Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Les filles d'aujourd'hui

    Le top crooque machin, vous savez, les filles qui vont à l'école pour montrer leur mounil (nombril)...

    Lu dans un site:

    Aujourd’hui, c’est tous pour le moindre effort. On ne lit plus, on se gave de jeux débiles. On ne lit plus les chiffres romains, trop fatigant.

    On ne peint plus de tableaux, on projette des couleurs ou de la boue sur une toile. On ne s’habille plus, on enfile un top.

    On ne sculpte plus d’Apollon du Belvédère, on enduit des brancards de graisse et le monde s’extasie. On ne compose plus de quatuors à cordes, on crache du rap.

    On ne se coupe plus les cheveux, on se balade avec une tête de balai-brosse.

     

    …Et si une de ces idiotes se fait violer par un Afghan mineur de 35 ans arrivé 3 jours plus tôt de Kaboul, ce sera bien entendu de la faute d’un vieux Français Blanc de plus de 50 ans!

    Non, je n'ai pas oublié la mini-jupe des années 60! mais, on portait un joli panty de dentelles en dessous... bien sûr, il y avait quelques filles osées mais pas à ce point!

    Et puis, dans les années soixante, c'était la douce France...

  • Et pendant ce temps-là...

    LA PHRASE DU JOUR

    "En Calédonie: la gauche soutient l’indépendance pour préserver l’identité et la souveraineté de l’île ! Super. Alors dites-moi pourquoi quand on veut protéger l’identité et la souveraineté de la France on devient subitement d’extrême droite?".

    Jean Messiha Le troisième et ultime référendum d’autodétermination aura lieu le 12 décembre prochain en Nouvelle-Calédonie. Si le oui l’emporte, une période de transition vers l’indépendance de l’île s’ouvrira et durera jusqu’au mois de juin 2023.

    Si c’est le non, alors la Nouvelle-Calédonie restera un territoire français et entrera dans une “nouvelle ère”.

  • Pendant ce temps-là, avec votre smic…

    500 000 euros sur 11 comptes bancaires : l’arnaque d’une famille turque aux aides sociales françaises

    Soyons honnêtes ! Il arrive à chaque citoyen, aussi intègre soit-il, de ne pas déclarer tous ses impôts, d’omettre quelques dizaines d’euros sur une déclaration de revenus. Une famille turque qui vit en France a poussé la pratique un peu trop loin.

    Lundi, un couple comparaissait devant le tribunal de Lorient pour avoir arnaqué la Caf de 500 000 euros répartis sur 11 comptes bancaires. En 2016 et 2017, il a reçu plus de 45 000 euros d’aides sociales. Sur cette même période, il n’a déclaré que 7 700 euros de revenus.

    Une pratique qui a suscité la suspicion des services fiscaux. Aujourd’hui, la justice a repris l’affaire mais c’est rarement le cas. Dans son livre Cartel des fraudes, paru en 2020, le magistrat financier Charles Prats dépeint une situation alarmante sur les comptes sociaux de la France.

    D’après lui, il y aurait 73 millions de bénéficiaires actifs de prestations sociales en France, alors que la population du pays est de 67 millions d’habitants. Tous ces fantômes de la Sécurité sociale coûtent chaque année à la France 50 milliards d’euros, le prix de 10 porte-avions comme le successeur du Charles-de-Gaulle.

  • Adieu à l'intelligence...

    L’Inquisition est de retour, traquant l’immonde salaud de Blanc raciste

    Au hit parade de la stupidité, les élites occidentales sont assurées de conserver le haut du podium.

    C’est la surenchère permanente dans ce suicide collectif des nations qui ont honte d’être blanches, qui ont honte de leur Histoire, qui ont honte de leur civilisation, qui ont honte d’avoir tout inventé du monde moderne, qui ont en définitive honte d’exister.

    Un tel renoncement, un tel dénigrement de soi, c’est du jamais vu dans l’histoire de l’humanité.

    Les élites blanches sont tout simplement en train d’enseigner à leurs enfants qu’ils sont la lie de l’humanité, les descendants d’immondes salauds ne méritant pas de vivre.

    Cette obstination à s’autodétruire et à se répandre en pitoyables mea-culpa pour expier les péchés de l’homme blanc dépasse l’entendement.

    Plus aucun leader politique, plus aucun philosophe, plus aucun faiseur d’opinion n’ose s’opposer à cette nouvelle Inquisition qui traque partout le racisme systémique et fait preuve d’une imagination sans bornes pour faire acte de repentance et promouvoir une discrimination positive démentielle.

