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LA VERITE! - Page 398

  • METEO 2014 - 2015

    Comme je fais le “Coup du Jardinier“ depuis 1985, j'ai eu l'occasion de voir confirmer cette astuce à plus de  98%.

    N'empêche que je réalise ce “Coup“ et je suis très perplexe pour cette année 2015.

    Pour l'instant, il me dit que 2015 serait aussi compliqué que 2014: donc, ne vous perdez pas en supposition: printemps, c'est doux et parfois pluvieux, été, très chaud et peut-être la canicule, automne parfois doux et parfois pluvieux, hiver: gelées, grands froids, brouillards et neige: laissez cela, aucune chance que cela arrive l'année 2015.

    Elle va déjouer tous les pronostics des uns et des autres; par contre, il existe un adage: “si tu veux être un menteur, prédit le temps à venir“.

    Aïe pour moi!

    Les 5 mensonges climatiques de 2014

    Par Pierre-Guy Veer.

    contrepoints.org

    L’année 2014 se termine bientôt, et avec elle son lot de mensonges sur le réchauffement/changement/dérèglement climatique. Considérant la partialité des médias francophones sur le sujet, voici en rafale ce que vous pourriez avoir manqué.

    1. L’année 2014 est la plus chaude jamais enregistrée

    Depuis que l’hystérie climatique contrôle le monde, on entend sans cesse que l’année X est la plus chaude jamais enregistrée ; c’est le cas pour 2014.

    Or, il n’en est (probablement) rien. En effet, les données satellitaires sur les températures ne montrent non seulement aucune hausse des températures depuis 18 ans – les modèles climatiques sont un échec presque total quant à leurs prédictions –, mais 2014 n’est même pas la plus chaude pour cette même période. De plus, si on regarde une image plus large, la période chaude moderne n’est rien comparée à ce qu’il y a eu dans l’Histoire humaine.

    2. L’Arctique menace de disparaître

    Le pape vert par excellence (Al Gore) prédisait un océan Arctique navigable cette année. La NOAA (agence fédérale qui surveille le climat) parle aussi de fonte sans précédent du Pôle Nord.

     Or, l’Arctique connait présentement sa superficie la plus étendue depuis une décennie et se retrouve dans la déviation normale de la moyenne, calculée depuis 1979. Par ailleurs, il est intéressant que 1979 soit choisie comme année de base. En effet, des images satellites datant de 1964 montrent que la banquise du Nord n’a pas toujours été uniformément gelée. De plus, l’Arctique a déjà été plus chaud bien avant l’arrivée des Hummers.

    Parallèlement, au Pôle Sud, la banquise bat tous les records de superficie, et cette glace est très épaisse. Cela pourrait expliquer les mésaventures du " Ship of Fools "…

    3. Les ours polaires sont en danger

    L’ours polaire, la mascotte officielle du Grand Nord, est menacé de toute part par l’hystérie climatique. Partout on entend qu’il court un grave danger si les glaces arctiques continuent de " fondre ".

    Or, si cette année fut difficile pour cet ours c’est parce que la glace était… trop épaisse. Aussi, les affirmations selon lesquelles les ours polaires de la mer de Beaufort sont en fort déclin semblent avoir été triées sur le volet. En effet, des données plus exhaustives montrent que leur population n’est pas en déclin. Au pays, le gouvernement du Nunavut affirme que la population des ours est en très bonne santé.

    4. Une augmentation du CO2 amènera famine et misère

    Le dioxyde de carbone a vraiment mauvaise presse. Parmi ses " méfaits ", il y a notamment une diminution des rendements agricoles.

    Mais comme plusieurs prédictions semblables, celle-ci ne tient pas la route. En effet, une litanie d’études, y compris du gouvernement fédéral aux États-Unis, montrent qu’une augmentation du CO2 augmenterait les rendements. Cela rejoindrait donc les tendances déjà observées pour le maïs, le blé, le soja, le riz…

    Aussi – l’histoire vient de sortir – l’acidification des océans supposément causée par le CO2 pourrait ne pas être vraie.

