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  • L'âme de la France

    "Cette âme, la France est en train de la perdre, non seulement à cause de la mondialisation, mais aussi, et surtout, à cause de la société à la fois pluri-ethnique et pluriculturelle que l’on s’acharne, avec de fausses idées et de vrais mensonges, à lui imposer.

    Si cet essai a permis à quelques-uns de mesurer devant quels périls nous nous trouvons placés, il aura déjà atteint son but.

    Ces pages peuvent apparaître cruelles. Mais elles correspondent à un sentiment très profond. Le moment est venu de traiter énergiquement le problème de l’immigration africaine et notamment musulmane. Si tel n’est pas le cas, la France aura deux visages : celui du "cher et vieux pays" dont parle le général de Gaulle et celui du campement avancé du tiers monde africain.

    Si nous désirons voir les choses dégénérer ainsi, il suffit de leur laisser suivre leur cours. Le campement africain toujours plus grand, plus vaste, plus illégal, grignotera d’abord, puis rongera, avant de faire disparaître tout entier le cher vieux pays, dont la défaite sera annoncée du haut des minarets de nos nombreuses mosquées. Nos temps sont assez graves pour ne pas faire appel à de médiocres facilités politiciennes.

    Nous allons vers des Saint-Barthélémy si l’immigration africaine n’est pas strictement contrôlée, limitée, réduite et expurgée de ses éléments négatifs et dangereux, si un effort d’intégration ne vient pas aussi compléter cette nécessaire répression… "

    (Observatoire de l’islamisation)  1990: 

    Michel Poniatowski voulait "Que survive la France"

  • Je suis partiellement inculte…

    ... puisque je n'ai, pour tout bagage scolaire, que le certif', délivré en 1964…

    Mais, il me semble bien que l'on m'a toujours enseigné que le mot “déféré“ veut dire “ôter les fers (aux pieds)“ et que, par contre,

    Le mot “enféré“ voulait dire mettre les fers (aux galères) ou écrouer ou mettre en prison…

    Tour de passe-passe des journalistes de la médiacratie qui eux, oui, sont vraiment incultes et moutons de Panurge, répétant -si je peux m'exprimer ainsi- idiopathiquement (qui signifie en médecine: on ne sait d'où cela vient) et donc, de façon stupide, les mêmes antiennes que leurs coreligionnaires insanes. Les baveux sont totalement idiots.

    Vous devriez lire, chers gens de la gauchiasse progressiviste et moutons de la start-up nation, vous devriez lire le news Valeurs Actuelles où on parle -et écrit- le bon Français de France…

    Je sais, je sais, c'est un sale torchon nauséabond, nazifiant et d'extrême droite (selon vous) mais qui voit chaque semaine, augmenter ses abonnés tandis que vous périclitez malgré les subventions de l'Etat français. Plus bas vous descendez au niveau de vos racontars blèmes et incohérents à vos derniers lecteurs, plus vous vous vautrez dans la bassesse de classe, le fameux “camp des bien-pensants“ et plus vous perdez d'abonnés!

    L’état, c'est moi…

    et je trouve qu'à force de vous mordre la queue, comme l'Ouroboros, vous oubliez un peu trop que les subventions que vous touchez sont l'argent des impôts du petit peuple d'en-bas; vous savez, celui qui roule en diésel avec la clope au bec et dont les femmes d'usines, sont totalement illettrées -comme a dit l'Arrogant qui nous sert de président.

    Hélas, celui-ci, révérence gardée, est à l'Elysée parce que des imbéciles de Français ont voté pour lui, ceux de sa caste qui s'auto-complimentent en regardant leur joli nombril genré et venant de la brigade des  alphabets (lgbt et le reste d'abrutis)...

    J'espère que le locataire de l'Elysée va prendre la pelée du siècle aux prochaines municipales!

  • Affaire Griveaux: soirée de deuil sur BFM-TV

    J’ai rarement pris autant plaisir devant BFM TV qu’hier soir: il fallait voir les mines consternées sur le plateau.

    Ce fut une vraie soirée de deuil sur la chaîne de Patrick Drahi, pour peu, on aurait imposé une minute de silence. Elkrief semblait tétanisée: a-t-elle peur elle aussi de se retrouver en vidéo, en compagnie d’huiles de la majorité? Apolline de Malherbe s’est montrée très agressive, un peu comme quand elle interviewe  Marine Le Pen: sauf que là, elle avait perdu son petit sourire narquois.