    C’est l’autoflagellation permanente, comme si cette soumission à la cancel culture était porteuse de lendemains qui chantent.

    Traquer le “racisme systémique” et voir un racisme derrière chaque arbre, c’est au contraire l’assurance d’attiser la haine des minorités et de semer les germes d’un chaos racial généralisé.

    C’est ainsi que Mathieu Bock-Côté nous livre quelques exemples de ce délire mortel qui s’est emparé des élites blanches, aussi bien au Canada qu’aux États-Unis.

    Les ayatollahs de la repentance traquent le racisme systémique dans tous les rouages de la société, dans toutes les institutions. Avec cette féroce dictature de la bien-pensance, il n’y a plus d’innocents, il n’y a que des coupables parmi les Blancs.

    Même l’Association des diététistes du Canada s’accuse de “racisme systémique”, car les recommandations alimentaires faites aux Canadiens ne sont pas adaptées aux minorités nouvellement installées dans le pays. Elles sont donc discriminatoires, donc racistes !

    Voir une grande démocratie se vautrer dans de tels raisonnements grotesques laisse pantois.

    Quant à Justin Trudeau, le Premier ministre canadien, l’idole des minorités qui a la haine du nationalisme québécois, il vient d’annoncer un programme de prêts réservés aux entrepreneurs noirs. La discrimination raciale anti-Blancs devient un mode de gouvernance affirmé.

    Les aides et les prêts de l’État distribués en fonction de la couleur de peau, c’est paraît-il le meilleur moyen de lutter contre le racisme systémique!

    En Ontario, c’est la ville de Hamilton qui a décidé de vacciner en priorité les populations “racisées”.

    On le voit, tout est bon pour tordre le cou à l’insupportable “suprématie blanche”, “véritable fondement des sociétés occidentales”.

    Jusqu’où ira ce délire suicidaire? Mystère. Le fait est qu’il va être particulièrement handicapant d’être blanc au Canada!

    Aux États-Unis, c’est l’université Princeton qui va abolir, dans son département d’études classiques, l’obligation d’apprendre le grec et le latin, obligation jugée discriminatoire. Pourquoi? Parce que l’excellence a des relents aristocratiques qu’il faut pulvériser au nom de la démocratisation du savoir.

    La promotion du nivellement par le bas au nom de l’antiracisme. C’est grandiose!

    Depuis la mort tragique de George Floyd, on nage en plein délire.

    Car, comme le dit Mathieu Bock-Côté, derrière cette guerre contre les discriminations se cache en fait une guerre contre la culture. Liquider l’enseignement du grec et du latin, c’est s’attaquer aux sources mêmes de la civilisation occidentale.

    On le voit, le péché originel de notre civilisation maudite remonte de plus en plus loin.

    Mais il y a fort à parier que nos grands prêtres de l’antiracisme ne vont pas tarder à nous démontrer que le racisme de l’homme blanc est inscrit dans ses gènes depuis Adam et Eve.

     

    “C’est une authentique névrose raciale qui s’empare des sociétés occidentales, désormais traversées par le désir de s’anéantir, comme si leur disparition pouvait rédimer l’humanité et lui permettre de se délivrer enfin du mal”.

    Nul ne sait combien de temps durera ce cauchemar des nations occidentales. Mais il va être grand temps de se réveiller et de redonner sa juste place à notre instinct de survie qui nous évitera un gigantesque suicide collectif.

     

    source:

  • La religion de paix et d'amour

    Vénissieux (69) : pour mener son trafic, un dealer a squatté pendant des mois l’appartement d’un handicapé, il le tabassait et le menaçait de mort régulièrement

    Pendant plusieurs mois à Vénissieux, un homme d’une cinquantaine d’années, handicapé et sous curatelle a subi des violences et des menaces de mort de la part d’un trafiquant de drogue, qui s’est installé chez lui, où il entreposait également son stock de stupéfiants.

    À bout de forces, le quinquagénaire s’est rendu samedi 29 mai au commissariat, pour dénoncer la situation. Il a expliqué qu’il était régulièrement roué de coups et menacé de mort, ce qui lui a valu dix jours d’ITT. Il a ensuite conduit les policiers jusqu’à son appartement situé dans le quartier des Minguettes, dans lequel se trouvaient deux individus, dont le mis en cause.

    Ils ont été interpellés sur-le-champ et les policiers ont découvert une quantité importante de stupéfiants. Il y avait dans l’appartement 25 kilos de résine de cannabis, 926 g d’herbe, 120 g de cocaïne et deux gilets pare-balles, d’une valeur totale estimée à 100 000 euros.

     

    (…) Le Progrès