Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Savoir - Page 134

  • Le prix du mouton? plus cher qu'une vie

    Metz (57): Khaled L. jugé pour avoir tué "sa 2e compagne avec le couteau réservé habituellement au sacrifice des moutons "

    La cour d’assises de la Moselle a condamné, ce vendredi, Khaled Lamri a 20 ans de réclusion criminelle. Le 27 avril 2017, il avait poignardé de 11 coups de couteau Alison Stoquert-Vix avec laquelle il entretenait, une relation depuis 9 ans.

     […]

    "La réalité est toujours différente des images d’Épinal", constate Me Éric Munier, voix des parents de la victime, absents à l’audience. Il évoque "un assassinat avec un incroyable acharnement! Deux minutes pour donner 11 coups de couteau et arriver au but qu’on s’est fixé." À côté, sur le banc des parties civiles, Me Chapuis parle pour les fils d’Alison. Aujourd’hui âgés de 3 et 10 ans, "ils vivent en famille d’accueil, parce que personne n’a voulu d’eux dans leur famille. Sous la tutelle de l’État, ils sont presque un peu nos enfants à nous tous. Une blessure narcissique a conduit l’accusé à commettre l’irréparable. Les enfants vont grandir amputés de l’amour d’une mère et de la protection d’un père."

     […]

    Le Quotidien (LU)

    28 Juin 2019

    Pendant neuf ans, Khaled Lamri s’est partagé entre sa femme et ses deux enfants à Metz, mais aussi son foyer avec Alison Stoquert-Vix et deux autres enfants à Jœuf. Elle s’impatientait de le voir divorcer. Après une énième dispute, la pression a été trop forte. Il l’a tuée sur la route à Rombas.

     […]

    Le Messin de 44 ans est de retour le lendemain matin, mais avec les menottes aux poignets et la police. Elle vient perquisitionner l’appartement pour retrouver cette mallette fermée par une serrure à code, dans laquelle le Mosellan a pris un couteau habituellement utilisé pour le sacrifice rituel des moutons. Mais la veille, vers 18h40, cette lame a tué Alison Stoquert-Vix, 27 ans à l’époque. La jeune femme a succombé à l’unique coup létal sur les onze donnés avec cette lame de 21 cm

    […]

    Elle a 18 ans, il flashe, elle aussi, sans savoir que son rêve de couple n’aboutira jamais. Khaled est marié et père de deux enfants. Pourtant, malheureux en couple avec une épouse qui connaît sa double vie, il ne veut pas divorcer.

     

    […]

    La victime humilie Khaled qui frappe, tue et reste prostré contre un arbre à quelques mètres de son couteau fiché dans le sol. Il ne peut toujours pas le regarder quand ce scellé est présenté à la cour.

     […]

    le verdict attendu ce vendredi soir.

     

  • Petite revue de presse

    Emmanuel Macron ressemble de plus en plus à Benito Mussolini

    Marion Maréchal au ban des proscrits (LFI aussi…). Le Medef se couche sur ordre de LREM.

    Je maintiens : nous sommes entrés dans une forme de fascisme mou évoquant la période de prise du pouvoir par Mussolini.

    La Marche sur Rome est ici remplacée par la "“ Prise de Paris“ " objectivement réussie par Macron, ses sbires et ses barbouzes, ses milices, ses marionnettes parlementaires et médiatiques, ses soutiens économiques et industriels, sans oublier sa police.

    Reste l’Armée, mais comme dans les années 20, elle suivra, étêtée, sous contrôle mental, forcée au loyalisme par sa majorité carriériste.

    Mussolini fut au moins patriote. Rien de tel concernant Choupinet. Gouvernée par des traîtres, des pleutres et des conformistes au service d’un spectre, la France bascule avec, à l’intérieur de son corps, creusant son kyste, l’ennemi le plus redoutable et le plus impatient qu’elle ait eu à affronter depuis son combat séculaire contre l’expansionnisme allemand.