    Une députée LREM d’ordinaire si arrogante écarquille les yeux, hébétée, presque incrédule: mais où va-t-on, mais où va-t-on, pauvre France, pauvre Benjamin?

    Le Russe par qui le scandale arrive est dépeint comme un escogriffe descendu tout droit des montagnes de l’Oural, un Raspoutine maléfique venu semer la zizanie en France: voilà pour une fois un réfugié qu’il n’aurait pas fallu accueillir. On suppute le complot, Poutine, Dati, le RN: le complotisme change de camp, pour nous c’est bon signe… On évoque d’autres vidéos, sur d’autres personnalités très très très haut placées… On craint que Griveaux, dont les mémoires à venir ne s’intituleront probablement pas " Benjamin ou les mémoires d’un puceau ", ne soit que le premier de la liste: comme quoi, à LREM, on a confiance dans les bonnes mœurs et  la discrétion de ses leaders…

    C’est la panique en Macronie. Certains vont plaindre Griveaux, victime d’une cabale sur sa vie privée: doit-on le blâmer pour une banale infidélité? "Griveaux serait-il devenu incapable de diriger la ville de Paris parce qu’il a trompé sa femme?", s’interroge Apolline. À ce titre, Strauss-Kahn non plus n’avait pas perdu son expertise économique en lutinant Afissatou… Mais au fait, ce Griveaux, aurait-il été vraiment capable de diriger Paris? Le métier de maire d’une grande ville ne se limite pas à distraire des secrétaires, et à promener sa mine satisfaite sur les plateaux télé: il faut rendre des comptes aux électeurs, se battre pour les intérêts de sa ville, trancher dans le dur, ne pas hésiter à faire des déçus, des mécontents, si le bien commun en dépend.  Pas sûr que notre bien léger Benjamin en ait la carrure…

    Sur BFM TV, les bonnes âmes se penchent sur le sort du pauvre Benjamin, martyre de la haine politique. Mais elles ont la mémoire bien courte. Ont-elles oublié comment Macron et sa bande sont arrivés au pouvoir, à coups de poignard dans le dos des adversaires, de complots, de trahisons?  Croient-elles que la vie rase gratis, que personne n’attend au tournant, et le couteau entre les dents, toute cette clique de malandrins? Moi, je ne joue pas aux hypocrites, je me réjouis de les voir toutes désemparées, liquéfiées, dans la peur du lendemain. Car pour elles, il n’y a pas de solution de rechange à Macron: ce sera lui, ou l’extrême droite.

    Et, dans tout cela, je ne plains que la France, qui endure depuis trois ans cette clique d’escrocs, de vendus, de pervers et d’incapables. Et tous les moyens, même les plus inélégants, seront bons pour s’en débarrasser, parce que l’avenir de notre pays vaut bien la dignité du petit Benjamin, qui soyez-en sûrs, trouvera vite de charmantes compagnies pour se consoler…

    Olivier Piacentini

    https://ripostelaique.com

     

    Comme écrit ici et ailleurs, sa vie privée ne concerne que lui mais c’est lui qui a pris la décision de la rendre publique. Ce qui en dit long sur le personnage et sur tous ceux qui osent défendre l’indéfendable.

  • COVID-19: comment désinfecter

    Une nouvelle étude indique la durée de vie des coronavirus sur différentes surfaces et comment les désinfecter

    Deux mois après son apparition, les virologues tentent toujours de mieux comprendre le coronavirus de Wuhan, maintenant officiellement nommé COVID-19. Une information importante à connaître est notamment la durée de vie du virus lorsqu’il est déposé sur des surfaces ou des objets. Au regard de sa ressemblance avec les autres coronavirus humains connus, le SRAS et le MERS, des chercheurs ont récemment suggéré que le COVID-19 pourrait rester actif pendant plus d’une semaine sur les surfaces où il se dépose.

    Des résultats qui démontrent à quel point il est nécessaire de désinfecter toutes surfaces avec lesquelles des patients auraient pu être en contact.

