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Opinions - Page 42

  • Éric Zemmour

    Question de Christine Kelly:

    S’agit-il d’une chasse aux sorcières comme on l’a vu dans les années 50 avec le maccarthysme ou bien c’est juste un rééquilibrage qui s’opère?

    Eric Zemmour:

    Mac Carthy a voulu extirper le danger communiste, considéré comme le Mal, de la société.

    Est-ce que, aujourd’hui, il s’agit d’extirper le mal raciste ? Non, on en est bien loin… C’est une histoire qui a commencé dans les années 80 avec SOS Racisme. On a extirpé le Mal, ça y est, c’est fini, plus personne ne défend des positions qui paraîtraient racistes. Les programmes ont été expurgés, les cerveaux nettoyés. Le maccarthysme, c’est hier.

    Aujourd’hui nous sommes passés à une deuxième étape. Ce qui se passe là, c’est la volonté de détruire l’histoire d’un peuple, de détruire l’histoire d’une civilisation pour l’éradiquer et la remplacer.

    Quand on saccage la statue de Churchill, ça veut dire que là tout est possible… Ça veut dire que si Churchill est raciste, le général de Gaulle aussi est raciste. Quand il dit qu’il ne veut pas que son pays devienne Colombey-les-deux-mosquées, il faut aller saccager la statue du général de Gaulle. Il faut interdire Voltaire parce qu’il a écrit une pièce qui s’appelle Mahomet. Et je ne vous parle même pas de Céline. Il faut interdire Balzac parce qu’il est réactionnaire. Il faut interdire Molière parce qu’il a écrit Les Femmes savantes qui est misogyne. Il faut aller plus loin, il faut que les Juifs demandent que Saint Louis ne soit plus évoqué parce qu’il a persécuté les Juifs.

    Ou que les protestants exigent que Richelieu et François 1er soient exclus, que leurs statues soient dégagées parce qu’ils ont persécuté les protestants. Il faut que les gens d’origine vietnamienne exigent que les statues du général Leclerc soient détruites parce qu’il a fait la guerre au Vietnam… C’est sans fin. L’objectif, aujourd’hui, c’est la destruction d’une culture, d’un peuple, d’une civilisation…

     

    IL N’Y A PLACE DANS LES CIMETIÈRES EN FRANCE POUR LES CADAVRES TERRORISTES

    Si on doit débarrasser les statues des " bandits " marchands d’esclaves…

    Alors… on doit aussi déterrer, et jeter à la mer les cadavres des terroristes qui ont commis des massacres immondes au Bataclan.

    On doit aussi jeter au chien les cadavres des terroristes qui ont égorgé nos prêtres et nos compatriotes!

  • Races, Tribus, Ethnies. Une Africaine témoigne.

    L’Afrique est malade de son racisme.

    Il faut arrêter de fermer les yeux sur le tribalisme et l’ethnisme. Ces formes de racisme empêchent le continent africain de sortir de l’ornière.

    Des pays africains, hélas nombreux, sont en train de s’enfoncer dans la misère à cause d’un mal qui ronge leurs populations: le racisme. Des Africains seront les premiers à trouver que mon jugement est exagéré mais à certains moments il faut réveiller les consciences par des mots forts.

    A force d’expliquer les dérapages incessants de certains dirigeants africains, de certains groupes armés qui sèment la mort pour conquérir le pouvoir sans donner des garanties d’amélioration aux populations qu’ils sont censés défendre, par l’ethnisme ou le tribalisme, des mots devenus édulcorés, certains poussent les responsables et les populations africaines à fermer les yeux et à être fatalistes.

    En effet, alors que dans tous les pays du monde, les dirigeants luttent contre le racisme, aucune lutte contre le tribalisme et l’ethnisme, pratiques presque exclusivement africaines, n’est annoncée, ni par la communauté internationale, ni par les Africains eux-mêmes.

