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LA VERITE! - Page 396

  • Les allemands copient la médiacratie française....

    "Je veux baiser". "Je veux t'embrasser". "Je vais te tuer". Ces mots glaçants apparaissent dans les rapports rédigés par la police allemande, après les violences perpétrées durant la nuit de la Saint-Sylvestre dans le centre de Cologne. Un millier d'hommes auraient pris part, de près ou de loin, à des agressions subies par des dizaines de femmes, dans cette ville de l'ouest de l'Allemagne.

     Une semaine après les faits, vendredi 8 janvier, 121 plaintes ont été déposées pour des vols, des agressions physiques et, pour les trois quarts d'entre elles, pour des violences sexuelles. Face à l'ampleur des faits, une cellule d'enquête spéciale, baptisée "Nouvel An", a été créée, forte de 80 policiers.

    La présence de migrants parmi les auteurs de ces violences fait scandale outre-Rhin, où 1,1 million de demandeurs d'asile ont été accueillis en 2015 –un nombre record. La polémique enfle d'autant plus que cette présence massive sur le sol allemand suscite l'inquiétude grandissante de l'opinion publique.

     

    Voici trois éléments troublants qui alimentent la controverse, au-delà même des frontières allemandes.

    Des réfugiés ont-ils violé des femmes?

    Deux rapports des polices locale et fédérale, rédigés les 2 et 4 janvier, ont été révélés vendredi par la WDR, le Zeit, le Spiegel et Bild (articles en allemand). Ils indiquent que les policiers déployés dans le centre de Cologne, aux abords de la cathédrale et de la gare centrale, durant la nuit du Nouvel An ont procédé à 70 contrôles d'identité en raison de violences. Et la majorité des personnes qu'ils ont contrôlées avaient des documents attestant de leur enregistrement comme demandeurs d'asile auprès de l'Office fédéral pour immigration et réfugiés (BAMF). Ces personnes n'ont en revanche pas présenté de pièces d'identité, rapporte l'Express.

     

    Les policiers disent aussi avoir vu, dans la foule participant aux violences, des personnes dont l'apparence indique qu'elles viennent d'Afrique du Nord et de pays arabes, notamment la Syrie. "Je suis syrien, vous devez me traiter avec gentillesse ! Madame Merkel m'a invité", aurait même lancé un homme à un policier, selon le rapport cité par Bild et le Spiegel.

    Un porte-parole du ministère de l'Intérieur a annoncé, vendredi, que la police fédérale est parvenue à identifier "31 suspects", dont "18 ont le statut de demandeur d'asile" : neuf Algériens, huit Marocains, quatre Syriens, cinq Iraniens, un Irakien et un Serbe. Deux Allemands, un Irakien, un Serbe et un Américain sont également soupçonnés.

    Mais il s'agit là de la liste des personnes suspectées d'avoir pris part aux vols et aux violences physiques. Les autorités fédérales n'ont pas évoqué de suspects concernant les agressions sexuelles, ni mentionné d'interpellations.

    De son côté, la police locale a indiqué, vendredi, que deux voleurs à la tire, présents le soir des incidents, ont été arrêtés. Ils ont 16 et 23 ans et sont originaires de Tunisie et du Maroc. La chaîne publique de la région de Cologne, WDR, révèle que les policiers ont découvert, sur les téléphones portables de ces deux hommes, des images vidéo du soir du réveillon montrant des agressions de femmes, ainsi qu'une feuille de papier –un document révélé par Bild– sur laquelle sont notées des traductions de termes sexuels de l'arabe à l'allemand.

     Le gouvernement allemand affirme que les suspects identifiés à ce jour sont en majorité des réfugiés. Mais il n'est toutefois pas prouvé que les agressions sexuelles sont le fait de migrants fraîchement arrivés en Allemagne.

    La police allemande a-t-elle minimisé les faits?

    Le 1er janvier, la police de Cologne publie un communiqué rassurant. Elle affirme que les festivités du Nouvel An se sont déroulées sans incidents. Quatre jours plus tard, le scandale éclate avec l'accumulation des dépôts de plaintes.

    La police reconnaît alors avoir fait évacuer la place où se sont déroulées les agressions, à cause de tirs dangereux de feux d'artifice. Mais elle explique que les agressions ont débuté plus tard, sans qu'elle en prenne la mesure.

