas de ces lieux où des Noirs sont massacrés par d’autres Noirs. Nous évitons d’en parler car cela signifierait que nous étions les seuls responsables. Nous blâmons les Blancs. Nous pointons une caméra sur les Blancs seulement quand ils se conduisent mal, alors que nous nous faisons beaucoup plus de mal. Nous célébrons les trafiquants de drogue. Nous sommes la seule communauté qui va jusqu’à créer des hashtags pour libérer des criminels de prison.

    Est-il si difficile pour nous de ne pas passer autant de temps en prison? Est-ce si difficile pour nous de faire ce qui s’impose, ce qui est correct, ce qui est juste pour devenir des citoyens exemplaires? Ceci est mon appel à l’action à l’Amérique. Pourquoi continuons-nous à nourrir ce récit?

    Comment pensez-vous que notre communauté soit perçue à l’extérieur? Lisez-vous parfois les commentaires, postés sur des blogs anonymes? « Oh, ce sont juste des Noirs ! Oh, ce sont juste des Noirs qui fomentent une émeute ! Oh, juste des Noirs qui agissent comme des Noirs ! Il faut être noir… Vous savez comme ils sont, juste des Noirs ignorants. » Je lis ces commentaires racistes. C’est la perception qu’ils ont de nous, quand ils s’expriment anonymement. Ils pensent que nous sommes ce genre de personnes qui érigeront toujours des criminels en martyrs de notre communauté, que jamais nous ne nous sentirons responsables du mal que nous commettons, que nous n’avons pas en nous cette capacité de nous éduquer pour aller de l’avant et que ceux qui réussissent à le faire ne sont que des « coons ». Ainsi Condoleeza Rice est un « coon » (raton-laveur). L. Albert est un coon. Le docteur Ben Carson, un brillant neurochirurgien, qui fut le premier à séparer avec succès des siamois reliés par la tête est un coon. Mais quel « coon », quel looser, quel type stupide ! Tous ceux d’entre nous qui réussissent, qui veulent aller de l’avant sont de pauvres « coons », perdus dans les égouts. Nous exigeons plus de la société et nous l’obtiendrons, car nous voulons avancer dans la vie.

    Les Conservateurs noirs vont de l’avant, car ils ne souscrivent pas à ce faux récit démocrate. Vous ne me verrez jamais dehors en train d’essayer de prendre une TV et justifier mon acte, car un martyr du nom de George Floyd a été tué.

    Je crois fermement, peu importe la couleur de la peau, que si vous faites des choses stupides, vous gagnez des prix stupides. Nous devons mieux faire, mieux nous occuper de l’éducation de nos enfants, sinon nous n’irons jamais de l’avant. Je fulmine dans ma diatribe, car je suis super-agacée par ces images de notre société. Je n’ai aucune excuse à faire à Georges Floyd, il n’est pas mon martyr, il est peut-être le vôtre. C’est tout ce que j’ai à dire aux Noirs américains.

    Aux manifestants qui le somment de s’agenouiller en hommage à G. Floyd, un officier noir, monsieur Saddler, répond calmement: J’ai beaucoup de respect, mais je ne m’agenouille que devant une personne, et c’est Dieu.  Puis, il s'en va.

     

  • La preuve des mensonges du gouvernement

    Les graphiques sont sur le site de France Soir

     

    Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique

    ANALYSE : Le communiqué du 2 juin du conseil scientifique se décerne un satisfécit sans regarder les faits et tente par des scénarios improbables (issues de modélisation erronées) de faire perdurer la peur qui paralyse la population et l’empêche de défendre ses libertés.  Ainsi il prétend sans avoir étudié cette cinétique :  

    " La période du confinement a permis de ralentir la dynamique de l’épidémie de façon marquée "

    L'utilisation des analyses de rupture de tendance lui aurait permis de constater que le confinement aveugle et policier à la française n’a été suivi du moindre ralentissement des contaminations dans aucun des pays qui l’a pratiqué et que la baisse des contaminations a été observée bien plus tard (5 semaines) et naturellement de la même manière dans les pays confinés ou pas.

    La comparaison entre la Belgique et les Pays bas permet de suggérer même que le confinement strict accélère les contaminations.

     

    Epidémie terminée et " en même temps " confinement relatif poursuivi 

    Les conséquences du confinement sont désastreuses et vont nous faire souffrir plusieurs années. Alors que ces deux mois et demi furent délétères pour la France, les limites lourdes à la liberté imposées par le gouvernement empêcheraient-elles la vie de reprendre normalement, tant sur le plan psychique que médical, scolaire, social, économique?

