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Savoir - Page 137

  • Vols de crétins sur la France

    Les cons, ça ose tout; c'est pour cela qu'on les reconnait (M. Audiard)

    Même décédé, Louis de Funès emmerde la gauchiasse!

     

    Louis de Funès et la nouvelle bien-pensance

    Par Jean-Christophe Ferrari

    La rumeur circulait depuis quelques temps dans les milieux informés. La presse la confirme : la Cinémathèque française organisera en 2020 une grande exposition Louis de Funès. Je le confesse d'emblée : cette annonce suscite en moi malaise et inquiétude. Sentiments aussitôt suivis d'un sévère examen de conscience : ne me voilà pas pris en flagrant délit d'élitisme, moi qui ces dernières années ai tant aimé visiter les expositions Pasolini, Marker, Scorsese, Van Sant ? Quelle est la légitimité de ce " bon goût " qui me conduit à écarter ainsi tout un pan de la " culture populaire " d'une reconnaissance institutionnelle ?

    Mais je me reprends aussitôt. Je ne cèderai pas à la mauvaise conscience que l'époque, je le sais, aimerait faire naître en moi. Car je comprends trop bien ce qui se joue ici : rien de moins que l'émergence d'une nouvelle bien-pensance. Une bien-pensance selon laquelle tout, au fond, se vaut. Une bien-pensance qui promeut une approche oblique, désinvolte et décalée des œuvres d'art afin d'asseoir un nouveau snobisme. Un snobisme aussi condescendant et satisfait que celui qu'il feint de destituer et qu'il voudrait remplacer. Oui, je vois clair dans la manœuvre. D'un côté, on flagorne le " populo " en accueillant dans une institution prestigieuse l'un des symboles de la comédie grand public. De l'autre, on flatte les " élites " qui, cédant à un hédonisme régressif, finiront par se trouver cools de prendre de Funès au sérieux. A condition, bien entendu, qu'on y mette un minimum les formes. On imagine d'ici les savants rapprochements entre Pouic-Pouic et la commedia dell'arte...

    Mais il faut le dire nettement ici : la carrière de Louis de Funès ne justifie en aucun cas une exposition à la Cinémathèque française. A la différence de Marlon Brando ou de Jean Gabin par exemple, l'acteur du Corniaud n'a pas donné corps à un type de personnage qui n'existait pas auparavant, il n'a pas rendu possible des films inconcevables avant lui, il n'a pas permis de cristalliser les intuitions et les désirs secrets de grand cinéastes. Il s'est contenté d'importer sur le grand écran une figure qui existait déjà dans le théâtre de boulevard et le comique troupier : celle du Français moyen, colérique, lâche et un peu veule.

    Si nous prenons la plume aujourd'hui c'est que nous sommes très attachés au travail de la Cinémathèque française. Travail sérieux de Frédéric Bonnaud et de ses équipes. Tant au plan de la conservation des archives (l'Espace chercheurs est une mine aux trésors) que de celui de l'éducation (Le Service pédagogique propose une offre d'une grande qualité). Sans oublier la programmation (récemment des rétrospectives Max Ophuls et Samuel Fuller, en ce moment une intégrale Alberto Lattuada, bientôt un retour sur la filmographie de Michel Deville). C'est au nom de cet attachement que nous nous permettons d'interpeller ici ses administrateurs. Ne vous laissez pas séduire par la nouvelle bien-pensance creuse qui, déjà, envahit les esprits et les  médias ! En vous y prenant de la sorte pour faire venir plus de visiteurs, vous ne gagnerez sur aucun tableau ! Pensez-y ! Quoi après Louis de Funès ? Chuck Norris ?

     

  • Même l'Académie Française est ficelée par la gauchiasse!

     

     

  • Les débiles qui “tirent à blanc"?

    ce sont tous les jeunes coqs, arrogants, qui veulent "laver" la France de la honte "policiéresque"! Ceux-là, tu les mets devant -pour défendre la France si elle était attaquée par n'importe quel belligérant qui voudrait nous envahir- et ils s'enfuient en criant "Maman, j'ai peur!" -

    Faux cons du dimanche, planqués derrière leur anonymat, lâches et veules...

