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occitanie - Page 104

  • Une grosse honte française…

    J’ai été bloqué à la douane pendant une heure, parce que fiché S!

    Ma puce, c’est le 5e Noël sans toi. Tous les ans, c’est une date que je redoute, car pour moi, Noël, c’est une fête de famille que l’on doit passer avec tous les siens. Et moi je suis tout le temps seul, depuis ce terrible 13/11/2015. Alors, cette année, j’ai décidé de fuir 15 jours, pour ne pas subir cette solitude qui me pèse tant. J’espère que tu ne m’en voudras pas. J’aurais tant aimé passer ce Noël avec toi, ton frère, et ses deux petites filles que tu n’as pas eu la chance de connaître. Voir chacun déballer ses cadeaux, faire un bon repas. Bref, comme n’importe quel papa normal. Mais voilà, depuis ce 13 novembre, plus rien dans ma vie n’est normal !

    Ce matin, à l’aéroport, j’ai été bloqué une heure à la douane. C’est désormais ce que me vaut ma qualité de fiché S. S’ils croient que cela va m’empêcher de continuer ma lutte contre l’islamisation ! Toi, tu le sais, ils se trompent très lourdement ! Je ne leur en veux même pas, car je l’ai peut-être mérité. Et puis, ils ne sont surtout pas habitués à voir des gens aussi revanchards que moi. Cela n’est pas grave en soi, mais j’aimerais tant qu’ils mettent juste le même zèle à contrôler les djihadistes et les envahisseurs qui pénètrent chaque jour sur notre territoire ! Car je ne pense pas être un danger pour mon pays. Par contre pour les islamistes ! Alors qu’eux, ils en représentent vraiment un et malheureusement, ils l’ont prouvé à maintes reprises, sinon tu serais encore là en ce jour de Noël!

    En ce jour de Noël, je pense à tous les parents de victimes à qui il manquera quelqu’un à chérir et notamment aux parents de ces deux jeunes filles qui ont perdu ce même 13/11/2015 leurs deux seules filles. L’année dernière, je les avais appelés pour essayer de les soutenir autant que je pouvais le faire. Mais bien sûr, tu t’imagines, c’était bien peu de choses par rapport à l’immensité de la peine qui est la leur. Ils sont désormais bien seuls!

    Je ne sais pas combien de Noël je dois encore passer sans toi, mais parfois j’aimerais qu’il n’y en ait plus beaucoup, car vraiment c’est hyper- dur. Mais je veux au moins tenir jusqu’au procès de cette pourriture d’Abdeslam… Et s’il doit sortir un jour, jusqu’à sa sortie, j’ai de la monnaie à rendre, comme tu le sais. Ma puce, je ne sais pas si je peux te souhaiter un bon Noël là ou tu es, mais sache que je t’aimerais toujours et que je t’embrasse tendrement.

    Bon-papa qui t’adore.

    Patrick Jardin

    https://ripostelaique.com

  • Bien sûr qu'il n'aime pas les Français!

     

    Il ne risque pas de nous souhaiter Joyeux Noël!

  • Notre terre de France

    Manifeste d’un Français de souche

    Qu’est-ce qu’un Français de souche? Ce vocable devenu populaire a pour fonction de permettre le distinguo linguistique entre les Français de sang (ou Français autochtones) et les détenteurs de la nationalité française qui ne sont pas français par le sang. Un Français de souche est une personne qui, de par son ascendance, ne peut s’identifier qu’à la France ; il est à la France ce qu’un aborigène australien est à l’Australie. Un Français de souche est d’origine française comme Vladimir Poutine est d’origine russe, ou comme Xi Jinping est d’origine chinoise.

    Sans considération pour sa dose de sang celte/romaine/franque, qu’il ne peut de toute façon pas connaître, le Français de souche va naturellement s’identifier à l’histoire du territoire de ce qui est aujourd’hui la France. La guerre des Gaules, la Révolution, les tranchées de la Première Guerre mondiale font naturellement partie de son identité, car le territoire de la France est celui de ses ancêtres, aussi loin que puisse remonter la mémoire des hommes.

