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Soyez prudents en France aussi
Les arrestations ne les dissuadent pas. Dans la région de Nordrhein-Westfalen, la police met en garde contre des incursions de bandes nord-africaines dans les trains.
Depuis déjà longtemps, la police fédérale met en garde contre des bandes de Nord-Africains qui volent les passagers à bord des trains durant leurs voyages. Mais ce n’est que depuis les événements du Nouvel An à Cologne que le problème est admis. Il était grand temps. Depuis des semaines, le même schéma se reproduit pour les policiers fédéraux de Nordrhein-Westfalen : ils arrêtent des délinquants d’origine nord-africaine qui commettent des vols dans des trains. Le problème : après l’enregistrement de leurs dépositions, ils ressortent libres. " C’est frustrant, mais nous ne pouvons pas les envoyer en prison“, selon Jürgen Karlisch, de la police fédérale de Dortmund, dans un entretien à rp-online.de. " Selon nous, ils vont rapidement retourner se constituer un butin dans les trains“. Le problème est connu depuis longtemps
Souvent même immédiatement après qu’ils ont été arrêtés par la police. " Souvent nous sommes encore en train de saisir la déposition dans l’ordinateur et la personne est déjà libre, en train de commettre son prochain délit“, selon Karlisch. La police fédérale aurait signalé ce problème depuis longtemps, " mais ce n’est que depuis les événement du Nouvel An à Cologne que nos avertissements sont peu à peu pris au sérieux ", selon le fonctionnaire.
Mais comment le problème peut-il être réglé ? " La seule chose que nous puissions faire dans le cadre de nos fonctions est de compliquer la tâche des voleurs en les contrôlant ", selon Karlisch. La plupart du temps, les délinquants agissent par groupe de trois, chacun ayant une mission bien définie. L’un des hommes s’assoit à côté de la victime. Un autre guette les policiers et un troisième embrouille la victime en discutant avec elle, pour que le premier puisse dérober les objets de valeurs dans les poches de la victime.
Mais il y a pire : après les graves incidents du Nouvel An à Cologne, la police met en garde plus que jamais contre ceux que nous appelons les " Antänzern ". Dans ce type d’escroquerie, les délinquants foncent sur leurs victimes en recherchant le contact physique. Ils agissent souvent de façon très agressive. Quand la victime est distraite pour quelques instants, les voleurs agissent.
Focus.de
Fdesouche
Le Finistère a décidé de revoir sa politique d’accueil des mineurs étrangers isolés. Le département s’est rendu compte que l’absence de contrôles fait de lui un eldorado pour les filières clandestines, qui y envoient des majeurs qui mentent sur leur âge.
“Il n’est pas normal que le Finistère ait plus que son quota". Le conseiller départemental socialiste Marc Labbey, en charge du dossier, le reconnaît de but en blanc, la politique du département pour accueillir des mineurs étrangers isolés a attiré des réseaux d’immigration clandestine: “On l’a mal évalué parce qu’on ne s’attendait pas à cet afflux là. On assume nos responsabilités en la matière.
(….) Car le Finistère accepte toutes les personnes qui se présentent comme mineurs étrangers isolés, alors que d’autres départements font le choix de recouper les informations au cour d’entretiens. Le dossier d’un homme qui donnerait plusieurs dates de naissance, par exemple, peut ne pas être retenu, on estime qu’il n’est pas vraiment mineur. Les documents fournis peuvent aussi être vérifiés par la police de l’air et des frontières, et en cas de doute, des tests osseux peuvent être ordonnés. Rien de tout ça dans le Finistère, l’enveloppe prévue de 2 millions d’euros par an est largement dépassée.
Les jeunes se retrouvent à l’hôtel, créant des tensions. A Quimper, certains hôteliers refusent d’ailleurs désormais de les héberger. Des chiffres extrêmement sensibles puisque dans un rapport, que France bleu s’est procuré, les services de l’Etat font un lien avec les chiffres de la délinquance. Et parlent d’un phénomène de sécurité “inquiétant“.
Si nous avons un doute, on doit pouvoir dire: “Cette personne n’est pas mineure“
Selon Marc Labbey, le Conseil départemental va donc revoir sa politique, pour réorienter les majeurs vers d’autres structures (demande d’asile classique) en s’inspirant de ce qui se fait en Ille-et-Vilaine, où moins d’un tiers des demandes sont suivies d’une prise en charge. L’élu ajoute que le doute ne doit pas profiter au demandeur : « Si nous avons un doute au final, on doit pouvoir dire cette personne n’est pas mineure, nous l’affirmons comme tel, et nous proposons au parquet de prendre des mesures dans ce sens là. »
France Bleu
http://www.fdesouche.com
Le Finistère escroqué par des migrants délinquants qui se font passer pour des mineurs
Par Francois le 02/02/2016
Le Finistère a décidé de revoir sa politique d’accueil des mineurs étrangers isolés. Le département s’est rendu compte que l’absence de contrôles fait de lui un eldorado pour les filières clandestines, qui y envoient des majeurs qui mentent sur leur âge.