     

    FDésintox / Le policier accusé d’avoir volé des maillots du PSG a rédigé un procès-verbal qui le disculpe

        ? ????VOLEUR! #GiletsJaunes #Paris #acte18 : Incroyable scène de pillage des maillots du PSG par la police?+journaliste @RemyBuisine agressé! LA HONTE!

        ?Partagez/dénoncez ce voleur svp#France #Boutelifka @celinepigalle #Algerie #YellowVests #Paris #Macron #MarcheDuSiècle pic.twitter.com/30Ddww08OR

     

        — Le Général (@leGneral2) March 16, 2019

    GILETS JAUNES – La vidéo d’un policier filmé en train de mettre dans un sac des maillots du PSG avait été massivement relayée en marge de l’acte XVIII des gilets jaunes, certains accusant l’officier de police d’avoir volé les produits. Toutefois selon LCI, le policier a rédigé par la suite un procès verbal, dans lequel il répertorie l’ensemble des objets qu’il a récupérés et qui le met hors de cause.

    Les images, filmées par le journaliste de Brut Rémy Buisine, montrent le policier plier un vêtement blanc qui ressemble à un maillot du PSG, avant de le glisser dans un sac qui semble contenir des objets similaires. La scène se déroule le 16 mars aux abords de la boutique du PSG sur les Champs-Élysées, vandalisée en marge de l’acte XVIII.

    Dimanche, la préfecture de police a indiqué que l’IGPN avait été saisie. Parallèlement à cette enquête de la police des polices, LCI rapporte mardi 19 mars que le policier a de son côté rédigé un procès verbal, remis au commissariat du 10e arrondissement qui mène également une enquête. Dans ce document, l’agent fait état de l’interpellation pour “vol en réunion avec dégradations“ d’un individu d’une vingtaine d’années, qui tentait de sortir de la boutique du club parisien avec des vêtements.

    Les objets volés ont été récupérés par le policier, qui en a dressé l’inventaire dans son procès verbal. Il y aurait en tout 18 articles -des vêtements ainsi que le sac dans lequel l’agent range le maillot sur la vidéo-, pour un préjudice de 2004 euros. “Le sac et les affaires consignés ont ensuite été remis à l’officier de police judiciaire. C’est l’OPJ qui a pris ensuite le relais“», précise une source proche de l’enquête à LCI.

    www.huffingtonpost.fr

  • Faux procès en misogynie pour Jean Lassalle:

    l’indignation factice, ça suffit !

    Et voilà à nouveau Jean Lassalle au centre d’un dérisoire "bad buzz". Le gang des pinailleuses ridicules a encore frappé. Agnès Buzyn vient de présenter son nouveau projet de loi santé et cet infatigable hérault de la France périphérique, dont il a arboré le gilet jaune de la détresse à l’Assemblée nationale, désespère. Quid des déserts médicaux, qui ne sont pas pour rien dans l’amertume qui s’est exprimée ces derniers mois, quid des maternités fermées? Lui-même s’est inlassablement battu pour celle d’Oloron-Sainte-Marie, en Béarn, supprimée à la fin fin de l’année 2017. Le décès in utero d’un bébé dans la Drôme, en février dernier, a relancé la polémique, les jeunes parents mettant en cause des délais de prise en charge trop longs liés à la fermeture controversée, en 2017 aussi, de la maternité de Die.

    Alors, Jean Lassalle se lève et se tourne vers Agnès Buzyn: "La seule chose qui m’interroge, c’est comment des ministres peuvent, avec une telle constance, plonger le pays dans lequel ils l’ont plongé depuis une vingtaine d’années. Et quand je pense que c’est des ministres femmes… Avec tout ce que l’on dit à juste titre de la femme aujourd’hui… C’est des ministres femmes, des femmes qui portent l’enfant, nos mères, nos sœurs, nos filles qui sont capables de porter des textes pareils“.

