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Handicap - Page 2

  • A vomir

    Plus ils en font, mieux on déguinzera ce parti infâme

     

    “L’aérien ne devrait plus faire rêver les enfants” : la mairie EELV de Poitiers dénonce l’association Rêves de gosse qui défend l’aéroclub local et les vols pour enfants handicapés

    Donc la mairie de Poitiers attaque la noble association @RevesdeGosse qui permet depuis des années à des enfants extraordinaires de s’évader de leur handicap et l’accuse de faire du pathos ?!
    Fier de soutenir cette association avec @JoseGarciaOff https://t.co/Lc8YZsC12W

    — Stéphane Fort (@Stephane_Fort) April 2, 2021

  • Surveillance des vaccins

    Surveillance des vaccins

    Cas d'événements thrombo-emboliques signalés non investigués (embolie pulmonaire, thrombose) rapportés en France (données cumulées au 4 mars 2021)

        vaccin COMIRNATY : 24 cas d'embolies pulmonaires, 31 cas de thromboses veineuses profondes, 8 thrombopénies pour un nombre cumulé d'injections de 4 566 776 (cf. rapport n° 8 - page 14) ;

        vaccin MODERNA : 3 cas d'embolies et thromboses périphériques sur un total de 242 797 doses injectées (cf. rapport n° 5 - page 8) ;

        vaccin ASTRAZENECA : 1 cas de thromboses multiples pour un total de 454 545 premières injections réalisées.

    État des lieux des effets indésirables associés au lot ABV5300, en France

    En Autriche ainsi que dans d'autres pays européens, seul le lot ABV5300 a initialement été suspendu, suite au décès d'un patient et à un cas d'embolie pulmonaire survenus après l'administration d'une dose de ce lot.

    Ce lot a été distribué dans 17 pays en Europe. La France en a reçu 316 800 doses depuis le 9 février 2021 et près de la moitié de ces doses ont déjà été administrées.

    Au total, 183 cas d'effets indésirables médicalement confirmés et associés au lot ABV5300 ont été enregistrés en France depuis le début de la vaccination par le vaccin AstraZeneca Dans un communiqué du 13 mars 2021, l'ANSM précise que, parmi ces cas, aucun décès, ni situation de mise en jeu du pronostic vital, ni cas de thrombose ou de thrombopénie, n'a été mis en évidence en France.

    En revanche, l'injection d'une dose issue du lot ABV5300 est associée (selon le quatrième rapport de surveillance - du 26 février au 4 mars 2021) aux signalements suivants :

        un cas de cyanose des extrémités avec désaturation à 86 %, vomissements et fièvre (effets vasculaires) ;

        un cas d'hypoxie suivie, le lendemain, de malaise avec désaturation et hypertension (effets respiratoires, thoraciques et médiastinaux).

    Le quatrième rapport de surveillance du vaccin ASTRAZENECA porte sur les données de pharmacovigilance françaises recueillies en quatrième semaine d'utilisation, soit du 26 février au 4 mars 2021. 
    Depuis le début de la vaccination avec ce vaccin, utilisé majoritairement en ville, le profil de sécurité est dominé par des syndromes pseudo-grippaux, souvent de forte intensité (fièvre élevée, courbatures, céphalées).
    Au total, 3 013 cas d'effets indésirables ont été analysés sur 454 545 injections réalisées au 4 mars 2021.
    Sur la dernière période analysée (26 février au 4 mars), 1 020 cas attribuables à la vaccination ont été retenus, survenus dans 2/3 des cas chez des femmes. Un peu plus d'un quart (27,8 %) de ces effets indésirables sont considérés graves (1 décès chez une personne cumulant plusieurs comorbidités, 12 hospitalisations). La majorité des cas (62,5 %) se rapporte à des troubles généraux et anomalies au site d'injection (cf. Tableau II). 
    Le décès rapporté en France en semaine 4 est survenu après injection d'une dose du  lot ABV5045. 