    Et pourtant l’idéologie de ces deux pratiques rejoint parfaitement celle du racisme. Et dans les faits, nous constatons dans plusieurs pays africains, des personnes ou des groupes de personnes qui décrètent du jour au lendemain des guerres tribales ou ethniques, en désignant "les autres" qui appartiennent aux tribus ou ethnies différentes de la leur comme étant "des êtres du mal" à éliminer ou psychologiquement ou pire physiquement. Ces dix dernières années, ce genre de guerriers est apparu dans plusieurs pays: je ne cite que les cas graves comme le Libéria, la Somalie, le Congo, la République démocratique du Congo, le Burundi, le Rwanda, la Sierra Leone, et la Côte d’Ivoire.

    Si les pays de la Région des Grands Lacs sont les plus touchés par le racisme, le cas de la Côte d’Ivoire devrait interpeller les consciences africaines et faire peur aux pays qui ont encore la chance de vivre en paix. En effet voilà un pays, stable depuis l’indépendance, prospère malgré le manque des matières premières comme le pétrole ou les minerais, dont l’image à l’étranger était parmi les meilleures et la capitale parmi les plus belles, devenu en quelques années un espace livré au racisme. Nous en connaissons les conséquences: une chasse à l’"Autre" qui a engendré des morts, des réfugiés, des orphelins, bref une image qui a fait réfléchir plus d’un Africain et qui nous a plongés dans un pessimisme indescriptible. Nous croyions ce pays définitivement sur le bon chemin.

    Un exemple du fait que c’est le "racisme" qui est naturel et qu’il n’a pas besoin de beaucoup de temps pour être efficace. Dans des pays comme les nôtres, une fois qu’un "chef d’état ou de guerre" fait appel à lui, il va aussi vite qu’un feu de brousse en été, parce que les insatisfactions de la vie sont profondes et nombreuses. Il recrute facilement parmi les laisser pour compte, qui se sentent utiles et considérés pour une fois dans leur vie. Il recrute parmi les jeunes, abandonnés par des structures sans moyens, qui eux aussi sont toujours prêts à l’aventure quitte à y laisser leur vie de misère et qui tuent avec autant d’application et d’énergie que s’ils livraient un combat qui les conduira vers une vie meilleure. Le temps d’un jour, d’une semaine, d’un mois… avant de mourir ou de tomber dans une misère pire que celle qu’ils connaissaient avant.

    L’ethnisme, le tribalisme, le racisme, des maux qui peuvent se résumer en un seul, le racisme, le mot universel, pour que nous puissions sentir le besoin de lutter contre ce mal. Quand on parle des tribus ou des ethnies en Afrique, il y a un certain fatalisme; c’est naturel, nous sommes divisés en ethnies ou en tribus; cela nous plonge fréquemment dans le chaos mais nous n’y pouvons rien. Elles sont là, nous ne pouvons pas les combattre; nous décidons de fuir… vers quoi?

    Et pourtant, les intellectuels africains savent que seuls les plus chanceux d’entre ceux qui vivent en exil, arrivent à trouver un travail correspondant à leur qualification. Certains atteindront l’âge de la retraite sans pouvoir utiliser leur savoir. Pourquoi dans ce cas, ils n’essaient pas d’imaginer des solutions qui pourraient aider leurs pays à vaincre le racisme, pour pouvoir enfin les aider à se développer?

    Le fatalisme qui consiste à dire "il est écrit là-haut que je mourrais en exil" pourrait faire place à un acharnement commun afin de supprimer le mal qui ronge nos pays et qui les empêche d’avancer. Disons-nous la vérité: la communauté internationale nous trouve des solutions qui ne correspondent pas toujours à ce que nous souhaitons. Si elle constate qu’elle a fait des erreurs, elle essaiera autre chose. La balle est toujours dans son camp car c’est elle qui réfléchit à notre place.

    Je ne vais pas terminer sans parler du Burundi, mon pays d’origine, celui que je connais le mieux. Ce pays, comme tous ceux qui connaissent périodiquement des guerres ethniques, des guerres racistes, a une culture de racisme depuis longtemps. Sous la Monarchie, avant la colonisation allemande et la tutelle belge, le Roi tout puissant, ordonnait, le génocide d’un clan, lorsque ce dernier avait la malchance d’avoir un rebelle en son sein. Ce clan, composé de plusieurs familles issues d’un ancêtre commun, était alors visé dans son entièreté. Les membres qui arrivaient à fuir abandonnaient leurs terres et s’établissaient assez loin pour ne pas être reconnus. Parfois, ils étaient obligés de changer de clan et de noms pour survivre.

