Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Savoir - Page 57

  • Séquelles après vaccin

    i24NEWS 12 janvier 2021. Israël: 4.500 personnes infectées au covid 19 après avoir reçu la première dose de vaccin

    Signal d’alerte fort venant d’Israël

    Les médias sacrent Israël, le champion de la lutte anti covid19 par le vaccin Pfizer. Superbe opération financière pour Pfizer qui a obtenu un bonus de prix de 40% pour cette priorité accordée à Israël. Depuis le 20 décembre, en 24 jours, plus de 20% des Israéliens (deux millions de personnes) ont été vaccinés.

    Mais depuis cette date, selon les chiffres de l’OMS, les nombres quotidiens de contaminations et de morts attribuées au Covid19 explosent. Les contaminations quotidiennes sont ainsi passées de 1886 cas le 21/12 à 9416 cas le 12 janvier21. Le Dr Sharon Elrai-Price, responsable des services de santé publique au ministère israélien a averti le 12/1/2021 qu’une seule dose du vaccin contre le coronavirus n’offrait pas une protection suffisante contre l’infection par le virus.[1]

    Elle a ajouté que 17% des patients gravement malades qui sont actuellement hospitalisés sont des patients qui ont reçu une première dose du vaccin avant leur hospitalisation. Les données montrent qu’à cette date, 4.500 personnes ont été diagnostiquées positives au coronavirus après avoir reçu la première dose de vaccin, dont 375 ont été hospitalisées en raison de la maladie. Parmi les personnes hospitalisées, 244 l’ont été dans la première semaine suivant leur vaccination, 124 au cours de la deuxième semaine, et 7 plus de 15 jours après avoir reçu le vaccin.

    “Le nombre de cas confirmés a atteint un nouveau sommet, nous avons passé la barre des 9.000 tests positifs. Il n’y a jamais eu un tel chiffre

    Et la mortalité journalière est passée de 18 le 20 décembre à 50 le 17 janvier conduisant le gouvernement à prolonger le 3ème confinement du pays pour une durée indéterminée.

    Signal d’alerte fort en Grande-Bretagne depuis la vaccination

    La Grande-Bretagne est le second pays dans la course à la vaccination qui a débuté le 4 décembre avec le vaccin développé par Pfizer et BioNTech.

    Depuis cette date, le nombre de contaminations quotidiennes a explosé de 14898 le 4/12/2020 à 68063 le 9 janvier 2021.

    Et malheureusement aussi la mortalité Covid19, qui après une augmentation de près de 300% (414 le 4/12 à 1564 le 14/2021) dépasse de 27% celle observée en mars-avril 2020 (pic maximal 1224 le 22 avril 2020).

    Inquiétudes aux USA

    Depuis cette date, la mortalité Covid19 a augmenté de près de 200% (1296 le 28/12 à 3557 le 17/2021)  et dépasse la moyenne des décès quotidiens observés en mars-avril 2020.

    Ces augmentations considérables et simultanées des incidences journalières des contaminations et des décès après la première dose de vaccin Pfizer dans les trois pays à la couverture vaccinale les plus élevées sont très inquiétantes et constituent des signes d’alarme forts.

    Alerte en Norvège pour les personnes fragiles

    La Norvège, vient d’émettre le 15/1/2021 une alerte après la constatation de 23 décès liés au vaccin Pfizer[2] [3] chez des personnes âgées en Ehpad. Parmi ces décès, 13 ont été autopsiés, les résultats suggérant que les effets secondaires courants pourraient avoir contribué à des réactions graves chez les personnes âgées fragiles.

    Selon l’Institut norvégien de santé publique "Pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves. Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents" et l’Institut national de santé publique a modifié le guide de vaccination contre le coronavirus, y ajoutant de nouveaux conseils de prudence sur la vaccination des personnes âgées fragiles.

    Evolution en France non vaccinée pendant cette période

    En France, tant le nombre de nouveaux cas que le nombre de morts quotidiennes ont diminué lentement durant cette période à un niveau beaucoup plus faible (par million) que dans les pays champions de la vaccination.

    On est donc frappé par les différences évolutives de l’épidémie Covid19 entre les pays, gagnants de la course à la vaccination et la France plus lente à vacciner.