    J.S.

    https://www.huffingtonpost.fr/entry/marion-marechal-invitee-lrem-menace-le-medef-de boycott_fr_5d14efade4b082e55365e71b

     

    ÉCHOS DE LA COLLABORATION

    Services publics et "radicalisation", ici, à la Ville de Paris, rayon ordures et poussière sous les tapis, de prière, bien sûr. Article à déguster sans perdre son flegme si possible : novlangue, non-dits, édulcorations et prises de pincettes pour ne pas risquer de "stigmatiser", tout y est. Un monument à côté duquel les besogneux de Vichy n’étaient que des amateurs.

    https://www.marianne.net/societe/radicalisation-au-sein-des-services-publics-le-cas-du-service-de-propete-de-paris?fbclid=IwAR29-WbKHXZoEhJvt8pQ7XVXUyid-4y6Vq6ODEmsL9FHolR7MtvZuKRkKOA

     

    À ce propos, voici le témoignage fort instructif d’un travailleur social, sur FB. Les cas de ce genre sont légion. Il convient d’insister sur le mot "collaboration" et sur ses victimes dont le nombre est appelé à gonfler comme une baudruche en burqa dans une baïne de Lacanau.

    Anthonin Lamoureux 

    "Sur la montée de l’islamisme dans la fonction publique, je rappelle juste que je me suis fait virer de la mairie de Paris pour avoir critiqué le Coran lors d’une conversation privée.

    Le seul témoignage manuscrit contre moi, d’une déléguée syndicale lesbienne qui a retranscrit un témoignage d’une musulmane, a été validé par le tribunal administratif de Paris.

    Cet écrit n’était pas dans mon dossier de fonctionnaire lorsque mon avocat l’a récupéré. La mairie de Paris a donc des dossiers en parallèle alors que c’est strictement interdit.

    Et le tribunal administratif a validé un document faisant état de mon opinion religieuse: "il y a beaucoup de violences dans le coran".

    Dossier caché, opinion religieuse et les juges valident les pratiques de la maire de Paris.

    Je me suis fait virer comme une merde, moi travailleur social reconnu pour ses résultats auprès des plus précaires, à 8h en arrivant au travail: 10 mn pour vider mon bureau dans un sac poubelle et rendre badge et clefs.

    Ni syndicats ni collègues travailleurs sociaux n’ont réagi à l’époque.

    Et je me suis retrouvé dans un méga merdier (merci encore aux rares personnes à m’avoir aidé à l’époque)“.

    Radio France, 13 semaines de vacances.

    Treize, putain ! Ce service public devenu porte-coton du pouvoir, surpaye des journalistes dont le job essentiel est de cracher sur ces salauds de fainéants, xénophobes et antisémites français, avec pour obligation contractuelle la mission de pérenniser le plus longtemps possible la présence de Choupinet à l’Élysée.

    https://www.capital.fr/economie-politique/les-journalistes-de-radio-france-meritent-ils-leurs-13-semaines-de-vacances-1343249?utm_content=bufferf69aa&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=Facebook_Capital&fbclid=IwAR1_cVySzjYnlgNzU9aoHaXQ5HK8bNSosXWyfAeS2s9O1LWCso4Peh-w4YU

    Tiens le petit Piolle, trouvant certainement plus facile d’évoquer Tunis plutôt que des piscines de sa ville, sort de son silence pour s’astiquer les valeurs et se pignoler l’État de Droit. Je suis grossier? Jamais, s’agissant des branleurs qui nous trahissent… à jets continus.

     

  • Comprendre l’inéluctable processus d’islamisation de la France (1)

    Il ne faut pas rêver, la France s’islamise de plus en plus vite grâce à la complicité, notamment, de nos dirigeants politiques, à commencer par le chef de l’État Emmanuel Macron, les médias subventionnés et donc aux ordres de l’État et une magistrature totalement soumise au président, en totale contradiction avec la Constitution (article 64 de la Constitution du 4 octobre 1958).

    Très bon témoignage: "Majid Oukacha, ex-musulman, démontre tous les changements dans la société française qui démontrent que l’islamisation de la France n’est pas un mythe mais une réalité“.

    Vidéo à voir jusqu’au bout :

    vidéo

     

    L’islam est une religion (même s’il n’a rien à voir avec les autres religions paisibles et pacifiques comme le judaïsme, le christianisme, le bouddhisme, etc.) qui a été créée par un homme nommé Mahomet, au début du VIIe siècle, dans un but matériel (économique), hégémonique et sociétal.