    "Où voulez-vous en venir?" me direz-vous. La France a ses autochtones, et alors?

    Et bien on peut observer qu’à la différence de nombreux autres pays, la France se caractérise par un phénomène susceptible d’interpeller: un puissant courant de pensée cherche à persuader les Français autochtones qu’ils n’existent pas. Certains voudraient que les autochtones français ne possèdent pas ce lien, naturel, qui lie un individu à la terre de ses ancêtres. L’un des objectifs de la manœuvre étant bien évidemment de faire passer la pilule de l’immigration de masse sans que le peuple autochtone ne se révolte contre elle.

    Qui donc promeut cette ablation du sentiment d’appartenance ethnique chez les autochtones français? Donnons quelques exemples d’entités au sein desquelles cette volonté de promotion est observée.

    Les partis de pouvoir de la classe politique: "il n’y a pas de Français de souche" déclarait Éric Besson, alors ministre de Nicolas Sarkozy. (abruti)

    https://youtu.be/2g9JXi_KG-o

     

    La Justice: lorsque Houria Bouteldja est assigné en justice pour "chef d’injure publique envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée" suite au discours suivant:

    "et moi, j’ai envie de dire: c’est le reste de la société qu’il faut éduquer, […] c’est le reste de la société occidentale, enfin de ce qu’on appelle, nous, les Souchiens — parce qu’il faut bien leur donner un nom —, les Blancs, à qui il faut inculquer l’histoire de l’esclavage, de la colonisation…". (conn..sse)

    La Cour de cassation va d’une part parler des "Français" dits "de souche", et va aller jusqu’à déclarer que

    https://www.legifrance.gouv.fr

    "la catégorisation des "Souchiens , en la rapprochant d’une entité ethnique ou raciale dite "les Blancs", qu’il est d’usage de nommer en ethnologie les "Caucasiens" sans choquer quiconque, tend à confirmer la motivation ethnologique et non animalière reprochée à la prévenue; qu’enfin, il est constant que le néologisme "souchien" est d’usage courant dans la classe politique; que les pièces vidéo versées au dossier confirment que des politiciens de toutes tendances l’emploient sans que cela ne suscite l’émotion de ceux qui seraient censés se sentir concernés ou offensés par ce terme"; qu’en conséquence, la cour, constatant que rien à la procédure ne permet d’affirmer que le terme devait être entendu en deux mots "sous-chiens", ne faisant pas siens les motifs développés par le tribunal". (Traitres! vendus! menteurs! lâches!)

    Ainsi le terme "souchien" ne serait pas un terme péjoratif à rapprocher de "sous-chiens" et de plus il serait "d’usage courant dans la classe politique" (!).

    On fait tellement peu de cas des Souchiens que même lorsqu’ils sont victimes d’injures raciales, nos plus hautes juridictions trouvent des justifications pour dédouaner les auteurs.

    La presse de gauchiasse: "souchiens" n’est pas une injure anti-Blancs" titre par exemple le Huffington Post (crétins de gauchiasse)

    https://www.huffingtonpost.fr

    (Traitres! vendus!)

    "Le Français de souche n’existe pas" titre le point

    https://www.lepoint.fr

    (Traitres! vendus!)

    La société civile: le droit aux Français autochtones de se considérer comme tels va non seulement être nié par une partie de la société civile qui n’est elle-même pas autochtone, mais aussi par une partie des Français autochtones eux-mêmes; j’en ai moi-même fait l’expérience plus d’une fois…

    Toute ma vie il me fut répété que la colonisation était un symbole de mal, et que les Français n’avaient rien à faire en Algérie, au Sénégal ou au Vietnam, car les Algériens, Sénégalais avaient le droit d’avoir leur pays (étrangement, il est dans ce contexte sous-entendu Français, Algériens, Sénégalais, Vietnamiens de souche, et cela ne dérange personne). Soit, je suis d’accord avec cela. Mais je suis aussi logique: dans ce cas, les Français de souche ont le droit, eux aussi, d’avoir un pays. Ils ont le droit d’avoir un territoire où ils se sentent chez eux et peuvent développer librement leur culture.

