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Science/Tech - Page 52

  • Des cellules souches survivent 17 jours dans un cadavre !

    Des cellules souches extraites d’un corps 17 jours après sa mort vivaient encore et se sont différenciées en fibres musculaires. Ce record inattendu laisse entrevoir la possibilité de nouveaux protocoles améliorant la réussite des thérapies cellulaires.

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    Les cellules souches sont capables de se différencier en n'importe quel tissu : elles sont dites pluripotentes. Elles sont donc prisées dans la recherche de nouvelles thérapies cellulaires de manière à réparer des tissus endommagés. Leur capacité à entrer en dormance et à survivre jusqu'à 17 jours constitue donc une découverte très encourageante. © Eugene Russo, Plos biology, cc by 2.5

    Dix-sept jours. Soit deux semaines et demie. C’est la durée durant laquelle des cellules souches ont survécu dans le cadavre d’une femme décédée. Les études précédentes, établies notamment à partir d’un cerveau de fœtus, révélaient qu'elles ne se maintenaient pas en vie plus de 32 heures après la mort. Un record nettement pulvérisé donc !

    Pour les chercheurs de l’Institut Pasteur à l’origine de cette découverte, ce sont davantage les mécanismes physiologiques sous-jacents qui recèlent un intérêt certain. Comment les limites ont-elles pu être repoussées si loin ? Toutes les cellules réagissent-elles de la même façon ? Ces questions trouvent leurs réponses dans la revue Nature Communications.

    Les cellules souches rentrent dans un état de dormance

    Un organisme mort ne constitue pas un environnement idéal pour des cellules, qui ne disposent plus des éléments nutritifs nécessaires à leur survie (nutriments, oxygène, etc.). Cependant, l’analyse du cadavre d’une femme de 95 ans, 17 jours après sa mort (mais congelé à 4 °C pour éviter qu’il ne se décompose), montre que les millions de cellules souches retrouvées dans 4 g de muscle squelettique sont encore vivantes et capables de se différencier en fibres musculaires. Seule différence : le jeûne forcé les a placées dans un état de dormance duquel elles ont dû émerger avant de reprendre leur cycle normal.

    Cette phase d’hibernation, dite de quiescence, intéresse grandement les scientifiques. Les cellules présentaient une activité métabolique très réduite : elles devaient composer avec un stock énergétique faible et des mitochondries (les organites qui fournissent l’énergie) peu nombreuses.

    Les chercheurs suggèrent que les faibles niveaux en dioxygène, les composés chimiques qui se dégagent consécutivement à la mort, voire les deux événements combinés poussent les cellules dans cette phase de dormance. Pour preuve, celles soumises à un milieu anoxique (privé d'oxygène) survivent mieux que celles laissées dans l’environnement ambiant.

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    À l'image, les cellules souches extraites 17 jours après la mort d'une dame. On peut les voir fusionner dans le tissu musculaire. © Fabrice Chrétien

    Ce processus de mise en pause n’est pas une nouveauté dans le vivant. On l’observe par exemple dans certaines régions des tissus lésés, une façon pour les cellules d’attendre des jours meilleurs pour reprendre leur activité.

    Cette découverte suscite un réel intérêt à au moins deux niveaux. Tout d'abord, elle laisse entrevoir la perspective de disposer d’une source supplémentaire de cellules souches qui pourront être réutilisées à des fins de médecine régénérative pour reconstituer des tissus endommagés. D’autre part, elle permettrait la mise au point de nouvelles méthodes de culture et de conservation, plus efficaces, pour un meilleur usage thérapeutique.

    Vers de nouveaux protocoles pour des thérapies cellulaires

    Le muscle squelettique n’a pas été le seul tissu éprouvé. Les auteurs ont également récolté des cellules souches de la moelle osseuse, à l’origine des globules rouges et blancs. Cette fois, les délais de survie sont nettement inférieurs et ne dépassent pas les 4 jours. Elles pourraient être transplantées chez un patient atteint de leucémie par exemple.