    Comme les autres religions, l’islam repose sur le concept éculé, improbable et opaque de l’existence d’une "entité" intelligente supérieure, invisible et inconnaissable qui gouverne notre monde et régente la vie la plus intime de chaque être humain.

    Une puissance qui vit donc dans un univers parallèle au nôtre, invisible, inconnu et inaccessible, qui a des pouvoirs infinis et qui se détermine par son caractère dit " omniprésent, omniscient et omnipotent".

    On retrouve donc là toutes les composantes de ce qui fait depuis toujours rêver les humains et leur donne l’illusion d’un monde meilleur, comme dans les fables pour enfants, les contes de fées, les histoires de magie, de sorcellerie, de surnaturel, d’occulte ou d’étrange et, en gros, toute la saga du sympathique mais néanmoins utopique et onirique Harry Potter.

    La plus grande majorité des humains, sur toute la Terre, a besoin de " croire " à des choses, des concepts ou des idées imaginaires et absurdes qui les rassurent face aux réalités parfois effrayantes de la vie réelle. On peut le comprendre.

    C’est pourquoi les humains se sont inventé toutes sortes de superstitions absurdes et irrationnelles qui remplissent leur esprit et leur évitent de trop penser à leurs souffrances.

    Aujourd’hui, encore, malgré le cartésianisme et le pragmatisme scientifique de notre temps, de nombreux humains se réfugient dans ces innombrables superstitions.

    Les religions ont donc inventé et imposé ces choses et en ont le plus souvent usé comme d’un instrument de pouvoir et de domination des masses, jusqu’à les enfermer dans un véritable asservissement mental, dans le but de les exploiter et d’en tirer des richesses au profit des religieux.

    Pour en savoir plus, vous pourrez trouver dans des livres ou sur internet une abondante littérature historique sur ce sujet.

    Je vous recommande aussi la lecture d’un livre assez complet écrit par un autre contributeur de Riposte Laïque et publié chez Amazon: "Les ravages civilisationnels régressifs de l’islam" d’Ivan Bartowski.

    Page de découverte du début du livre (70 pages) :

    http://jenmore.free.fr/ravagesdebut.htm

    Il n’en reste pas moins que tout cela relève de l’irréel et pas du réel ni de la vraie vie.

    La croyance est juste une vue de l’esprit et elle doit le rester. Elle ne doit en aucun cas être affirmée comme autre chose qu’une simple fantaisie et encore moins être imposée à ceux qui ne la partagent pas.

    C’est pourtant ce que fait le monde musulman. Il veut imposer ses croyances superstitieuses et absurdes à toute l’humanité pour la réduire à un esclavage mental et physique.

    L’islam est donc une religion avec tout ce que cela peut comporter d’absurde et de mensonger.

    L’islam rejette, par ailleurs, toutes les autres croyances des autres religions et rejette également tout ce qui est d’ordre scientifique ou intellectuel en provenance des nations occidentales avancées et civilisées.

    L’islam s’isole résolument du monde des humains qui avancent et préfère rester enfermé dans ses propres archaïsmes qui font de lui et de sa société les derniers de la classe humaine.

    L’islam est par nature éminemment conquérant, militaire, guerrier, pillard (le pillage est le cœur même de la nature de l’islam), misogyne (la femme n’a pas de place dans l’islam), violent, barbare et sanguinaire.

    Le mot islam signifie " soumission " (à une entité imaginaire) et en aucun cas autre chose que certains voudraient nous le faire croire.

    Il y a 14 siècles, dans les terres incultes et inhospitalières de la péninsule arabique où vivait Mahomet, la pauvreté régnait.

    L’agriculture était limitée et l’artisanat aussi. Le commerce permettait des échanges avec d’autres villes et d’autres pays.

    Les caravanes transportaient des marchandises pour les vendre et elles étaient souvent pillées (notamment par Mahomet).

    Le travail n’est pas une valeur encouragée dans l’islam.

    L’islam prescrit surtout de piller et de voler les autres et en particulier les non musulmans.