    La France n’est la France que parce que sa population autochtone est ce qu’elle est. Faites venir en masse des populations d’autres pays, et la France deviendra un autre pays. Exemple que personne ne pourra nier: il n’y avait pas d’attentats islamistes en France avant l’arrivée massive de population musulmane; ce type d’attentat fait désormais partie de notre quotidien.

    "Ethnomasochisme" est le mot qui vient à l’esprit pour désigner le rapport de certains autochtones français à leurs origines, et le mot "ethnocide" est celui qui tend à désigner leur situation.

    Quelle solution pour ceux qui veulent survivre, sauvegarder leur identité et la léguer à leur descendance? J’ai personnellement proposé une réforme du code de la nationalité dans l’article suivant:

    https://ripostelaique.com

    Joseph Bremond

    Appendice

    Quelques réponses à remarques souvent entendues:

    "La France n’est elle-même ethniquement homogène entre Basques, Bretons, Picards, etc."

    Oui, moi, je me dis Toulousaine et Occitane et alors???? qui je dérange?

    Les Basques, Bretons, Picards sont des autochtones du territoire qui est aujourd’hui celui de la France. Tous ceux dont les terres ancestrales se trouvent dans ce pays sont aujourd’hui dans le même bateau.

    "Une personne dont l’un des deux parents est un Français de souche et pas l’autre est-elle française de souche?".

    Cette personne est à moitié française de souche, comme l’on peut être à moitié aborigène. Étant liée à la France de manière millénaire par sa moitié française, elle appartient pour moi au peuple français. Comme moi, franco espagnole de 3e génération! Non mais, un jour quelqu'un m'a dit, parce que je défendais notre pays: "et bien, vous êtes patriote, vous, alors!" d'un air méprisant car elle était franco-autrichienne... si elle se sent pas bien ici, qu'est-ce qu'elle fait pour partir là-bas et exiger de ne plus être née en France!!!???

    "Mon grand-père italien était parfaitement intégré et avait tout d’un Français de souche“.

    Un des mythes associés à celui de l’inexistence des autochtones français est celui selon lequel il serait possible de fabriquer des Français. Ce mythe a nourri l’éducation donnée aux autochtones des anciennes colonies (à qui l’on enseignait que leurs ancêtres étaient les Gaulois) et le résultat fut un échec retentissant qui se solda par les demandes d’indépendance (parfois ponctuées de guerres aussi stupides qu’inutiles) des pays concernées, qui rejetèrent ainsi leur l’idée de devenir français.

    L’erreur cruciale faite par nos dirigeants, erreur qui peut-être condamna la France, a été de continuer à croire en ce mythe et à reproduire la politique coloniale sur le sol national: la situation actuelle, dont par exemple les attentats islamistes, en marque là aussi l’échec.

    Le lien psychologique qui lie une personne à la terre de ses ancêtres ne se fabrique pas, c’est ainsi. On pourra arguer que les populations d’autres pays européens peuvent se fondre plus facilement dans la population française. Mon expérience m’indique que l’immigration européenne n’est pas plus souhaitable qu’une autre. " Mon grand-père était italien et parfaitement intégré, d’ailleurs j’ai un pote sénégalais… " ai-je déjà entendu. Alors, là, quel c.o.n!

    "Les habitants de l’Outre-mer sont-ils des Français de souche?".

    Les territoires d’outre-mer ne sont pas français par la géographie, et pour la plupart d’entre eux ne le sont pas non plus ni par l’ethnicité de leur population majoritaire, ni par la culture de cette population. Une analyse des résultats du référendum pour l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie de 2018

    http://www.nouvelle-caledonie.gouv.fr/

    montre qu’une majorité écrasante (presque 100 %) des Kanaks qui ont voté ont choisi l’indépendance. Ils ne se considèrent pas comme français (et c’est tout à leur dignité) car ils ne le sont tout simplement pas. Ben oui!

    https://ripostelaique.com/reflexions-sur-les-francais-de-souche.html

     

  • Ce pays est foutu

    Déclaration d'Emmanuel Macron sur la colonisation : pour Bruno Retailleau, “à cultiver la haine de soi, on ne récolte que la haine des autres”

    Bruno Retailleau souligne le caractère complexe de la colonisation qui exclut toute lecture unilatérale.

