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Savoir - Page 132

  • Comprendre l’inéluctable processus d’islamisation de la France (1)

    Il ne faut pas rêver, la France s’islamise de plus en plus vite grâce à la complicité, notamment, de nos dirigeants politiques, à commencer par le chef de l’État Emmanuel Macron, les médias subventionnés et donc aux ordres de l’État et une magistrature totalement soumise au président, en totale contradiction avec la Constitution (article 64 de la Constitution du 4 octobre 1958).

    Très bon témoignage: "Majid Oukacha, ex-musulman, démontre tous les changements dans la société française qui démontrent que l’islamisation de la France n’est pas un mythe mais une réalité“.

    Vidéo à voir jusqu’au bout :

    vidéo

     

    L’islam est une religion (même s’il n’a rien à voir avec les autres religions paisibles et pacifiques comme le judaïsme, le christianisme, le bouddhisme, etc.) qui a été créée par un homme nommé Mahomet, au début du VIIe siècle, dans un but matériel (économique), hégémonique et sociétal.

    Comme les autres religions, l’islam repose sur le concept éculé, improbable et opaque de l’existence d’une "entité" intelligente supérieure, invisible et inconnaissable qui gouverne notre monde et régente la vie la plus intime de chaque être humain.

    Une puissance qui vit donc dans un univers parallèle au nôtre, invisible, inconnu et inaccessible, qui a des pouvoirs infinis et qui se détermine par son caractère dit " omniprésent, omniscient et omnipotent".

    On retrouve donc là toutes les composantes de ce qui fait depuis toujours rêver les humains et leur donne l’illusion d’un monde meilleur, comme dans les fables pour enfants, les contes de fées, les histoires de magie, de sorcellerie, de surnaturel, d’occulte ou d’étrange et, en gros, toute la saga du sympathique mais néanmoins utopique et onirique Harry Potter.

    La plus grande majorité des humains, sur toute la Terre, a besoin de " croire " à des choses, des concepts ou des idées imaginaires et absurdes qui les rassurent face aux réalités parfois effrayantes de la vie réelle. On peut le comprendre.

    C’est pourquoi les humains se sont inventé toutes sortes de superstitions absurdes et irrationnelles qui remplissent leur esprit et leur évitent de trop penser à leurs souffrances.

    Aujourd’hui, encore, malgré le cartésianisme et le pragmatisme scientifique de notre temps, de nombreux humains se réfugient dans ces innombrables superstitions.

    Les religions ont donc inventé et imposé ces choses et en ont le plus souvent usé comme d’un instrument de pouvoir et de domination des masses, jusqu’à les enfermer dans un véritable asservissement mental, dans le but de les exploiter et d’en tirer des richesses au profit des religieux.

    Pour en savoir plus, vous pourrez trouver dans des livres ou sur internet une abondante littérature historique sur ce sujet.

    Je vous recommande aussi la lecture d’un livre assez complet écrit par un autre contributeur de Riposte Laïque et publié chez Amazon: "Les ravages civilisationnels régressifs de l’islam" d’Ivan Bartowski.

    Page de découverte du début du livre (70 pages) :

    http://jenmore.free.fr/ravagesdebut.htm

    Il n’en reste pas moins que tout cela relève de l’irréel et pas du réel ni de la vraie vie.

    La croyance est juste une vue de l’esprit et elle doit le rester. Elle ne doit en aucun cas être affirmée comme autre chose qu’une simple fantaisie et encore moins être imposée à ceux qui ne la partagent pas.

    C’est pourtant ce que fait le monde musulman. Il veut imposer ses croyances superstitieuses et absurdes à toute l’humanité pour la réduire à un esclavage mental et physique.

    L’islam est donc une religion avec tout ce que cela peut comporter d’absurde et de mensonger.

    L’islam rejette, par ailleurs, toutes les autres croyances des autres religions et rejette également tout ce qui est d’ordre scientifique ou intellectuel en provenance des nations occidentales avancées et civilisées.

    L’islam s’isole résolument du monde des humains qui avancent et préfère rester enfermé dans ses propres archaïsmes qui font de lui et de sa société les derniers de la classe humaine.