    Depuis 14 siècles, l’islam a envahi, vaincu et écrasé de nombreuses nations dans le but de les piller et de les exploiter à son pur profit.

    Depuis 14 siècles, l’islam aurait assassiné 275 millions d’être humains, selon des historiens et des spécialistes de la question. Le chiffre se monterait à 80 millions de morts rien que pour l’Inde qui était un pays riche et pacifique.

    L’islam c’est l’horreur absolue d’un Oradour-sur-Glane chaque jour depuis 1 400 ans.

    Alors, lorsqu’on me dit que l’islam n’est que paix, amour et tolérance, je reste saisi de stupeur devant tant de bêtise, d’ignorance et de mauvaise foi.

    Partout où arrive ou passe l’islam, le pillage et la mort sont au rendez-vous.

    Nous le constatons aujourd’hui dans nos pays occidentaux où l’arrivée de populations musulmanes du Moyen-Orient et d’Afrique a fait grimper de façon très importante la criminalité, le vol, le viol et les assassinats isolés ou en séries. Égorgements et attentats terroristes sont la signature d’un islam conquérant en marche.

    Les musulmans le disent eux-mêmes, alors pourquoi nos dirigeants le nient-ils, ils sont là pour nous détruire, nous conquérir, nous remplacer et s’approprier notre terre de France et toute l’Europe, à terme.

    Pour ce qui est du pillage, comme ils ne veulent pas trop le montrer, pour le moment, ils ont trouvé plus simple et plus subtil de piller notre système social de solidarité, sécurité sociale, allocations familiales, chômage, etc.

    Leur principe est " nous vous vaincrons par le ventre de nos femmes et nos bébés seront nos futurs combattants djihadistes".

    Ce qui en dit long sur la considération qu’ils peuvent avoir pour leurs propres femmes et pour leurs enfants.

    Et ça marche très bien.

    Le Grand Remplacement est bel et bien en marche.

    D’autant plus qu’ils ont importé avec eux leur tradition de polygamie.

    Comme l’État français, les institutions et les médias les encensent et les glorifient à tout instant, ils vivent donc très bien leur éloignement de leur chère terre natale où ils crevaient de faim.

    Ici, en France, ils ont tous les droits, tandis que nous-mêmes en avons de moins en moins, chaque jour rognés et supprimés en leur faveur.

    Ce sont les rois. On leur donne de l’argent pour ne pas travailler, des logements, des soins médicaux et on construit pour eux tout ce dont ils ont besoin.

    Pourquoi la France permet-elle ça?

    Pour nos dirigeants, depuis le gouvernement Chirac (sous Giscard d’Estaing) et l’absurde regroupement familial (Décret du 29 avril 1976), une énorme invasion de familles d’étrangers arabo-musulmans a commencé, par la suite accélérée et amplifiée par Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron.

    Pour les musulmans ce fut une aubaine.

    Normalement, un tat doit protéger son territoire, son peuple, ses institutions, son économie, etc.

    En France, on a complètement perdu la raison, ce qui a abouti à la situation actuelle qui va nous conduire à une crise très grave et probablement à une guerre civile interethnique et interreligieuse.

    Par la suite, connaissant parfaitement la dangerosité de ces populations, l’État a décidé de les protéger afin d’éviter des embrasements des cités, des quartiers et des banlieues arabo-musulmanes des grandes villes.

    Conclusion, ces banlieues sont devenues des territoires perdus de la République où plus personne n’ose s’aventurer, ni même les forces de l’ordre, et où les pompiers sont accueillis avec une extrême violence.

    La drogue et la prostitution y sont chez elles en toute liberté.

    Le droit français ne les concerne pas.

    Ils font ce qu’ils veulent, ils sont tabous, intouchables et protégées par l’État et la justice, alors que les Français de souche et les non musulmans sont l’objet d’une justice froide et implacable…

    Laurent Droit

     Article en deux parties. Demain, suite: sous le même titre (2)

     

     

  • "Les hipsters ne tiendraient pas dans un troquet avec de vraies gens à la Gabin"

    Jean-Laurent Cassely, observateur attentif et chroniqueur privilégié des modes de vie et des valeurs des classes supérieures urbaines, enquête, dans No Fake, sur les habitudes de consommation des hipsters et leur recherche d’"authenticité".

