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L’article du Figaro

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2017/10/06/01016-20171006ARTFIG00069-politique-journalistes-intellos-enquete-sur-les-agents-d-influence-de-l-islam.php

Certes, ils les appellent pudiquement " agents d’influence de l’islam ", mais le dossier vaut la peine d’être lu. Et le Figaro offre cela à ses lecteurs qui découvrent ahuris ce que seuls les lecteurs de la patriosphère connaissent.

Et qui découvrent que l’on peut montrer du doigt ceux qui pactisent avec l’islam, donc, sans que ce soit dit, qu’être islamophile n’est plus si bien porté qu’avant…

Et ils pointent, dans des encadrés, ceux qui collaborent… Encadrés verts ceux du Figaro,

Les Intellectuels: Edgar Morin, Jean Baubérot, Emmanuel Todd, Raphaël Liogier, Pascal Boniface, Mathilde Larrère

*L’article commence très fort, avec, clairement, la mise en cause du racisme anti-blanc, de la ségrégation anti-blanc qui s’installe dans la société :

ENQUÊTE – Intellectuels, responsables politiques ou acteurs associatifs, ils investissent l’espace médiatique. A leurs yeux, le musulman incarne la nouvelle figure de l’opprimé et il importe de le défendre contre l’homme blanc, qu’ils accusent de toutes les fautes.

Peu importe l’origine, la religion, la couleur de peau ou le sexe. L’islamosphère est un club dont les membres se cooptent selon un seul critère: la lutte contre l’oppresseur, à savoir l’homme blanc ou, à l’occasion, la femme blanche de plus de 50 ans, et leurs complices arabes. Ils honnissent Alain Finkielkraut, dont ils dénoncent régulièrement l’"hystérie" contre l’islam, Elisabeth Badinter, qui a le culot de "ne pas craindre d’être traitée d’islamophobe", et peut-être plus encore Kamel Daoud, coupable entre autres méfaits d’avoir dénoncé "la misère sexuelle dans le monde arabo-musulman, le rapport malade à la femme" après les agressions de la nuit du Nouvel An à Cologne, en 2016.

L’islamosphère étend son influence dans le monde intellectuel, politique, dans les médias et les réseaux associatifs. Elle a ses rendez-vous annuels, comme les Y’a bon Awards. Sous couvert de "distinguer" les auteurs de propos racistes, cette cérémonie s’est muée en tribunal médiatico-mondain de l’ "islamophobie". Le "camp d’été anticolonial" est également très prisé, même s’il est "réservé uniquement aux personnes subissant à titre personnel le racisme d’Etat en contexte français", autrement dit, s’il est interdit aux Blancs.

Les liens entre islam et fondamentalisme sont clairement énoncés :

Les membres de l’islamosphère entretiennent des liens à géométrie variable avec les organisations musulmanes de France, elles-mêmes travaillées par la montée du fondamentalisme.

Le Figaro montre du doigt les acteurs musulmans et leurs complices ayant pignon sur rue L’influence des pays du Golfe, qui financent des mosquées et l’UOIF, rebaptisé MDF (musulmans de France ) avec Lasfar. L’UOIF alias MDF, c’est, clairement énoncé également, les Frères musulmans.

L’activisme du CCIF est également pointé du doigt et notamment sa façon de décompter ce qu’ils appellent des " actes islamophobes ".

"Le CCIF a une conception très large de l’islamophobie", analyse l’historien du droit Jean-Christophe Moreau, coauteur du livre Islamophobie, la contre-enquête (Plein Jour). Selon lui, le CCIF inventorie des actes selon des critères qui dénotent "un délire de persécution, voire une complaisance à l’égard de l’islam radical", tels que des expulsions d’imams controversés ou des fermetures de mosquées proches de la mouvance salafiste.

Tariq Ramadan… Le Figaro rappelle ses récentes déclarations sur Merah : " ce pauvre garçon, certes, coupable et à condamner " mais qui aurait été lui-même  " la victime d’un ordre social qui l’avait déjà condamné, lui et des millions d’autres, à la marginalité, à la non-reconnaissance de son statut de citoyen à égalité de droit et de chance ". " Mohamed, au nom si caractérisé, fut un citoyen français issu de l’immigration avant de devenir un terroriste d’origine immigrée. Son destin fut très tôt enchaîné à la perception que l’on avait de ses origines" .

 

Edgar Morin… Qui passe son temps à faire passer les musulmans pour des victimes, les " damnés de la terre " et nie la recrudescence de l’antisémitisme.

Pascal Boniface, anti-israélien passant son temps à minimiser les méfaits du terrorisme : "Ne tombe-t-on pas dans le piège des terroristes en leur donnant tant d’importance?"

Emmanuel Todd, pour qui le problème de l’islam n’existe pas, n’existerait qu’un besoin pathologique des classes moyennes de détester quelque chose ou quelqu’un.

Raphaël Liogier qui nie tout problème avec l’islam et prétend que la laïcité serait un instrument de guerre contre l’autre.