    L’islam est par nature éminemment conquérant, militaire, guerrier, pillard (le pillage est le cœur même de la nature de l’islam), misogyne (la femme n’a pas de place dans l’islam), violent, barbare et sanguinaire.

    Le mot islam signifie " soumission " (à une entité imaginaire) et en aucun cas autre chose que certains voudraient nous le faire croire.

    Il y a 14 siècles, dans les terres incultes et inhospitalières de la péninsule arabique où vivait Mahomet, la pauvreté régnait.

    L’agriculture était limitée et l’artisanat aussi. Le commerce permettait des échanges avec d’autres villes et d’autres pays.

    Les caravanes transportaient des marchandises pour les vendre et elles étaient souvent pillées (notamment par Mahomet).

    Le travail n’est pas une valeur encouragée dans l’islam.

    L’islam prescrit surtout de piller et de voler les autres et en particulier les non musulmans.

    Depuis 14 siècles, l’islam a envahi, vaincu et écrasé de nombreuses nations dans le but de les piller et de les exploiter à son pur profit.

    Depuis 14 siècles, l’islam aurait assassiné 275 millions d’être humains, selon des historiens et des spécialistes de la question. Le chiffre se monterait à 80 millions de morts rien que pour l’Inde qui était un pays riche et pacifique.

    L’islam c’est l’horreur absolue d’un Oradour-sur-Glane chaque jour depuis 1 400 ans.

    Alors, lorsqu’on me dit que l’islam n’est que paix, amour et tolérance, je reste saisi de stupeur devant tant de bêtise, d’ignorance et de mauvaise foi.

    Partout où arrive ou passe l’islam, le pillage et la mort sont au rendez-vous.

    Nous le constatons aujourd’hui dans nos pays occidentaux où l’arrivée de populations musulmanes du Moyen-Orient et d’Afrique a fait grimper de façon très importante la criminalité, le vol, le viol et les assassinats isolés ou en séries. Égorgements et attentats terroristes sont la signature d’un islam conquérant en marche.

    Les musulmans le disent eux-mêmes, alors pourquoi nos dirigeants le nient-ils, ils sont là pour nous détruire, nous conquérir, nous remplacer et s’approprier notre terre de France et toute l’Europe, à terme.

    Pour ce qui est du pillage, comme ils ne veulent pas trop le montrer, pour le moment, ils ont trouvé plus simple et plus subtil de piller notre système social de solidarité, sécurité sociale, allocations familiales, chômage, etc.

    Leur principe est " nous vous vaincrons par le ventre de nos femmes et nos bébés seront nos futurs combattants djihadistes".

    Ce qui en dit long sur la considération qu’ils peuvent avoir pour leurs propres femmes et pour leurs enfants.

    Et ça marche très bien.

    Le Grand Remplacement est bel et bien en marche.

    D’autant plus qu’ils ont importé avec eux leur tradition de polygamie.

    Comme l’État français, les institutions et les médias les encensent et les glorifient à tout instant, ils vivent donc très bien leur éloignement de leur chère terre natale où ils crevaient de faim.

    Ici, en France, ils ont tous les droits, tandis que nous-mêmes en avons de moins en moins, chaque jour rognés et supprimés en leur faveur.

    Ce sont les rois. On leur donne de l’argent pour ne pas travailler, des logements, des soins médicaux et on construit pour eux tout ce dont ils ont besoin.

    Pourquoi la France permet-elle ça?

    Pour nos dirigeants, depuis le gouvernement Chirac (sous Giscard d’Estaing) et l’absurde regroupement familial (Décret du 29 avril 1976), une énorme invasion de familles d’étrangers arabo-musulmans a commencé, par la suite accélérée et amplifiée par Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron.

    Pour les musulmans ce fut une aubaine.

    Normalement, un tat doit protéger son territoire, son peuple, ses institutions, son économie, etc.

    En France, on a complètement perdu la raison, ce qui a abouti à la situation actuelle qui va nous conduire à une crise très grave et probablement à une guerre civile interethnique et interreligieuse.

    Par la suite, connaissant parfaitement la dangerosité de ces populations, l’État a décidé de les protéger afin d’éviter des embrasements des cités, des quartiers et des banlieues arabo-musulmanes des grandes villes.