    5. La sécheresse en Californie est sans précédent

    La moindre perturbation climatique paraissant anormale est avancée comme " preuve " supplémentaire à l’appui du réchauffement/changement/dérèglement climatique. C’est notamment le cas de cette sécheresse persistante en Californie (l’hystérie climatique serait aussi responsable des pluies diluviennes récemment tombées, mais passons).

    Or, encore une fois, il n’en est rien. Même la NOAA le dit : la sécheresse californienne n’a rien d’exceptionnelle. Un regard vers le passé montre que les sécheresses ont déjà été nettement plus brutales qu’au XXIe siècle.

    Bref, ignorez ces fausses mauvaises nouvelles comme vous le faites avec ces autres prédictions d’apocalypse qu’on nous sert depuis Malthus. Elles sont généralement faites par des gens dont le niveau de vie dépend grandement du maintien de l’hystérie climatique.

     

  • 2015: un robot chez moi ou chez toi

    2015 sera-t-elle l'année où les robots domestiques et les imprimantes 3D alimentaires vont se généraliser?

     est l'année où les technologies traditionnelles comme la télévision et les téléphones commenceront à disparaître progressivement. De plus en plus de gens vont utiliser des appareils qualifiés d’ " intelligents", qu'ils pourront contrôler au moyen de leur smartphone. Cette année, on a déjà constaté un engouement très fort pour de nouveaux dispositifs tels que le thermostat intelligent, les systèmes de sécurité de la maison et les imprimantes 3D. Ces gadgets ont figuré pour la première fois sur les listes de souhaits de Noël de nombreuses familles.

    C’est ce que l’on peut lire dans le rapport " Home of the Future (.pdf) de la société énergétique britannique SSE. Selon le futurologue londonien James Bellini, le rythme auquel ces technologies s’imposent va s’accélérer en 2015 et les imprimantes 3D feront une grande percée.

    En effet, les imprimantes 3D vont se banaliser; cette année, des patients ont utilisé les premiers membres artificiels imprimés par ces appareils. Non seulement les imprimantes 3D seront de plus en plus présentes dans les vitrines des grands magasins d'électronique, mais on trouvera de plus en plus d'applications disponibles qui permettront  de les faire fonctionner.

    Bellini pense que l'imprimante 3D fera rapidement partie de la vie quotidienne de chaque famille, de la même manière que les télécopieurs et les fours micro-ondes se sont imposés au cours des années 1980. Leur coût diminue rapidement et on peut déjà trouver des petites imprimantes polyvalentes à partir de 600 euros. En une demi-heure, on pourra s’imprimer une nouvelle coque pour son smartphone, mais aussi des jouets, des poignées, des pièces de jeu d'échecs et des pièces de rechange pour n’importe quel appareil ménager.

    Dans le futur, l'imprimante tridimensionnelle prendra sans doute la place du four micro-ondes dans la cuisine ".

    La société américaine Foodini travaille déjà sur ​​une imprimante 3D qui pourra imprimer des  aliments. L’imprimante Foodini pourra composer des préparations comme des raviolis, des pizzas, des hamburgers, des biscuits et des produits de chocolat. L'imprimante permet de créer un certain nombre de décorations pour les mets. L'impression des repas dépendra de la composition du repas. La réalisation d'une sculpture en chocolat pourrait prendre jusqu'à vingt minutes.

    Bellini a également évoqué l’impact de l’arrivée des robots domestiques. Selon un récent sondage, 26% des répondants ont indiqué qu'ils attendaient avec impatience l'arrivée d'un robot pour la maison.

    Honda a déjà créé un tel robot. Asimo, c’est son nom, est capable de se souvenir des visages et de servir des boissons. Dans le courant de cette année, on a appris que Nestlé avait l’intention d’embaucher mille robots qui pour vendre des machines à café Nescafé dans les magasins à travers le Japon. C’est Pepper, un sympathique robot qui a été présenté en juin au monde par la société japonaise Softbank tech Corp, qui a été retenu.

    Enfin, on a constaté en 2014 pour la première une baisse des ventes de téléviseurs traditionnels et les lignes téléphoniques terrestres. Selon Bellini, nous sommes donc arrivés au "point de basculement", et ces appareils sont appelés à disparaître progressivement dans les années à venir.