    Président du groupe LR au Sénat, Bruno Retailleau fustige la vision pénitentielle de l'histoire de France mise en avant par le chef de l'État.

    Valeurs actuelles. En 2017, Emmanuel Macron, alors candidat à la présidentielle déclarait sur une chaîne algérienne que la colonisation constituait un "crime contre l'humanité". En 2019, Emmanuel Macron président persiste et signe : le colonialisme a été "une faute de la République" a-t-il déclaré à Abidjan aux côtés du président ivoirien Alassane Ouattara. Celui qui faisait du juste milieu une vertu, ne s'embarrasse pas de nuances sur cette épineuse question de la colonisation. Cette lecture unilatérale des faits n'exacerbe-t-elle pas le complexe de repentance qui affecte la France depuis de nombreuses années?

    Bruno Retailleau. Cette récidive d’Emmanuel Macron traduit une vision pénitentielle de l’histoire de France qui, en réalité, est consubstantielle au progressisme. Pour ce dernier, le présent est moralement supérieur au passé, et la tâche des hommes de bien consiste à extirper le mal d’une histoire nationale qui, pour les progressistes, ne serait qu’une succession de crimes.

    Ce mélange d’arrogance et d’ignorance n’est pas seulement faux sur le plan historique – la colonisation est un phénomène éminemment plus complexe que semble vouloir le croire Emmanuel Macron – mais il est également dangereux sur le plan civique. Car comment faire aimer la France aux nouveaux venus si l’on ne cesse d’exhiber des raisons de la détester, comme autant de tâches indélébiles sur le drapeau tricolore? L’autoflagellation ne peut tenir lieu de politique d’intégration.

    Le poète Léopold Sédar Senghor énonçait poétiquement que: “la colonisation a charrié de l'or et de la boue. Pourquoi retenir la boue et pas les pépites“? Nous pourrions retourner cette question à Emmanuel Macron. À votre avis, pourquoi le chef de l'État ne s'appesantit que sur les affres de la colonisation, à l'exclusion des bénéfices qu'elle a pu avoir?

    Les raisons sont idéologiques et peut être aussi électorales. Car pour la gauche "terra-novienne", dont Emmanuel Macron est issu, la repentance est une manière de s’adresser à ces "minorités" issues de l’immigration dont elle a voulu faire son électorat de substitution, après avoir théorisé l’abandon des classes populaires.

    Ce calcul est doublement dangereux. D’abord parce qu’il donne du grain à moudre à tous ceux qui ne veulent pas que les immigrés ou les Français issus de l’immigration s’assimilent à la France, à commencer par les tenants de l’islam politique. Ensuite parce qu’il renforce l’insécurité culturelle de tous ces Français attachés à la France à qui l’on présente leur histoire comme indigne d’être aimée.

    L’on voudrait favoriser les replis qu’on ne s’y prendrait pas mieux! Notre destin collectif ne peut s’accomplir  que dans une vision réconciliée de notre histoire. En noircissant le passé de la France, Emmanuel Macron obscurcit l’avenir des Français.

    Censées "apaiser" le ressentiment anti-français en Afrique, de telles déclarations ne risquent-elles pas a contrario de le renforcer parmi les populations locales?

     Oui. Car à cultiver la haine de soi, on ne récolte que la haine des autres. D’autant que nous savons que ce type de discours irresponsable trouve un écho en Afrique, notamment au Mali où certains cherchent à faire passer le combat de la France contre le djihadisme comme la traduction d’un nouveau "colonialisme" français.

    En France, la question coloniale demeure à ce jour un sujet extrêmement tabou. Si bien qu'à l'école, nombre d'enseignants doivent déployer des trésors de précautions pour ne pas heurter la "sensibilité" de certains élèves. Les propos d'Emmanuel Macron ne placent-ils pas la France en position de débitrice éternelle de revendications mémorielles?