    Conclusion, ces banlieues sont devenues des territoires perdus de la République où plus personne n’ose s’aventurer, ni même les forces de l’ordre, et où les pompiers sont accueillis avec une extrême violence.

    La drogue et la prostitution y sont chez elles en toute liberté.

    Le droit français ne les concerne pas.

    Ils font ce qu’ils veulent, ils sont tabous, intouchables et protégées par l’État et la justice, alors que les Français de souche et les non musulmans sont l’objet d’une justice froide et implacable…

    Laurent Droit

     Article en deux parties. Demain, suite: sous le même titre (2)

     

     

  • "Les hipsters ne tiendraient pas dans un troquet avec de vraies gens à la Gabin"

    Jean-Laurent Cassely, observateur attentif et chroniqueur privilégié des modes de vie et des valeurs des classes supérieures urbaines, enquête, dans No Fake, sur les habitudes de consommation des hipsters et leur recherche d’"authenticité".

    Dans votre nouvel essai, No Fake. Contre-histoire de notre quête d’authenticité, vous disséquez le monde des hipsters et plus particulièrement leur obsession pour le vintage. L’authentique contemporain n’est-il finalement qu’un "authentoc"?

    En fuyant un monde trop marketé, trop prévisible, celui des années de globalisation dans lequel on faisait passer un jean produit à l’autre bout du monde pour authentique à grand renfort de publicité à gros budget, nous courons en effet le risque de reconstruire un nouvel âge du fake, plus subtil, dans lequel tout sonne cette fois trop vrai, du logement chez l’habitant où nous séjournons en vacances au pizzaoïlo véritablement italien du restaurant à la mode… Ce que j’appelle le Disneyland hipster.

    Mais j’essaie de dépasser la simple critique ou la condamnation de "l’authentoc", pour reprendre une formule inventée par le magazine Technikarten 2001, ou du fake, pour employer un vocabulaire plus contemporain. […]

    Le Figaro

     

     

  • Ne pas se laisser pas mener à l'abattoir...

     

    Connaissez-vous la devise des anciens caïds de la pègre toulousaine: pour un œil, j'enfle toute la tête!

    Je parle des “vieux de la vieille“, ceux des années cinquante et soixante… lire l'article sur Gabin.

     

    Paris : l’ancien légionnaire accusé d’avoir tué un dealer qui l’avait agressé au couteau, lui et sa compagne, est acquitté

    L’ancien militaire était accusé d’avoir poignardé un dealer qui l’avait agressé en 2014. La cour d’assises a reconnu que l’agresseur s’était infligé lui-même les blessures qui lui furent fatales.

    Le verdict est tombé ce vendredi. Le légionnaire qui avait tué son agresseur en mai 2014 a été acquitté par la cour d’assises. L’ancien soldat, qui a quitté l’armée il y a plus d’un an, était poursuivi pour "violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner".

    Un ancien légionnaire comparait ce mardi pour la mort d’un dealer l’ayant agressé gare du Nord à Paris en 2014. Accusé de "violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner", l’ancien soldat entend faire valoir d’ici vendredi prochain la légitime défense de son acte.

    Il y a cinq ans, en 2014, un légionnaire et sa compagne sont accostés par un dealer gare du Nord, à Paris. La discussion avait dégénéré, le dealer avait sorti un couteau et poignardé à la main le soldat qui avait réussi à arracher l’arme des mains de son agresseur. À la suite de l’affrontement, l’agresseur s’était effondré pour décéder quelques heures plus tard à l’hôpital des suites d‘une blessure à la cuisse.

    Le dealer, connu des services de police et en fuite pour s’être soustrait aux conditions de l’aménagement de sa peine, avait déjà été condamné pour violence avec armes. Il était sous l’emprise de l’alcool et du cannabis au moment des faits. […]

    Défendant la probité de son client, attesté selon lui par la confiance que ses supérieurs avaient en ce légionnaire jamais condamné, Me Henri de Beauregard s’étonne de la difficulté à faire reconnaitre la légitime défense. […]

    Le Figaro

     

  • ENFIN!!!! Vive la langue française

    MANIFESTE ADRESSÉ AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

    Dans sa qualité, dans son usage même, la langue française sombre en déshérence. Comme tant d’autres langues, et avec trop d’autres cultures, elle se trouve de fait colonisée par l’hégémonie anglo-américaine.

