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actualité - Page 123

  • LA GUERRE EN FRANCE

     

     

    Ils sont de retour! Peines réduites en appel. Ils brandissaient des têtes coupées. Ce n’était manifestement pas celles des juges de Toulouse:

    https://www.lefigaro.fr/flash-actu/peines-reduites-en-appel-pour-deux-djihadistes-toulousains-partis-combattre-en-syrie-20191206http://

    https://ripostelaique.com/que-foutent-cette-famille-malienne-et-ses-six-gosses-en-bretagne.html

    https://ripostelaique.com/ils-doivent-etre-vires-ils-ne-le-sont-pas-et-ils-continuent-de-violer.html

    https://ripostelaique.com/a-arzano-le-maire-prefere-soccuper-des-autres-que-des-notres.html

    https://ripostelaique.com/ivan-rioufol-qui-veut-payer-pour-les-retraites-des-islamistes.html

    Attention: malgré ce titre, l'article parle de l'infâme Commissaire au retraites (sic)

    Celui qui ne cesse de commettre des conn....

    Et dire qu'il fut de droite.... tu devrais pas vieillir... tu rapapège! (en Toulousain: tu répète sans cesse des conn...!).

     

     

  • La gauchiasse, toujours la gauchiasse…

     

    J’ai vu l’étrange complaisance dont bénéficient les casseurs gauchistes

    Jeudi 5 décembre 2019, Paris, manifestation pour les retraites, devenue manifestement celle d’un chaos ordinaire, orchestré à la fois par le sadique décomplexé de la préfecture de police de Paris et les groupuscules d’ultra-gauche, de plus en plus rejoints par des paumés abîmés par la vie qui, hélas, se laissent trop aisément leurrer par le mirage anarchiste, lequel ne se repaît que de sang, de feu et de larmes…

    Donc, cette manifestation contre la réforme des retraites à venir a traîné dans son sillage une ribambelle de "casseurs" – dont certains ne se cachent plus dans leurs intentions de tuer policiers et gendarmes. D’ailleurs, ils voient des infiltrés partout comme une autre jadis voyait des nains! J’ai été pris à partie par l’un d’eux et je n’ai dû mon salut qu’à mon tempérament peu conciliant…

    Et lorsque cette engeance, par des raccourcis douteux, se compare aux étudiants de Hong Kong, je suis tenté de rappeler que lesdits étudiants se battent contre un régime autrement plus meurtrier. Régime qui se réclame de Mao, tellement encensé dans les rangs de l’ultra-gauche. On n’en est plus à un paradoxe près…

    Comme chacun pourra le constater dans la vidéo que j’ai réalisée ce jour-là, la manifestation s’est rapidement heurtée à ses enfants terribles aux environs de la place de La République. Je dis "ses enfants" car il me semble que les syndicats, ouvertement à gauche, entretiennent cette haine farouche de tout ce qui constitue la France charnelle, traquant sans relâche l’extrême-droite, comme si les " prolos " qui votent Rassemblement national n’étaient pas dignes d’avoir une retraite convenable, eux. C’est beau la démocratie sélective ! Quant au fameux service d’ordre de la CGT, il s’est montré très discret, au moins autant que l’Arlésienne…

    Revenons du côté de l’ultra-gauche. C’était un mélange pour le moins hétéroclite – pas sûr que la plupart d’entre eux aient lu Marx ou Bakounine –, avec une caractéristique commune: une dangerosité à toute épreuve, qui s’est notamment exprimée en brûlant un engin de chantier au pied d’un immeuble où se trouvaient – excusez du peu ! – des bombonnes de gaz…

    https://www.youtube.com/watch?v=3hlALX6r1zU

    Curieusement, et pour en avoir couvert quelques-unes, cette guérilla urbaine n’a pas énormément de dégâts matériels à son actif si on la compare avec le 16 mars dernier sur les Champs-Élysées, par exemple. Sans doute parce que le but affiché était de se faire du flic. Il fallait voir les assauts successifs, avec n’importe quoi à leur balancer, dont des bouteilles d’acide. Le pire c’est que dans cette "joyeuse" bande, il y avait des gamins agissant avec l’intelligence d’un poulpe.

