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Humain? - Page 271

  • Carrément débile!!!!!

    Corse: panique dans un village à cause d'un exercice militaire surprise

    Des parachutistes de la légion se sont livrés à un exercice militaire dans un village corse, sans que la population ne soit au courant.

    Dans le petit village d'Ota, en Corse du Sud, le réveil a été difficile pour les habitants, qui ont cru à une véritable déclaration de guerre ce mercredi 26 octobre.

    Des tirs, des parachutistes, et une petite armée de quelques 300 personnes, qui débarquent dans un village de Corse du Sud. La scène est digne d'un film de guerre. Mais il n'en était rien, car il s'agissait en fait d'un exercice militaire, qui a eu lieu très tôt ce matin à Ota.

    Rapportée par France Bleu, cette information pourrait presque faire sourire, si elle n'avait pas provoqué une grosse frayeur aux habitants du village, qui n'hésitent pas à dire que la situation aurait pu mal tourner. La population n'a pas été prévenue de l'entraînement des militaires du 2e régiment étranger de parachutistes.

    "On aurait pu faire un carnage"

    La mairie et la légion se sont abstenues de commentaires dans cette affaire, mais France Bleu rapporte le témoignage d'un habitant d'Ota, (à écouter ci-dessus) qui explique la tournure dramatique qu'aurait pu prendre une telle surprise: "Il y aurait pu y avoir un massacre ce matin. Nous sommes tous chasseurs, nous sommes tous armés. On aurait pu faire un carnage. Ils étaient au moins 300, ça mitraillait partout dans le village. On se serait cru en guerre“.

    Selon lui, la gendarmerie non plus n'était pas au courant. Il se dit très en colère, compte tenu du contexte actuel. "C'est inadmissible", conclut-il.

    Savez-vous que les autorités administratives n'ont pas osé imposer aux Corses un centre pour accueillir les migrants?

    mais, vous, les français, qu'attendez-vous pour faire de massives grèves de protestations?

    On n'est pas obligé de supporter l'équipe à Flamby jusqu'en mars!

    Soyez massivement aux côtés des policiers, gendarmes et pompiers!

     

     

  • La garce du Poitou-Charentes

    Ségolène Royal, la "princesse" du Poitou-Charentes

    Patrick Guilloton, ancien journaliste à "Sud-Ouest", a suivi Ségolène Royal pendant plus de dix ans. Il la raconte dans un livre, "La Princesse Royal".

    On connaît la Ségolène Royal "national ", celle qui appelle à "d'autres victoires" un soir de défaite à la présidentielle, celle qui vante les "Désirs d'avenir", celle qui vise le perchoir de l'Assemblée nationale avant d'être élue députée. On connaît un peu moins l'élue régionale du Poitou-Charentes. La vie de Ségolène Royal dans sa circonscription de Melle, puis à Poitiers, siège de la région, est pourtant tout aussi mouvementée. Son ascension ne fut pas vraiment un chemin de roses. À Poitiers, à Melle ou à La Rochelle comme à Paris, les méthodes sont les mêmes: improvisations, passage en force, petits arrangements avec la vérité, mais aussi une capacité hors norme à aller de l'avant. Dans un livre très à charge, aux allures de pamphlet, Patrick Guilloton, ancien journaliste à Sud-Ouest, raconte vingt ans de "ségolénades" en Poitou-Charentes, ce fameux "laboratoire" où toutes les expériences ne furent pas concluantes. En voici dix exemples.

    Élue en 2004 à la tête du Poitou-Charentes, Ségolène Royal veut réduire l'influence du FN. Elle décide de relever le seuil pour constituer un groupe (avec moyens afférents) de trois à six élus. "Six années plus tard, cette affaire est néanmoins revenue sur le tapis", rappelle Patrick Guilloton. En 2010, Ségolène Royal a fait élire trois centristes pour constituer sa majorité. Mais trois élus centristes, c'est trop peu pour constituer un groupe. Elle fait donc machine arrière, et fait de nouveau modifier le règlement intérieur afin de "ramener le nombre d'élus à trois pour permettre à un parti (...) de constituer un groupe".