    À l’occasion du soixante-dix-neuvième anniversaire de l’appel à la résistance du Général de Gaulle, un collectif composé de représentants de vingt-cinq nations s’adresse au Président de la République française.

    Au chef de l’État premier contributeur de la Francophonie, ce collectif demande de montrer l’exemple de la résistance, plutôt que de collaborer à la colonisation de notre pays.

    Monsieur le Président de la République,

     La langue française va mal. Non plus étoffée mais étouffée par l’anglo-américain, elle voit désormais son usage même évincé par cette dernière langue devenue si peu étrangère. Confrontée à cette invasion, notre mémoire renvoie en écho un passé douloureux de soumission et d’oubli de soi. Une majorité capitulatrice plaidera le réalisme, hermétique aux cris sourds d’une identité enchaînée par une pseudo « langue universelle », en réalité servante d’un maître particulier.

     Le français outragé, le français brisé, le français martyrisé. Mais le français rendu à la dignité si, Monsieur le Président, vous choisissez de suivre enfin la trace laissée par l’esprit de résistance.

     – Il est demandé au chef de l’État premier contributeur à l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), de montrer l’exemple : en renonçant à l’emploi de l’anglo-américain à l’étranger, quand le français demeure l’une des deux premières langues d’usage d’une majorité d’organes internationaux ; en renonçant à l’utilisation peu digne de l’anglo-américain en France même, décourageant ainsi nos visiteurs de pratiquer une langue désertée par ses locuteurs naturels.

     – Il est demandé au chef de l’État : De faire étudier une loi renforçant le dispositif linguistique présent en en rendant notamment l’application contraignante. De rappeler aux autorités judiciaires leur pouvoir de poursuivre les contrevenants à une loi constamment bafouée. De rappeler, immédiatement, les préfets à leur obligation de contrôle de légalité pour les collectivités en infraction, par défaut, avec l’article 15 de la Loi du 4 août 1994.

     – Il est demandé au garant de la Constitution d’interrompre la marche suicidaire vers l’intronisation de la langue anglo-américaine comme seconde langue officielle de la nation ; ainsi devrez-vous mettre un terme au projet sacrilège prétendant dispenser dans les établissements scolaires des cours de matières générales en anglo-américain.

    Ce manifeste reçoit des signatures venues de France, mais aussi des francophones du monde entier. Du pays source de la langue commune, la Francophonie attend légitimement le signal fort d’une résistance enfin consciente de l’enjeu.

    – Il est donc attendu du chef de file de l’OIF qu’il mette la politique étrangère de la France en accord avec les revendications humanistes de l’organisation, fidèle à la langue des Lumières, celle de l’égalité et du partage. À cet égard, nous déplorons l’installation au poste de secrétaire générale de l’OIF d’une personnalité rouandaise membre actif d’un régime politique détestable.

    – Il est attendu du chef de file de l’OIF qu’il défende l’usage de la langue française, non qu’il le rétrécisse. Les francophones se sont particulièrement émus de votre adoubement, lors du dernier Sommet de la Francophonie, de l’anglo-américain comme « langue d’usage » pour le monde. À en juger par le dynamisme économique d’une majeure partie de l’Afrique francophone, comme par la vitalité économique du Canada francophone, terre de créativité et de haute technologie, leur « langue d’usage » – le français – en vaudrait pourtant d’autres.

     Lors de ce Sommet, nous vous avons également entendu ceindre la langue française du titre de « langue de la création ». Conviendrait-il déjà que l’État encourageât les appellations françaises pour baptiser nouveaux produits et services créés par toute entreprise revendiquant son aide ; mieux, par toute entreprise où entrent des capitaux d’État. Or il se produit très exactement l’inverse.

    Faute d’avoir su précéder le Québec comme référence mondiale pour la défense du français, du moins sachons nous inspirer de sa pugnacité et abandonner nos comportements serviles. Il y va de notre identité nationale et de l’avenir de la Francophonie.

