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sociétén

  • TOUCHE PAS A MON NOËL!

    La mairie de Bordeaux doit, en principe se trouver sise dans un beau palais ancien... m'étonnerait qu'il n'y a pas de planchers en bois et autres trucs anciens en bois...

    Le couillon vert doit, pourtant, se prélasser dans son palais... on peu savoir pourquoi il ne change pas les lames du parquet de bois mort?

     

    Le grand concours des maires écolo-dingos!

    Il faut revenir sur cette forfaiture qui voit un maire, ayant dédaigné d’honorer une tradition chrétienne multi-séculaire de sa ville, se précipiter sur un chantier pour y baptiser, toute honte bue, le symbole de notre futur asservissement à l’islam.

    Il faut, ayant en mémoire les noms des serpillères vaincues qui vendirent la France à l’Allemagne nazie en 1940, marteler les noms des auteurs de ce crime contre le pays, quatre-vingts ans plus tard.

    Grégory Doucet, maire de Lyon, Thomas Rudigoz, député du Rhône, accompagnés de la servante de garde ce jour-là, Fanny Dubot, maire d’un arrondissement de la capitale des Gaules.

    Imaginons la jouissance intérieure que ressent le quatrième larron de cette farce, le dénommé Farouk Korichi, démocrate français attaché aux Droits de la Femme et à la mémoire de Guillaume Apollinaire, ici posant la main à côté de celles de ses comparses, sur la pierre qui scelle la prise de possession, pour près d’un siècle, c’est-à-dire pour toujours ou presque, d’une part de la France par les hordes du Prophète.

    On dirait un serment. Ou une fervente invocation. Au Dieu des Vrais Croyants. Par des spectres. Dix-neuf ans après que les compagnons du Prophète ont déclenché la Troisième Guerre mondiale.

    C’est une trahison. Comme en 1940. 

    Méritant le même sort, pour l’Histoire et pour solde de tout compte.

    Source:

    LE GRAND CONCOURT DES MAIRES ÉCOLO-DINGOS

    Nous ouvrons officiellement cette rubrique promise à un bel avenir. Le camarade Doucet l’inaugure de manière brillante, mais nul doute qu’il sera bien vite dépassé par plus dingo-débilo que lui. En attendant les records qui ne vont pas manquer de tomber, la cueillette du jour nous emmène à Bordeaux.

    Bordeaux donc. Le stationnement des résidents sera calculé en fonction de leurs revenus. Et la baguette de pain, c’est pour quand? Extension souhaitée vers les hétaïres qui tapinent en plein air ou dans des roulottes, avec tarifs étudiants: 

    Source:

    Bordeaux toujours. Bon. Vous vous disiez: ce n’est pas possible, il ne descendra pas jusqu’à ce tréfonds d’absurdité. Et bien oui! Non seulement, il a désouché le sapin de Noël mais en prime il creuse pour trouver quelque chose. Quoi? Je ne sais pas… son frais minois dans un miroir envasé, peut-être… Khmers Verts, oui, à 100 %, aussi toxiques que les Rouges. Alors, les Bordelais, heureux?

     Source:

    Et les moutons de l’Aïd égorgés à vif, il a l’intention d’interdire cette pratique, le verdâtre? Même pas en rêve, pense Candide, jamais il n’aura les c… de s’attaquer à la Religion d’amour!

     

    Le maire écolo de Bordeaux: il faut sauver les sapins de la barbarie de Noël!

    Jusqu’où va l’inventivité des écologistes. Le nouveau maire de Bordeaux veut une " charte des droits de l’arbre".

    Faut-il en rire ou en pleurer (éventuellement de rire)? Alors qu’il pouvait sembler y avoir plus grave et plus urgent en cette période de bouleversements majeurs et de crise économique profonde à la suite des mesures de confinement généralisé du printemps dernier, voilà qu’il semble urgent… de sauver les sapins de Noël.

    L’écologisme, jamais à court d’idées

    Ainsi que le relevait Nathalie MP Meyer pas plus tard qu’hier, dans un article sur le sujet, en évoquant, outre la bien-pensance des stars et autres bobos écolos, les propositions de la Convention citoyenne pour le Climat:

     Pour bien faire, il faudrait interdire la vente de véhicules neufs pour un usage particulier, il faudrait que les constructions neuves soient exclusivement de l’habitat collectif avec une surface maximum de 30 m2 par habitant, que les vols hors Europe non justifiés soient interdits, que les vêtements neufs mis sur le marché soient limités à 1 kg par personne et par an, que la consommation de viande passe de 90 kg à 25 kg par personne et par an, que toutes les parcelles de jardin deviennent productives, etc. etc.

    Il faudrait en outre assujettir nos droits fondamentaux inscrits dans la Constitution à la priorité environnementale et reconnaître un crime d’écocide malgré la difficulté d’en définir les contours de façon indiscutable. Et n’oublions surtout pas, il faudrait se débarrasser une fois pour toutes de l’énergie nucléaire qui a l’immense tort de rendre possible un avenir décarboné mais hélas beaucoup trop croissant!