    Ne pas négliger la gravité potentielle des effets pseudo-grippaux 
    Les syndromes pseudo-grippaux peuvent entraîner des complications sévères (désaturation, méningisme, fièvre à 41°C, convulsion, perte de connaissance avec chutes traumatiques, délire/hallucinations, cyanose des extrémités, hypothermies, etc.), en particulier dans certaines populations.
    Dans ce quatrième rapport, les auteurs proposent d'accroître la vigilance dans les populations susceptibles de voir leurs comorbidités décompenser : 

    • exacerbations de dyspnées et d'asthmes,
    • troubles du rythme,
    • poussées hypertensives hors syndrome grippal,
    • réactions anaphylactiques/urticaires,
    • hypotensions,
    • hypothermies,
    • lymphopénies,
    • déséquilibres diabétiques,
    • myo-péricardites/péricardites.

    Vaccins à ARNm : pas de signal de sécurité 
    L'ANSM a également publié les rapports hebdomadaires relatifs à la surveillance des vaccins à ARNm : 


    Vaccin COMIRNATY : un signal potentiel relatif à la récidive de thrombopénie suite à la seconde dose
    Depuis le début de la vaccination, 8 487 cas d'effets indésirables associés au vaccin COMIRNATY ont été analysés en France, dont 1 528 nouveaux cas signalés entre le 26 février et le 4 mars 2021. Au cours de la semaine 9, la proportion de cas graves reste stable par rapport aux analyses précédentes (24 %). La majorité des cas (graves et non graves) correspondent à des troubles généraux et anomalies au site d'injection. 
    Vaccin Moderna : la surveillance de certains événements indésirables se poursuit
    Largement moins utilisé en France, le vaccin Moderna a été administré à 242 797 français (données au 4 mars), dont 50 544 au cours de la semaine du 26 février au 4 mars 2021 (1re ou 2e dose). 
    Cette cinquième période de surveillance de la sécurité du vaccin MODERNA en France ne montre aucun signal particulier. 
    Depuis le début de la vaccination avec ce vaccin, 302 cas d'effets indésirables ont été analysés, dont 82 en semaine 9 (18 cas correspondent à des effets inattendus).
    La majorité des cas correspond à des réactions retardées locales non graves (plus de 80 %).
    La surveillance attentive des cas d'hypertension artérielle, d'arythmie et de zona se poursuit.
    Pour aller plus loin
    Point de situation sur la surveillance des vaccins contre la COVID-19 (ANSM, 12 mars 2021)

    VACCIN MODERNA - Rapport complet n° 5 (ANSM, 12 mars 2021)

  • Qui peut se faire vacciner?

    J'ai entre 50 et 74 ans et souffre de comorbidités

    Qui? Les personnes entre 50 et 74 ans inclus souffrant d’une ou plusieurs comorbidités sont éligibles à la vaccination contre la Covid-19.

    Les comorbidités ouvrant droit à cette vaccination sont notamment:

        les pathologies cardiovasculaires ;

        l'hypertension artérielle compliquée ;

        un antécédent d’accident vasculaire cérébral ;

        une insuffisance cardiaque ;

        des diabètes de type 1 et 2 ;

        des pathologies respiratoires chroniques susceptibles de décompenser lors d’une infection virale, notamment ;

        une sclérose en plaques ;

        un syndrome d’apnées du sommeil ;

        une mucoviscidose...

    Consulter la liste complète des comorbidités

    Source:

    Où? Chez leur médecin traitant ou sur leur lieu de travail.

    Comment? En prenant rendez-vous auprès de leur médecin traitant ou médecin du travail ou lieu de soin.

    Je suis atteint d'une pathologie à haut risque

    Qui? Les personnes de plus de 18 ans atteintes d’une pathologie à haut risque, c’est-à-dire celles:

        atteintes de cancers et maladies hématologiques malignes en cours de traitement par chimiothérapie ;

        atteintes de maladies rénales chroniques sévères, dont les patients dialysés ;

        transplantées d’organes solides ;

        transplantées par allogreffe de cellules souches hématopoïétiques ;

        atteintes de polypathologies chroniques et présentant au moins deux insuffisances d’organes

        atteintes de certaines maladies rares et particulièrement à risque en cas d’infection ;

        atteintes de trisomie 21.

    Où? Chez leur médecin traitant ou médecin du travail ou lieu de soin ou en centre de vaccination avec une prescription médicale de leur médecin traitant.

    Comment? En contactant leur médecin traitant pour la prescription médicale, puis en prenant rendez-vous dans un centre de vaccination soit:

        sur internet sur sante.fr (également accessible directement depuis l'application TousAntiCovid) dans le centre de leur choix ;

        par téléphone au 0800 009 110 ouvert 7 jours sur 7 de 6h à 22h (numéro vert) qui oriente directement vers les plateformes téléphoniques du centre de vaccination choisi.