    Dans votre nouvel essai, No Fake. Contre-histoire de notre quête d’authenticité, vous disséquez le monde des hipsters et plus particulièrement leur obsession pour le vintage. L’authentique contemporain n’est-il finalement qu’un "authentoc"?

    En fuyant un monde trop marketé, trop prévisible, celui des années de globalisation dans lequel on faisait passer un jean produit à l’autre bout du monde pour authentique à grand renfort de publicité à gros budget, nous courons en effet le risque de reconstruire un nouvel âge du fake, plus subtil, dans lequel tout sonne cette fois trop vrai, du logement chez l’habitant où nous séjournons en vacances au pizzaoïlo véritablement italien du restaurant à la mode… Ce que j’appelle le Disneyland hipster.

    Mais j’essaie de dépasser la simple critique ou la condamnation de "l’authentoc", pour reprendre une formule inventée par le magazine Technikarten 2001, ou du fake, pour employer un vocabulaire plus contemporain. […]

    Le Figaro

     

     

  • Ne pas se laisser pas mener à l'abattoir...

     

    Connaissez-vous la devise des anciens caïds de la pègre toulousaine: pour un œil, j'enfle toute la tête!

    Je parle des “vieux de la vieille“, ceux des années cinquante et soixante… lire l'article sur Gabin.

     

    Paris : l’ancien légionnaire accusé d’avoir tué un dealer qui l’avait agressé au couteau, lui et sa compagne, est acquitté

    L’ancien militaire était accusé d’avoir poignardé un dealer qui l’avait agressé en 2014. La cour d’assises a reconnu que l’agresseur s’était infligé lui-même les blessures qui lui furent fatales.

    Le verdict est tombé ce vendredi. Le légionnaire qui avait tué son agresseur en mai 2014 a été acquitté par la cour d’assises. L’ancien soldat, qui a quitté l’armée il y a plus d’un an, était poursuivi pour "violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner".

    Un ancien légionnaire comparait ce mardi pour la mort d’un dealer l’ayant agressé gare du Nord à Paris en 2014. Accusé de "violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner", l’ancien soldat entend faire valoir d’ici vendredi prochain la légitime défense de son acte.

    Il y a cinq ans, en 2014, un légionnaire et sa compagne sont accostés par un dealer gare du Nord, à Paris. La discussion avait dégénéré, le dealer avait sorti un couteau et poignardé à la main le soldat qui avait réussi à arracher l’arme des mains de son agresseur. À la suite de l’affrontement, l’agresseur s’était effondré pour décéder quelques heures plus tard à l’hôpital des suites d‘une blessure à la cuisse.

    Le dealer, connu des services de police et en fuite pour s’être soustrait aux conditions de l’aménagement de sa peine, avait déjà été condamné pour violence avec armes. Il était sous l’emprise de l’alcool et du cannabis au moment des faits. […]

    Défendant la probité de son client, attesté selon lui par la confiance que ses supérieurs avaient en ce légionnaire jamais condamné, Me Henri de Beauregard s’étonne de la difficulté à faire reconnaitre la légitime défense. […]

    Le Figaro

     

  • ENFIN!!!! Vive la langue française

    MANIFESTE ADRESSÉ AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

    Dans sa qualité, dans son usage même, la langue française sombre en déshérence. Comme tant d’autres langues, et avec trop d’autres cultures, elle se trouve de fait colonisée par l’hégémonie anglo-américaine.

    À l’occasion du soixante-dix-neuvième anniversaire de l’appel à la résistance du Général de Gaulle, un collectif composé de représentants de vingt-cinq nations s’adresse au Président de la République française.

    Au chef de l’État premier contributeur de la Francophonie, ce collectif demande de montrer l’exemple de la résistance, plutôt que de collaborer à la colonisation de notre pays.

    Monsieur le Président de la République,

     La langue française va mal. Non plus étoffée mais étouffée par l’anglo-américain, elle voit désormais son usage même évincé par cette dernière langue devenue si peu étrangère. Confrontée à cette invasion, notre mémoire renvoie en écho un passé douloureux de soumission et d’oubli de soi. Une majorité capitulatrice plaidera le réalisme, hermétique aux cris sourds d’une identité enchaînée par une pseudo « langue universelle », en réalité servante d’un maître particulier.

