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occitani

  • Fortes filles

    Allemagne : une Polonaise et une Italienne neutralisent un Marocain armé d’un couteau qui était en train de violer une jeune femme

    Les amies ont décidé d’accepter les demandes des médias et de raconter leur histoire. "Il ne s’agit pas de ce que nous avons fait", dit Linda Cariglia. "Nous voulons juste vous secouer et vous montrer combien il est important d’aider les autres". " Il suffit d’imaginer que la personne agressée est peut-être sa propre sœur, petite amie ou fill ", ajoute Karolina Smaga. "Alors il devient tout à fait naturel que l’on intervienne".

    Karolina et Linda sont convaincues qu’elles agiraient de nouveau ainsi dans une situation similaire. Le Marocain a frappé Karolina au visage, l’a menacée avec un couteau et l’a légèrement blessée. "Je voulais juste que l’agresseur soit attrapé", explique Karolina, qui n’était pas satisfaite d’avoir simplement frappé l’homme en fuite. Si elle ne l’avait pas poursuivi, il aurait pu échapper à la police.

     (…) Les amis et les familles des deux filles sont d’une part fiers d’elles. D’un autre côté, ils savent aussi à quel point ce sauvetage était dangereux. "Ma grand-mère a pleuré quand elle a lu ce que nous avions vécu", dit Linda Cariglia. "Ma mère m’a dit que nous avions été imprudentes", ajoute Karolina. "Mais elle a aussi expliqué qu’elle aurait fait la même chose“.

     (…) Die-glocke.de

     

    Allemagne – L’Italienne Linda Cariglia (20 ans) et la Polonaise Karolina Smaga (21 ans) n’arrivent toujours pas y croire deux jours après l’agression: Les deux femmes courageuses n’ont pas seulement empêché un viol dans le centre-ville, elles ont également veillé activement à ce que l’assaillant, un migrant marocain, soit bien arrêté par la police.

    Comme l’a confirmé le porte-parole de la police, Michael Kötter, un homme a tenté de violer une jeune femme dans une rue de Bielefeld à 6h15 du matin. L’agresseur a attaqué la victime par derrière, l’a poussée au sol et l’a emmenée de force derrière un buisson.

    Deux passantes sont intervenues immédiatement et ont empêché ce jeune Marocain de 25 ans qui, selon la police, vit dans un foyer pour réfugiés à Herford, de commettre ce crime.

    Linda Cariglia, 20 ans, se souvient: "Nous allions de la discothèque à la gare quand nous avons entendu des bruits dans les buissons derrière le pont – et puis nous avons appelé à l’aide". Alors que les fêtardes regardaient de plus près, elles ont reconnu un homme couché sur une femme qui pleurait.

    "On voyait bien qu’elle ne voulait pas de ça" dit Cariglia. Pour être sûr, Smaga a crié: "C’est ce que tu veux? " Bien que l’agresseur ait fermé la bouche de sa victime, celle-ci réussi à crier "Non" et ses appels à l’aide étaient clairement audibles.

    La jeune Polonaise de 1,57 m de haut est devenu extrêmement énergique à ce moment-là. Sans y penser, elle a crié "Enlève toi d’elle", a poussé l’homme et a aidé la victime à se relever et l’a portée auprès de son amie pour s’assurer de sa sécurité.

    "Elle a poussé la victime en pleurs vers moi, je l’ai serrée dans mes bras et j’ai sorti mon téléphone. J’ai appelé la police, mais j’étais choqué, je ne savais pas où nous étions. J’ai donné le téléphone à Karolina", dit Linda.

    Quand l’assaillant marocain s’est relevé, il s’est précipité sur la Polonaise et lui a arrachée le téléphone des mains. Trop tard: la police était au courant. Karolina l’a alors frappé au visage avec son poing.

    Le délinquant sexuel s’est rendu compte qu’il n’avait plus qu’une seule option: il a pris son envol. Pendant que Linda continuait à s’occuper de la jeune femme violentée, Karolina a poursuivi le fugitif avec ses talons hauts. "Je voulais arrêter ce type. Je ne voulais pas qu’il s’en tire comme ça“.

    L’auteur de la tentative de viol avortée avait manifestement planifié sa fuite avec précision. Il s’est dirigé vers un parking dans la rue Elsa-Brändström-Strasse et a sorti un vélo derrière un mur du jardin. "Il était sur le point de partir", rapporte Smaga. Mais la Polonaise a sauté par-dessus la clôture du parking et a renversé le vélo, faisant tomber l’agresseur.