    L'invité-surprise

    Après la première élection de Ségolène Royal à la région, plusieurs cadres quittent la collectivité. C'est le cas d'une attachée de presse. Lors d'un déjeuner avec plusieurs journalistes, à Poitiers, Ségolène Royal explique les raisons du départ de cette collaboratrice, "ses inquiétudes, ses espoirs pour la suite". "Tout cela, raconte Patrick Guilloton, en étant la seule autour de la table à ignorer que, juste face à elle, le responsable de diverses publications agricoles de la région n'est autre que le compagnon – et père des deux grandes filles – de l'ex-contractuelle dont elle se permet de révéler, en long, en large et même au-delà, les prétendus états d'âme“.

    Longuet à l'aide de Royal

    Comme elle l'avait fait avec les poids lourds (Valls, Rebsamen...) qui l'entouraient après la présidentielle de 2007, Ségolène Royal veut améliorer le management de ses troupes régionales. Entre démissions et évictions, tout ne tourne pas très rond au conseil régional. Elle fait donc appel à un cabinet de conseil aux managers, Cesar Consulting. Un conseiller régional se rebiffe: "Un marché de gré à gré de 89 000 euros a été signé... puisqu'à partir de 90 000 euros un appel d'offres est nécessaire. C'est une honte, de l'argent fichu en l'air. Car tout le monde connaît, ici, la cause de tout ce cirque. Il y en a une, une seule. C'est elle“. Le cabinet, spécialisé en gestion de crise, s'avérera être dirigé par Gérard Longuet, sénateur Les Républicains marqué à droite de la droite.

    La voiture fantôme

    Avant l'élection de 2004, Ségolène Royal promet que, si elle est élue, elle réduira les dépenses et chassera les signes d'apparat. Elle vise notamment la belle Renault Vel Satis utilisée par la présidente d'alors, Élisabeth Morin. Élue, Ségolène Royal roule donc dans une Renault Laguna, plus modeste. Pour raconter la suite, il faut descendre au cinquième sous-sol du conseil régional: "C'est là (...), sous une bâche grise, qu'intrigué on aperçoit une voiture. En soulevant la bâche, les habitués de la boutique comprennent immédiatement. Cette automobile est la Vel Satis utilisée comme voiture de fonction par Élisabeth Morin. "Le concessionnaire qui a loué la berline a en effet exigé que le contrat aille à son terme. La région a donc dû payer deux locations à la fois. Et conserver deux véhicules. Fidèle à sa promesse, Ségolène Royal refuse de rouler dans la plus luxueuse des deux, quitte à payer double!

    De la première à la seconde... classe

     "Lorsqu'elle quitte son costume de députée, elle saute dans le TGV en direction du Poitou-Charentes, descend toujours du train par le wagon de seconde après avoir voyagé en première. C'est l'une de ses habitudes les mieux ancrées, des centaines de Poitevins ont repéré le manège; autre marotte, interdiction absolue aux photographes de la mitrailler lorsqu'elle est à table“.

    Mauvaise opération

    À la fin des années 90, le parc du Futuroscope, près de Poitiers, va mal. Le conseil régional, présidé par la droite, vient à son secours en apportant "une bouffée d'oxygène de 10 millions d'euros, soit 100 000 actions d'une valeur de 100 euros chacune". Dix mois après son élection, Ségolène Royal décide de vendre cette participation. En 2006, "la Caisse des dépôts se port(e) acquéreur – dans le but de revendre ensuite à un investisseur privé – au prix de... 4,25 euros par action. Dans cette affaire, difficile de dire que l'argent des contribuables a été judicieusement placé puisque plus de 9,5 millions d'euros sont partis en fumée". La Futuroscope est, depuis, redevenu "une entreprise rentable. Aux dernières nouvelles, le cap des 2 millions de visiteurs et des 100 millions de chiffre d'affaires devrait être franchi en 2017".

    Le cadeau perdu de Martine Aubry

    En 2009, une grande opération de rabibochage est montée à Rezé, en banlieue nantaise, entre la patronne du PS, Martine Aubry, et Ségolène Royal. Les deux femmes ne s'aiment pas, surtout depuis l'empoignade du congrès de Reims. Sur la scène, après le meeting et les embrassades, Aubry offre à sa rivale un cadeau, une statuette africaine. L'échange se veut sincère et émouvant. "Deux-trois semaines plus tard, à Poitiers (...), un grand amateur d'art africain (...) demande à Ségolène Royal ce qu'elle a fait de la statuette de bois offerte à Nantes. La réponse fuse; le ton, l'expression de son visage sont encore plus explicites que ses paroles: "Je n'en sais strictement rien“.