    Une semaine après les faits, les rapports de police dévoilés par la presse allemande vendredi, viennent contredire cette version officielle. Dans le procès-verbal, rédigé le 4 janvier et révélé par le Spiegel et Bild vendredi, un cadre de la police décrit des scènes de "chaos". "Des femmes en pleurs ont rapporté les agressions sexuelles", "des femmes, accompagnées ou pas, ont essuyé un harcèlement nourri indescriptible", "des victimes et des témoins ont été menacés", "des policiers et des passants ont pu empêcher que des viols" ne soient commis.

    L'officier y fait même un aveu de faiblesse : la police "n'a pas pu maîtriser l'ensemble des événements, des agressions, des délits... parce qu'il y en a eu trop en même temps".

    Sous le feu des critiques, le chef de la police de Cologne a été suspendu de ses fonctions. Il lui est reproché à la fois l'inaction de ses services le soir des faits et le manque d'informations délivrées ensuite sur l'ampleur des violences, puis le profil des suspects. Ces manquements ont en effet alimenté la confusion entre les enquêtes de la police locale et fédérale.

    Cologne est-il un cas isolé?

    Durant la nuit de la Saint-Sylvestre, des violences similaires ont eu lieu dans une douzaine d'autres villes d'Allemagne, liste Focus. A Hambourg, 50 plaintes ont été déposées dont 38 pour des agressions sexuelles. A Düsseldorf, 40 femmes se disent également victimes. Le scénario est souvent le même : des groupes d'hommes apparemment arabes ou nord-africains les encerclent, parfois à 20 ou 30. Munich, Stuttgart, Berlin, Nuremberg et Francfort ne sont pas épargnées. Et l'Allemagne n'est pas le seul pays touché.

     A Helsinki, la capitale finlandaise, des patrouilles de police ont constaté de "nombreux faits de harcèlement sexuel" sur une place centrale de la métropole, où 20 000 fêtards étaient réunis. Et trois agressions sexuelles ont été signalées dans la plus grande gare de la ville, où 1 000 demandeurs d'asile, pour la plupart irakiens, étaient rassemblés. Seules deux plaintes ont cependant été déposées. Trois demandeurs d'asile suspects ont été placés en détention.

    "Il n'y a pas eu de tels cas de harcèlement lors de la nuit du Nouvel An de l'an dernier, ni en d'autres occasions... C'est un phénomène totalement nouveau à Helsinki", assure le chef adjoint de la police de la ville à l'AFP.

     Les mêmes scènes de violence se sont déroulées à Zurich, en Suisse, alors que 120 000 personnes se pressaient autour du lac pour les célébrations du Nouvel An, selon le communiqué de la police locale diffusé jeudi.

     La police zurichoise a d'abord enregistré 24 plaintes pour des vols. Au cours de l'enquête, plusieurs victimes ont alors confié aux policiers avoir également été encerclées et soumises à des attouchements, comme à Cologne. Une demi-douzaine d'entre elles parlent d'agressions sexuelles, perpétrées par "des groupes d'hommes à la peau foncée".

    Le porte-parole de la police zurichoise souligne que le nombre des victimes est inhabituel pour la Suisse. La police a ouvert une enquête. Elle a lancé un appel à témoins et a demandé à d'éventuelles autres victimes de venir porter plainte.

    http://www.francetvinfo.fr/monde/europe/migrants/allemagne-trois-zones-d-ombre-sur-les-agressions-sexuelles-du-nouvel-an-a-cologne_1259037.html

  • Ils viennent jusque dans nos bras, égorger nos fils et nos compagnes!

     Où sont les hommes européens?

     

    À Cologne, en particulier la nuit de la Saint-Sylvestre, on ne boit pas que de l’eau. Parmi les milliers de personnes qui s’étaient rassemblées devant la gare centrale de la ville, à deux pas de l’antique cathédrale, pour " faire la fête ", en cette soirée du Nouvel An, un certain nombre, autochtones ou allogènes, étaient probablement dans l’état second que crée, paraît-il, l’absorption de diverses substances, par exemple à base de raisin, de houblon, d’orge, de cannabis ou de coca.