    D’autres clans, au lieu d’être condamnés à mort, subissaient une exclusion difficile à vivre psychologiquement: les Hima étaient obligés de rester entre eux car ils n’avaient pas l’autorisation d’entrer dans les enclos des autres citoyens: toute une littérature malfaisante avait été élaborée pour faire comprendre que sur leur passage se traînaient la mort, la maladie pour les humains et le bétail, la malchance, etc…

    Les Hutus étaient considérés comme inférieurs et lorsque le Roi se sentait redevable vis-à-vis de quelques familles, il leur accordait "le privilège d’être des Tutsis". Les ethnies n’étaient pas figées. Mais aucune personne ne pouvait devenir "noble", ce titre était réservé aux descendants mâles des différents Rois ainsi qu’à leurs épouses destinées à multiplier les familles "nobles ou ganwa". Les nobles se disaient "au-dessus" des ethnies pour mieux les dominer.

    Les Républiques qui ont suivi la Monarchie, toutes par le plus grand des hasards, dirigées par des Hima, ont pratiqué l’exclusion des Twa, des Hutus et des Ganwa, à des degrés différents. Et des Hutus n’ont pas trouvé mieux pour se défendre que des actes de génocides des Tutsis, répétés, suivis par des massacres des attaquants; et la boucle était bouclée. Cela s’est passé à plusieurs reprises (1965,1972, 1988, 1993…) et entre deux crises, les uns et les autres vivaient comme si les tueries n’allaient plus recommencer. Ils espéraient l’éradication d’un mal pour lequel personne n’avait trouvé de médicament.

    L’exclusion et la mort comme moyens de gouverner! L’exclusion et la mort comme moyens de réclamer ses droits! L’exclusion ou la mort pour résoudre ses problèmes existentiels…

    Le modèle n’a jamais changé: vous m’avez exclu ou pire tué des personnes de mon groupe, une fois au pouvoir je fais de même pour tous ceux qui ne sont pas de mon ethnie.

    Un modèle qui doit casser pour ne pas connaître des guerres sans fin.

    Lalibre.be

  • Macron accélère la mise à mort de la France:

    les preuves accablantes

    Chacun se souvient de la polémique suscitée, lors de la crise du Coronavirus, par l’usage d’un médicament, le Rivotril, dispensé abondamment dans les maisons de retraite (qu’on appelle maintenant Ehpad) aux personnes âgées, pour abréger leurs souffrances, quand elles ne pouvaient plus respirer. Certains avaient parlé d’euthanasie, et d’autres, comme le docteur Serge Rader, interrogé par André Bercoff, avaient parlé de " personnes âgées achevées ". De nombreuses plaintes ont été déposées, tant la manière dont ce régime a laissé mourir nos anciens, en interdisant toute visite des êtres aimés, et en les privant de toute possibilité de soins dans nos hôpitaux et nos cliniques, figurera dans les pages noires du bilan de Macron et de son équipe d’assassins.

    Et malgré tout, comment ne pas faire le parallèle entre l’usage massif du Rivotril, imposé pour hâter la mort des personnes âgées, et le traitement que Macron fait subir à notre France, depuis trois ans, certes, mais surtout depuis l’épidémie du Coronavirus, et ses lendemains.

    Rappelons d’abord que ce dangereux idéologue a refusé de fermer nos frontières, y compris pendant une bonne partie du confinement militaire imposé aux Français, laissant ainsi des personnes venues de zones contaminées, notamment l’Asie, descendre tranquillement de leurs avions et se balader en France !

    Rappelons encore que ce régime a tout fait pour empêcher que le maximum de Français guérissent, notamment en multipliant les mesures contre le traitement proposé par le professeur Raoult, et en persécutant celui que le monde entier, sauf la France, considère comme un expert incontournable, voire un génie, dans le traitement des maladies infectieuses.