    J’en profite pour démentir la version officielle: les forces de l’ordre macroniste n’ont rien contenu et se sont fait régulièrement déborder. Vivement le retour de la police digne de ce nom, qui agira avec la fermeté en amont qu’on attend d’elle. Si on peut emmerder les Identitaires sous n’importe quel prétexte, ça doit être techniquement possible de le faire avec l’ultra-gauche…

    Ne négligeons pas non plus les ordres imbéciles qui commandent à des motards de la Brav – brigade de répression de l’action violente – de couper le cortège en début de manifestation et d’exciter ainsi une colère qui n’en demandait pas tant. Face au nombre, les motards en question se sont résignés à faire demi-tour. Idem, ces contrôles intempestifs et inefficaces, dont un journaliste traité, dans la gare de l’Est, comme un vulgaire délinquant, ça rime à quoi? Comme lancer à un manifestant lambda qui veut fuir une nasse et les lacrymogènes: "Fallait pas venir!".

    Bien sûr, je ne suis pas le perdreau de l’année et je sais bien que ces remarques sont souvent le fait d’hommes et de femmes épuisés. Il n’empêche, on est tous dans le même bateau et il prend l’eau de partout. Maintenir l’ordre ne signifie pas céder aux fantasmes d’impuissants qui vous dirigent, messieurs-dames de la police et la gendarmerie, et qui vous méprisent, ne l’oubliez pas…

    Quand on a dit tout ça, il faut se rendre à l’évidence: pour la survie du pays, Emmanuel Macron doit, dans un premier temps, dissoudre l’Assemblée nationale et, dans un second temps, avoir l’élémentaire décence de ne pas se représenter. Faute de quoi, le pays risque de s’enflammer au sens propre. Car il devient évident que les événements actuels ne sont qu’un prélude au pire.

    Je reconnais que la logique du pire est une marque de fabrique de Macron et sa caste. Caste à qui l’on doit à peu près tous les maux qui minent la France: démantèlement de notre industrie, immigration sauvage, destruction de notre identité culturelle, etc.

    Toutes ces choses étant dites, il faut avoir une sacrée dose de saloperie – excusez mon langage ! – pour en appeler à tuer des gosses sous prétexte qu’ils sont des enfants de flics. Aussi, non seulement j’assure les forces de l’ordre – sans complaisance pour ceux qui ont délibérément blessé des Gilets jaunes et doivent être sanctionnés en conséquence – de mon soutien, mais je leur dis encore de protéger les leurs de toutes les manières possibles. Ces menaces de mort – à peine déguisées – qu’ils ont reçues par courrier, sont parfaitement immondes et dignes d’INAZIS, néologisme de ma façon pour parler d’INTERNATIONAL-SOCIALISTES ; ce qui a le mérite d’être clair !

    Comme d’habitude, les pompiers ont été exemplaires d’abnégation et de courage…

    Charles Demassieux

    (Photos & vidéo: Charles Demassieux pour Riposte laïque)

    https://ripostelaique.com/jai-vu-letrange-complaisance-dont-beneficient-les-casseurs-gauchistes.html

  • L'Europe: après la Suède, elle va perdre la Norvège?

    Norvège: "Les attaques perpétrées par des immigrés se multiplient à Oslo, au point de remettre en cause la politique d’intégration"

    Les attaques perpétrées par des immigrés se multiplient dans la capitale norvégienne, au point de remettre en cause la politique d’intégration du pays.

     (…)

    Le Point

    Comme le reste de la Norvège, Oslo a toujours été un endroit sûr. (…) Elle est également restée plus homogène sur le plan démographique que la plupart de ses voisins, étant géographiquement isolée des flux migratoires qui ont affecté le reste de l’Europe.

    Au cours du mois dernier, cependant, le centre-ville d’Oslo a été le lieu d’une éruption d’attaques non provoquées contre des victimes aléatoires – pour la plupart des Norvégiens de souche – par des gangs de jeunes, chacun composé de cinq à dix jeunes immigrés. Les attaques ont généralement lieu le week-end. Le samedi 19 octobre, jusqu’à 20 attaques de ce type ont été enregistrées et les victimes ont subi des blessures plus ou moins graves.