     Nous vous remercions de l’attention que vous voudrez bien porter à notre requête.

    Veuillez croire, Monsieur le Président de la République, à notre haute considération.

    Signataires

    Associations du collectif LANGUE FRANÇAISE

    Louis Maisonneuve et Dr Pauline Belenotti, Président et secrétaire d’Observatoire des Libertés, France. Philippe Carron et Jacques Badoux, responsables de l’antenne Suisse romande pour le collectif, Suisse. Jean-Paul Perreault, Président du Mouvement Impératif français, Montréal, Canada.

    Associations partenaires

    Philippe Reynaud et Lucien Berthet, Président et secrétaire de Défense de la Langue Française-Savoie, France. Pierrette Vachon L’Heureux, Présidente de l’Association pour le soutien et l’usage de la langue française, Québec-ville, Canada. Albert Salon, docteur d’État, ancien ambassadeur, Président d’Avenir de la langue française (ALF), Paris, France. Régis Ravat Président de l’Association Francophonie Avenir (AFRAV), Nîmes, France. Edgar Fonck, directeur de l’Association pour la Promotion de la Francophonie en Flandre, De Haan, Belgique. Alain Ripaux, Président de Francophonie Force Oblige, Appilly, France. Catalina Hadra, secrétaire générale de Dicifran (Association pour la diffusion de la Civilisation Française en Argentine), Buenos Aires, Argentine.