    Je suis en situation de handicap

    Qui? Les personnes en situation de handicap, quel que soit leur âge, et hébergées en maisons d’accueil spécialisées (MAS) et foyers d’accueil médicalisés (FAM).

    Où? Dans les MAS et FAM.

    Comment? Les personnes en situation de handicap ou leurs proches peuvent s’informer auprès des MAS et FAM.

    J'ai plus de 75 ans

    Qui? L’ensemble des personnes de 75 ans et plus, quel que soit leur lieu de vie (en établissements ou à domicile).

    Où? Chez leur médecin traitant, en centre de vaccination ou dans leur établissement (Ehpad, USLD, par exemple).

     

    Comment? Concernant les centres de vaccination, les personnes de plus de 75 ans, ou leurs proches, peuvent prendre les deux rendez-vous pour les deux injections sur sante.fr (également accessible directement depuis l'application TousAntiCovid) dans le centre de leur choix.

    Elles peuvent aussi prendre rendez-vous en appelant:

        le numéro vert 0800 009 110 ouvert 7 jours sur 7 de 6h à 22h (numéro vert) qui oriente directement vers les plateformes téléphoniques du centre de vaccination choisi ;  

        le centre de vaccination près du domicile de la personne de plus de 75 ans (les coordonnées téléphoniques sont sur le site sante.fr qui propose une liste complète des centres ouverts dans chaque département).

    Cas particulier: je suis enceinte

    Au vu des données actuelles, la Haute autorité de santé (HAS) et l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) estiment que la vaccination est à évaluer chez les femmes enceintes au cas par cas, d’autant plus si elles présentent une comorbidité ou sont susceptibles d’être en contact avec des personnes infectées du fait de leur activité professionnelle.

    Cette évaluation doit être faite en étroite concertation avec le médecin, la sage-femme ou le gynécologue de ladite femme enceinte.

    Par ailleurs, selon la HAS et l’ANSM, sur la base des mécanismes biologiques, il n’y a pas d’effet attendu chez le nourrisson et l’enfant allaités par une femme vaccinée.

    Toutes les informations sur la vaccination des femmes enceintes

    ansm.sante.fr

     

    https://www.gouvernement.fr/les-personnes-eligibles-a-la-vaccination-contre-la-covid-19

  • Une spécialiste de l’ARN parle

    Alexandra Henrion: c’est de la folie de vacciner des gens sains avec de l’ARN !

    Nous avons déjà publié la transcription des 6 dernières minutes, passionnantes et essentielles, de l’interview :

    Ici:

    Voici, à présent, l’essentiel des 54 minutes qui les précèdent, tout aussi passionnantes et incontournables à qui veut comprendre ce qui se passe. Comme elle le dit à la fin, elle fait partie des quelques scientifiques dont les travaux sont signalés ou utilisés CHAQUE JOUR dans le monde entier…

    Résumé et transcription des passages les plus importants.

    Alexandra Henrion-Caude commence par dénoncer vivement le projet de loi 37-14, atroce, déposé le 21 décembre dernier, dite loi Castex, qui est une menace absolue contre les libertés individuelles.

    Source:

    Nous en avons déjà parlé à propos de l’article qui interdit aux médecins de communiquer quoi que ce soit qui ne soit pas “la vérité officielle”… Décret du 22 décembre.

    Ici:

    Ce qui compte ce n’est pas ce que je pense , mais ce que je sais.

    On n’entend que du lavage de cerveau...

    Alexandra Henrion-Caude.

    Elle déplore l’absence de débats alors que la situation présente permettrait normalement des expériences réelles, des essais cliniques gigantesques qui n’avaient jamais été faits, des échanges de données au niveau mondial… Or il n’y a pas de débat, puisque dans le débat public ce ne sont pas les “vrais scientifiques” que l’on entend. Les experts sur l’ADN sont peu nombreux et pourtant on ne les entend pas ! On n’entend que du lavage de cerveau…

    Il est même interdit de poser la question de l’origine du virus… Pourquoi est-ce dérangeant?