    Le processus de criminalisation de notre histoire risque de nous entrainer dans un procès sans fin dans lequel la liste des cités à comparaître ne cessera fatalement de s’étoffer. Faudra-t-il renommer les écoles Jules Ferry compte tenu des propos que ce dernier a tenu en faveur de la colonisation?

    Après tout, certains avaient même exigé en 2017 que les collèges ou les lycées portant le nom de Colbert soient débaptisés au motif que ce dernier aurait joué un rôle dans l’élaboration du "code noir" … Les Français voient bien à quelles absurdités la repentance peut amener. Regardons les choses en face : la France vit sous la menace de la séparation. Le grand défi de ces prochaines années sera celui de l’unité française. Emmanuel Macron vient de démontrer une nouvelle fois qu’il n’est pas celui qui le relèvera.

     

    https://www.valeursactuelles.com

     

    Meilleur commentaire qui dit ce que je pense

    macron est un psychopathe donc plus vicieux qu’intelligent, peu cultivé mais voulant avoir l’air, il fallait le voir usurper les uniformes de pilotes et de sous-marinier lui qui n’en a jamais porté et qui aurait dû faire son service militaire mais qui a été réformé P4RD2 c’est à dire inapte mais cela est un secret d’état et les journalistes s’en désintéressent, pauvre France d’avoir élu un FOU

     

    “Quand un peuple ne peut plus rester ce qu’il fut, le premier symptôme de sa maladie, c’est la haine du passé.." Chateaubriand (Lucerne, 1832).

     

    On peut ajouter à cette excellente analyse la définition qu'Alain de Benoist donne de la repentance.

     "La repentance peut se résumer ainsi: des gens s’excusent de méfaits qu’ils n’ont pas commis pour complaire à d’autres qui ne les ont pas subis".

     

  • Athée, je défends la crèche pour tous

    De récents actes de vandalisme contre des crèches et des crèches vivantes suscitent l’indignation des catholiques et autres chrétiens, mais aussi d’athées et agnostiques.

    C’est l’occasion de rappeler que le vandalisme et la destruction ne montrent que l’incapacité de leurs auteurs: on ne détruit, en guise de moyen d’agir, que lorsque l’on est incapable de construire.

    Mais pourquoi un athée voudrait-il protéger la manifestation d’une religion?

    Force est de constater que Noël est fêté aussi par des non-chrétiens, parce que cette fête est celle de valeurs communes à tous, amour, famille, fraternité, et aussi parce qu’elle est la survivance de festivités antérieures au christianisme.

    Avant la christianisation de l’Occident, une fête appelée Dies Natalis Solis Invicti, « jour de la naissance du soleil invaincu » avait été fixée au 25 décembre par l’empereur romain Aurélien en 274, c’était aussi la naissance de la divinité solaire Mithra, (le culte de Mithra est apparu probablement pendant le IIe siècle av. J.-C. en Perse. Durant les siècles suivants il s’est propagé dans tout l’Empire romain et a atteint son apogée durant le IIIe siècle. Ce culte était particulièrement implanté chez les soldats romains), et on fêtait le solstice d’hiver parce qu’il annonce le début de l’allongement des jours, le retour de la lumière, chez les Celtes et les Scandinaves des siècles avant que Jésus ne devienne la Lumière du monde.

    Le meilleur de la civilisation occidentale, respect de la vie humaine, fraternité, égalité des droits, démocratie, liberté de pensée… vient des principes moraux juifs et chrétiens :

    Il n’est pas nécessaire d’être croyant pour aimer et vouloir protéger l’héritage moral, spirituel, historique, artistique, architectural, musical, et traditionnel du christianisme.

    De même que Valéry Giscard d’Estaing a dit que la gauche n’a pas le monopole du cœur, l’Église n’a pas non plus le monopole de l’amour.

    Loin de vouloir offenser les chrétiens, et encore moins de demander de transformer le christianisme en auberge espagnole, l’adhésion d’athées à ce que représente la crèche est justement la reconnaissance de l’apport inestimable du christianisme à notre civilisation.