    De bien curieux représentants

    En 2010, réélue à la tête de la région, Ségolène Royal décide de nommer des "représentants de Mme la présidente" un peu partout. L'idée n'est pas nouvelle, sauf que 18 "représentants" sur 62 ne sont même pas conseillers régionaux... L'opposition s'en émeut, au point qu'elle quitte une séance qui, quelques semaines plus tard, est consacrée à cette initiative. En mesure de rétorsion, Ségolène Royal ampute les indemnités des conseillers régionaux de droite de 450 euros environ "pour les punir de leur absence (...) Aussitôt, le tribunal administratif est saisi. Il n'aura pas à se prononcer: en fin d'année, la Princesse reverse tout ce qu'elle avait retiré".

    Mauvaise intuition

    En 2012, la guerre est déclarée avec le socialiste Olivier Falorni qui s'est déclaré candidat aux législatives dans la circonscription de La Rochelle, réservée par le PS à Ségolène Royal. Elle en discute avec Patrick Guilloton lors d'un déjeuner en avril. Il raconte: "À six jours du premier tour de la présidentielle, Ségolène Royal pense que François sera élu. Ce qui amène chez elle une certitude: À La Rochelle, Falorni n'ira pas au bout. François élu, nous lui proposerons quelque chose. Une inspection générale, quelque chose comme ça. "Quelques semaines plus tard, elle sera largement battue par son rival, dissident du PS. Elle pensait pourtant que, même s'il se présentait, elle l'écraserait. Après une présidentielle gagnée, un dissident, ça ne fait jamais plus de 5 %. Il gagnera avec quelque 60 % des voix.

    Qui connaît monsieur Gabart?

    En 2012, le Picto-Charentais François Gabart remporte le Vendée Globe. Quelques jours avant la fin de la course, lors d'un repas avec des journalistes, Ségolène Royal est interrogée sur l'enfant du pays. L'un lui demande si elle compte se rendre aux Sables-d'Olonne, le port d'arrivée. Visiblement, la question la prend au dépourvu. "Que vouliez-vous que j'aille y faire? " demande-t-elle. Les journalistes lui apprennent que Gabart est un enfant du pays, né à Angoulême. Aussitôt, elle fait rédiger un communiqué de la région, qui tombe dès la ligne d'arrivée franchie. Et lance un plan Voile, parrainé par François Gabart! Lors du lancement du plan, quelques semaines plus tard, son rival Jean-François Fountaine se confie à quelques invités: "Vous connaissez le nom de la personnalité politique ayant enterré, il y a peu, le plan Voile? Ségolène Royal“.

    La Princesse Royal de Patrick Guilloton, Cherche-Midi, 331 pages, 19 euros.

     

     

  • Destitution d'Hollande! Dehors!

    Révélations d'assassinats ciblés par drone : la destitution de Hollande évoquée par un député

    Le député (LR) Pierre Lellouche a estimé que la question de la destitution du président de la République était posée, en raison des confidences de celui-ci à des journalistes au sujet d'assassinats de djihadistes par la France durant son mandat.

    François Hollande peut-il être déchu de sa fonction de chef d'Etat pour avoir dévoilé aux auteurs de l'ouvrage Un président ne devrait pas dire ça, ses ordres d'assassinat par drone d'au moins quatre personnes, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme islamiste? C'est en tout cas ce que semble penser le député Pierre Lellouche (Les Républicains) qui, lors d'un débat à l'Assemblée nationale sur les opérations extérieures de la France, le mercredi 19 octobre, a estimé que "la question de l'application de l'article 68 [était] désormais posée".

    Cet article de la Constitution indique notamment que le président de la République peut être destitué "en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat" – or, pour l'élu parisien, l'actuel locataire de l'Elysée a "violé ouvertement l'obligation de secret".

    "Comment peut-on imaginer, monsieur le Premier ministre, que le président de la République, chef des armées, s'installe dans le rôle de commentateur en temps réel de décisions les plus secrètes en matière d'emploi de la force [...]?", a lancé le député de droite à Manuel Valls, sans pour autant dénoncer les assassinats de djihadistes eux-mêmes.

    Hollande, passible de jugement par la Cour pénale internationale?

    Mardi 18 octobre, ce sont précisément ces assassinats que l'ex-leader du Front de Gauche Jean-Luc Mélenchon avait pris pour cible, lors d'une émission diffusée sur RMC et BFM TV. "J'espère [que François Hollande] va démentir ce qu'il y a dans le livre qui lui est consacré où il reconnaît des assassinats ciblés", avait déclaré le candidat à l'élection présidentielle, avant de souligner que ce type de décision relevait selon lui de la Cour pénal internationale.