    Pourtant nous sommes en fin d’épidémie et les quelques cas encore décelables ne justifient en aucun cas de bloquer 67 millions d’habitants. En revanche, ils justifieraient d’un traitement efficace, utilisé dans le monde entier.

    Pourquoi les en priver et en conduire certains à une maladie éventuellement longue sur plusieurs semaines ?

    Un but subliminal: poursuivre la terreur ?

    Ceci nous conditionnerait à accepter des vaccins (qui ne verront sûrement jamais le jour), ou au moins une drogue chère comme le Remdesivir de Gilead. Il suffit de jetter un rapide coup d’œil aux cours en Bourse de Gilead et de laboratoires tonitruants sur un éventuel vaccin, pour voir que les acrobaties médiatiques du genre Lancet ne sont pas gratuites. Elles permettent, en quelques jours, de doper le cours de l’action boursière et pour les initiés de gagner beaucoup d’argent.

    Depuis le desserrement du confinement policier mortifère qui nous a été imposé inutilement, le lobby de la peur essaie d’entretenir la panique créée par les médias et le gouvernement, afin de maintenir notre soumission et l’abandon de notre bien le plus précieux, notre liberté.

    En témoignent de nombreux articles mensongers qui prétendent que le confinement aurait " sauvé des vies ", qu’il faut " craindre une deuxième vague " d’épidémie parce que " l’immunité collective serait insuffisante " (note 1,2,3), que " l’application stop Covid serait utile ". Même le syndicat des avocats a dénoncé cette application à éviter absolument et à désinstaller, si elle a été installée silencieusement lors d’une mise à jour de votre portable (Note 4).

    En réalité, l’épidémie se termine en France comme partout en Europe. Il n’y aura pas de vraie deuxième vague de Covid19, car cela n’est jamais observé dans les maladies virales (Note 5). Et il ne faut pas se préoccuper de la faible prévalence de la maladie dans la population, car l’observation des épidémies précédentes montre que l’immunité collective ne détermine presque jamais leur évolution. L’enthousiasme pour les tests, toujours peu au point, et non spécifiques, ne repose que sur l’envie du gouvernement de perpétuer la peur, et de nous maintenir dans l’angoisse de nouvelles contaminations. Ils n’ont pas d’intérêt alors que l’épidémie est terminée.

    Ne cédez pas à la pression des médias et des autorités pour vous faire ficher ; l’usage du test est devenu une arme politique pour faire croire qu’on s’occupe de son peuple, de sa ville. Il n’a plus aucun intérêt à ce stade de disparition de cette virose. 

    Le confinement aveugle et policier n’a ni diminué, ni ralenti l’épidémie

    Contrairement aux prédictions issues des simulations qui l’ont motivé (Note 6), le confinement policier n’a ni ralenti, ni diminué la propagation de l’épidémie. Plutôt que de croire aux annonces de propagande basées sur les succès virtuels de modélisations biaisées (Note 7) qui encensent cette technique moyenâgeuse et inefficace (Note 8), ou de ceux qui veulent à tout prix se consoler d’avoir été emprisonné sans faute, il faut regarder les faits réels, les faits observés, les faits constatés.

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  • Éric Zemmour

    Question de Christine Kelly:

    S’agit-il d’une chasse aux sorcières comme on l’a vu dans les années 50 avec le maccarthysme ou bien c’est juste un rééquilibrage qui s’opère?

    Eric Zemmour:

    Mac Carthy a voulu extirper le danger communiste, considéré comme le Mal, de la société.

    Est-ce que, aujourd’hui, il s’agit d’extirper le mal raciste ? Non, on en est bien loin… C’est une histoire qui a commencé dans les années 80 avec SOS Racisme. On a extirpé le Mal, ça y est, c’est fini, plus personne ne défend des positions qui paraîtraient racistes. Les programmes ont été expurgés, les cerveaux nettoyés. Le maccarthysme, c’est hier.

    Aujourd’hui nous sommes passés à une deuxième étape. Ce qui se passe là, c’est la volonté de détruire l’histoire d’un peuple, de détruire l’histoire d’une civilisation pour l’éradiquer et la remplacer.

    Quand on saccage la statue de Churchill, ça veut dire que là tout est possible… Ça veut dire que si Churchill est raciste, le général de Gaulle aussi est raciste. Quand il dit qu’il ne veut pas que son pays devienne Colombey-les-deux-mosquées, il faut aller saccager la statue du général de Gaulle. Il faut interdire Voltaire parce qu’il a écrit une pièce qui s’appelle Mahomet. Et je ne vous parle même pas de Céline. Il faut interdire Balzac parce qu’il est réactionnaire. Il faut interdire Molière parce qu’il a écrit Les Femmes savantes qui est misogyne. Il faut aller plus loin, il faut que les Juifs demandent que Saint Louis ne soit plus évoqué parce qu’il a persécuté les Juifs.