    Cet éloge de la lenteur rappelle qu’il n’y a pas de médicaments ou de vaccin sans risque et qu’ils peuvent paradoxalement augmenter la gravité de la maladie qu’ils sont censés combattre.

    Cela a été constaté avec les vaccins prétendument anti-cancers (les vaccins anti-hépatite B censés prévenir le cancer du foie[4] et les vaccins anti-papillomavirus prétendument anti-cancer du col de l’utérus[5]), quelques candidats vaccins contre le Sida qui ont été abandonnés et plus récemment avec le scandale sanitaire du vaccin contre la dengue aux philippines qui a entraîné plusieurs centaines de morts. Mais les leçons de la catastrophe du Dengvaxia n’ont pas été tirées et la propagande pro vaccin actuelle met en danger ceux qui se font vacciner contre le Covid19.

    Peter Doshi[6] avait prévenu dès novembre "attendons de disposer des données complètes des essais" car les communiqués de victoire de l’industrie sont imprécis et incomplets. Il rappelait aussi que les essais n’étudiaient pas le seul critère pertinent, la mortalité[7] mais seulement le nombre de cas basé sur des tests souvent faux: "le monde a tout parié sur les vaccins pour apporter la solution à la pandémie, mais les essais ne sont pas centrés sur la démonstration qu’ils le seront"

    La cause de ces résultats paradoxaux: les anticorps facilitateurs?

    Après vaccination les anticorps peuvent entraîner une aggravation paradoxale de la maladie. Ce phénomène immunologique particulier est appelé anticorps facilitateurs (en anglais Antibody-dependent enhancement ADE).

    Chez l’homme un tel phénomène a été observé dans les essais de vaccins contre le virus respiratoire syncytial[8] (VRS) et lors de la campagne de vaccination contre la dengue[9] [10] entraînant plusieurs centaines de morts aux Philippines en 2017, l’arrêt de la vaccination et une cascade de procès en attente de jugement.

    Chez le chat le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline[11] a été abandonné à cause de ce mécanisme [12] Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire.

    Lors d’essai de vaccin contre le coronavirus du Mers les lapins développent des anticorps mais leur pathologie pulmonaire est aggravée.

    L’apparition de tels anticorps facilitateurs est favorisée par la persistance d’un taux d’immunité insuffisante. Le risque individuel d’aggravation par "anticorps facilitants" doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants[13]

    Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constitue un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination

    Je ne suis ni pro ni anti-vaccin, mais fermement opposé pour l’instant à la généralisation d’un vaccin insuffisamment évalué.

    Contrairement à ce que prétendent les décodeurs /déconneurs liés à l’industrie pharmaceutique, je ne suis pas contre la vaccination. Je suis pro-vaccin lorsqu’un vaccin est efficace, sans danger et qu’il permet d’éviter une maladie grave.  Je suis contre un vaccin lorsqu’il est inutile comme pour les maladies transmises uniquement par l’eau (polio, typhoïde, choléra) dans les pays à l’hygiène publique disposant d’eau potable et de traitement des eaux usées ou lorsqu’il n’a pas été correctement étudié et évalué: vaccin contre la dengue (qui a causé des centaines de morts), vaccin Gardasil (qui augmente paradoxalement le risque de cancer du col).

    L’indication de n’importe quel traitement ou vaccin doit reposer sur l’évaluation de sa balance avantages/ risques.

    On ne peut espérer aucun avantage individuel à vacciner contre le covid les moins de 65 ans, puisque la maladie est chez eux plus bénigne que la grippe ; cette population ne peut donc rien espérer des vaccins anti-covid si ce n’est des complications. Et l’argument sociétal (on se vaccine pour protéger les autres) n’est pas non plus pertinent puisqu’il n’est pas démontré que le vaccin soit capable d’empêcher ou de ralentir les transmissions virales.

    En l’état actuel des connaissances, la vaccination des plus âgés présentant des facteurs de risques (population où un vaccin efficace et sans danger pourrait être utile) n’a pas été correctement évaluée, car les essais refusent d’inclure cette population à risques.