    En examinant la littérature scientifique sur tous les virus humains et vétérinaires disponibles au sein de cette famille, comprenant 22 études, les chercheurs ont constaté que les agents pathogènes humains peuvent persister sur les surfaces et rester infectieux à température ambiante jusqu’à neuf jours. (Pour mettre cela en perspective, le virus de la rougeole peut vivre sur des surfaces contaminées jusqu’à deux heures).

    Il s’agit certes de l’extrémité supérieure de la durée de vie d’un coronavirus, mais en moyenne, les chercheurs disent que cette famille de virus peut survivre entre quatre et cinq jours sur divers matériaux comme l’aluminium, le bois, le papier, le plastique et le verre. Certains des coronavirus vétérinaires — ceux qui ne peuvent infecter que les animaux — pourraient même persister plus de 28 jours.

    Désinfecter soigneusement toutes surfaces abritant potentiellement le virus

    “Les basses températures et la forte humidité de l’air augmentent encore leur durée de vie" explique le médecin Günter Kampf du CHU de Greifswald. Pour réduire la propagation des coronavirus en général, les auteurs de la nouvelle étude, publiée dans le Journal of Hospital Infection, suggèrent que les hôpitaux désinfectent soigneusement les surfaces avec diverses solutions à base d’hypochlorite de sodium, de peroxyde d’hydrogène ou d’éthanol.

    Dans leur étude, ils ont constaté que ces recommandations particulières de l’OMS étaient "très efficaces "contre le SRAS et le MERS. Les résultats étaient initialement destinés à un futur manuel, mais dans ces circonstances, les auteurs ont estimé qu’il était préférable de publier leurs résultats à l’avance. Ils pensent que ces derniers pourraient également s’étendre au COVID-19.

    "Différents coronavirus ont été analysés et les résultats étaient tous similaires" explique le virologue Eike Steinmann de l’Université Leibniz. Cependant, aucun des virus n’était COVID-19, et l’équipe a indiqué ne pas disposer de données permettant de savoir si les mains peuvent être contaminées par un coronavirus après contact avec le patient ou après avoir touché des surfaces contaminées.

    Bien que le MERS ne se transfère pas aussi facilement d’une personne à une autre que les autres coronavirus, le SRAS se propage plutôt efficacement chaque fois qu’une personne infectée éternue ou tousse. Si le mucus atterrit sur une surface touchée par une personne plus tard, elle peut alors la contaminer, même si le contact se produit des jours après l’exposition initiale.

    Étant donné la menace que cela pourrait représenter pour le COVID-19, se laver les mains souvent et veiller à désinfecter les espaces publics semble être un maigre prix à payer. "Dans les hôpitaux, il peut s’agir par exemple de poignées de porte, mais aussi de boutons d’appel, de tables de chevet, de cadres de lit et d’autres objets à proximité directe des patients, qui sont souvent en métal ou en plastique".

    Sources : Journal of Hospital Infection

  • La chronique des cinglés à l’Université: la Folie du Gender

    Vi, je suis vulgaire!

    La chronique des cinglés: Jean Robert : "Assemblée Nationale: La France Insoumise demande la suppression de la mention du sexe à l’état civil, la jugeant "très oppressante et oppressive" ! Ben voyons!

    "Notre amendement propose la suppression de la mention du sexe à l’état civil. Cette mention, qui n’a, aujourd’hui, plus aucun intérêt, a, pour les personnes transgenres et intersexuées, des conséquences concrètes parfois très oppressives. " #LGBT Députée Obono (@Deputee_Obono) October 3, 2019

    Voilà une qui fume sa moquette tous les matins!

    Affranchir l’homme de tout ce qui peut l’oppresser et de tout ce qui n’est pas lui-même, le ramener à son existence concrète sur terre, lui apprendre à se réaliser lui-même dans ses rapports réels avec le monde, l’émanciper des chimères de la folie du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT qui obscurcissent son esprit et qui le rendent étranger à son vrai être : ces principes pour lui apprendre à se réaliser lui-même ont leur origine dans la vaste critique à laquelle Hegel et ses disciples ont soumis les valeurs traditionnelles.