     

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  • Le robot émotionnel

    Un robot phoque émotionnel pour le mieux-être des patients

    Comment apaiser des patients âgés hospitalisés en situation de stress ? Comment répondre à certains troubles de l’humeur et du comportement  en limitant le recours aux médicaments ? Les résultats préliminaires d’une étude pilote, menée la nuit en oncogériatrie à l’Institut Curie, et présentés au congrès de la Société française de gériatrie et de gérontologie (SFGG), sont prometteurs pour atténuer les manifestations anxieuses chez certains patients.

    Un robot phoque émotionnel pour le mieux-être des patients

    Plusieurs  études rapportent les bénéfices  de robots émotionnels dans la prise en charge globale des personnes âgées souffrant de démence. Mais qu’est-ce qu’un robot émotionnel ? C’est une peluche dotée d’électronique et pensée pour les patients. L’une d’entre elles, utilisée dans le cadre de cette étude pilote, est un phoque en peluche qui bouge, cligne des yeux et couine. Développé depuis 1993, Paro® existe en 3000 exemplaires dans plus de 30 pays dont la Scandinavie, l’Allemagne, l’Italie et la Suisse. Nouvellement distribué en France, le robot phoque vient compléter les options de thérapie non-médicamenteuse dans le traitement des maladies neuro-dégénératives. A ce jour, il n’a pas été testé en situation aiguë.

    "Le nombre de patients âgés hospitalisés pour un cancer est en pleine augmentation et certains ont un vécu particulièrement pénible pouvant engendrer des difficultés de communication, voire des épisodes d’agitation difficiles à prendre en charge la nuit. C’est pourquoi, il nous a paru intéressant de tester Paro® à l’Institut Curie, explique le Dr Florence Rollot-Trad, médecin interniste-gériatre au sein du département inter-disciplinaire en soins de support pour le patient en oncologie (Disspo). Nous venons de présenter les premiers résultats au Congrès de la Société française de gériatrie et de gérontologie (SFGG) en novembre 2014." Cette communication a d’ailleurs été récompensée par le Prix du meilleur poster.

    Technique non médicamenteuse

    L’étude a été réalisée grâce à l’implication énergique de l’équipe soignante de nuit de l’Hôpital parisien, sous la direction du Dr Florence Rollot-Trad. "Quatorze patients  âgés de 70 à 92 ans ont accueilli Paro® pendant trois nuits. Une évaluation était réalisée avant puis après la présentation de Paro®  au patient, qui avait été repéré en souffrance par les soignants. Des informations sur 12 types de comportement ont été recueillies", explique-t-elle. L’effet bénéfique a été observé sur les manifestations anxieuses et les troubles du comportement chez ces patients à l’autonomie très altérée, dans un contexte de maladie cancéreuse le plus souvent avancée. En effet, 8 patients ont été apaisés la nuit par la présence de Paro® à leurs côtés ; 4 l’ont refusé d’emblée ou sont restés indifférents.

    Cette étude pilote innovante, première dans un centre de lutte contre le cancer, témoigne de l’intérêt de l’interaction de Paro® avec certains patients âgés. "Au-delà des situations chroniques de maladies neurodégénératives évoluées, l’utilisation de Paro® pourrait donc s’étendre à d’autres contextes, tel celui de l’hospitalisation aiguë en cancérologie." 

    "A l’heure où la gérontechnologie est en plein essor pour l’accompagnement des personnes âgées, ce type de robot pourrait aider à atténuer les manifestations anxieuses que peuvent engendrer une hospitalisation et/ou les traitements du cancer", conclut le Dr Florence Rollot-Trad. Et d’ajouter : "Il représente une technique non médicamenteuse, à choisir parmi d’autres en fonction des caractéristiques du patient. Il offre une possibilité de limiter l’usage des psychotropes notamment, en limitant certainement ainsi les effets indésirables des médicaments." 

     

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  • Joyeux Noël!

     

     

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  • Météo 2015

    Année de 13 lunes encore: temps très humide toute l'année 2015

    Janvier: pluvieux, très humide sur toute la France

    Février: mauvais temps général (voir ci-dessus); léger mieux bord Méditerranée (moins de pluie)

    Mars: même temps très humide partout, mieux sur bord Méditerranée et Ouest (Bretagne) + Nord de la France

    Avril: mauvais temps général, vent fort dans beaucoup de régions bord de mer

    Mai: pluvieux à très humide un peu partout sauf sur toutes les cotes, surtout atlantiques et méditerranéennes

  • La nutrigénétique, avenir de la nutrition

    Qu'est-ce que la nutrigénétique ? Une discipline naissante mais prometteuse qui pourrait bien un jour amener à reconsidérer les recommandations alimentaires pour les adapter au mieux aux besoins de chacun de nous.