    Et voici qu’Ericka Bareigts, élue PS de La Réunion, intervient. Sur le fond? Pas du tout, quelle drôle d’idée. Ce n’est pas le sort des femmes enceintes de la France périphérique – celle qui habitent loin des grandes métropoles et, donc, des maternités, forcées de faire une longue route pour consulter ou accoucher – qui semble l’intéresser mais son ego blessé, autrement plus préoccupant : " Je voudrais dire au collègue Lassalle, pour ses remarques genrées vers la ministre de la Santé, personnellement, en tant que femme, je n’admets pas ce genre de remarques. Et cette remarque m’a beaucoup choquée“.

    Dire que la maternité concerne au premier chef les femmes – noter (quelle sagacité !) que le ministre de la Santé en est une – est, pour tout le monde, une évidence. Sauf pour Ericka Bareigts, qui voit dans tout cela du sexisme d’une grande indécence.

    S’étonner que ces femmes fassent montre de si peu d’intérêt pour les inquiétudes légitimes et concrètes des Françaises, bornant leur solidarité – leur sororité, comme elles disent – à la féminisation autoritaire et méticuleuse des noms de métier, comme si la condition d’une seule femme pouvait s’en trouver améliorée, est aussi du bon sens : les Françaises enceintes se moquent bien d’être soignées par un médecin ou une médecine – puisque c’est désormais, dit-on, le mot consacré, même s’il évoque plutôt les imbuvables potions à l’huile de ricin des siècles passés -, pourvu que la personne sous la blouse blanche soit compétente et les aide à mettre au monde un beau bébé en pleine santé.

    Le vrai féministe, en cet instant, c’est Jean Lassalle, avec son accent rocailleux, ses cheveux en brosse, son gros nez, ses paluches calleuses et ces petites maternités qu’il voudrait tellement sauver.

    Celles qui lui font face se servent du féminisme comme d’un bouclier magique pour éluder les interrogations, s’exonérer de tout compte à rendre, se prétendre "choquées", prêtes à défaillir – qu’on leur apporte leurs sels ! – pour couper l’herbe sous les pieds de l’escogriffe du Sud-Ouest qu’il est tellement facile de faire passer pour l’agresseur.

    Gilles Le Gendre, en écho, évoque des "dérapages", "ouvertement misogynes" et "indignes".

    L’indignation factice est décidément devenue l’outil de stérilisation massif de tout débat.

    Encore une conn… qui s'indigne sur la forme mais pas sur le fond et oublie celles qui ont perdu leur BB faute de maternité proche

    Et c'est Lassalle qui a "tort"... l'indignation factice permet de noyer la réalité qui est "délais trop longs, BB mort, grande tristesse" pour la famille, mais elle s'en tape royalement la gonzesse outragée!

     

     

  • Tellement affligeant!

    Angers: Le converti arrêté à la Poste en train de se faire livrer un pistolet-mitrailleur

    Un ancien détenu qui voulait se faire livrer une arme par la Poste, a été mis en examen et placé en détention. Il a été arrêté la semaine dernière par les douanes alors qu’il essayait de récupérer dans une agence postale angevine un colis provenant des États-Unis qui contenait un pistolet-mitrailleur.

    Le trentenaire a déjà été condamné à sept ans de prison pour des violences avec arme sur un policier. Il avait rencontré la foi musulmane en détention, ce qui lui avait valu en août 2016 d’être visé par une perquisition administrative lors de l’état d’urgence qui a succédé aux attentats de novembre 2015.

    (…) Le Parisien

  • L’odieuse et illégale “grève scolaire mondiale pour le climat”

    Par Auteur Benoît Rittaud   

    Menacés par le ridicule et par l’usure de leurs slogans, les autoproclamés défenseurs de la planète jettent leurs dernières forces dans la bataille: les jeunes. Un procédé outrancier que dénonce Benoît Rittaud, président de l’association des climato-réalistes.