    Chez l’animal, les performances semblent comparables à celles relevées chez l’Homme. Ainsi, les cellules souches de muscle squelettique de souris ont tenu pendant 16 jours, à une petite nuance près. En effet, lors de l’expérience, elles ont été infectées par les bactéries colonisant l’animal. Les auteurs ont dû se limiter aux cellules récoltées 14 jours après la mort de l’animal pour tenter la transplantation chez des souris myopathes. Non seulement la greffe a pris, mais les rongeurs ont vu la maladie reculer quand leurs nouveaux hôtes ont commencé à synthétiser la dystrophine, la protéine défaillante.

    Comme souvent dans ces découvertes pionnières, les perspectives d’applications cliniques sont nombreuses. Mais avant d’en arriver à des thérapies cellulaires effectives, il reste encore des validations à obtenir.


  • Tours : premier rein greffé par un robot

     

    Dans l'Hexagone, au moins 8000 patients attendent de subir une greffe de rein, une opération chirurgicale complexe nécessitant beaucoup de précision. Il faut d'abord réussir à prélever le rein sain chez le donneur avant de le transplanter correctement chez le malade. Pour éviter d'éventuels échecs, on a de plus en plus recours à la chirurgie robotique. En France, l'histoire retiendra que le Centre Hospitalier Régional (CHRU) de Tours a abrité la première greffe de rein assistée par un robot et couronnée d'un franc succès de l'avis des néphrologues.

    Da Vinci, le robot de l'équipe de chirurgiens de Tours

    Jadis dialysée 12 fois par mois en raison d'une insuffisance rénale, une patiente de 49 ans a bénéficié d'une greffe de rein au CHRU de Tours. Pour y parvenir, l'équipe a travaillé en étroite collaboration avec le Da Vinci, l'assistant high tech du professeur Franck Bruyère. Des chirurgiens aux infirmiers du bloc opératoire en passant par les anesthésistes, les intervenants avaient tous une bonne connaissance de la chirurgie robotique. D'un coût de 1,8 millions d'euros, le robot Da Vinci, installé depuis 2007, a déjà servi à réaliser un millier d'opérations chirurgicales de haute précision dans ce centre. Il s'agit entre autres d'interventions en chirurgie digestive, en gynécologie, en pédiatrie et en ORL.

    Vers la vulgarisation de la greffe assistée par robot

    De toute évidence, le CHRU de Tours n'entend pas s'arrêter en si bon chemin ! Toutefois, cette chirurgie de précision sera réalisée sur une poignée de patients avant d'être généralisée aux cas les plus compliqués, qui sont estimés à une vingtaine sur les 120 opérations annuellement effectuées. Certains observateurs s'imaginent que le prélèvement du rein sain qui précède la transplantation, se fera aussi grâce à ce robot. Ce qui est tout à fait raisonnable.

    Une panoplie de bénéfices liés à la greffe assistée par robot

    Quelques cas de greffes de reins assistées par robot ont été réussis en Italie, en Inde et outre Atlantique. Toutefois, les bénéfices obtenus sont légion. Cette nouvelle procédure de greffe a permis de réduire les risques liés à la méthode traditionnelle. Il n'y a plus à craindre des cas de lymphocèle, ni de complications liées à une mauvaise suture de l'uretère ou des vaisseaux. Les patients n'auront plus à craindre des éventrations ou des infections dues à l'incision manuelle. Tout est désormais millimétré : la greffe de rein par cœlioscopie se fait par de petites incisions de 4 cm au bas ventre permettant d'introduire le matériel ainsi qu'une caméra de contrôle de l'acte chirurgical. Quant au rein, il est introduit par une autre incision effectuée sur le côte du bassin.

     

  • Keccak : le nouveau standard pour les signatures digitales

     Un nouveau standard international vient d’être attribué à l’algorithme Keccak. Il sera une brique de base pour les signatures digitales.

    Par Frédéric Prost.