    Ou que les protestants exigent que Richelieu et François 1er soient exclus, que leurs statues soient dégagées parce qu’ils ont persécuté les protestants. Il faut que les gens d’origine vietnamienne exigent que les statues du général Leclerc soient détruites parce qu’il a fait la guerre au Vietnam… C’est sans fin. L’objectif, aujourd’hui, c’est la destruction d’une culture, d’un peuple, d’une civilisation…

     

    IL N’Y A PLACE DANS LES CIMETIÈRES EN FRANCE POUR LES CADAVRES TERRORISTES

    Si on doit débarrasser les statues des " bandits " marchands d’esclaves…

    Alors… on doit aussi déterrer, et jeter à la mer les cadavres des terroristes qui ont commis des massacres immondes au Bataclan.

    On doit aussi jeter au chien les cadavres des terroristes qui ont égorgé nos prêtres et nos compatriotes!

  • Races, Tribus, Ethnies. Une Africaine témoigne.

    L’Afrique est malade de son racisme.

    Il faut arrêter de fermer les yeux sur le tribalisme et l’ethnisme. Ces formes de racisme empêchent le continent africain de sortir de l’ornière.

    Des pays africains, hélas nombreux, sont en train de s’enfoncer dans la misère à cause d’un mal qui ronge leurs populations: le racisme. Des Africains seront les premiers à trouver que mon jugement est exagéré mais à certains moments il faut réveiller les consciences par des mots forts.

    A force d’expliquer les dérapages incessants de certains dirigeants africains, de certains groupes armés qui sèment la mort pour conquérir le pouvoir sans donner des garanties d’amélioration aux populations qu’ils sont censés défendre, par l’ethnisme ou le tribalisme, des mots devenus édulcorés, certains poussent les responsables et les populations africaines à fermer les yeux et à être fatalistes.

    En effet, alors que dans tous les pays du monde, les dirigeants luttent contre le racisme, aucune lutte contre le tribalisme et l’ethnisme, pratiques presque exclusivement africaines, n’est annoncée, ni par la communauté internationale, ni par les Africains eux-mêmes.

    Et pourtant l’idéologie de ces deux pratiques rejoint parfaitement celle du racisme. Et dans les faits, nous constatons dans plusieurs pays africains, des personnes ou des groupes de personnes qui décrètent du jour au lendemain des guerres tribales ou ethniques, en désignant "les autres" qui appartiennent aux tribus ou ethnies différentes de la leur comme étant "des êtres du mal" à éliminer ou psychologiquement ou pire physiquement. Ces dix dernières années, ce genre de guerriers est apparu dans plusieurs pays: je ne cite que les cas graves comme le Libéria, la Somalie, le Congo, la République démocratique du Congo, le Burundi, le Rwanda, la Sierra Leone, et la Côte d’Ivoire.

    Si les pays de la Région des Grands Lacs sont les plus touchés par le racisme, le cas de la Côte d’Ivoire devrait interpeller les consciences africaines et faire peur aux pays qui ont encore la chance de vivre en paix. En effet voilà un pays, stable depuis l’indépendance, prospère malgré le manque des matières premières comme le pétrole ou les minerais, dont l’image à l’étranger était parmi les meilleures et la capitale parmi les plus belles, devenu en quelques années un espace livré au racisme. Nous en connaissons les conséquences: une chasse à l’"Autre" qui a engendré des morts, des réfugiés, des orphelins, bref une image qui a fait réfléchir plus d’un Africain et qui nous a plongés dans un pessimisme indescriptible. Nous croyions ce pays définitivement sur le bon chemin.

    Un exemple du fait que c’est le "racisme" qui est naturel et qu’il n’a pas besoin de beaucoup de temps pour être efficace. Dans des pays comme les nôtres, une fois qu’un "chef d’état ou de guerre" fait appel à lui, il va aussi vite qu’un feu de brousse en été, parce que les insatisfactions de la vie sont profondes et nombreuses. Il recrute facilement parmi les laisser pour compte, qui se sentent utiles et considérés pour une fois dans leur vie. Il recrute parmi les jeunes, abandonnés par des structures sans moyens, qui eux aussi sont toujours prêts à l’aventure quitte à y laisser leur vie de misère et qui tuent avec autant d’application et d’énergie que s’ils livraient un combat qui les conduira vers une vie meilleure. Le temps d’un jour, d’une semaine, d’un mois… avant de mourir ou de tomber dans une misère pire que celle qu’ils connaissaient avant.