    Si vous n’en avez pas encore entendu parler, ça ne va plus tarder: le 15 mars sera le jour d’une " grève scolaire mondiale pour le climat ". Attendez-vous à une prochaine avalanche d’éléments de langage vous expliquant une énième fois que, par votre faute, nous sommes au bord du gouffre: la planète va très bientôt se réchauffer d’une dizaine de degrés, la mer va monter de plusieurs mètres d’ici l’année prochaine, et d’ailleurs la " très sérieuse revue Nature " publie justement un nouvel article bourré de chiffres et de courbes plus sérieuses les unes que les autres montrant une "accélération encore pire que prévu" des catastrophes à redouter pour demain matin. Préparez-vous à vous sentir coupables.

    La vie d’un militant de la " cause climatique " est toujours la même: publier des "appels" dans tel ou tel organe de presse bien-pensant sur la question (autant dire la presque totalité des médias), parader auprès des grands de ce monde dans force COP, "one planet summit" et autres réunions inutiles et coûteuses, et enfin orienter la politique énergétique du pays pour mettre consciencieusement à terre notre outil industriel majeur qu’est la production d’électricité nucléaire (qui n’émet pourtant pas de dioxyde de carbone, mais la cohérence n’est pas requise lorsqu’il s’agit de sauver la planète).

    Malgré ces valeurs sûres pour faire les importants, les inquiets du climat doivent désormais faire face à trois gros problèmes. Le premier, c’est que leurs éléments de langage sont si stéréotypés qu’à peine nos prophètes prononcent-ils trois mots qu’il est possible à tout un chacun, avec un entraînement minimal, d’anticiper la fin de leur phrase. Le ridicule guette, ce dont ils se passeraient volontiers même si celui-ci ne tue heureusement pas davantage que quelques dixièmes de degrés centigrades de plus en un siècle.

    “Les alarmes sur tel ou tel phénomène soi-disant "inédit" relèvent davantage de la stratégie de communication que de l’exposition objective de la situation climatique.

    Le second problème, c’est qu’après avoir entendu crier au loup climatique pendant tant d’années, passant de la banquise aux cyclones et voguant de coraux en glaciers, le grand public se lasse de plus en plus de ces focalisations sélectives, changeantes au gré des inévitables fluctuations des multiples courbes climatiques à disposition. Les alarmes sur tel ou tel phénomène soi-disant "inédit" relèvent davantage de la stratégie de communication que de l’exposition objective de la situation climatique, qui n’est en réalité pas plus inquiétante aujourd’hui qu’hier.

    Troisième problème: les "solutions" proposées telles que la transition énergétique sont progressivement en train d’apparaître pour ce qu’elles sont: des politiques dispendieuses, socialement injustes, et dont les effets sur le climat seront nuls, même en supposant la validité des modèles les plus décidés à désigner le dioxyde de carbone comme gaz satanique.

     Pour faire face à ces vents contraires, les ayatollahs du climat ont alors eu une idée: exploiter les enfants. Ne reculant devant aucune outrance, ils se sont choisis une égérie en la personne d’une adolescente suédoise atteinte d’autisme pour promouvoir une " grève scolaire " de tous les enfants du monde, destinée à dénoncer l’inaction climatique.

    Quiconque a des enfants sait combien ceux-ci peuvent être angoissés devant le monde qui s’offre à leurs yeux, un monde qu’ils ne maîtrisent pas et connaissent mal. Ils s’effraient à l’idée qu’ils puissent ne jamais réussir à y évoluer de manière autonome. C’est l’un des rôles les plus fondamentaux des adultes que de les rassurer, leur apprendre à surmonter leur peur, leur enseigner qu’un jour ils seront de taille à faire face aux inévitables difficultés de l’existence, que tout n’est pas rose mais que l’on peut tout de même tâcher d’être heureux et de répandre un peu de joie autour de soi.

    Lorsque des adultes tournent le dos à ce devoir, lorsqu’ils s’abaissent à exploiter une angoisse infantile en l’étalant, en l’exposant comme jadis on exhibait des infirmes, ils commettent un crime moral qui ne peut avoir aucune circonstance atténuante, aucune indulgence de principe, quoi que l’on pense de la cause ainsi "défendue".