    Martine Chapouton: "Nous connaissons parfaitement ces militants (islamo-gauchistes qui sont) déguisés en journalistes et qui expliquent à la terre entière ce qu’il faut penser, comment l’exprimer et qui se croient le camp du bien. Samuel Laurent, des (déglingos)-décodeurs du journal Le Monde, en fait partie".

    Étienne Girard: "Des associations universalistes célèbrent l’universalisme et lancent un "appel de Lille". Sur des tags insultants devant la Maison des associations de Lille, on pouvait lire: "Fil.les de colons", écriture inclusive comprise. Plus loin sur l’édifice, avec la bombe de peinture couleur bleu céleste, d’autres tags précisaient: "Blanc.hes, bourgeois.es et racistes! La laïcité ne justifie pas le racisme" ou "Mort aux Faf".

    Et moi, je dis: Mort aux cons!

    L’objet de ces graffitis: Un colloque "Pour l’universalisme: comprendre l’intersectionnalité, les communautarismes et le multiculturalisme". Les participants à ce "colloque militant" partageaient l’idée qu’il est devenu de plus en plus difficile de défendre les idées universalistes qui supposent que chacun doit être traité de la même façon, par-delà les spécificités de genre, de sexe ou de couleur de peau. Ben voyons!

    Cons à manger du foin

    L’émergence, dans les milieux intellectuels, d’une nouvelle idéologie dite "décoloniale", venue des États-Unis, qui entend redéfinir les relations sociales en terme des "dominants" et de "dominés", la première catégorie représentant les citoyens de couleur de peau blanche et la seconde les autres citoyens.

    Et mon cul, c'est du poulet (B. BARDOT)

    Comme quoi les déglingos-décoloniaux mènent la "guerre des facs" contre l’intelligence!

    La “guerre“: le jour ou on a des chars étrangers en France, ils vont se planquer derrière les jupes de leurs mères!

    Gilles Denis, historien des sciences, a retracé l’histoire de l’usage idéologique de la notion de race. Il a analysé les théories décoloniales comme "reprenant le concept de races auxquelles sont ramenés les individus". Indigénisme, décolonialisme: une "subversion" de l’offensive des obsédés de la race, du sexe, du genre, et de la désidentité… Djemila Benhabib a livré son expérience du multiculturalisme au Canada. "Sous couvert du respect des croyances minoritaires, les juges ont permis d’offrir des privilèges religieux, une forme de droit religieux. Cette démarche a créé deux catégories de citoyens", a-t-elle expliqué, en revenant sur plusieurs polémiques ayant éclaté dans son pays.

    Isabelle Barbéris a décrit la mutation du milieu universitaire culturel où les thèses décoloniales et communautaristes deviennent "hégémoniques" et "académiques".

    Charles Coutel, philosophe du droit, a insisté sur "la crise de l’institution universitaire dont "la dérive néo-libérale" favorise un "entrisme obscurantiste".

    Oui, t'a raison: retour au Moyen-âge et à l'inquisition

    La question du racisme est prégnante en France et figure au cœur du discours décolonial. Djemila Benhabib: "Il faut dire qu’il y a du racisme dans la société, du racisme anti-Maghrébins par exemple, et ne jamais rien laisser passer“. Guylain Chevrier: "La meilleure réponse, c’est la République sociale" (socialiste?). Ben voyons! TAKAYCROIRE!

    Parle à mon cul, tu me fatigue la tête

    Mikaël Faujour et Marion Messina: "Élèves menacés, antiracisme pavlovien… Quand le gauchisme étudiant vire à l’absurde contre des élèves menacés pour des actes ou opinions non conformes (à la tyrannie du) "politiquement correct" d’une gauche moralisatrice contre des situations dégradantes et sexistes!

    Laissez les venir ici, que je leur file un ramponeau à la Toulousaine et vous verrez s'il faut défendre les pauvres femmes??? Ha merde, je suis blanche!

    Étienne Girard et Hadrien Mathoux dénoncent "l’offensive des obsédés de la race, du sexe, du genre“.

    Les signaux sont nombreux qui montrent qu’un nouveau militantisme antiraciste confinant au racisme se propage dans notre société. Les racisés souffrent d’invisibilisation, ce qui devrait pousser à s’interroger sur les privilèges blancs et le racisme d’État en France, ce qui crée un abyme de perplexité à propos de la mouvance décoloniale si chère aux organisations de gauche pour la défense des droits des personnes noires.