    Personnes privées

    Ilyes Zouari Président du Centre d’étude et de réflexion sur le monde francophone, France.Jean-Pierre Luminet, astrophysicien, directeur de recherche au CNRS, Marseille, France. Tahar Ben Jelloun, écrivain, Prix Goncourt, France, Maroc. Michel Bühler, auteur-compositeur et chanteur. Sainte- Croix, Suisse. Vladimir Fédorovski, écrivain, Neuilly, France. Rémy Pagani, Maire honoraire de la ville de Genève, Suisse. Zachary Richard,auteur-compositeur et chanteur (« Travailler c’est trop dur »), Louisiane, États Unis d’Amérique. Jean-Marie Rouart, écrivain, membre de l’Académie française, Paris, France.Jean Ziegler, homme politique, écrivain, vice-président du comité consultatif du « conseil des droits de l’homme » de l’ONU, Suisse. Pierre Perret, chanteur, Seine-et-Marne, France. Jeannie Longo, cycliste, championne olympique et du monde, Savoie, France. Boris Cyrulnik, neuro-psychiatre, Toulon, France. Guimba Konate, ingénieur, ex-conseiller au Ministère des Télécommunications du Sénégal, Sénégal. Didier Van Cauwelaert, écrivain, Prix Goncourt, France. Jacques Drillon, journaliste-écrivain, Paris, France. Lakhdar Amrani, professeur de français, Algérie. Benoit Bergeron, enseignant en biologie, Montréal, Canada. Anna Maria Campogrande, fonctionnaire européenne, président d’Athena, Association pour la défense et la promotion des langues officielles de la Communauté européenne, résident à Bruxelles, Belgique. Huguette Lemieux, interprète, Ottawa, Canada.Michel Feltin-Palas, journaliste, Paris, France Marianne Périllard, traductrice, Lausanne, Suisse. Erasmia Boutsikari, avocate, Gytheion Grèce. Agnès Rosenstiehl, auteur, illustratrice (« Mimi Cracra »), Paris, France. Ingrid Stromman, professeur de français et d’anglais, Trondheim, Norvège. François Delarue, cardiologue, Paris, France. Jean-Pierre Siméon, poète et dramaturge, directeur de la collection poésie, éditions Gallimard, Clermont-Ferrand, France. Paul Miédan-Gros, pilote de ligne, ancien Président de la du Syndicat National des Pilotes de Ligne, Santeny, France. Rosana Pasquale, professeur de français, université nationale de Lujan-Buenos Aires, Argentine. Fernand Melgar, cinéaste, Lausanne, Suisse. Yvan Lepère, journaliste, Bruxelles, Belgique. Alexandre Riblet, professeur de français, Mexico, Mexique. Angel Viñas, enseignant, ancien directeur à la Commission européenne, Bruxelles, Belgique. Miltiades Vassilatos, ingénieur, Montréal, Canada.Renato Corsetti, enseignant, Londres. Royaume Uni. Thierry Saladin, médecin, secrétaire de l’AFRAV, Montpellier, France. Paolo Monaco, expert de l’organisation internationale pour la sécurité de la navigation aérienne, Bruxelles, Belgique. Jean-Louis Carpe, professeur de philosophie, Orléans, France. Pia Sylvie Marquart, enseignante, Hurghada Égypte. Monique Phuoeng, directrice de société, Phnom Penh, Cambodge. Rodolphe Clivaz,artiste, directeur de théâtre, Lausanne, Suisse. Alain Borer, écrivain, poète, Los-Angeles (E.U.A.) et Paris, France. Olivier Belle, auteur-compositeur et chanteur, Neuilly, France. Étienne Guilloud, pasteur, Bière, Suisse. Yves Montenay, Président de l’Institut culture, économie et géopolitique, vice-président de l’ALF, France Bérénice Franca Vilardo Irlando, ex fonctionnaire du Ministère des Affaires Étrangères d’Italie, Rome, Italie. Valeria Pancrazzi, professeur de français, Tigre-Buenos Aires, Argentine. Philippe Mougel, conseiller artistique, Clermont-Ferrand, France. René Fournier, maire honoraire de Carignan, Québec, Canada. Louise Chevrier, romancière, Chambly, Québec, Canada. Micheline Khemissa, enseignante, Écublens, Suisse. Daniel Perrenoud, médecin, Lausanne, Suisse. Gérard Laurin, professeur de français, Gatineau, Québec, Canada.Ralph Stehly, professeur émérite de l’Université de Strasbourg, France. Claude Filatrault,conseiller à Hydro-Québec, Québec-ville, Canada. Françoise Carré, enseignante, Landevieille, France. Philippe Prudhomme, professeur de français, Président de l’association « Les amis de Bougainville », Papeete. Tahiti, France. Benoît Cazabon, linguiste, enseignant en biologie, co-fondateur et ex-directeur de l’Institut franco-ontarien, Vernet, Ontario, Canada. Claude Sybers, auteur littéraire, dramaturge Saly, Sénégal. Jean-Louis Brion, ingénieur, Nouvain-la-Neuve, Belgique. Veronica Gebauer, professeur de français, Université nationale de Cordoba, Argentine. Luc Charrette, pédiatre, Gatineau, Québec, Canada. Cyril R. Vergnaud, professeur de langues, Pingtung, Taiwan. Nicolae Dragulanescu, professeur d’université, Président de la Ligue de coopération culturelle et scientifique Roumanie France, Bucarest, Roumanie. Bert Schumann, ingénieur, Rennes, France. Michel Donceel, violoneux, Bertirx, Belgique. Gérard Cartier, ingénieur et auteur, L’Étang-la-Ville, France. Laurent Martin, pianiste, Vollore, France. Madana Gobalane, Président de l’association indienne des professeurs de français, Chennai, Inde. Fara Nume, professeur de français, Temara, Maroc. Alicia Santana, professeur de français, Tigre-Buenos Aires, Argentine. Jean Maisonneuve, pilote de ligne, Billom, France. Évelyne Raimbault, secrétaire, Fontenay sous Bois, France. Daniela L. Martinez, professeur de français, Buenos-Aires, Argentine. Nicolas Bitterlin, ouvrier du livre, Québec-ville, Canada. Bernard Joss, dessinateur, Lausanne, Suisse. Geneviève Despinoy, professeur d’espagnol, Agen, France. Emilie Szczukiecka,enseignante, Wroclaw Pologne. Damien Feron, photographe. Madrid, Espagne. Ines Mensi, enseignante, Tunis, Tunisie. Dominique Lambilotte, fonctionnaire de police, Bertrix, Belgique.Kader Ali Lahmar, inspecteur d’enseignement du français, Oran, Algérie. Johan Nijp, professeur de français, Groningen, Pays-Bas. Mohamed Farhat, enseignant, Joub Jenin, Liban. Nathalie Pacico, technicienne, Courcelles, Belgique. Didier Catineau, journaliste, écrivain, Plassay, France. Jean-Pierre Roy, réalisateur, Montréal, Canada. Roger Rochat, ingénieur, Cottens, Suisse. André Creusot, administrateur, Ottawa, Canada.