    Malheureusement le terrorisme intellectuel sur ces questions n’a que trop bien fonctionné. Qui, chez les personnes "raisonnables", dénonce cette instrumentalisation des souffrances psychiques d’une adolescente, alors qu’un tel procédé indignerait n’importe quel éditorialiste s’il était question d’autre chose que de l’intouchable religion climatique?

    “Les mots qui sortent de la bouche des adolescents ne sont que ceux qui leur ont été rabâchés depuis des années par les adultes.

    Pour l’instant, il semble que les jeunes ne soient heureusement pas trop nombreux à se laisser manipuler— car il s’agit bien de cela. Sans doute les manifestants ont-ils l’impression d’agir en révolutionnaires, mais la réalité est que les mots qui sortent de leur bouche [mettre: des adolescents] ne sont que ceux qui leur ont été rabâchés depuis des années par les adultes. S’il est de bon ton aujourd’hui de critiquer le mouvement étudiant de mai 68, du moins doit-on convenir que celui-ci émanait vraiment de la jeunesse. Aujourd’hui, les slogans de l’époque, contestables mais néanmoins joyeusement subversifs, ont laissé la place aux " punchlines " d’importation, aux banals copiés-collés d’éléments de langages élaborés bien loin des manifestants.

    En plus d’être odieuse dans son principe, la "grève climatique" à laquelle certains enseignants et certains chercheurs ont appelé est parfaitement illégale. Les textes en vigueur sont très clairs: par définition, "la grève est une cessation collective et concertée du travail destinée à appuyer des revendications professionnelles".

    À moins d’une interprétation particulièrement extensive (mais politiquement correcte, donc comptons sur quelques juristes pour l’endosser quand même), exiger qu’on empêche la pluie de tomber ou le soleil de briller n’a rien d’une "revendication professionnelle". Il s’agit d’une revendication politique, explicitement exclue du champ du droit de grève par un arrêt du Conseil d’État (Rousset, 8 février 1961).

    S’agissant des enseignants et des chercheurs de la fonction publique, leur appel à la grève se devrait, toujours aux termes de la loi, d’être "précédé d’un préavis émanant d’une ou plusieurs organisations syndicales représentatives au niveau national, dans la catégorie professionnelle ou dans l’administration ou le service concerné".

    Même s’il reste possible que tel ou tel syndicat enseignant prenne le train en marche et soutienne le mouvement, il n’en demeurera pas moins que l’appel à la grève l’aura précédé, en violation donc de l’obligation de préavis syndical.

    Le plus comique est pour la fin: "Pendant la durée du préavis, les organisations syndicales et l’administration employeur sont tenues de négocier". C’est sans doute ce point qui montre le plus clairement le caractère non-professionnel de la "grève climatique": l’employeur des enseignants et des chercheurs étant le ministère de l’Éducation nationale ou celui de la Recherche, on attend que s’ouvre une négociation dans laquelle Jean-Michel Blanquer serait sommé d’interdire aux États-Unis et à la Chine d’émettre du CO2…

    Le droit de grève fait partie de notre paysage démocratique. En dénoncer les dévoiements est important pour lui permettre de remplir utilement son rôle. Si les extrémistes du climat ont le droit de défendre leur point de vue, cela ne doit donc pas nous empêcher d’exiger d’eux deux choses: qu’ils n’instrumentalisent pas le droit de grève et, surtout, qu’ils cessent d’enrôler nos enfants dans leurs passions tristes.

    valeurs-actuelles

    C'est la collectivité qui est responsable et c'est aux parents à interdire à leurs enfants de jouer les guignols au profit des écolos bobos complètement cinglés et incompétents qui poursuivent un projet de dérèglement civilisationnel prétexté par un dérèglement climatique naturel que nous ne maîtrisons et maîtriserons en aucun cas.

    Essayez de demander à votre ado d'éteindre la lumière quand il quitte sa chambre...

    ou de débrancher son portable dès que la batterie est remplie (car il continue à "brûler" le compteur)

    etc, etc....