“Il n’est pas normal que le Finistère ait plus que son quota ». Le conseiller départemental socialiste Marc Labbey, en charge du dossier, le reconnaît de but en blanc, la politique du département pour accueillir des mineurs étrangers isolés a attiré des réseaux d’immigration clandestine: “ On l’a mal évalué parce qu’on ne s’attendait pas à cet afflux là. On assume nos responsabilités en la matière.
(….) Car le Finistère accepte toutes les personnes qui se présentent comme mineurs étrangers isolés, alors que d’autres départements font le choix de recouper les informations au cour d’entretiens. Le dossier d’un homme qui donnerait plusieurs dates de naissance, par exemple, peut ne pas être retenu, on estime qu’il n’est pas vraiment mineur. Les documents fournis peuvent aussi être vérifiés par la police de l’air et des frontières, et en cas de doute, des tests osseux peuvent être ordonnés. Rien de tout ça dans le Finistère, l’enveloppe prévue de 2 millions d’euros par an est largement dépassée.
Les jeunes se retrouvent à l’hôtel, créant des tensions. A Quimper, certains hôteliers refusent d’ailleurs désormais de les héberger. Des chiffres extrêmement sensibles puisque dans un rapport, que France bleu s’est procuré, les services de l’Etat font un lien avec les chiffres de la délinquance. Et parlent d’un phénomène de sécurité “inquiétant“.
Si nous avons un doute, on doit pouvoir dire: “Cette personne n’est pas mineure“
Selon Marc Labbey, le Conseil départemental va donc revoir sa politique, pour réorienter les majeurs vers d’autres structures (demande d’asile classique) en s’inspirant de ce qui se fait en Ille-et-Vilaine, où moins d’un tiers des demandes sont suivies d’une prise en charge. L’élu ajoute que le doute ne doit pas profiter au demandeur : « Si nous avons un doute au final, on doit pouvoir dire cette personne n’est pas mineure, nous l’affirmons comme tel, et nous proposons au parquet de prendre des mesures dans ce sens là".
France Bleu
http://www.fdesouche.com
Exclusif. Les services de renseignements se préparent à des attaques terroristes imminentes
D’après les informations de Valeurs actuelles, la menace terroriste est montée d’un cran ces derniers jours en France. Les services de renseignements se préparent à plusieurs scénarios d’attaques. L’État islamique, qui dispose de plusieurs camps d’entraînement en Europe (notamment dans les Balkans) est en train de former des commandos qui pourraient mener des attentats suicide avec un nouveau mode opératoire provoquant un maximum de dégâts.
En utilisant des outils numériques à la pointe de la technologie, l’organisation terroriste est aujourd’hui prête à envoyer des convois de véhicules en opération suicide : une première voiture, au blindage renforcé, conduite à distance et chargée d’explosifs aurait pour objectif de faire un maximum de dégâts, suivie d’un second véhicule transportant des djihadistes chargés de tuer le plus grand nombre de civils. Et enfin, un troisième véhicule dont la mission est de “terminer le travail” et de récupérer les commandos.
Parmi les cibles privilégiées par l’organisation terroriste pour faire ces “bains de sang”, des églises remplies de fidèles le dimanche, des écoles, des centres commerciaux et des lieux touristiques.
Les services de police et de gendarmerie s’attendent à des attaques multiples, à plusieurs endroits du territoire français au même moment, dont le seul objectif est d’ « essayer de mettre la France à genoux », comme le confie un haut fonctionnaire de la Place Beauvau.
Autre crainte des services : des opérations de type “cheval de Troie” avec des migrants qui pourraient se servir de leur présence dans des camps en France pour s’organiser, s’entraîner et passer à l’acte en un temps record, au nez et à la barbe de la police et de la gendarmerie.
Pour cette raison, le ministre de l’intérieur Bernard Cazeneuve a décidé en urgence la création d’antennes du GIGN dans plusieurs villes de province et a renforcé l’organisation et la décentralisation des unités du Raid. Les unités d’élite de la police et de la gendarmerie se préparent à faire face à tout type d’attaque et « s’attendent à l’inattendu », comme l’écrivait il y a quelques jours Europol dans un rapport.
Déjà hier, de manière inédite, le Raid est intervenu dans le camp de migrants de Grande-Synthe, dans le Nord, où une fusillade a éclaté.
Ce matin, ce sont six lycées parisiens qui ont été fermés après la réception d’appels anonymes faisant état d’une attaque d’un commando muni « de bombes et de fusils d’assaut kalachnikov pour faire un maximum de victimes. »
La menace est prise en compte avec la plus grande gravité au plus haut sommet de l’État, qui s’attend au pire.
Voilà pourquoi, ce matin, en traversant un village, j'ai vu 2 policiers municipaux faire passer les enfants au lieu d'un habituellement.