    L’un de ces incidents concernait un groupe de jeunes hommes, originaires du Moyen-Orient, détenus pour avoir attaqué un homme d’une vingtaine d’années à Oslo. Selon la police, la victime a reçu des coups de pied répétés dans la tête alors qu’elle était allongée sur le sol. L’oncle du ministre de la Justice Jøran Kallmyr a également été agressé, il a souffert de plusieurs côtes cassées après avoir été frappé par une bande.

     (…)

    Selon une estimation de 2012, d’ici 2040, 70% des immigrés de la première et de la deuxième génération d’Oslo auront des origines extra-européennes, et environ la moitié des habitants de la ville seront des immigrés.

     (…)

    Les chiffres sont clairs: les immigrés de certaines origines – en particulier les Palestiniens, les Irakiens et les Afghans – sont beaucoup plus susceptibles de commettre des crimes violents que les autres Norvégiens (y compris les autres groupes d’immigrés). Dans 65 des 80 types de crimes, les non-Norvégiens sont surreprésentés. L’écart le plus important concerne les violences conjugales: Les immigrés originaires de pays non occidentaux sont huit fois plus susceptibles d’être inculpés pour de tels crimes.

    Ces groupes d’immigrés sont également largement surreprésentés dans les viols et les meurtres. Il est inquiétant de constater que les chiffres montrent que les immigrés de la deuxième génération sont plus susceptibles d’être des criminels que leurs parents.

    (…)

    En fait, certaines élites norvégiennes auraient apparemment préféré que le rapport sur la criminalité et l’immigration ne soit jamais publié. Parmi eux, la vice-maire d’Oslo, Kamzy Gunaratnam, qui a dit à Dagbladet: "Je suis en colère! Ces chiffres ne m’intéressent pas…. Nous n’avons pas besoin de monter les gens les uns contre les autres. Ce sont nos enfants, notre peuple“.

    Mais enterrer la vérité n’est jamais une bonne stratégie à long terme pour quiconque (…) Ces questions devraient être abordées avec franchise, tant qu’elles sont encore gérables. Contrairement à de nombreux autres pays européens, la Norvège n’a pas encore de parti d’extrême droite influent. Mais cela pourrait changer si les électeurs constatent que les politiciens ordinaires sont trop polis pour s’attaquer à un problème qui préoccupe la plupart des gens.

    Quillette.com

     

  • Epouvantable!

    Une ex-esclave sexuelle yazidie s’évanouit à la télé face à son ancien violeur

    Ashwaq Haji Hamid avait 14 ans lorsque l'organisation terroriste de l'État islamique a conquis sa ville natale, tuant les hommes et capturant les filles

    Ashwaq Haji Hamid avait 14 ans quand elle est devenue l'une des milliers de femmes yézidies transformées en esclaves sexuelles par des membres de l'État islamique.

    Une Yazidie de 20 ans qui avait été kidnappée et violée à plusieurs reprises par un membre de l’État islamique a fait face à son tortionnaire à la télévision irakienne mardi dernier, sanglotant et exigeant des explications, avant de s’évanouir.

    Ashwaq Haji Hamid était âgé de 14 ans lorsque des combattants de l’État islamique ont conquis le mont Sinjar en Irak, la patrie ancestrale des Yazidis en Irak, où ils ont massacré des milliers d’hommes et garçons yazidis et capturé les filles pour en faire des esclaves sexuelles.

    "J’avais environ 14 ans quand les gangs terroristes de l’État islamique m’ont arrêtée", a-t-elle raconté lors d’un entretien avec la chaîne irakienne Al-Iraqiya traduit en anglais par l’Institut de recherche des médias du Moyen-Orient (MEMRI).

    "On est arrivés en Syrie à minuit. On était inquiets et on ne savait pas ce qu’on deviendrait et si on nous tuerait ou pas", a-t-elle expliqué.

    "Mais ça nous réconfortait d’être ensemble — on allait soit vivre ensemble soit mourir ensemble. Mais après, ils nous ont séparés. Là-bas, en Syrie, les terroristes de l’EI ont séparé de leurs proches, les filles âgées de plus de neuf ans. On nous a emmenées à Mossoul. On était 300 ou 400 femmes à Mossoul. On y est restées trois jours, et les hommes de l’EI venaient nous voir. Ils nous ont données ou vendues pour pas cher ".