    L’ethnisme, le tribalisme, le racisme, des maux qui peuvent se résumer en un seul, le racisme, le mot universel, pour que nous puissions sentir le besoin de lutter contre ce mal. Quand on parle des tribus ou des ethnies en Afrique, il y a un certain fatalisme; c’est naturel, nous sommes divisés en ethnies ou en tribus; cela nous plonge fréquemment dans le chaos mais nous n’y pouvons rien. Elles sont là, nous ne pouvons pas les combattre; nous décidons de fuir… vers quoi?

    Et pourtant, les intellectuels africains savent que seuls les plus chanceux d’entre ceux qui vivent en exil, arrivent à trouver un travail correspondant à leur qualification. Certains atteindront l’âge de la retraite sans pouvoir utiliser leur savoir. Pourquoi dans ce cas, ils n’essaient pas d’imaginer des solutions qui pourraient aider leurs pays à vaincre le racisme, pour pouvoir enfin les aider à se développer?

    Le fatalisme qui consiste à dire "il est écrit là-haut que je mourrais en exil" pourrait faire place à un acharnement commun afin de supprimer le mal qui ronge nos pays et qui les empêche d’avancer. Disons-nous la vérité: la communauté internationale nous trouve des solutions qui ne correspondent pas toujours à ce que nous souhaitons. Si elle constate qu’elle a fait des erreurs, elle essaiera autre chose. La balle est toujours dans son camp car c’est elle qui réfléchit à notre place.

    Je ne vais pas terminer sans parler du Burundi, mon pays d’origine, celui que je connais le mieux. Ce pays, comme tous ceux qui connaissent périodiquement des guerres ethniques, des guerres racistes, a une culture de racisme depuis longtemps. Sous la Monarchie, avant la colonisation allemande et la tutelle belge, le Roi tout puissant, ordonnait, le génocide d’un clan, lorsque ce dernier avait la malchance d’avoir un rebelle en son sein. Ce clan, composé de plusieurs familles issues d’un ancêtre commun, était alors visé dans son entièreté. Les membres qui arrivaient à fuir abandonnaient leurs terres et s’établissaient assez loin pour ne pas être reconnus. Parfois, ils étaient obligés de changer de clan et de noms pour survivre.

    D’autres clans, au lieu d’être condamnés à mort, subissaient une exclusion difficile à vivre psychologiquement: les Hima étaient obligés de rester entre eux car ils n’avaient pas l’autorisation d’entrer dans les enclos des autres citoyens: toute une littérature malfaisante avait été élaborée pour faire comprendre que sur leur passage se traînaient la mort, la maladie pour les humains et le bétail, la malchance, etc…

    Les Hutus étaient considérés comme inférieurs et lorsque le Roi se sentait redevable vis-à-vis de quelques familles, il leur accordait "le privilège d’être des Tutsis". Les ethnies n’étaient pas figées. Mais aucune personne ne pouvait devenir "noble", ce titre était réservé aux descendants mâles des différents Rois ainsi qu’à leurs épouses destinées à multiplier les familles "nobles ou ganwa". Les nobles se disaient "au-dessus" des ethnies pour mieux les dominer.

    Les Républiques qui ont suivi la Monarchie, toutes par le plus grand des hasards, dirigées par des Hima, ont pratiqué l’exclusion des Twa, des Hutus et des Ganwa, à des degrés différents. Et des Hutus n’ont pas trouvé mieux pour se défendre que des actes de génocides des Tutsis, répétés, suivis par des massacres des attaquants; et la boucle était bouclée. Cela s’est passé à plusieurs reprises (1965,1972, 1988, 1993…) et entre deux crises, les uns et les autres vivaient comme si les tueries n’allaient plus recommencer. Ils espéraient l’éradication d’un mal pour lequel personne n’avait trouvé de médicament.

    L’exclusion et la mort comme moyens de gouverner! L’exclusion et la mort comme moyens de réclamer ses droits! L’exclusion ou la mort pour résoudre ses problèmes existentiels…

    Le modèle n’a jamais changé: vous m’avez exclu ou pire tué des personnes de mon groupe, une fois au pouvoir je fais de même pour tous ceux qui ne sont pas de mon ethnie.

    Un modèle qui doit casser pour ne pas connaître des guerres sans fin.

    Lalibre.be