    Que s’est-il exactement passé? Après que des plaisantins ou des provocateurs ont tiré de gros pétards d’artifice dans la foule, une partie des badauds venus en famille, pris de panique, ont évacué les lieux sous la protection des forces de l’ordre. C’est alors que quelques bandes, composées, d’après le chef de la police municipale, de jeunes gens " de dix-huit à trente-cinq ans, apparemment d’origine arabe ou nord-africaine ", s’en sont systématiquement prises aux femmes isolées restées sur place, leur arrachant téléphones portables, sacs à main, et profitant de la bousculade et de la nuit pour les caresser, pour les " tripoter " et, au moins dans un cas, pour aller plus loin.

    Quatre-vingt-dix plaintes ont été en tout cas déposées à la suite de ces actes de banditisme. Les voyous qui se sont rendus coupables de ces vols, de ces agressions et de ce viol venaient-ils des " quartiers ", puisqu’on apprend à cette occasion que l’Allemagne, comme la France ou la Grande-Bretagne, connaît elle aussi quelques problèmes avec ses cités? S’agissait-il d’arrivants récents, issus du flot torrentiel des 900.000 " migrants " qui ont déferlé l’année dernière sur le pays avec la bénédiction de Mme Merkel? L’enquête devrait permettre de l’établir.

    Gardons le sens des proportions. Les incidents de ce 31 décembre n’ont, évidemment, pas l’ampleur et la gravité du carnage parisien du 13 novembre. Leur dimension n’en dépasse pas moins celle d’un simple fait divers et ce n’est pas créer ou entretenir un climat " nauséabond ", pour reprendre le terme utilisé hier matin par la présentatrice du journal de France Inter, que de s’interroger sur leur signification, leurs conséquences et peut-être avant tout sur les réactions qu’ils ont suscitées.

    Délinquants d’habitude ou délinquants d’occasion, immigrés de longue ou de fraîche date, qu’ils aient prémédité ou non leurs débordements, leurs auteurs ne savent pas où et quand ils vivent. Pour eux, une femme seule, non voilée, éventuellement court vêtue, qui se trouve dans la rue passé minuit est une femme de mauvaise vie, un jouet sexuel, une proie offerte aux convoitises et aux outrages des mâles. Ils ne se sont pas autrement conduits avec les Allemandes qui étaient à leur merci que les révolutionnaires égyptiens du printemps arabe, sur la place Tahrir, avec les journalistes occidentales et autres émancipées qui passaient à portée de leurs mains baladeuses.

    Angela Merkel, dont la politique d’ouverture des frontières – applaudie dans un premier temps, aujourd’hui de plus en plus discutée ou désapprouvée – risque de subir le contre-coup des incidents de Cologne, a condamné dans les termes les plus durs " des actes insupportables ". Il est désormais de sa responsabilité de subordonner l’accueil et le maintien sur le sol allemand des migrants, demandeurs d’asile et autres réfugiés à leur acceptation et à leur respect des mœurs et des lois en vigueur en Europe.

    C’est d’ailleurs le sens du message que la chancelière a adressé au maire de Cologne, Mme Henriette Reker, accessoirement élue de la CDU. Or, celle-ci l’a semble-t-il entendu d’une autre oreille.

    Passe encore que Mme Reker se soit moins souciée, dans un premier temps, de la poursuite et de la punition des agresseurs que de la réputation de sa ville et du succès du prochain carnaval local (un million de visiteurs attendus). Mais l’édile rhénane n’a pas craint de se tourner vers les potentielles victimes du machisme islamique pour leur recommander de bien vouloir adopter, dans les meilleurs délais, un comportement plus sage et moins provocant que celui qui a déclenché les incidents de la semaine dernière. C’est tout juste si elle ne leur a pas indiqué la contexture et l’épaisseur de la burqa qu’elles devraient revêtir. Dame, il faut vivre avec son temps !

    Autant dire à la horde sauvage du 31 décembre: "Chez nous, vous êtes chez vous. Ne vous essuyez pas les pieds avant d’entrer dans la maison. Installez-vous sur le canapé pour regarder la chaîne de votre choix. Videz le réfrigérateur. Et si le maître de maison n’est pas d’accord, fichez-le donc dehors et prenez sa place dans le lit de votre hôtesse…

    Où l’on voit que Soumission n’est pas un roman d’anticipation

  • Vive la France!

     

     

     

     

     

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