    Au début du mois d’octobre Keccak a été désigné vainqueur de la compétition ouverte en 2007 pour SHA-3 par le NIST. J’imagine que pour la plus grande partie des lecteurs la phrase précédente ne signifie pas grand chose. Le NIST est l’institut national des standard technologiques américains qui est de facto l’institut qui produit les standards mondiaux dans les domaines des TIC (Technologies de l’Information et des Communications). On lui doit par exemple l’algorithme de cryptage ‘standard’ recommandé pour l’administration américaine : AES. En l’occurrence SHA-3 est un nouveau standard qui porte également sur la sécurité informatique mais dont le but n’est pas de crypter des informations mais de fournir une brique de base pour authentifier l’information.

    En effet rien ne ressemble plus à un fichier informatique qu’un autre fichier informatique comportant les mêmes informations : ce n’est pas une analyse de l’écriture qui pourra vous apporter une quelconque information. Un ’0′ dans un fichier n’a pas d’identité, c’est une information pure. On ne peut pas ‘signer’ un fichier comme on le fait d’un contrat (ce qui est une modification physique du support de l’information que vous êtes réputez être seul à savoir faire). D’ailleurs, à l’inverse de ce qui se passe dans le monde matériel, il n’est pas non possible de savoir si quelqu’un a changé ce qui était un ’1′ en ’0′ que vous êtes en train de lire sur un fichier : là encore ce n’est pas comme ce qui se passe sur une feuille de papier où l’on peut toujours trouver des traces de gommage ou autres manipulations physiques ayant permis de modifier l’information. Les questions de l’intégrité (suis-je certain que l’information que je consulte n’a pas été modifiée ?) et de la signature (suis-je bien certain que l’information que je consulte a bien été produite par la personne qui est supposée l’avoir produite ?) ne sont pas évidentes et paraissent même impossibles à résoudre quand on y songe sérieusement.

    Ces questions ont de multiple implications dans la vie de tous les jours. Sans que vous le sachiez, en permanence votre ordinateur quand il met à jour des programmes, par exemple, vérifie que ces derniers sont bien les bons (pour éviter qu’ils n’aient été modifiés par l’intégration de virus par exemple) : cela se fait au moyen d’un protocole de vérification de signature dont le constituant fondamental est une fonction mathématique ayant certaines spécificités et propriétés. SHA-3 est une de ces fonctions.

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  • À 18 ans elle invente la technologie de demain

     

    Si les jeunes américains innovent et créent plus que les Français, c’est aussi parce que l’on décourage les talents en France.

    Génération après génération, les USA nous offre le spectacle de ces jeunes génies qui inventent, font avancer la technologie mais, surtout, sont reconnus et gratifiés non par des impôts ou des taxes mais par des aides financières et des soutiens économiques.

    La galère du téléphone déchargé en milieu de journée ne sera-t-elle prochainement plus qu’un mauvais souvenir ? C’est l’espoir que suscite l’invention d’Eesha Khare, une lycéenne californienne de 18 ans, qui a reçu le 17 mai un des trois premiers prix de l’Intel International Science and Engineering Fair (ISEF), devançant les 1.600 autres finalistes de 70 pays.

    Eesha Khare a créé un petit appareil, appelé Supercapacitor, qui fixé dans une batterie de téléphone portable doit permettre de la recharger en 20 à 30 secondes. En prime, il résiste selon elle à 10.000 recharges, là où les batteries sur le marché faiblissent après dix fois moins. Elle l’a testé en allumant une lampe LED, ses travaux étant menés avec le matériel de l’université de Californie Santa Cruz.

    Un condensateur révolutionnaire

    " Mon projet a été de développer un nouveau condensateur, qui à la base est un appareil de stockage de l’énergie qui peut contenir beaucoup d’énergie dans un petit volume " a-t-elle expliqué à CBS San Francisco. Férue de chimie, Eesha Khare a conçu et fabriqué une électrode à capacité et conductivité améliorées. Le résumé technique de son invention est en ligne ici (PDF).