    On a pourtant des pistes… Un article du CNRS dit: “on dirait une création de laboratoire”…

    Des essais du vaccin Pfizer ont eu lieu en Afrique du Sud. Les Sud-Africains se plaignaient d’être traités comme des cobayes. Or, aujourd’hui on est bien dans un essai clinique, essai qui doit se terminer en 2022. Les vaccinés ne sont-ils pas des cobayes?

    NDLaR: vaccinés et “inventeurs“ grâce à ce vaccin du variant d'Afrique du Sud qui rend malades les enfants?

    Le vaccin ne protège pas contre les cas sévères car il n’y a pas assez de malades du Covid.

    Voir les données de l’épidémie, la comparaison depuis 1946. Il n’y a pas une énorme différence par rapport à ces dernières années, il n’y a pas de raison de paniquer.

    Mieux encore, on constate, en regardant la mortalité mois par mois que les 2/3 de la surmortalité sont arrivés pendant les périodes de confinement. C’est beaucoup. D’autant que les pics d’épidémie très élevés ne sont survenus que dans les pays qui ont confiné.

    Or, le confinement, c’est une assignation à résidence ! C’est comme une casserole qui bout, le couvercle va partir, tôt ou tard. Il y a forcément un rattrapage, le virus DOIT circuler ! Vous aurez beau faire, la nature est la plus forte, le virus DOIT circuler! Il ne peut y avoir de notion d’immunité collective qu’une fois que le virus a bien circuler.

    Les tests PCR, qui donnent des “cas” mal nommés. Si on est positif, on croit qu’on est un cas. Or, la technique PCR n’a pas de capacité de diagnostic, sauf à faire un séquençage.

     

    L’isolement du virus qui a été fait est très critiquable car il ne suit pas le protocole de Koch. Normalement, quand on a de nouveaux malades et qu’on soupçonne un agent infectieux, on isole cette “soupe d’agents infectieux” pour voir s’il porte sur un modèle animal. C’était forcément une chauve-souris, un pangolin… je ne comprends pas que les Chinois ne l’aient pas fait. Il fallait démontrer que cet agent infectieux était capable de provoquer une infection et de faire l’inverse afin de pouvoir dire “c’est lui le responsable”.

    Or, ce test n’a toujours pas été fait, les spécialistes attendent, on a besoin de cet élément manquant.

    Retour sur les cas positifs asymptomatiques. Chacun croit qu’il peut contaminer autrui, or c’est faux. Il y a eu un papier dans “Nature“, à partir d‘une expérience chinoise portant sur 10 millions d’individus, c’est énorme, les asymptomatiques ne sont pas porteurs du virus!

    Pour être contagieux, il faut un certain nombre de particules virales dans la salive. Et si j’en ai, mon organisme réagit forcément, d’une façon ou d’une autre.

    Par ailleurs, un nouveau test se met en place, EASYCOV, très simple, c’est un test salivaire, on a la réponse 40 minutes après.

    (Note de Christine Tasin: ce dernier est remboursé et la Haute Autorité de Santé a donné son autorisation pour qu’il soit utilisé quand le PCR n’est pas possible… donc pas encore de feu vert pour remplacer le PCR.

    Source:

    Source:

    Alexandra Henrion-Caude est enthousiasmée par l’examen des eaux usées. En les collectant, on peut voir la concentration du virus. C’est un outil remarquable mis en place par la France qui permet de voir dans vos urines, avant même que vous soyez malades, le marqueur du virus. Cela devrait définir une politique sanitaire réelle.

    Le Vaccin

    Le mot vaccin n’est pas adapté à ce que nous faisons avec le vaccin Pfizer. Ces vaccins anti-coronavirus déclenchent des anticorps qui peuvent, ou neutraliser, ou – au contraire – faciliter l’entrée du virus. C’est ainsi qu’on peut avoir une augmentation du nombre de cas de coronavirus après l’injection: 4 500 cas, par exemple, en Israël.

    Confer la déclaration de l’Académie de médecine (qui avait mis en valeur l’importance de la vitamine D pendant la crise minute 40) :

    En vaccinant contre le coronavirus, on prend le risque d’empirer la maladie. Il faut un consentement éclairé au problème du coronavirus et c’est valable pour tous les vaccins, pas seulement le Pfizer.

    En faisant des injections massives, sans savoir quand on injectera la deuxième dose, on court le risque de mettre les gens en danger, il faut renforcer les gestes barrière.