    Rappelons enfin que Macron et sa fine équipe, terrorisés par les chiffres annoncés par le fumeux mathématicien anglais Ferguson – par ailleurs conseiller de Bill Gates et de l’OMS – ont mis en prison toute la population française et ont mis fin à toute activité économique, pendant deux mois, ne laissant ouverts que ce qu’ils considéraient comme des produits de première nécessité. Décision imbécile et criminelle, comme l’ont montré de nombreux spécialistes, notamment l’anthropologue suisse Jean-Dominique Michel.

    Faire cohabiter ensemble, sans les avoir testés, des gens malades et des gens en bonne santé, c’est créer les conditions pour que les premiers contaminent les seconds. D’autre part, par une vision centraliste stupide, imposer le même traitement à la Lozère qu’à Paris est d’un rare crétinisme.

    Les résultats sont bien sûr catastrophiques. La France, qui se vantait d’avoir le meilleur système de santé au monde, et d’y consacrer l’argent nécessaire, se retrouve dans le Top-5 des pays qui ont le plus de morts par million d’habitants (comme d’autres pays confineurs fous) et notre économie fait partie de celle qui a le plus souffert au monde.

    En dehors de cela, Macron, durant l’épidémie, a laissé nos frontières ouvertes, et se permettait de faire la leçon aux autres pays européens qui, eux, avaient fermé les leurs. Sa priorité a été de donner de l’argent aux pays d’Afrique du Nord, et de militer pour l’annulation de la dette des pays africains. Mais il y a pire.

    À peine trois jours après l’allègement du confinement, début mai, il faisait voter à la hussarde la liberticide loi Avia, malgré les nombreuses casseroles de celle que ses détracteurs surnomment " La cannibale taxiphobe " depuis qu’elle a mordu sauvagement un chauffeur de taxi qui voulait lui faire payer son transport. Alors que Sibeth Ndiaye voulait imposer un site gouvernemental, sur le Covid, donnant les bons et les mauvais points pour la presse et les sites, Avia a fait voter une loi monstrueuse, encourageant une véritable délation d’État, et imposant à des officines privées, appelées les Gafa, le devoir, sous peine d’énormes amendes, de virer tous les textes ou toutes les vidéos dénoncées par des minorités organisées, qui y verront de l’incitation à la haine. Une façon de museler les Français, la réinfosphère et tous ceux qui seraient tentés par l’alternative populiste pour sauver notre pays, sa civilisation et son mode de vie.

    La haine, les Français informés, ceux qui ne sont pas encore lobotomisés par la propagande gouvernementale et médiatique, la voient tous les jours dans les pratiques des soldats de l’islam, dans les violences des nombreux jeunes issues de la diversité, qui, trop souvent, se tournent contre nos compatriotes qui avaient le seul tort d’être au mauvais endroit, au mauvais moment. Contrairement à la situation aux États-Unis, les statistiques ethniques sont interdites dans notre pays, mais, malgré les menteurs professionnels comme Hervé Le Bras, tout le monde sait que les prisons sont majoritairement remplies de Noirs et d’Arabes, même si la Belloubête se distingue en relâchant 15 000 d’entre eux dans la nature. Tant pis pour ceux qui les croiseront!

    Mais le sommet de la pourriture de ce régime est atteint depuis une semaine, par sa complicité criminelle avec des racistes noirs et les organisations d’extrême gauche, qui ont décidé d’installer une guerre civile raciale en France, rien de moins, en transférant en France les violences qui se déroulent aux États-Unis, orchestrées par les démocrates, les Antifas et des suprémacistes noirs. Car ne soyons pas dupes, la cible, outre-Atlantique, c’est Donald Trump, dont ils n’ont toujours pas digéré l’élection de 2016, et encore moins le bilan économique exceptionnel, avant la crise du Coronavirus. Ayant échoué à le faire destituer, malgré trois années de pilonnage et de propagande hostiles, il rêvent, à présent, après avoir, dans les états démocrates, multiplié les confinements aux conséquences mortelles pour les Américains, et catastrophiques pour l’économie, de faire tomber le Président américain avec ces émeutes manipulées.