        Former Yazidi Slave Girl Confronts Captured ISIS Terrorist Who Had Held Her Captive, Violently Raped Her When She Was 14: You Destroyed My Life pic.twitter.com/mCazC4o7j1

        — MEMRI (@MEMRIReports) December 1, 2019

    Elle a ensuite décrit comment le membre de l’organisation, Abu Humam, "m’a choisie et m’a tirée par les cheveux".

    "Je ne m’attendais pas à ce qu’ils nous violent, parce que je n’avais que 14 ans. Mais ils nous avaient menottées et nous ont violées violemment ", a-t-elle continué". Il n’arrêtait pas de promettre qu’il me laisserait partir, mais il m’a violée trois fois par jour et battue trois ou quatre fois par jour. Je n’étais qu’une enfant et je ne savais rien".

    "Même si j’avais le droit de le tuer, je n’aurais pas envie d’avoir sa saleté sur les mains, mais j’exige que le gouvernement nous rende justice — il n’y a pas que moi, qui sait combien de filles yazidies il a violées après moi".

    Dans un entretien accordé séparément, Abu Humam raconte à Al-Iraqiya "[qu’]elle ne voulait pas alors je la battais pour qu’elle accepte de se faire violer".

    Ce sont les autorités qui ont donné à Ashwaq Haji Hamid l’opportunité d’être confrontée à son bourreau incarcéré. Lors de la confrontation télévisée diffusée dans tout le pays, elle l’a admonesté tandis qu’il se tenait face à elle dans sa tenue jaune de prisonnier, la tête baissée et les mains croisées devant lui.

     Abu Humam, lève les yeux", lui demande-t-elle.

    "Pourquoi tu m’as fait ça? Pourquoi? Parce que je suis yazidie? J’avais 14 ans quand tu m’as violée. Lève les yeux. Ressens-tu quelque chose? As-tu un semblant d’honneur? J’avais 14 ans, l’âge de ta fille, de ton fils ou de ta sœur".

    "Tu as détruit ma vie", a-t-elle poursuivi, en sanglots. “Tu m’as volé tous mes rêves. J’étais prisonnière de l’EI, entre tes mains, mais aujourd’hui c’est à toi de ressentir ce que le tourment, la torture et la solitude veulent dire. Si tu avais le moindre sentiment, tu ne m’aurais pas violée alors que j’avais 14 ans, l’âge de ton fils, l’âge de ta fille“ ".

    C’est là qu’elle a perdu connaissance.

    Sur les 1,5 million de Yazidis dans le monde, près de 550 000 vivaient dans des coins reculés d’Irak avant 2014.

    L’assaut brutal de l’État islamique en août 2017 avait poussé 360 000 Yazidis à fuir vers d’autres zones du pays, notamment dans la région kurde, où ils vivent dans des camps de déplacés délabrés.

    D’après les autorités, plus de 6 400 Yazidis ont été enlevés par l’EI, seule la moitié d’entre eux a pu à fuir ou être sauvée, tandis que le sort des autres reste inconnu. Près de 100 000 autres sont parvenus à fuir à l’étranger.

    https://fr.timesofisrael.com/une-ex-esclave-sexuelle-yazidie-sevanouit-a-la-tele-face-a-son-ancien-violeur/

     

  • Histoire de France

    Les premiers musulmans arrivèrent en France à la suite de leur conquête de l’Hispanie débutée en 711 et envahirent la Région de Toulouse et avancent leurs incursions jusqu’en Bourgogne. La Septimanie et sa capitale Narbonne furent sous souveraineté musulmane de 719 à 759.