     Le français outragé, le français brisé, le français martyrisé. Mais le français rendu à la dignité si, Monsieur le Président, vous choisissez de suivre enfin la trace laissée par l’esprit de résistance.

     – Il est demandé au chef de l’État premier contributeur à l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), de montrer l’exemple : en renonçant à l’emploi de l’anglo-américain à l’étranger, quand le français demeure l’une des deux premières langues d’usage d’une majorité d’organes internationaux ; en renonçant à l’utilisation peu digne de l’anglo-américain en France même, décourageant ainsi nos visiteurs de pratiquer une langue désertée par ses locuteurs naturels.

     – Il est demandé au chef de l’État : De faire étudier une loi renforçant le dispositif linguistique présent en en rendant notamment l’application contraignante. De rappeler aux autorités judiciaires leur pouvoir de poursuivre les contrevenants à une loi constamment bafouée. De rappeler, immédiatement, les préfets à leur obligation de contrôle de légalité pour les collectivités en infraction, par défaut, avec l’article 15 de la Loi du 4 août 1994.

     – Il est demandé au garant de la Constitution d’interrompre la marche suicidaire vers l’intronisation de la langue anglo-américaine comme seconde langue officielle de la nation ; ainsi devrez-vous mettre un terme au projet sacrilège prétendant dispenser dans les établissements scolaires des cours de matières générales en anglo-américain.

    Ce manifeste reçoit des signatures venues de France, mais aussi des francophones du monde entier. Du pays source de la langue commune, la Francophonie attend légitimement le signal fort d’une résistance enfin consciente de l’enjeu.

    – Il est donc attendu du chef de file de l’OIF qu’il mette la politique étrangère de la France en accord avec les revendications humanistes de l’organisation, fidèle à la langue des Lumières, celle de l’égalité et du partage. À cet égard, nous déplorons l’installation au poste de secrétaire générale de l’OIF d’une personnalité rouandaise membre actif d’un régime politique détestable.

    – Il est attendu du chef de file de l’OIF qu’il défende l’usage de la langue française, non qu’il le rétrécisse. Les francophones se sont particulièrement émus de votre adoubement, lors du dernier Sommet de la Francophonie, de l’anglo-américain comme « langue d’usage » pour le monde. À en juger par le dynamisme économique d’une majeure partie de l’Afrique francophone, comme par la vitalité économique du Canada francophone, terre de créativité et de haute technologie, leur « langue d’usage » – le français – en vaudrait pourtant d’autres.

     Lors de ce Sommet, nous vous avons également entendu ceindre la langue française du titre de « langue de la création ». Conviendrait-il déjà que l’État encourageât les appellations françaises pour baptiser nouveaux produits et services créés par toute entreprise revendiquant son aide ; mieux, par toute entreprise où entrent des capitaux d’État. Or il se produit très exactement l’inverse.

    Faute d’avoir su précéder le Québec comme référence mondiale pour la défense du français, du moins sachons nous inspirer de sa pugnacité et abandonner nos comportements serviles. Il y va de notre identité nationale et de l’avenir de la Francophonie.

     Nous vous remercions de l’attention que vous voudrez bien porter à notre requête.

    Veuillez croire, Monsieur le Président de la République, à notre haute considération.

    Signataires

    Associations du collectif LANGUE FRANÇAISE

    Louis Maisonneuve et Dr Pauline Belenotti, Président et secrétaire d’Observatoire des Libertés, France. Philippe Carron et Jacques Badoux, responsables de l’antenne Suisse romande pour le collectif, Suisse. Jean-Paul Perreault, Président du Mouvement Impératif français, Montréal, Canada.