    Et maintenant, tout ce cinéma arrive dans notre pays ! La France, considérée comme le sixième puissance au monde (quand nous allions à l’école, nous étions quatrième) a montré, lors de la révolte populaire des Gilets jaunes, ce que l’appareil d’État était capable de faire pour briser un mouvement qui menaçait le régime. Chacun se souvient des yeux crevés, des nassages (mis en place contre La Manif Pour Tous), des arrestations massives, des centaines de peines de prison effectives, et surtout du matraquage médiatique pour discréditer un mouvement de "petits Blancs" des campagnes.

    Et à cette époque, personne, parmi les journalistes, les antiracistes, les diversités, ne protestaient contre ce traitement, infligé à des Français moyens. Par contre, surfant sur la mort du délinquant noir George Floyd aux États-Unis, les gauchistes, le fumeux comité Amara Traoré, les islamistes et les indigénistes ont monté une manipulation d’une ampleur telle qu’ils donnent raison à Goebbels, ministre de la propagande nazie, qui affirmait "qu’un mensonge, plus c’était gros, et mieux cela passait".

    La réalité de la France de Macron, c’est que notre police est agressée tous les jours, que des dizaines de membres des forces de l’ordre sont blessées quotidiennement, et certaines tuées dans l’exercice de leurs fonctions.

    La réalité, c’est que les racailles savent qu’elles n’ont rien à craindre des juges, qui le relâchent la plupart du temps, malgré un CV des plus fournis.

    La réalité, c’est qu’elles savent que le premier policier qui se défend et se fait respecter a tout de suite sur le dos sa hiérarchie collabo, les antiracistes et les médias, et qu’on parle à nouveau de bavures et de violences policières.

    Mais la police est raciste, et les Noirs en sont les principales victimes, en France. C’est ce que martèlent matin, midi et soir les médias de propagande, au service de la politique de Macron. C’est ce que confirme celui qui devrait être en première ligne pour défendre ses hommes, et qui, au contraire, par lâcheté, carriérisme et électoralisme, les enfonce en disant que le racisme n’avait rien à faire dans la police, laissant entendre donc que l’institution serait gangrenée ! Donc, c’est bien connu, les clandestins, majoritairement africains, qui n’ont rien à faire en France, mais s’y imposent, sont victimes du racisme de l’État français et des violences policières. Donc, il faut les régulariser tous!

    C’est bien connu, Amara Traoré, et toute la famille, sont des paisibles citoyens, victimes des violences racistes policières, même si, depuis trois ans, tous les rapports montrent le contraire, et que de véritables journalistes, comme Louis de Raguenel, décortiquent l’ampleur de la manipulation, autour de cette affaire. Mais malgré cela, 20 000 manifestants, alors que c’était interdit, un ministre de l’Intérieur, Castaner, qui ne proteste pas, et un ministre de l’Agriculture, Guillaume, qui félicite ceux qui ont bravé la loi!

    Et ce samedi, nous avons eu le pompon, qui s’est terminé devant l’Assemblée nationale. La Ligue de défense noire africaine, la LDNA, un groupuscule ouvertement raciste, s’est permis de multiplier les insultes contre la France, et dont les militants voulaient même déboulonner la statue de Colbert, rien de moins!

    Cela va-t-il durer encore longtemps? Quelle est la stratégie de Castaner et Lallement pour faire cesser cela? Sont-ils encore capables de faire respecter l’ordre républicain? Quand fout-on à la porte ceux qui ne sont pas contents et nous insultent? Quand dissout-on les associations racistes noires? Quand met-on hors d’état de nuire les décolonialistes et les gauchistes? Quand expulse-t-on les clandestins? Quand arrête-t-on, en période de chômage, une invasion migratoire qui nous amène 500.000 Africains nouveaux tous les ans? Quand arrête-t-on de libérer des délinquants? Quand remet-on la France à l’endroit?