    Un événement connu de l’histoire de France est la bataille de Poitiers, qui voit le maire du palais franc Charles Martel, appelé à la rescousse par Eudes d’Aquitaine, vaincre l’armée musulmane dirigée par Abd el Rahman, tué au cours de la bataille. Cette victoire ne marque pas pour autant la fin des raids arabes dans les royaumes francs: ceux-ci continuent jusqu’à la fin du Xe siècle. Puis vint le règne des Capétiens et de la longue lignée des rois de France…

    Au XVIII° siècle la confrontation n’est plus fondamentalement religieuse comme ça a pu être le cas auparavant. Les Lumières et la Révolution ont laïcisé le pays, l’influence de l’Église est moindre et par conséquent le but n’est pas de sauver la chrétienté de l’islam mais de sauver la civilisation occidentale de toutes ces anciennes civilisations qui n’ont pas fait l’effort de modernisation comme l’a connue la France.

    La première grande période d’immigration d’Afrique du Nord se produit de 1920 à 1924, date à laquelle la France devient l’un des tout premiers pays d’immigration au monde (les Nord-Africains présents sur le sol métropolitain représentait alors 0,3 % de la population française!).

    L’autre grande période d’immigration débute dans les années 1950 jusqu’à nos jours L’autre grande période d’immigration débute dans les années 1950

    En 1990, pour contrer la montée du Front national, le parti de droite Rassemblement pour la République débat, entre autres, sur l’" incompatibilité entre l’islam et nos lois "…

    En 2002, pour que le gouvernement puisse réguler les activités religieuses musulmanes en France, le ministère de l’Intérieur fonde le Conseil français du culte musulman (CFCM).

    L’islam n’a jamais été une religion de France et les patriotes n’accepteront jamais de reconnaitre ce système politique totalitaire qui avance sous le couvert d’une religion tant que cette dernière n’aura pas effectuer son "aggiornamento", c’est-à-dire qu’elle n’aura pas accepté officiellement la séparation de son Eglise et de l’Etat français.

    En dépit de vos anathèmes, les patriotes n’accepteront jamais de renier leur Histoire, et vu votre position ils vous invitent à rejoindre vos collègues en "Macronie" qui semblent sur la même ligne que vous.

    Patrick Verro

    https://ripostelaique.com/lislam-une-religion-francaise-valerie-pecresse-demande-un-droit-de-reponse.html

    Secte: organisation spirituelle ou politique qui régit l’intégralité des actes de la vie de ses adeptes, qui modifie en profondeur et via un dogme stricte la manière de penser et d’agir de ses adeptes, qui interdit de sortir de se dogme ou de s’en éloigner sous peine de mort ou de vengeance, qui accapare la famille, les biens et les revenus de ses adeptes… voila ce qu’est une secte…

     

  • Enfin!

    Algérie: un initiateur de la Marche des Beurs de 83, se tourne vers son pays natal " car il ne fait toujours pas bon être arabe en France"

     […] "Dans certains quartiers, des gens sont en train de se dire qu’il faut quitter la France, car cela devient de plus en plus difficile d’y vivre. Ils feront en quelque sorte l’exil à l’envers". […] Djamel Atallah n’a rien d’"un Français comme les autres " […] Avec quelques potes du quartier, pour la plupart d’origine algérienne, il a relié Marseille à Paris en passant par Strasbourg. Plus de 1.200 kilomètres pour dénoncer les violences policières, la xénophobie et dire à tous ceux qu’il a croisés au coin d’une rue: "N’ayez pas peur des jeunes de banlieue".

    En arrivant à Paris le 3 décembre 1983, la marche a été accueillie par plus de 100.000 personnes". Nous n’étions même pas une vingtaine au départ", se souvient-il. En voyant cette masse bleu, blanc, rouge à Montparnasse, il s’est dit que la France n’était pas aussi " raciste et violente " qu’il le pensait". Enfin, on m’accepte tel que je suis ", se rappelle-t-il". Je me suis tourné vers l’Algérie parce que la République m’a tourné le dos", se justifie-t-il. […]

    Il n’avait jamais rompu les liens avec sa seconde patrie: "Enfant, je passais tous mes étés au bled", raconte-t-il. La vie est plus simple sous le soleil du Sahara, plus exactement à El Oued, sa terre natale, situé à l’est du pays. A partir de l’an 2000, il multiplie les allers-retours entre les deux rives de la Méditerranée et, après la France, il veut participer à la transformation politique de l’Algérie. […]

    Le Monde