    Associations partenaires

    Philippe Reynaud et Lucien Berthet, Président et secrétaire de Défense de la Langue Française-Savoie, France. Pierrette Vachon L’Heureux, Présidente de l’Association pour le soutien et l’usage de la langue française, Québec-ville, Canada. Albert Salon, docteur d’État, ancien ambassadeur, Président d’Avenir de la langue française (ALF), Paris, France. Régis Ravat Président de l’Association Francophonie Avenir (AFRAV), Nîmes, France. Edgar Fonck, directeur de l’Association pour la Promotion de la Francophonie en Flandre, De Haan, Belgique. Alain Ripaux, Président de Francophonie Force Oblige, Appilly, France. Catalina Hadra, secrétaire générale de Dicifran (Association pour la diffusion de la Civilisation Française en Argentine), Buenos Aires, Argentine.

    Personnes privées

    Ilyes Zouari Président du Centre d’étude et de réflexion sur le monde francophone, France.Jean-Pierre Luminet, astrophysicien, directeur de recherche au CNRS, Marseille, France. Tahar Ben Jelloun, écrivain, Prix Goncourt, France, Maroc. Michel Bühler, auteur-compositeur et chanteur. Sainte- Croix, Suisse. Vladimir Fédorovski, écrivain, Neuilly, France. Rémy Pagani, Maire honoraire de la ville de Genève, Suisse. Zachary Richard,auteur-compositeur et chanteur (« Travailler c’est trop dur »), Louisiane, États Unis d’Amérique. Jean-Marie Rouart, écrivain, membre de l’Académie française, Paris, France.Jean Ziegler, homme politique, écrivain, vice-président du comité consultatif du « conseil des droits de l’homme » de l’ONU, Suisse. Pierre Perret, chanteur, Seine-et-Marne, France. Jeannie Longo, cycliste, championne olympique et du monde, Savoie, France. Boris Cyrulnik, neuro-psychiatre, Toulon, France. Guimba Konate, ingénieur, ex-conseiller au Ministère des Télécommunications du Sénégal, Sénégal. Didier Van Cauwelaert, écrivain, Prix Goncourt, France. Jacques Drillon, journaliste-écrivain, Paris, France. Lakhdar Amrani, professeur de français, Algérie. Benoit Bergeron, enseignant en biologie, Montréal, Canada. Anna Maria Campogrande, fonctionnaire européenne, président d’Athena, Association pour la défense et la promotion des langues officielles de la Communauté européenne, résident à Bruxelles, Belgique. Huguette Lemieux, interprète, Ottawa, Canada.Michel Feltin-Palas, journaliste, Paris, France Marianne Périllard, traductrice, Lausanne, Suisse. Erasmia Boutsikari, avocate, Gytheion Grèce. Agnès Rosenstiehl, auteur, illustratrice (« Mimi Cracra »), Paris, France. Ingrid Stromman, professeur de français et d’anglais, Trondheim, Norvège. François Delarue, cardiologue, Paris, France. Jean-Pierre Siméon, poète et dramaturge, directeur de la collection poésie, éditions Gallimard, Clermont-Ferrand, France. Paul Miédan-Gros, pilote de ligne, ancien Président de la du Syndicat National des Pilotes de Ligne, Santeny, France. Rosana Pasquale, professeur de français, université nationale de Lujan-Buenos Aires, Argentine. Fernand Melgar, cinéaste, Lausanne, Suisse. Yvan Lepère, journaliste, Bruxelles, Belgique. Alexandre Riblet, professeur de français, Mexico, Mexique. Angel Viñas, enseignant, ancien directeur à la Commission européenne, Bruxelles, Belgique. Miltiades Vassilatos, ingénieur, Montréal, Canada.Renato Corsetti, enseignant, Londres. Royaume Uni. Thierry Saladin, médecin, secrétaire de l’AFRAV, Montpellier, France. Paolo Monaco, expert de l’organisation internationale pour la sécurité de la navigation aérienne, Bruxelles, Belgique. Jean-Louis Carpe, professeur de philosophie, Orléans, France. Pia Sylvie Marquart, enseignante, Hurghada Égypte. Monique Phuoeng, directrice de société, Phnom Penh, Cambodge. Rodolphe Clivaz,artiste, directeur de théâtre, Lausanne, Suisse. Alain