    Son invention semble prometteuse, car elle pourrait être utilisée pour tout appareil à batterie, comme les tablettes, appareils photo, etc., et même pour des voitures électriques, selon elle. " Je mettrai le feu au monde ", s’est exclamé la lauréate; de fait, si son appareil franchit le cap du développement et de la mise sur le marché, ce sera effectivement une révolution.

    Pour l’heure, les 50.000 dollars de son prix permettront à la jeune fille de Saratoga de payer sa première année d’études à Harvard à l’automne prochain. CBS San Francisco précise que cette scientifique en herbe a aussi suscité l’intérêt de Google (dont on connaît les grandes ambitions dans le domaine de la mobilité).

    Les jeunes Français sont-ils si bêtes ou le système éducatif français est-il si obsolète que rien ne puisse venir de nos " jeune génération " à part des pavés dans les vitrines et des agressions de touristes ? Je pense plutôt que rien n’est fait en France pour valoriser ceux qui ont la volonté de réussir. Au contraire, au nom de l’égalité, promue valeur absolue, il faut aligner tout le monde sur le moins disant. Pas de discrimination, plus de récompense, plus de mérite, même républicain. Les élèves ne sont plus classés, les notes ne sont plus communiquées à haute voix dans les classes, on parle même de supprimer les notes. Tout le système scolaire français, quelle que soit la valeur de certains professeurs, est fait pour ne pas inciter les élèves à l’effort, au dépassement d’eux-mêmes, à se distinguer par la réussite. Pire, on punit un élève qui cherche à faire mieux ou plus que les autres. Le résultat ? La majorité des élèves de troisième interrogés espèrent être un jour fonctionnaire. La belle ambition ! Pendant ce temps-là des gamines de 18 ans déposent aux USA les brevets de demain !

     

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  • Si tout le monde peut se fabriquer sa kalach... où on va?

    Création de la première arme imprimée en métal

    Après le premier pistolet en plastique créé à l'aide d'une imprimante 3D, voici la première arme imprimée en métal. La société Solid Concepts a présenté, jeudi 7 novembre, une réplique fonctionnelle du pistolet Beretta 1911, imprimée en acier inoxydable. Dans une vidéo, l'entreprise montre l'assemblage et des séances de tir de l'arme, bien plus résistantes que le premier pistolet en plastique, le Libetator, qui ne pouvait tirer que quelques balles.

    Contrairement aux créateurs de la première arme imprimée en 3D, l'objectif affiché n'est pas politique. "Quand nous avons décidé de créer ce pistolet, nous n'essayions pas de trouver un moyen moins coûteux ou plus aisé de faire une arme", affirme Philip Conner, un responsable de Solid Concepts dans la vidéo diffusée jeudi. "Ce que nous voulions faire était de dissiper la notion habituelle que les pièces imprimées en métal ne sont pas assez solides ou précises pour des applications réelles", ajoute l'entreprise, aux préoccupations très éloignées du premier concepteur d'armes 3D.

    UNE DÉMONSTRATION TECHNIQUE

    La société américaine Defense Distributed, menée par un "crypto-anarchiste" revendiqué, a construit plusieurs pièces d'armes en plastique puis le Liberator, en réaction à la volonté du gouvernement de réguler la vente d'armes aux Etats-Unis. En diffusant librement le modèle 3D de l'arme, imprimable par des particuliers, la société voulait prouver qu'il était impossible de limiter la diffusion des armes. En plastique, elle permet notamment de passer les détecteurs de métaux.

    Lorsque l'entreprise a créé sa première pièce pour une arme existante, le bureau de régulation ne se disait pas inquiet, l'objet n'étant pas assez solide pour concurrencer les "vraies" armes. La création d'un pistolet fonctionnel en plastique, le Liberator, a changé la donne.