    Mikaël Faujour et Marion Messina : Indigénisme, décolonialisme : une " subversion " du progressisme.

    Dans les Universités, les théories (déglingos)-postmodernes (genre, décolonialisme) venues des États-Unis gagnent les facs. Avec l’ambition de "déconstruire“ les humanités, chercheurs militants et étudiants mènent une bataille intellectuelle soi-disant contestataire intégrant les discursivités au-delà de l’humain (???)

    La chronique des cinglés à l’Université: "Un projet de recherche d’une post-linguistique, dans une approche écologique et décentrée du langage (???) (prise en compte du discours dans l’ensemble de la vie humaine (???) et perspective pluri-centrique et pluri-versaliste de la production de sens) par Marie-Anne Paveau, professeure à Paris-XIII. (???) Ben voyons! TATKAYCROIRE ! Et tout ça avec votre pognon!

    La chronique des cinglés à l’Université: "À l’université Paul-Valéry de Montpellier, Claire Gallien organise des séances sur la charia, sur l’homo-nationalisme et le futur des politiques Queer. (???) Vincenzo Susca, du département de sociologie, prône les études de genre où il est question de racisme biopolitique, de gender-fluid ou de théorie critique cyborg. (???) David Garibay, déglingo-directrice, fonction féminisée pour combattre le sexisme (???) encourage les étudiants au militantisme, au détriment de leur formation ! (???)

    La Phénoménologie de l’Esprit de Hegel est la critique de l’aliénation de l’esprit et tous les éléments de la critique souvent préparés et élaborés d’une manière qui dépasse la polémique sont cachés.

    Même si la critique chez Hegel de l’aliénation de l’esprit n’est pas encore claire pour elle-même pour découvrir la forme critique adéquate de ce qui chez Hegel est proprement l’aliénation de l’esprit.

    La grande révolution théorique de l’époque accomplie par le XIX ème siècle a été une dénonciation radicale de l’aliénation religieuse: il apparut que dans la religion, comme dans les chimères de la folie du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT, l’homme projette hors de lui sa véritable essence et se perd dans le monde illusoire du Gender qu’il a lui-même créé, et qui le domine comme une idéologie étrangère.

    La folie du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT nie à l’homme sa vraie nature en la pensant en utopie, ce qui la dépouille de toute réalité. Si l’essentiel des chimères de la folie du Gender est emprunté à la nature des fantasmes des déglingos-LGBT, l’homme du Gender est dépouillé de toute réalité.

    Pour que la folie du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT soit enrichie, l’homme doit être appauvri de toute sa réalité humaine, psychique et même biologique. Dans la réalité fantastique du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT, l’homme du Gender, qui se cherchait un surhomme déglingo-LGBT, n’a trouvé en réalité que le reflet du Gender et en réalité une apparence trompeuse de soi-même, une ombre du Gender irréelle, un homme du Gender inexistant et sûrement un non-homme! (En allemand: Unmensch).

    L’utopie de la folie du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT n’est qu’un évanouissement du monde réel pour un mythe progressiste de l’au-delà du réel qui doit empêcher l’homme de rechercher la vérité de son être réel ici-bas et de dénoncer l’anti-réalité du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT.

    Désenchanté par ses vaines expérimentations dans le monde fantasmatique du Gender-déglingo-LGBT, l’homme doit apprendre à renoncer aux paradis illusoires et se dresser contre ce monde absurde du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT qui, pour subsister, a besoin d’illusions et de la propagande du bonheur illusoire des déglingos-LGBT. Le bonheur réel présuppose la suppression des chimères de la folie du Gender des déglingos-LGBT en tant que bonheur illusoire. La démystification du Gender exige que l’homme abandonne une condition déglingo-soumise qui a besoin d’illusions. Le Gender n’est qu’une partie de l’utopie fantasmatique de l’irréalité humaine qui doit dominer l’Université. Il faut dénoncer cette illusion sous toutes ses formes idéologiques dominantes pour chasser enfin ces manifestations mortifères des Universités.

    Thierry Michaud-Nérard

    https://ripostelaique.com/la-chronique-des-cingles-a-luniversite-la-folie-du-gender.html

     

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    CARTE MONDIALE

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