Borer, écrivain, poète, Los-Angeles (E.U.A.) et Paris, France. Olivier Belle, auteur-compositeur et chanteur, Neuilly, France. Étienne Guilloud, pasteur, Bière, Suisse. Yves Montenay, Président de l’Institut culture, économie et géopolitique, vice-président de l’ALF, France Bérénice Franca Vilardo Irlando, ex fonctionnaire du Ministère des Affaires Étrangères d’Italie, Rome, Italie. Valeria Pancrazzi, professeur de français, Tigre-Buenos Aires, Argentine. Philippe Mougel, conseiller artistique, Clermont-Ferrand, France. René Fournier, maire honoraire de Carignan, Québec, Canada. Louise Chevrier, romancière, Chambly, Québec, Canada. Micheline Khemissa, enseignante, Écublens, Suisse. Daniel Perrenoud, médecin, Lausanne, Suisse. Gérard Laurin, professeur de français, Gatineau, Québec, Canada.Ralph Stehly, professeur émérite de l’Université de Strasbourg, France. Claude Filatrault,conseiller à Hydro-Québec, Québec-ville, Canada. Françoise Carré, enseignante, Landevieille, France. Philippe Prudhomme, professeur de français, Président de l’association « Les amis de Bougainville », Papeete. Tahiti, France. Benoît Cazabon, linguiste, enseignant en biologie, co-fondateur et ex-directeur de l’Institut franco-ontarien, Vernet, Ontario, Canada. Claude Sybers, auteur littéraire, dramaturge Saly, Sénégal. Jean-Louis Brion, ingénieur, Nouvain-la-Neuve, Belgique. Veronica Gebauer, professeur de français, Université nationale de Cordoba, Argentine. Luc Charrette, pédiatre, Gatineau, Québec, Canada. Cyril R. Vergnaud, professeur de langues, Pingtung, Taiwan. Nicolae Dragulanescu, professeur d’université, Président de la Ligue de coopération culturelle et scientifique Roumanie France, Bucarest, Roumanie. Bert Schumann, ingénieur, Rennes, France. Michel Donceel, violoneux, Bertirx, Belgique. Gérard Cartier, ingénieur et auteur, L’Étang-la-Ville, France. Laurent Martin, pianiste, Vollore, France. Madana Gobalane, Président de l’association indienne des professeurs de français, Chennai, Inde. Fara Nume, professeur de français, Temara, Maroc. Alicia Santana, professeur de français, Tigre-Buenos Aires, Argentine. Jean Maisonneuve, pilote de ligne, Billom, France. Évelyne Raimbault, secrétaire, Fontenay sous Bois, France. Daniela L. Martinez, professeur de français, Buenos-Aires, Argentine. Nicolas Bitterlin, ouvrier du livre, Québec-ville, Canada. Bernard Joss, dessinateur, Lausanne, Suisse. Geneviève Despinoy, professeur d’espagnol, Agen, France. Emilie Szczukiecka,enseignante, Wroclaw Pologne. Damien Feron, photographe. Madrid, Espagne. Ines Mensi, enseignante, Tunis, Tunisie. Dominique Lambilotte, fonctionnaire de police, Bertrix, Belgique.Kader Ali Lahmar, inspecteur d’enseignement du français, Oran, Algérie. Johan Nijp, professeur de français, Groningen, Pays-Bas. Mohamed Farhat, enseignant, Joub Jenin, Liban. Nathalie Pacico, technicienne, Courcelles, Belgique. Didier Catineau, journaliste, écrivain, Plassay, France. Jean-Pierre Roy, réalisateur, Montréal, Canada. Roger Rochat, ingénieur, Cottens, Suisse. André Creusot, administrateur, Ottawa, Canada.

    Avis au lecteur: il lui est proposé ici, donc sur Agora Vox, la version initiale de ce manifeste, accompagnée de l’ensemble des signataires. Ce manifeste est paru ce jour, le dimanche 16 juin 2019, dans Le Parisien / Aujourd’hui en France mais sous une version quelque peu raccourcie du seul fait de la rédaction du quotidien.

    http://www.leparisien.fr/societe/defense-de-la-langue-francaise-100-signatures-pour-refuser-la-dictature-du-tout-anglais-16-06-2019-8094285.php

    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/appel-des-100-pour-refuser-la-215939

    Pour tout contact : langue-francaise2018@laposte.net

    06 76 24 24 01

    plus Josyane JOYCE, moi-même