    Je suis convaincue que l’ARN peut faire beaucoup de choses, je ne suis donc pas réfractaire à l’idée de soigner par ARN. Mais c’est parce que je connais l’ARN et son potentiel que je considère que l’administrer à des individus sains, c’est de la folie!

    C’est inconcevable, compte tenu de la versatilité de cette molécule. On avait avancé sur les thérapies à base d’ADN, on n’y arrive toujours pas sur des malades. Alors, le mettre en application sur une population saine, c’est de la folie! Les risques, c’est des effets secondaires à long terme. Ce n’est pas un vaccin, c’est une information génétique expérimentale. On vous injecte une information génétique dans le corps, comme pour les tomates OGM! C’est l’injection d’un virus et on demande à votre corps de produire une molécule de virus! On ne connaît pas tous les effets d’une telle expérimentation.

    D’autant que le vaccin est fabriqué par Pfizer, qui est le seul à avoir testé, et qui a été condamné plusieurs fois pour publicité mensongère, sur 13 médicaments!

    Pfizer a déclaré que 2,7 % des vaccinés se retrouvent incapables de faire leurs activités quotidiennes, de travailler… après la vaccination. Le risque est plus grand que le risque Covid!

    Un risque pareil n’est pas possible!

    Ce risque est répertorié par Pfizer, donc, comme il est connu, on n’en parle pas!

    Cerise sur le gâteau, l’efficacité du vaccin Pfizer n’a pas été évaluée sur la population des plus de 75 ans! Ce sont donc des cobayes!

    Tous ceux qui se font vacciner sont des cobayes, mais la parole scientifique est censurée!

    Source:

     

    https://youtu.be/fqL8nbzk2cQ

     

  • COVID-19, quand les symptômes persistent:

    que sait-on des formes longues de la maladie?

    Alors que la première vague de l’épidémie de Covid-19 en Europe commençait à décroître, un nombre croissant de patients a fait état de symptômes de la maladie tardifs ou résurgents. Jusqu’à présent, seules quelques études descriptives ponctuelles ont porté sur ce sujet, et aucune n’a encore émis d’hypothèses quant aux dérèglements physiologiques à l’origine de ces manifestations. Très invalidants, ces symptômes pouvaient survenir après une apparente rémission.

    Les réseaux sociaux se sont fait l’écho de ces signalements et plusieurs équipes médicales ont mis en place des consultations afin de prendre en charge les patients concernés. En mai 2020, nous avons ouvert à l’Hôtel Dieu de Paris une consultation appelée " post Covid ", spécifiquement destinée à ces patients atteints par de telles " formes longues " de Covid-19.

    Voici ce que nous avons appris jusqu’à présent.

    Lire la suite

  • Salop... de juge et de clandé!

    Lannion : Simple sursis pour un clandestin qui tabassait et escroquait une handicapée (ex : l’argent consacré aux obsèques de son fils avait été confisqué et envoyé au bled pour le ramadan)

    Jean-Robert

    Le prévenu, âgé de 46 ans et en situation irrégulière sur le territoire, est sans papier ni emploi. Il n’a pas jugé utile de se présenter devant le tribunal malgré son placement sous contrôle judiciaire depuis le 3 avril dernier.

    C’est en 2017 qu’il est entré en relation avec cette femme de 58 ans (…) Pour cette dame handicapée et déficiente, commence un quotidien fait de peur et de coups. La règle est simple, interdiction de parler avec un homme, interdiction de sortir du domicile, il a récupéré les clés et l’enferme à double tour à chacune de ses sorties.

    La victime avait sollicité auprès de sa curatrice la permission de retirer de son compte la somme de 2 500 € pour la pause d’une stèle sur la tombe de son fils décédé récemment. Mais le prévenu avait d’autres projets : il envoie une partie de l’argent dans sa famille pour passer le ramadan et confisque le reste de la somme.

    Une spirale qui ne prendra fin que le 2 avril dernier (…) les gendarmes trouveront la dame gisant sur le sol, baignant dans son sang. L’examen confirmera des coups de poing et des coups de tête en plein visage.

    Le tribunal ne suivra pas complètement le réquisitoire et condamnera le prévenu à 10 mois de prison avec sursis, une interdiction de séjour et 2 800 € au titre des différents préjudices.

    Le Trégor

     

    Ils ne veulent plus les renvoyer? Guillotine! pour les uns et les autres