    Ce serait un comble si des athées devaient défendre le christianisme sans les chrétiens et même contre.

    L’abandon de la religion catholique ne signifie pas celui de la philosophie et de la morale chrétiennes.

    La naissance de Jésus ne s’est peut-être pas déroulée exactement comme dans la tradition chrétienne, mais les légendes ont toujours un fond de vérité. La crèche raconte la merveilleuse histoire de la naissance d’un petit enfant venu apporter l’amour, l’espoir, la bonté, la fraternité.

    Le tableau « Le nouveau-né » peint par Georges de la Tour vers 1648 illustre parfaitement ce que le christianisme a apporté à l’humanité indépendamment de la foi, respectable comme l’athéisme, et toute liberté de pensée.

    La magie du clair-obscur y révèle l’essentiel. Il y a très peu de lumière et elle éclaire le petit Jésus qui vient de naître. Ce bébé divin, sacré, dort la bouche ouverte, dans les bras de sa mère, et son nez et sa tempe brillent : comme tous les bébés, il transpire, ce n’est pas un être parfait non soumis aux faiblesses et imperfections humaines, il est à la fois dieu et homme.

    Le nouveau-né est l’être humain le plus fragile, le plus vulnérable, et parce qu’avec Jésus, Dieu s’est fait homme, il y a dans tout humain l’étincelle divine, ou la spécificité de la vie humaine qui la sacralise et oblige à la respecter, et à respecter et préserver sa dignité.

    Les humains vivent en groupes, sans griffes et sans crocs, c’est leur complémentarité qui leur a permis de survivre, les plus forts ne pouvant se passer de l’habileté et de l’ingéniosité des autres. C’est bien ce que représente la crèche provençale en plaçant Jésus dans un village modeste et en illustrant tous les métiers et habitants, y compris le "ravi".

    Comment nier la filiation de notre devise Liberté-Égalité-Fraternité avec la nouveauté du christianisme : amour, pardon, universalité, libre arbitre? Comment oublier que c’est par Jésus (« il faut rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. ») que nous bénéficions de la séparation de la religion et de l’État, grâce à laquelle l’Occident a progressé dans tous les domaines?

    Que Jésus soit divin ou pas, la crèche représente avant tout un couple et un bébé, l’amour et la filiation, le devoir de fraternité et de protéger et éduquer les enfants ; les chrétiens auraient bien tort de rejeter son appropriation par des non-chrétiens puisque le Noël chrétien s’est greffé sur d’autres traditions et décore ses églises de branches de sapin, l’arbre qui conserve sa verdure en hiver. Rejeter la crèche c’est faire preuve d’un anti-christianisme primaire et aveugle, refuser la crèche laïque, culturelle et festive, c’est refuser de reconnaître ce qui unit les hommes de bonne volonté.

    Tout le monde peut entrer à Rome mais pas à la Mecque ; contrairement au christianisme, l’islam ne reconnaît pas la même dignité aux deux sexes, ni les mêmes droits aux musulmans et aux non-musulmans, en témoignent l’inégalité des droits des hommes et des femmes dans la charia et le statut humiliant des dhimmis, sous-citoyens tenus de payer la taxe "jizya" aux musulmans en échange de "protection" (contre quoi à part les musulmans?). C’est que la notion d’humanité n’est pas la même dans les deux idéologies. Le non-musulman ou l’apostat doit être humilié, converti ou massacré. Seul le musulman est « humain » : donc si l’on peut le devenir en se convertissant à l’islam et perdre son humanité en le quittant, qu’en est-il de cette notion d’humanité?

    La fraternité, la tolérance, ne peuvent se passer de la réciprocité: "Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse", ou "traite les autres comme tu voudrais être traité". Pourquoi peut-on construire des mosquées en Europe alors que l’on ne peut pas bâtir des églises en terre d’islam? Refuse-t-on aux musulmans les mêmes droits qu’aux autres citoyens en France?