     

    Le Marocain a sorti un couteau et a légèrement blessé la courageuse Polonaise.

    L’agresseur a été interpellé par la police peu de temps après.

     (…) Ce qui les a choqué les deux jeunes femmes, c’est que des hommes se trouvaient à proximité, de l’autre côté de la rue. Mais malgré les cris audibles de la victime et l’intervention bruyante des témoins ("Arrêtez le violeur"), personne n’a réagi.

    Les amies appelées "héroïnes" par les policiers sont visiblement fières. Néanmoins, étant donné les éloges et la grande gratitude de la victime pour leur aide, elles restent modestes: "Nous appelons cela le courage moral. "

     (…) Neue Westfälische / Wprost.pl

     (…) Pour les deux filles, l’intervention était une évidence: "Nous le ferions encore et encore. Ce n’est qu’après qu’on a pensé que quelque chose aurait pu nous arriver. Mais quand on a vu ce qu’il se passait, nous étions plein d’adrénaline. "

    Une porte-parole de la police a expliqué plus tard: "Prendre en considération les appels à l’aide était très courageux et important, mais courir après l’agresseur était aussi très dangereux". Néanmoins, elle salue l’intervention courageuse des filles.

    Les copines ont tiré leurs propres conclusions de l’incident: "Nous ne serons pas intimidés par la peur, elle ne nous aidera pas". Au lieu de cela, elles envisagent de prendre des cours d’autodéfense.

    Der Westen

  • Un Rêve Iranien: " Pourquoi Ne Puis-Je Pas danser? "

    Non seulement fous sanguinaires mais d'une débilité telle que nous savons pourquoi les pays européens ont baissés en QI depuis quelques années… y compris la France.

     

    par Majid Rafizadeh

    Traduction du texte original:  An Iranian Dream: "Why Can't I Dance?"

    Les Occidentaux n'imaginent même pas que la danse puisse être considérée comme un crime. Mais quand la charia est appliquée, avant que chacun comprenne, un innocent "divertissement" devient soudain un crime.

    Maedeh Hojabri a posté sur Instagram des vidéos d'elle-même en train de danser. Un "crime" qui a valu à cette jeune femme de 19 ans d'être arrêtée, emprisonnée sans procès, bâillonnée puis obligée de confesser honteusement son "méfait" à la télévision.

    A qui la police de la moralité va-t-elle s'en prendre maintenant?

    En Iran, pays gouverné par la charia, une mère musulmane parlait de sa fille de 10 ans ainsi : " Elle m'a demandé: " Pourquoi ne puis-je pas danser? Nous dansons parce que nous sommes heureux. Pourquoi est-il mal de se sentir heureux? Pourquoi danser est-il un crime? ". Cette mère voyait la confusion dans le regard de sa fille et pensait "elle pose des questions auxquelles je ne sais pas répondre“.

    La vie de sa fille a changé, a-t-elle dit, quand elle a appris que la police de la " moralité " islamique d'Iran avait brusquement fondu sur une jeune femme de 19 ans, Maedeh Hojabri. Le crime de cette jeune femme? Avoir posté sur Instagram, un réseau social international, des vidéos d'elle-même en train de danser. Les conséquences que génèrent de telles transgressions sont graves. Comme d'autres jeunes femmes qui avaient, elles-aussi, posté des vidéos d'elles-mêmes en train de danser, Hojabri a été arrêtée, emprisonnée sans procès et sans possibilité de se défendre, puis contrainte à la honte de devoir confesser son "crime" à la télévision.

    Capture d'écran de la vidéo Instagram de Maedeh Hojabri commettant le "crime" de danser. Elle a été arrêtée par la police iranienne, emprisonnée sans procès et contrainte à une honteuse confession publique.

    Ces quelques pas de danse avaient valu à Hojabri une immense popularité sur Instagram et des centaines de milliers de followers iraniens sur ce réseau social. Si elle avait vécu en Occident, son sort aurait été différent. Son talent aurait probablement été remarqué, des opportunités se seraient présentées, elle aurait été invitée à des émissions populaires et obtenu des sponsors en vue d'émissions de radio et de télévision.

    Mais dans un pays régulé par la charia comme la République islamique d'Iran, les Hojabri sont traitées en criminelles honteuses. L'ironie est que la plupart des dirigeants extrémistes de ce pays - un État qui sponsorise le terrorisme - devraient eux-mêmes être traités en criminels. Mais pour ces hommes, Hojabri et tous ceux qui comme elle, n'aspirent qu'à exprimeur leur joie représentent un intolérable danger.