    Comment faire pour rester en bonne santé?

    Règle numéro 1: adopter une alimentation équilibrée. Surveiller ses apports en vitamines et minéraux pour éviter les carences et être sûr de ne pas manquer de nutriments essentiels au bon fonctionnement de son organisme.

    La naissance de la médecine prédictive

    La nutrigénétique est issue de ce qu’on appelle la médecine préventive, un concept édicté par le prix Nobel de médecine Jean Dausset en 1980 : " Depuis des siècles, la médecine a essayé de traiter et aujourd'hui son but ultime est de prévenir plutôt que de guérir. Mais pour prévenir, il est nécessaire de prédire ; c'est pourquoi la médecine prédictive, première étape de la médecine préventive, est née ".

    Problème: l’alimentation optimale n’est pas la même pour tout le monde. Le régime alimentaire qui convient à votre voisin n’est pas forcément adapté à votre organisme. Parce que nous n’avons pas tous le même profil génétique, nous n’avons pas tous le même métabolisme ni les mêmes besoins alimentaires. Tel est le principe de la nutrigénétique. LaNutrition.fr vous fait découvrir cette spécialité innovante et vous présente trois maladies que la nutrigénétique peut contribuer à prévenir : les maladies cardiovasculaires, l’ostéoporose et l’hypercholestérolémie.

    Prévenir pour mieux guérir

    " Nous sommes tous le résultat d’interactions entre gènes et environnement, explique le docteur Helena Baranova, organisatrice en France du premier diplôme inter-universitaire de Médecine Prédictive. Le but est d’adapter au mieux l’environnement de chacun aux susceptibilités génétiques qu’il y a derrière ". Ça tombe bien : le programme international de séquençage du génome humain s’est achevé avec succès en 2003 et a permis d’identifier près de 30 000 gènes. " En connaissant votre profil génétique, vous pouvez découvrir les particularité métaboliques de votre organisme et adapter votre environnement et donc votre alimentation en conséquence, explique la spécialiste. C’est de la prévention intelligente ".

    Balayer les idées reçues

    La génétique représente un outil extraordinaire dans le concept de prévention personnalisée, à condition de l’appréhender correctement. " Il est indispensable de différencier la génétique utilisée dans le cadre de la médecine prédictive des idées reçues que les gens ont sur cette discipline ", souligne le docteur Baranova. Selon la chercheuse les analyses génétiques sont souvent synonymes de maladie dans l’esprit du public. " Il faut absolument distinguer la logique des maladies monogéniques de celle de la prévention personnalisée. " Une maladie monogénique est une maladie liée à un seul gène. C’est par exemple le cas de la mucoviscidose : si vous êtes porteurs des deux copies du gène de cette maladie, alors vous serez forcément atteint de mucoviscidose. " Mais en prévention l’approche est totalement différente. Pour commencer on ne travaille pas sur des gènes isolés mais sur des combinaisons de gènes dont il faut systématiquement analyser les interactions. Par ailleurs nous travaillons sur des maladies induites par l’environnement, ce qui explique qu’on ne parle pas de risque absolu ou de diagnostic. On parle plutôt de tests prédictifs et de risque relatifs donc toujours modulable. D’ailleurs en consultation nous essayons de bannir les termes de "risque" et de "prédisposition" que les patients peuvent trop facilement percevoir comme une fatalité“.

    Cet outil génétique est indissociable d’une analyse du mode de vie du patient et de son environnement. "D’ailleurs le fait de détecter un gène de sensibilité à une maladie chez un patient ne veut absolument pas dire que ce dernier va développer la maladie", précise la spécialiste. Ça signifie juste que c’est une possibilité, mais si on en tient compte dans une prise en charge personnalisée et globale, on peut adapter l’environnement de façon à éviter parfois que cette maladie ne se déclare".