    Ces solutions de bon sens ne sont absolument pas les priorités de Macron et de son équipe d’assassins. Ils paraissent se réjouir et tout faire pour accélérer une guerre raciale en France, espérant ainsi se débarrasser au plus vite d’un peuple qu’ils méprisent, et souhaitent remplacer. Ils en sont même à vouloir, à présent, pour mieux contrôler encore la population, surveiller les communications privées des Français, et inculper ceux qui oseraient, même dans leur sphère intime, mal parler et mal penser, même, et surtout, si ce sont des policiers !

    https://www.leparisien.fr

    Et cerise sur le gâteau, ils annulent le défilé militaire du 14 juillet, en osant un alibi sanitaire, alors que la vraie raison, outre la peur de Macron d’être sifflé, est idéologique, et répond à la volonté de Soros et des siens: en finir avec l’armée française, pour en finir avec la France et les États-nations, et laisser la place à une gouvernance mondiale, échappant au contrôle des peuples, et imposant, par exemple, une vaccination obligatoire à 7 milliards d’individus, comme le souhaite Bill Gates, autre mondialiste fou.

    Tout cela a une cohérence, et ceux qui l’incarnent, Soros, Gates, Macron, paraissent bien pressés de se débarrasser de Trump d’abord, et d’administrer à la France une bonne dose de Rivotril, pour accélérer son agonie, et en finir avec un pays qui les dérange.

    Mais dans la vie, il y a deux sortes de gens: ceux qui plient l’échine, et se mettent à genoux, et ceux qui redressent la tête, même en utilisant l’humour, dans un premier temps, pour ridiculiser l’ennemi…

    https://ripostelaique.com/macron-accelere-la-mise-a-mort-de-la-france-quelques-preuves-accablantes.html

     

    "On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps."

     Abraham Lincoln

     

    actualité, société, politique, Occitanie,

     

  • Nos chères têtes blondes en danger!

    Quelque part en France, une enseignante témoigne sans langue de bois du désastre de l’éducation des enfants musulmans.

    "Je suis enseignante (prof d’histoire-géo-éducation civique) depuis plus de 20 ans.

    Ceux qui ne voient pas une guerre civile d’ici 20 ans (NON, elle vient de commencer) sont des naïfs, car un beau jour on ne pourra pas éviter de faire respecter l’ordre par la force…

    J’ai exercé dans 5 collèges de banlieue, dont deux ZEP et un établissement classé zone violence.

    J’ai donc vu passer dans mes classes (de la 6e à la 3e) plus de 4 000 jeunes de banlieues, que j’ai eu à charge d’instruire, d’encourager et d’accompagner, avec une bienveillance et une abnégation qui ne m’ont jamais fait défaut.

    Vous prétendez que les populations des banlieues sont " mises au garage dès le collège et le lycée "?

    Que " le socle d’une société épanouie est l’éducation "et, de ce fait, vous insinuez que les minorités ne reçoivent aucune instruction dans notre pays?

    Quelle vaste blague ! Non: quelle aberration, quelle mauvaise foi, quelle vision erronée et mensongère de la réalité !

    Mes élèves des cités reçoivent la même instruction que tous les petits Français de souche.

    Leur instruction est gratuite (sans compter les aides et prestations diverses censées aider ces familles mais qui sont systématiquement dépensées pour tout autre chose que l’école…)

    Si, au terme d’un parcours scolaire la plupart du temps désastreux, le corps enseignant se voit contraint de leur proposer une orientation professionnelle en fin de 3e, c’est qu’on ne peut pas raisonnablement proposer à un adolescent de 15 ans d’envisager de poursuivre des études de médecine, alors qu’il n’a toujours pas daigné apprendre à compter (et à parler correctement le français).

    Ignorez-vous l’importance de la résistance à l’apprentissage du français dans nos écoles?

    Le français est pour eux une "langue étrangère", la langue des "mécréants" comme ils aiment à me le répéter.

    Voici le fruit de ma réflexion, après 20 années d’expérience au contact de votre soi-disant "génération sacrifiée":

    Je suis en première ligne pour témoigner des moyens financiers, humains et techniques mis à dispositions de ces jeunes depuis des décennies (oui, des millions dépensés dans les collèges et lycées pour ces populations).