    L’islam ne s’est imposé presque toujours que par la force : une idéologie n’est bonne et ne se répand comme telle que par ses résultats…

    La crèche représente l’amour, la famille, la sacralité de l’humain, sa dignité, la fraternité et l’égalité entre tous les hommes et femmes, le respect de la vie, l’avènement du règne de la Lumière, celle de Dieu ou celle de l’esprit, l’espoir d’un monde meilleur, terrestre ou non : ces valeurs ne sont pas réservées aux croyants.

    Saccager une crèche n’est que la démonstration de la sauvagerie, de la barbarie, de l’intolérance, du refus des racines et de l’Histoire, c’est tout bonnement un acte fasciste contre la liberté de penser et de croire ou pas… Perpétré à Toulouse contre des enfants par des antifascistes auto-proclamés !

    Il n’est pas acceptable de refuser la préservation des traditions qui nous rappellent nos origines et notre devoir moral.

    JOYEUX NOËL !

    Alix Forrest

    https://ripostelaique.com

     

  • Colonialisme: Macron alimente la haine des Africains contre les Français

    En Côte d’Ivoire, Emmanuel Macron vient encore de cracher sur la France en criminalisant la colonisation, trahissant une fois de plus la mémoire de nos ancêtres, qui ont fait rayonner notre pays et accompli la plus belle œuvre civilisatrice de tous les temps.

    Ce qu’il vient de dire aux Africains est une ignominie. Macron n’aime pas la France et ne cesse de le répéter d’année en année.

    Il travestit l’Histoire et distille la haine dans le cœur de nos immigrés, comme si la société française, au bord de l’embrasement, avait besoin que le Président de « tous les Français », fasse encore l’éternel procès de l’homme blanc et  lui seul.

    Macron, qui vient de prouver à nouveau qu’il ignore l’Histoire de France, tient un discours irresponsable, un discours qui interdit toute chance d’intégration des minorités.

    En Algérie, à l’Onu et aujourd’hui à Abidjan, il a toujours craché sur notre pays. Pourquoi les immigrés aimeraient une France de salauds, puisque c’est son Président lui-même qui la dénigre?

    Ceux qui se prétendent rassembleurs, reprochant au RN et aux populistes de tenir un discours qui divise, sont les mêmes qui alimentent  chez les immigrés la haine de la France et du peuple français de souche. Et on s’étonne que l’intégration échoue, que les jeunes musulmans rejettent les lois de la République et crachent sur l’Histoire de France ! Macron désintègre la nation.

    Est-ce une volonté délibérée de détruire les nations européennes, en vue de bâtir le grand village mondial supranational dont rêvent les mondialistes ? Le fait est que Macron tient un discours criminel. Il fait tout pour conduire la France au chaos racial et fait le jeu des islamistes qui veulent imposer leur loi.

    http://www.fdesouche.com

    Assez de repentance et de mea-culpa. Assez de ce procès mensonger de l’homme blanc, coupable de tous les maux jusqu’à la fin des temps.

    La vérité est que la France a fait faire un bond en avant de 1 000 ans à tout un continent, resté jusque-là hermétique au progrès. Car ce que nous avons trouvé en arrivant en Afrique, c’était la barbarie.

    Esclavage, guerres tribales, famines, épidémies, cannibalisme et sacrifices humains dans certaines contrées. Tous ces fléaux, nous les avons éradiqués.

    https://www.persee.fr/doc

    Fallait-il laisser l’Afrique à ses démons pendant que le train du progrès accélérait ? Fallait-il abandonner tout un continent pendant que la civilisation occidentale avançait à pas de géant?

    Où en serait l’Afrique, si les Occidentaux avaient laissé ce continent à son triste sort? Ceux qui nous reprochent  la colonisation ne répondent jamais à cette question majeure.

    Non, la colonisation ne fut pas une suite de massacres et de génocides. La France n’a jamais exterminé les peuples colonisés, comme le furent les Indiens d’Amérique, les Aborigènes d’Australie ou les Maoris de Nouvelle-Zélande. Si nul ne conteste les violences qui accompagnent toutes les guerres et les conquêtes, c’est l’œuvre civilisatrice admirable qui domine et qui mérite d’être soulignée.