    Le principe de précaution soulevé par l’alerte norvégienne justifie de ne pas les vacciner systématiquement, tant qu’on ne disposera pas de données transparentes en nombre suffisant affirmant l’efficacité et l’absence de toxicité en population réelle.

    En conclusion:

    Il faut féliciter le gouvernement de la lenteur qu’il met à généraliser la vaccination anti covid. Les résultats actuels du vaccin Pfizer dans les populations israélienne et britannique laissent en effet craindre un possible catastrophe sanitaire vaccinale.

    Remercions par avance les Français volontaires pour se faire vacciner: ils constituent les cobayes de l’essai phase 3 que le laboratoire n’a pas pris le temps de faire. Grâce à eux et aux risques qu’ils prennent, nous pourrons dans quelques mois avoir une plus juste idée des avantages et des inconvénients en population réelle.

    Gérard Delépine

    [1] Israël/Covid-19: 4.500 personnes infectées après avoir reçu la première dose de vaccin i24NEWS12 janvier 2021

    [2] La Norvège lance une alerte après la découverte de 23 décès liés au vaccin Pfizer Businessman 15/1/2021 https://fr.businessam.be/la-norvege-lance-une-alerte-apres-23-deces-possiblement-lies-au-vaccin-pfizer/

    [3] Norway Warns of Vaccination Risks for Sick Patients Over 80 https://www.infobae.com/en/2021/01/15/norway-warns-of-vaccination-risks-for-sick-patients-over-80/

    [4] La vaccination anti hépatique B a été suivi en occident par une multiplication de 2 à 4 de l’incidence des cancers du foie ;

     [5] les vaccins anti HPV ont été suivi d’une augmentation de 30 à 200% de l’incidence des cancers invasifs dans les groupes d’âge les plus vaccinés.

     [6] Peter Doshi: Pfizer and Moderna’s “95% effective” vaccines—let’s be cautious and first see the full data November 26, 2020  https://blogs.bmj.com/bmj/2020/11/26/peter-doshi-pfizer-and-modernas-95-effective-vaccines-lets-be-cautious-and-first-see-the-full-data/

     [7] Peter Doshi associate editor Will covid-19 vaccines save lives? BMJ 27 10 2020 Current trials aren’t designed to tell us: BMJ 2020 ;371:m4037 http://dx.doi.org/10.1136/bmj.m403 .

     [8] . Polack, F. P. Atypical measles and enhanced respiratory syncytial virus disease (ERD) made simple. Pediatr. Res. 62, 111–115 (2007).

     [9] Dejnirattisai, W. et al. Cross-reacting antibodies enhance dengue virus infection in humans. Science 328, 745–748 (2010).

    [10] Sridhar, S. et al. Effects of dengue serostatus on dengue vaccine safety and efficacy. N. Engl. J. Med. 379, 327–340 (2018)

     [11] Vennema, H. et al. Early Death after feline infectious peritonitis virus challenge due to recombinant vaccinia virus immunisation. J. Virol. 64,1407–1409 (1990).

     [12] Hohdatsu, T., Nakamura, M., Ishizuka, Y., Yamada, H. & Koyama, H. A study on the mechanism of antibody-dependent enhancement of feline infectious peritonitis virus infection in feline macrophages by monoclonal antibodies. Arch. Virol. 120, 207–217 (1991).

     [13] Académie de médecine Communiqué de l’Académie du 11 janvier 2021: Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19: quels risques pour quels avantages?

    000Image5.png

  • Attention les retraités!

    Comment l’État s’apprête à faire les poches des retraités

    Il semble que l’État s’apprête, notamment sur les conseils du Comité de Suivi des Retraites, à faire une nouvelle fois la poche des retraités, et ce pour deux raisons mensongères.

    Par Thierry Benne.

    Un article de l’Iref-Europe

    Tel la cigale de la fable, une fois de plus fort pris au dépourvu après avoir dépensé sans compter pour faire face à la pandémie, il semble que l’État s’apprête, notamment sur les conseils du Comité de Suivi des Retraites, à faire une nouvelle fois la poche des retraités.

