Vi, je suis vulgaire!
La chronique des cinglés: Jean Robert : "Assemblée Nationale: La France Insoumise demande la suppression de la mention du sexe à l’état civil, la jugeant "très oppressante et oppressive" ! Ben voyons!
"Notre amendement propose la suppression de la mention du sexe à l’état civil. Cette mention, qui n’a, aujourd’hui, plus aucun intérêt, a, pour les personnes transgenres et intersexuées, des conséquences concrètes parfois très oppressives. " #LGBT Députée Obono (@Deputee_Obono) October 3, 2019
Voilà une qui fume sa moquette tous les matins!
Affranchir l’homme de tout ce qui peut l’oppresser et de tout ce qui n’est pas lui-même, le ramener à son existence concrète sur terre, lui apprendre à se réaliser lui-même dans ses rapports réels avec le monde, l’émanciper des chimères de la folie du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT qui obscurcissent son esprit et qui le rendent étranger à son vrai être : ces principes pour lui apprendre à se réaliser lui-même ont leur origine dans la vaste critique à laquelle Hegel et ses disciples ont soumis les valeurs traditionnelles.
Martine Chapouton: "Nous connaissons parfaitement ces militants (islamo-gauchistes qui sont) déguisés en journalistes et qui expliquent à la terre entière ce qu’il faut penser, comment l’exprimer et qui se croient le camp du bien. Samuel Laurent, des (déglingos)-décodeurs du journal Le Monde, en fait partie".
Étienne Girard: "Des associations universalistes célèbrent l’universalisme et lancent un "appel de Lille". Sur des tags insultants devant la Maison des associations de Lille, on pouvait lire: "Fil.les de colons", écriture inclusive comprise. Plus loin sur l’édifice, avec la bombe de peinture couleur bleu céleste, d’autres tags précisaient: "Blanc.hes, bourgeois.es et racistes! La laïcité ne justifie pas le racisme" ou "Mort aux Faf".
Et moi, je dis: Mort aux cons!
L’objet de ces graffitis: Un colloque "Pour l’universalisme: comprendre l’intersectionnalité, les communautarismes et le multiculturalisme". Les participants à ce "colloque militant" partageaient l’idée qu’il est devenu de plus en plus difficile de défendre les idées universalistes qui supposent que chacun doit être traité de la même façon, par-delà les spécificités de genre, de sexe ou de couleur de peau. Ben voyons!
Cons à manger du foin
L’émergence, dans les milieux intellectuels, d’une nouvelle idéologie dite "décoloniale", venue des États-Unis, qui entend redéfinir les relations sociales en terme des "dominants" et de "dominés", la première catégorie représentant les citoyens de couleur de peau blanche et la seconde les autres citoyens.
Et mon cul, c'est du poulet (B. BARDOT)
Comme quoi les déglingos-décoloniaux mènent la "guerre des facs" contre l’intelligence!
La “guerre“: le jour ou on a des chars étrangers en France, ils vont se planquer derrière les jupes de leurs mères!
Gilles Denis, historien des sciences, a retracé l’histoire de l’usage idéologique de la notion de race. Il a analysé les théories décoloniales comme "reprenant le concept de races auxquelles sont ramenés les individus". Indigénisme, décolonialisme: une "subversion" de l’offensive des obsédés de la race, du sexe, du genre, et de la désidentité… Djemila Benhabib a livré son expérience du multiculturalisme au Canada. "Sous couvert du respect des croyances minoritaires, les juges ont permis d’offrir des privilèges religieux, une forme de droit religieux. Cette démarche a créé deux catégories de citoyens", a-t-elle expliqué, en revenant sur plusieurs polémiques ayant éclaté dans son pays.
Isabelle Barbéris a décrit la mutation du milieu universitaire culturel où les thèses décoloniales et communautaristes deviennent "hégémoniques" et "académiques".
Charles Coutel, philosophe du droit, a insisté sur "la crise de l’institution universitaire dont "la dérive néo-libérale" favorise un "entrisme obscurantiste".
Oui, t'a raison: retour au Moyen-âge et à l'inquisition
La question du racisme est prégnante en France et figure au cœur du discours décolonial. Djemila Benhabib: "Il faut dire qu’il y a du racisme dans la société, du racisme anti-Maghrébins par exemple, et ne jamais rien laisser passer“. Guylain Chevrier: "La meilleure réponse, c’est la République sociale" (socialiste?). Ben voyons! TAKAYCROIRE!
Parle à mon cul, tu me fatigue la tête
Mikaël Faujour et Marion Messina: "Élèves menacés, antiracisme pavlovien… Quand le gauchisme étudiant vire à l’absurde contre des élèves menacés pour des actes ou opinions non conformes (à la tyrannie du) "politiquement correct" d’une gauche moralisatrice contre des situations dégradantes et sexistes!