    Et il ne s’agit là que d’un extrait des multiples propositions plus ingénieuses (ou farfelues, ou liberticides, ou délirantes, au choix) les unes que les autres de nos chers écologistes et consorts. Mais en la matière, il semble bien que nous sommes bien lancés depuis un certain temps dans une surenchère pas prête de s’étioler…

    L’instauration d’une charte des droits de l’arbre

    Voici donc que le nouveau maire de Bordeaux, qui semblait jusque-là plus mesuré que d’autres maires écologistes de grandes villes, organise ce matin une conférence de presse pour décréter qu’il ne veut plus "d’arbre mort sur la place de la ville". Stupeur!

    Et surtout, tenez-vous bien: une "charte des droits de l’arbre" va être adoptée d’ici la fin de l’année. Non vous ne rêvez pas!

    Il est vrai que lorsqu’on vient de se faire élire brillamment maire de l’une des plus grandes villes de France sous l’étiquette écologiste, il faut bien justifier son empreinte et ne pas décevoir son électorat… (je ne peux pas écarter non plus la possibilité, bien sûr, que Pierre Hurmic soit authentiquement convaincu par son idée et qu’elle lui tienne profondément à cœur).

    Le reste, je le laisse à votre appréciation. Mais était-ce si urgent d’annoncer solennellement cette décision au moment où d’autres questions qui pourraient sembler autrement plus urgentes se posent avec acuité?

    Source:

     

  • Ignoble de tout temps…

    ignoble jusqu'à la mort!... vu son âge, déjà un pied dans la tombe!

    Avant l'interview de Macron, Valls trouve qu'"on passe beaucoup de choses à Monsieur Plenel

    L'ex-premier ministre dénonce les anciens écrits du journaliste de Mediapart a propos de l'attentat des JO de Munich.

    Par Alexandre Boudet

    Il ne voulait pas dire de mal. "Je ne peux pas commenter les choix du Président de la République ou des médias. Mediapart est un site dont chacun connaît la qualité et l'engagement", a d'abord affirmé Manuel Valls. Mais l'ancien premier ministre n'a pas pu s'empêcher de tacler Edwy Plenel quelques heures avant l'interview d'Emmanuel Macron que le fondateur de Mediapart va faire avec Jean-Jacques Bourdin.

    L'ancien premier ministre qui s'oppose au journaliste notamment sur sa vision de la laïcité a repris à son compte un argument largement répandu ces derniers jours dans les rangs de la droite et de l'extrême droite. Au cours du Grand Rendez-vous Europe 1, CNews, Les Echos, le député de l'Essonne est revenu sur les propos écrits dans les années 70 par Edwy Plenel.

    "Si un journaliste classé à l'époque à l'extrême droite et qui aurait évolué depuis -parce qu'on fait tous des erreurs de jeunesse, parait-il- avait écrit en 1973 qu'il se réjouissait de l'attentat aux Jeux olympiques de Munich contre les athlètes israéliens, je suis convaincu qu'il ne pourrait pas interviewer le président de la République", affirme Manuel Valls.

    Et l'ancien socialiste d'estimer plus largement qu'on "passe beaucoup à Monsieur Plenel et à ses engagements du passé qu'on retrouve d'ailleurs dans la forme de violence qui est la sienne".

    Le Pen scandalisée, Plenel s'explique

    Il y a quelques jours, Marine Le Pen s'était dite "scandalisée" par le fait que l'interview du président de la République soit menée par Edwy Plenel.

    "C'est un homme qui a justifié et défendu un acte terroriste ignoble", dénonçait la présidente du FN. Ces critiques étaient arrivées jusque dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale, le député Les Républicains Jean-Charles Taugourdeau critiquant le choix d'Emmanuel Macron.

    Pour rappel, voici ce qu'écrivait Edwy Plenel, sous le pseudonyme de Joseph Krasny, pour justifier et célébrer l'attentat de 1972 ! Et c'est à ce genre de personnage que le Président de la République accorde un entretien fleuve ! MLP pic.twitter.com/wbOMEFBeal

        — Marine Le Pen (@MLP_officiel) 10 avril 2018

    Le cofondateur et patron de Mediapart avait confirmé à Libération le 2 avril avoir soutenu le groupe palestinien auteur de l'attentat de 1972.

    "Ce texte, écrit il y a plus de 45 ans, dans un contexte tout autre et alors que j'avais 20 ans, exprime une position que je récuse fermement aujourd'hui. Elle n'avait rien d'exceptionnel dans l'extrême gauche de l'époque, comme en témoigne un article de Jean-Paul Sartre, le fondateur de Libération, sur Munich dans La Cause du peuple–J'accuse du 15 octobre 1972", répondait Edwy Plenel.

    "J'ai toujours dénoncé et combattu l'antisémitisme d'où qu'il vienne et sans hésitation. Mais je refuse l'intimidation qui consiste à taxer d'antisémite toute critique de la politique de l'Etat d'Israël", précisait-il aussi.

    https://www.huffingtonpost.fr