    Defense Distributed a ouvert un catalogue collaboratif de modèles 3D, Defcad, censé accueillir toutes les créations refusées par les catalogues en place. Il a également fait financer par des internautes un moteur de recherche décentralisé, consacré aux modèles 3D. A la diffusion du modèle du Liberator, en mai, le catalogue en ligne a été vidé de ses fichiers par les autorités américaines. Les fichiers ont, par la suite, été diffusés et téléchargés plusieurs dizaines de milliers de fois sur des réseaux de partage en pair-à-pair.

    En juin, le conseil de New York a dit vouloir limiter l'impression de ces armes aux seuls armuriers. Des mesures ont été prises dans d'autres pays, comme au Royaume-Uni.

    Si les armes en plastique posent problème, la réplique métallique produite par Solid Concepts n'a pas vocation à se diffuser. Il s'agit avant tout d'une démonstration pour l'entreprise, qui profite de la polémique actuelle autour des armes imprimées pour parler de sa technique. Elle dispose d'ailleurs d'une licence spécifique lui permettant de produire des armes légalement, selon Vice. La société propose d'ailleurs la vente de pièces d'armes imprimées, par correspondance.

    Le procédé de production n'est pas, non plus, à la portée de tous. L'imprimante utilisée est trop chère pour des particuliers, contrairement à certaines imprimantes de plastiques. Après impression, chaque pièce est affinée manuellement, avant assemblage. Les modèles informatiques utilisés pour l'impression n'ont, enfin, pas été diffusés.

    Ah… et vous êtes sûr que ça nous rassure?

  • La catastrophe mondiale est en marche!

    Des robots apprenant à marcher comme des humains

    http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/74188.htm

     Le projet international de recherche "KoroiBot", destiné à donner aux robots à deux "jambes" une manière de marcher proche de celle de l'homme, a été lancée en octobre 2013. L'Union européenne finance ce projet de recherche d'une durée de trois ans à hauteur de 4,16 millions d'euros. Sept institutions issues de cinq pays (l'Allemagne, la France, Israël, l'Italie et les Pays-Bas) y participent, et la coordination est assurée par l'Université d'Heidelberg (Bade-Wurtemberg, Allemagne). Côté français, trois laboratoires du CNRS sont impliqués.

    Des experts des domaines de la robotique, des mathématiques et des sciences cognitives vont étudier la locomotion humaine de très près et effectuer un transfert vers des équipements techniques. Les méthodes développées au cours de ce projet pourront trouver des applications dans les robots humanoïdes du futur, opérant par exemple dans un contexte industriel ou en tant que secouriste dans les zones sinistrées. "L'un des défis majeurs est de permettre aux robots de se déplacer sur deux jambes de manière sûre, et ce dans différentes situations, voire d'évoluer sur un terrain inconnu", explique Katja Mombaur de l'Université d'Heidelberg, coordinatrice scientifique du projet.

     L'étude portera dans un premier temps sur la marche de l'homme, notamment dans les courbes et les escaliers, et sur différents revêtements, pour créer des modèles mathématiques. Après des étapes d'optimisation, la mise en oeuvre devrait avoir lieu sur les robots existants. Les résultats devraient finalement être intégrés à la prochaine génération de robots dès les premières étapes de conception.

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    DANGER POUR NOTRE AVENIR!

    Ne permettez pas que cela arrive… battez-vous pour que les robots ressemblent à des machines et pas à des humains. L'avenir de la planète en dépend!

    Rien à voir avec les Terminator ou autres films cinéma.

    Dans moins de 200 ans, les robots qui ressemblent à des humains feront exploser la société mondiale….. tout ira de travers pendant plus de 200 ans!

    200 ans!!!!

    Ne permettez pas que ceci arrive à vos descendants!

    Un jour, ils voyageront mentalement dans le passé.

    Et ils vous verront, ils sauront votre comportement et votre façon de penser…

    Et ils auront très honte de leurs arrière-arrière-grands-parents!

    Tout est expliqué ici:

     

    http://www.legende-des-siecles.com/futur/index.html