Jean Baubérot, pour qui la laïcité serait un moyen de stigmatiser les musulmans.

Geoffroy de Lagasnerie, qui défend mordicus ceux qui ont incendié une voiture avec des policiers… et prétend qu’ils ont exprimé une colère légitime.

Edwy Plénel pour qui l’islam est devenu le bouc émissaire et qui défend le voile.Pour Nasser Ramdane Ferradj, fondateur du Collectif des musulmans progressistes et laïques, Edwy Plenel "a façonné une jeune génération de journalistes en imprimant sur celle-ci l’idée que toutes les critiques de l’islam et des extrémistes de notre religion sont des attaques racistes contre tous les musulmans". "Il épouse la stratégie de l’islam politique jusqu’à en devenir une pièce maîtresse pour son enracinement en France", accuse cet ancien vice-président de SOS Racisme.

Jean-Louis Bianco, président de l’Observatoire de la laïcité, a signé au lendemain des attentats de novembre 2015 une tribune intitulée "Nous sommes unis", signée par des responsables syndicaux ou religieux, mais surtout des dirigeants du CCIF et des militants réputés proches des Frères musulmans. Cette publication a sonné le début de l’affrontement public entre Jean-Louis Bianco et Manuel Valls, alors Premier ministre, sous l’autorité duquel l’Observatoire de la laïcité est placé. Jean-Louis Bianco, qui s’inquiète davantage de la montée d’une éventuelle intolérance contre l’islam que des infractions à la laïcité commises par les tenants de l’islam politique, est contesté pour sa conception de la laïcité au sein même de l’organisme, dont plusieurs membres ont démissionné.

Benoit Hamon avait choisi comme porte-parole Alexis Bachelay, l’un des rares élus à avoir participé à un dîner de gala annuel du CCIF

Mohamed Saou , référent d’En Marche dans le Val d’Oise ( rétabli dans ses fonctions après avoir été écarté par Macron pour ses propos refusant de condamner l’attentat contre Charlie Hebdo ).

M’jid El Guerrab, Connu pour avoir agressé à coups de casque de moto un cadre du PS en août dernier, il avait signé en 2015 une lettre ouverte au premier secrétaire de l’époque, Jean-Christophe Cambadélis, pour défendre la présence de Corinne Narassiguin au dîner de gala du CCIF en tant que porte-parole du PS. M’jid El Guerrab a démissionné de LREM après avoir été mis en examen pour "violences volontaires avec arme", mais est toujours député.

Olivier Besancenot et Philippe Poutou reçoivent la médaille d’or des islamo-collabos :  Le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) d’Olivier Besancenot et de Philippe Poutou y adhère en bloc, en pratiquant lui aussi l’"intersectionnalité" des luttes, par exemple pour le voile islamique – une candidate voilée avait porté les couleurs du NPA aux régionales en 2010 – et contre les violences commises par des policiers, que Philippe Poutou a proposé de désarmer. En mars 2015, à Saint-Denis, le NPA a tenu avec des associations musulmanes et des représentants du PCF et d’Attac, mouvement altermondialiste, un "meeting contre l’islamophobie et le climat de guerre sécuritaire".

Le Parti des Indigènes de la République (PIR) y participait également. Ce groupuscule est surtout connu grâce à Houria Bouteldja, sa porte-parole, qui accuse l’Etat français d’être néocolonialiste, raciste et islamophobe. En novembre 2011, elle a cosigné un manifeste dénonçant le soutien exprimé à Charlie Hebdo après l’incendie de ses locaux.

Quant aux militantes pro-voile, pro camp anticolonial, pro-islam au nom d’un féminisme dévoyé et forcené…

Rokhaya Diallo, militante anticolonialiste

 

Sihame Assbague, ancienne porte-parole de Stop le contrôle au faciès et coorganisatrice du fameux "camp d’été anticolonial" interdit aux Blancs,

Caroline de Haas. Dans les débats qui suivent les agressions sexuelles du Nouvel An 2016 à Cologne, Caroline De Haas dénonce les " merdes racistes " qui lient les agressions à l’arrivée de migrants en Allemagne ( wikipedia )

Pour Cécile Duflot  le problème c’est le mâle blanc…

Sur le même sujet, la députée France insoumise Clémentine Autain avait tweeté: "Entre avril et septembre 1945, deux millions d’Allemandes violées par des soldats. La faute à l’islam?"

Quant aux medias où l’islamosphère est partout chez elle…

Libération…

Médiapart…

le Bondy Blog…

Nombre de ces islamophiles sont souvent les invités de France Inter où ils diffusent leur propagande pro-islam, approuvés sans restriction par les journalistes en place.

Bref, un beau coup de pied dans la fourmilière, même si le Figaro se garde bien de porter un jugement sur l’islam…

Ils ne faut pas oublier les ONG comme le Secours Catholique et le Secours Populaire et d’autres qui font une discrimination positive ainsi que les services sociaux qui tremblent devant eux. Et dans cette liste on oublie le plus populaire des islamistes: Mélenchon

 

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