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    La loi organique n° 2014-1392 du 24 novembre 2014 portant application de l’article 68 de la Constitution est parue au Journal officiel le 25.

    La procédure de destitution peut être déclenchée " en cas de manquement [du chef de l’État] à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ". Elle peut porter sur le comportement politique mais aussi privé du président, à condition que ses actes aient porté atteinte à la dignité de sa fonction. Elle pourrait être déclenchée en dehors de toute infraction pénale et constitue une sanction politique, et non pénale, du président.

    Elle est prononcée par la Haute Cour, qui se substitue à la Haute Cour de justice. La procédure peut être déclenchée par l’Assemblée nationale ou le Sénat en adoptant à la majorité des deux tiers de leurs membres une proposition de réunion de la Haute Cour. La seconde assemblée doit ensuite se prononcer dans les quinze jours. Si elle n’adopte pas cette proposition, la procédure est alors terminée.

    La Haute Cour doit ensuite se prononcer dans un délai d’un mois. Elle est présidée par le président de l’Assemblée nationale. Les votes s’effectuent à bulletins secrets. La délégation de vote est impossible. La majorité des deux tiers des membres de la Haute Cour est nécessaire pour prononcer la destitution du président. Pendant la durée de la procédure, le chef de l’État continue d’exercer ses fonctions. Il n’y a pas d’intérim.

     

  • Ils ne le savent pas encore....

    Désormais, c'est la guerre civile en FRANCE

    Faites des conserves! achetez des bouteilles d'eau!

    Allez sur les sites de survivalisme pour apprendre....

    achetez des armes pour vous protéger!!!

     

     

  • Partition: Français, vas-tu laisser ton pays se faire dépecer?

    “COMMENT PEUT-ON ÉVITER LA PARTITION? CAR C’EST QUAND MÊME ÇA QUI EST EN TRAIN DE SE PRODUIRE: LA PARTITION" .

    J’implore chaque citoyen français capable de comprendre ce que signifient les mots de lire et de relire ces quelques là. Ils sont effroyables de lucidité.

    Le démembrement de la France, plus ancienne nation constituée d’Europe, est en train de se produire, et c’est le Président de la République Française qui s’en fait ici le lanceur d’alerte.

    C’est exactement comme si, au début de l’offensive allemande en Mai 1940 voire, deux ans auparavant, après la Conférence de Munich, le Président de l’époque avait dit: " Comment peut-on éviter la ligne de démarcation? Car c’est tout de même ça qui est en train de se produire, la démarcation? "

    Et cela s’est produit. Par deux fois, la France a été dépecée, ou partitionnée pour causer "tendance": au Traité de Brétigny du 8 Mai 1360, qui en offrait l’essentiel à l’Angleterre, puis le 22 Juin  1940, pour une sujétion promise au vainqueur allemand.

    C’est tout.

    Français, écoute bien ceci: pour la troisième fois de sa longue histoire, notre patrie est déclarée en cours d’équarrissage, cette fois par celui-là même sont le rôle suprême est de l’en protéger. Peux-tu encore dormir tranquille, auprès de ta femme et de tes enfants, dès lors que tu sais la perspective de devoir voisiner, sur ton propre sol, avec des alter egos soudain dotés de territoires, de frontières, d’armements, d’un désir permanent de guerre et de la volonté d’y triompher?

    Français, mon ami, mon frère de sang, de cœur, de mémoire ou de rencontre, entends-tu bien ce qui t’est dit là? PARTITION ! Sais-tu ce que cela a signifié, il n’y a pas si longtemps que cela, pour les Libanais rayés de la carte par les découpages successifs qui ont fait de leur pays un puzzle sanglant aux morceaux éparpillés, impossibles désormais à recoller?

    Vois-tu que l’on te promet cela? Que derrière l’interrogation sur la parade se profile l’acceptation du "traité de paix" qui fera de toi, en maints et maints endroits, un étranger sur ta propre terre?

    C’est une monstruosité.

    Inacceptable.

    Maintenant, tu sais. Alors, par pitié pour ce que tu es encore, lève toi et dis non, simplement non, à ce qui est purement et simplement le projet de débarrasser à très court terme la planète de ton encombrante présence.

    Jean Sobieski

    http://ripostelaique.com/partition-francais-vas-tu-laisser-ton-pays-se-faire-depecer.html