Laissez les venir ici, que je leur file un ramponeau à la Toulousaine et vous verrez s'il faut défendre les pauvres femmes??? Ha merde, je suis blanche!
Étienne Girard et Hadrien Mathoux dénoncent "l’offensive des obsédés de la race, du sexe, du genre“.
Les signaux sont nombreux qui montrent qu’un nouveau militantisme antiraciste confinant au racisme se propage dans notre société. Les racisés souffrent d’invisibilisation, ce qui devrait pousser à s’interroger sur les privilèges blancs et le racisme d’État en France, ce qui crée un abyme de perplexité à propos de la mouvance décoloniale si chère aux organisations de gauche pour la défense des droits des personnes noires.
Mikaël Faujour et Marion Messina : Indigénisme, décolonialisme : une " subversion " du progressisme.
Dans les Universités, les théories (déglingos)-postmodernes (genre, décolonialisme) venues des États-Unis gagnent les facs. Avec l’ambition de "déconstruire“ les humanités, chercheurs militants et étudiants mènent une bataille intellectuelle soi-disant contestataire intégrant les discursivités au-delà de l’humain (???)
La chronique des cinglés à l’Université: "Un projet de recherche d’une post-linguistique, dans une approche écologique et décentrée du langage (???) (prise en compte du discours dans l’ensemble de la vie humaine (???) et perspective pluri-centrique et pluri-versaliste de la production de sens) par Marie-Anne Paveau, professeure à Paris-XIII. (???) Ben voyons! TATKAYCROIRE ! Et tout ça avec votre pognon!
La chronique des cinglés à l’Université: "À l’université Paul-Valéry de Montpellier, Claire Gallien organise des séances sur la charia, sur l’homo-nationalisme et le futur des politiques Queer. (???) Vincenzo Susca, du département de sociologie, prône les études de genre où il est question de racisme biopolitique, de gender-fluid ou de théorie critique cyborg. (???) David Garibay, déglingo-directrice, fonction féminisée pour combattre le sexisme (???) encourage les étudiants au militantisme, au détriment de leur formation ! (???)
La Phénoménologie de l’Esprit de Hegel est la critique de l’aliénation de l’esprit et tous les éléments de la critique souvent préparés et élaborés d’une manière qui dépasse la polémique sont cachés.
Même si la critique chez Hegel de l’aliénation de l’esprit n’est pas encore claire pour elle-même pour découvrir la forme critique adéquate de ce qui chez Hegel est proprement l’aliénation de l’esprit.
La grande révolution théorique de l’époque accomplie par le XIX ème siècle a été une dénonciation radicale de l’aliénation religieuse: il apparut que dans la religion, comme dans les chimères de la folie du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT, l’homme projette hors de lui sa véritable essence et se perd dans le monde illusoire du Gender qu’il a lui-même créé, et qui le domine comme une idéologie étrangère.
La folie du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT nie à l’homme sa vraie nature en la pensant en utopie, ce qui la dépouille de toute réalité. Si l’essentiel des chimères de la folie du Gender est emprunté à la nature des fantasmes des déglingos-LGBT, l’homme du Gender est dépouillé de toute réalité.
Pour que la folie du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT soit enrichie, l’homme doit être appauvri de toute sa réalité humaine, psychique et même biologique. Dans la réalité fantastique du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT, l’homme du Gender, qui se cherchait un surhomme déglingo-LGBT, n’a trouvé en réalité que le reflet du Gender et en réalité une apparence trompeuse de soi-même, une ombre du Gender irréelle, un homme du Gender inexistant et sûrement un non-homme! (En allemand: Unmensch).
L’utopie de la folie du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT n’est qu’un évanouissement du monde réel pour un mythe progressiste de l’au-delà du réel qui doit empêcher l’homme de rechercher la vérité de son être réel ici-bas et de dénoncer l’anti-réalité du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT.
Désenchanté par ses vaines expérimentations dans le monde fantasmatique du Gender-déglingo-LGBT, l’homme doit apprendre à renoncer aux paradis illusoires et se dresser contre ce monde absurde du Gender et des fantasmes des déglingos-LGBT qui, pour subsister, a besoin d’illusions et de la propagande du bonheur illusoire des déglingos-LGBT. Le bonheur réel présuppose la suppression des chimères de la folie du Gender des déglingos-LGBT en tant que bonheur illusoire. La démystification du Gender exige que l’homme abandonne une condition déglingo-soumise qui a besoin d’illusions. Le Gender n’est qu’une partie de l’utopie fantasmatique de l’irréalité humaine qui doit dominer l’Université. Il faut dénoncer cette illusion sous toutes ses formes idéologiques dominantes pour chasser enfin ces manifestations mortifères des Universités.
Thierry Michaud-Nérard
https://ripostelaique.com/la-chronique-des-cingles-a-luniversite-la-folie-du-gender.html
Le balancier revient toujours de l'autre côté!