    L’épopée coloniale fut une grande page d’Histoire dont la France n’a pas à rougir. Et quand la dictature du politiquement correct aura vécu, avec tous ses mensonges et sa haine de la France, alors viendra le temps de la vérité que rétabliront les vrais historiens en toute impartialité.

    Certes, la France s’est adonnée à la pratique de l’esclavage, mais elle s’est honorée, et elle seule, en reconnaissant en 2001 que la traite atlantique fut un crime contre l’humanité.

    Et rappelons que ceux qui font le procès des seuls Européens oublient que la traite inter-africaine (Nde la R. c'est-à-dire que les villages s'attaquaient entre eux et esclavagisaient les perdants!) et la traite arabo-islamique ont fait chacune autant de victimes que la traite atlantique.

    Mais les ayatollahs du politiquement correct se gardent bien d’évoquer l’esclavage du XXIe siècle, qui perdure en Afrique et dans les pays du Golfe. Comme chacun sait, c’est l’homme blanc qui a le monopole du mal.

    Non la France n’a pas à rougir de son œuvre civilisatrice. Elle est admirable.

    Explorateurs, militaires, administrateurs, colons, enseignants, missionnaires et bâtisseurs ont fait émerger du néant des villes, des ports, des routes, des écoles, des hôpitaux, des usines, développant l’enseignement, la médecine et l’agriculture, dans des pays figés depuis des millénaires. Nul ne peut nier l’immense tâche accomplie au cours de l’expansion coloniale, encouragée par Jules Ferry et Jean Jaurès.

    Quant au pillage des colonies, c’est une légende tenace, un mensonge des mondialistes, qui ne résiste pas à la réalité des chiffres. La France n’a jamais colonisé un pays riche comme l’Afrique du Sud ou le Congo ex-belge, aux richesses minières colossales. Toutes les études sérieuses le prouvent. La colonisation a profité avant tout aux peuples colonisés.

    Comme je l’ai souvent écrit, en 1960, l’Afrique avait un niveau de vie supérieur à toute l’Asie, hors Japon. Mais 60 ans plus tard, ce continent cumule tous les handicaps et rassemble la quasi-totalité des pays les plus pauvres de la planète, alors que l’Asie est devenue 30 fois plus riche!

    C’est d’ailleurs cet échec de l’Afrique indépendante qui entretient ce sentiment de haine envers la France. Un énorme complexe d’infériorité chez des populations incapables de monter dans le train du progrès, 60 ans après la fin de la colonisation. L’Afrique fait porter la responsabilité de ses échecs à l’ancien colonisateur. Et cela dure depuis deux générations!

    Un complexe qu’on ne retrouve pas chez les Vietnamiens, qui ont pourtant connu la colonisation et 30 années de guerre jusqu’en 1975. Mais intelligents et travailleurs, ils regardent le futur au lieu de pleurnicher sur leur passé. Il est vrai que le confucianisme fait des merveilles…

    Guerres, tribalisme, corruption généralisée et absence totale de sens de l’État chez les dirigeants africains ont  eu raison de l’héritage colonial, un trésor inestimable entièrement dilapidé. Selon l’ONG Oxfam, les guerres africaines ont englouti  la totalité des aides au développement.

    Pendant quelques décennies, la France a rayonné sur un territoire de 13 millions de kilomètres carrés, faisant rêver des millions de jeunes Français en mal d’aventures exotiques. De Dakar à Nouméa, de Hanoï à Djibouti, de Cayenne à Tananarive, l’empire, qui connut son apogée en 1930, s’étendait sur toutes les mers et les continents.

    De cette époque, il ne reste que quelques possessions outre mer, vestiges de cette grande épopée, qui fut, pour des millions d’hommes et de femmes, le plus grand fait de l’Histoire.

    Et ce ne sont ni Macron, ni les pleureuses tiers-mondistes, qui, par leurs mea-culpa et leurs mensonges permanents, changeront quoi que ce soit à cette incontestable vérité.

    Jacques Guillemain

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