    Je vous signale, à titre d’exemple, que le collège où je travaille actuellement met à leur disposition permanente 14 TNI d’une valeur totale de 100 000 euros – un dans chaque classe -, deux salles informatiques contenant 50 PC avec connexion internet, une bibliothèque magnifique sur deux étages, des dizaines d’heures de soutien hebdomadaires et tutorats en tous genres (qui coûtent beaucoup d’argent à l’État car payés en heures supplémentaires), un service de restauration quasi gratuit, des voyages scolaires (musées, voyages en Espagne, en Italie, en Angleterre et en Allemagne, pris en charge par le foyer socio-éducatif ) etc. etc. etc.

    Je continue?

    Les autres enfants de la commune (qui ne vivent pas dans la cité) sont loin d’avoir ce genre de privilèges.

    Malgré tout, ces jeunes des banlieues (comme vous les appelez) n’ont que la haine de la France à la bouche.

    Leur seule référence est "le bled". (Cassez-vous! charognes)

    Leur seul désir: imposer leur culture en remplacement de notre culture nationale.

    Ils ne s’en cachent même plus: ils le revendiquent comme une fierté. Leur communautarisme rend inopérant toute tentative d’instruction et d’intégration.

    Quel que soit le sujet que j’aborde, en histoire, en géographie ou en éducation civique, je ne rencontre de leur part que mépris et hostilité vis-à-vis de notre passé, de nos valeurs, de notre vision de la démocratie. Je n’ose même plus prononcer le mot "laïcité" en classe, de peur de les voir me vomir dessus ou pire, m’insulter.

    La plupart des collègues ont abdiqué depuis longtemps.

    Hélas, j’ai cru un temps, comme vous, qu’il était possible de leur transmettre connaissances, sagesse et foi en l’avenir de notre communauté nationale.

    J’ai renoncé. Je suis tous les jours confrontée aux discours les plus intolérants qui m’aient été donnés d’entendre: propos haineux à l’égard des Français, des Juifs, des femmes, des homosexuels…

    L’évocation du terrorisme fondamentaliste les fait sourire (dans le meilleur des cas) quand ils ne font pas ouvertement, en classe, l’apologie de l’État islamique et de la charia.

    Notre Histoire ne les intéresse pas. Ils ne se sentent aucun passé, ni aucun point commun avec les "sous-chiens" et les "faces de craie" comme ils nous appellent.

    Et eux, quand sont-ils descendus de leur arbres, ces singes?

    Renvoyons-les dans leurs pays d’origine, si vous aimez le vôtre…

    Retournez donc à l’école, ne serait-ce que pour un petit stage d’une journée… Vous serez mortifiés. "

    Pour la France et la liberté

    Laurent Droit

    https://ripostelaique.com/triste-et-desesperante-verite-une-enseignante-temoigne.html

     

  • Comme j'avais dis

    Cette guerre civile raciale que Macron et la gauche organisent…

    Deuxième manifestation interdite par le gouvernement et son préfet de Paris, deuxième manifestation qui se déroule quand même, avec des milliers de participants, majoritairement d’origine africaine, qui défient l’État français et ridiculisent la France aux yeux du monde entier. Comment ne pas voir dans cette complaisance de nos dirigeants la volonté d’acheter la paix avec les banlieues islamisées, mais surtout d’utiliser le racisme et la haine contre les Français et les Blancs pour préparer une guerre civile raciale, comme c’est en train de se dérouler aux États-Unis.

    Prêts à tout pour éviter une alternative populiste, ils utilisent une immigration de plus en plus nombreuse pour terroriser les Français, désarmés et livrés sans défense aux hordes de racailles et de migrants, de plus en plus menaçantes. La situation est extrêmement grave, les Français vont être tous les jours de plus en plus en danger d’agression et de mort, et ils ne peuvent compter que sur eux-mêmes pour s’en sortir.

    https://ripostelaique.com/cette-guerre-civile-raciale-que-macron-et-la-gauche-organisent.html