    Avis au lecteur: il lui est proposé ici, donc sur Agora Vox, la version initiale de ce manifeste, accompagnée de l’ensemble des signataires. Ce manifeste est paru ce jour, le dimanche 16 juin 2019, dans Le Parisien / Aujourd’hui en France mais sous une version quelque peu raccourcie du seul fait de la rédaction du quotidien.

    http://www.leparisien.fr/societe/defense-de-la-langue-francaise-100-signatures-pour-refuser-la-dictature-du-tout-anglais-16-06-2019-8094285.php

    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/appel-des-100-pour-refuser-la-215939

    Pour tout contact : langue-francaise2018@laposte.net

    06 76 24 24 01

    plus Josyane JOYCE, moi-même

     

  • Boycottez ces entreprises qui font entrer les migrants en France!

    Liste des entreprises françaises membres de la communauté B Corp :

       Imfusio

        Quorum

        Investir&+

        Blédina

        Imagin/able

        BRIGHTNESS SAS

        Bartle

        ENGIE Rassembleurs d’Énergies

        norsys

        hudi

        PHENIX

        VEJA

        CONNEXING

        EPONYME

        Les Grappes

       EQOSPHERE SAS

        Davidson Consulting

        Alter Ego

        MySezame

        Big Mamma

        Kimso

        TENZING

        Laboratoires Expanscience

        HAATCH

        Coopérative Mu

        Nuova Vista

        SPYGEN

        Foncière Chenelet

        148

        Investisseurs et Partenaires

        WattValue

        ARP-Astrance

       Les 2 Vaches

        PinotBleu

        TOOVALU

        WeNow

        WASTE IS MORE (CLIP IT)

        NEWMANITY

        Altman Partners

        B&L évolution

        Smiile

        Bjorg Bonneterre et Compagnie

        La Ruche qui dit Oui !

        PatteBlanche

       Lemon Tri

        Lygo

        Château Maris

       Daktari

        BIRDEO

        Turningpoint Leadership

        Sora Finance

        AguiaLabs

        PUR Projet

        SIDIESE

        PIXELIS

        Le Rêve du Dogon

        recyclivre.com

       SQUIZ

        New Angles

        CAMIF MATELSOM

        microDON

        Citizen Capital

        Ulule

        Des Enjeux et des Hommes

        ekodev

        Lumo

        AIR coop

        Aggelos

        Nature & Découvertes

        UTOPIES

     

     

  • Gauchiasse dorée

    Encore un qui a le monopole du cœur (porte-monnaie)

    Manuel Valls aurait touché 20 000 euros par mois comme candidat à la mairie de Barcelone

    C’est beau, l’engagement désintéressé. Pour tenter de conquérir la mairie de Barcelone, Manuel Valls aurait touché un salaire mensuel net de 20.000 euros par mois, rapporte le quotidien catalan Ara. D’après l’enquête du journal espagnol, parue ce jeudi 13 juin, l’ancien Premier ministre français, battu le 26 mai avec 13,20% des voix, aurait réclamé à ses contributeurs de lui verser ces émoluments en plus de la participation à ses frais de campagne.

    Pour réclamer cette indemnisation, Manuel Valls aurait fait valoir auprès de ses donateurs la perte de revenu engendrée par la démission de son mandat de député français, le 2 octobre 2018 (…).

    Une belle opération, puisque la somme représente près du triple de la rémunération perçue par un député à l’Assemblée nationale (7 239 euros bruts par mois). En tant que simple candidat à la mairie de Barcelone, celui que Bernard-Henri Lévy estime être l’incarnation du " panache français " et du " chevaleresque catalan " aurait même été mieux rémunéré que lorsqu’il était à Matignon, entre 2014 et 2016 (14 910 euros brut) (…).

     Marianne