    La gaieté et la danse peuvent changer les choses dans la vie sinistre d'un peuple en butte à des difficultés économiques, à des troubles politiques, à la censure et à de nombreuses autres difficultés. Mais en Iran, ces gestes simples et lumineux sont payés d'intimidation, de comparution devant les tribunaux de la charia et de peines d'emprisonnement. Avec comme conséquence des aveux forcés et publics pour valider les dogmes de la République islamique d'Iran et intimider quiconque serait tenté de danser aussi après avoir visionné ces vidéos.

    Cela nous ramène à la question de la fillette de 10 ans : " Pourquoi ne puis-je pas danser? Pourquoi la danse est-elle un crime? "

    S'il est difficile d'imaginer que la danse puisse conduire à l'emprisonnement, cette difficulté est plus grande encore pour une enfant qui s'éveille au monde qui l'entoure et qui craint désormais d'être persécuté par la police islamique chaque fois qu'elle exprimera sa joie.

    Pourquoi la danse inquiète-t-elle et effraie-t-elle autant les chefs religieux islamiques? Pourquoi les groupes islamistes pressurent-ils le cerveau des filles pour leur faire croire que la danse est un péché impardonnable?

     

    Il s'agit sans doute d'une tentative de supprimer le désir sexuel que la danse ou le spectacle de la danse peut susciter. Mais il s'agit aussi de contrôler, limiter et assujettir les femmes sous prétexte de les garder "pures" et apparemment éloignées de tout désir sexuel.

    Le contrôle du corps des femmes a toujours été le pilier de la charia en Iran. Les lois islamistes font de la surveillance et du contrôle de chaque aspect de la vie quotidienne une priorité. Supervision et sanction ont ainsi pour fonction de générer la peur : à chaque instant de leur vie quotidienne, les gens doivent toujours être conscients qu'ils sont observés.



    Rien que pour les emmer.... (ce n'est pas la jeune fille en question)...

     

    Pour les islamistes radicaux, le " plaisir " relève de l'interdit. Raisons religieuses obligent pourrait-on croire ! Mais les raisons politiques priment. Les islamistes fondamentalistes savent que s'adonner à des plaisirs simples comme la danse ou l'organisation de fêtes, rend moins craintifs. Des personnes qui ont moins peur deviennent plus susceptibles de se rebeller et de franchir les bornes d'un État fondé sur la charia. Les dirigeants islamistes considèrent alors que le pouvoir qu'ils s'arrogent sur la population est menacé.

    Les musulmans extrémistes pensent qu'une femme qui serait autorisée à agir selon son bon plaisir sera tentée de faire valoir ses droits, de prendre le risque de l'"impureté", d'acquérir une indépendance financière et finalement de rejeter sa subordination et le statut de citoyenne de deuxième classe que les autorités religieuses lui imposent à la naissance.

    Mais, comme on peut s'y attendre, un tel carcan légal suscite aussi une résistance, en particulier chez les femmes et les filles qui recherchent, comme beaucoup d'entre nous, la liberté. C'est pourquoi, après l'arrestation de filles comme Maedeh Hojabri, d'autres femmes courageuses ont rejoint la cause en publiant leurs propres vidéos de danse et en imitant les danses de Hojabri.

    Les règles de la charia dans les mosquées, les écoles et la société devraient être étudiées attentivement. Pour les Occidentaux, il peut sembler ridicule que la danse soit considérée comme un crime. Mais quand la charia est imposée, avant que chacun le comprenne, tout jeu ou "divertissement" devient un crime.

    Pour l'instant, la fillette de 10 ans ne peut que rêver au moment où elle sera libre de danser, pendant que sa mère cherche encore une réponse. Dans la plus grande partie du monde, les filles peuvent sauter, tourner et crier de joie - mais pour nombre de filles, la moindre rotation sur soi est considérée comme un crime. A qui la police de la moralité s'en prendra-t-elle maintenant?

    Le Dr. Majid Rafizadeh, chercheur formé à Harvard, homme d'affaires, politologue, est aussi membre du conseil d'administration de la Harvard International Review et président du Conseil international américain sur le Moyen-Orient. Il est l' auteur de plusieurs livres sur l'islam et la politique étrangère des États-Unis.