    Deux raisons sont avancées :

        leurs pensions de retraite font partie des rémunérations qui n’ont pas été affectées par les diverses mesures de restriction ou de fermetures prises au titre de l’épidémie et pour rétablir l’équité il faut donc exiger des retraités une sorte de contribution de solidarité sous une forme ou sous une autre ;

        leur niveau de vie dépasse encore légèrement aujourd’hui le niveau de vie moyen de l’ensemble des ménages.

    En réalité, et comme nous allons le démontrer, ces deux raisons sont toutes aussi mensongères l’une que l’autre.

    Le maintien du montant des pensions de retraite

    Le chœur des censeurs, qui ne brille pas davantage par sa clairvoyance que par son sens de la justice sociale, dénonce l’injustice insoutenable qui fait, qu’à l’écart de la pandémie, les pensions des retraités ont continué à être versées dans leur intégralité, alors que d’autres catégories sociales, telles les chômeurs partiellement indemnisés ou les indépendants contraints de cesser leur activité, ont vu chuter leurs rémunérations en dépit des indemnisations mises en place.

    Ils estiment donc que les retraités ainsi privilégiés doivent en retour à la solidarité nationale un sacrifice particulier sur leurs pensions.

    Assurément, c’est aller un peu vite en besogne.

    En termes de vies humaines, les retraités sont ceux qui ont payé le plus lourd tribut à la pandémie, aggravé encore par le comportement erratique des pouvoirs publics qui ont confiné nombre d’EHPAD, en les interdisant pratiquement de soins et dans des conditions qui s’apparentent davantage à une forme larvée d’euthanasie qu’à une approche curative.

    En dehors des indépendants de nombreuses catégories sociales, la plupart des employés des services publics n’ont rien perdu à l’occasion de la pandémie, tout simplement parce que leurs salaires et avantages ont été intégralement maintenus, même pendant les périodes de confinement les plus strictes.

    On observe même que certains actifs ont fait mieux que tirer leur épingle du jeu, soit que le télétravail mis en place ait considérablement réduit leurs frais d’emploi et de garde, soit que le maintien intégral de leur rémunération antérieure se soit accompagné de substantielles réductions de service, voire parfois de quasi- suppressions de service; notamment poste, justice, enseignement, guichets de Sécurité sociale et comme de juste, RATP et SNCF.

    Pourtant, entre un retraité ayant perçu l’intégralité de sa pension après avoir dûment acquitté ses cotisations et un salarié dont tout le salaire a été maintenu pendant les périodes de confinement sans plus accomplir son service, quel a été le mieux traité?

    Il n’existe donc aucune raison que les retraités les plus durement touchés par la pandémie soient les seuls à acquitter sous une forme ou sous une autre une sorte de nouvelle contribution de solidarité nationale, alors que de nombreuses catégories sociales davantage épargnées et mieux soignées et d’autres plus chanceuses encore ont réussi jusqu’ici à traverser la crise sans dommage pécuniaire ou sanitaire apparent et même parfois avec profit.

    Et si vraiment nos censeurs tiennent à leur contribution, qu’ils la proposent donc en priorité à tous les corps de la fonction publique dont le salaire a été intégralement maintenu sans que le service le soit également ! Mais ce n’est sans doute pas un hasard si la plupart des bonnes âmes qui veulent taxer les retraités appartiennent précisément à la fonction publique.

    La référence fallacieuse au niveau de vie des retraités

    Dans les milieux gouvernementaux, comme dans certaines publications statistiques ou encore dans la haute fonction publique il est de bon ton de substituer la référence du niveau de vie à celle du montant des pensions pour piloter l’indexation de ces dernières, en en profitant pour réduire au pain sec les retraités qui assistent impuissant au gel répété de leurs pensions ou à l’augmentation non compensée de leur CSG.

    Cela permet de faire des retraités des privilégiés puisqu’en 2018, leur niveau de vie mensuel par unité de consommation s’établit à 2100 euros contre 2041 euros pour la moyenne de l’ensemble de la population. Or dans tous les cas, ce calcul est intellectuellement malhonnête et moralement inadmissible.

    En effet le niveau de vie ajoute au montant des pensions de retraite d’éventuelles rémunérations accessoires, divers transferts et surtout le montant des revenus du patrimoine des retraités.

    Or, le patrimoine, qui s’acquiert par accumulation, croît normalement avec l’âge de son détenteur et toutes conditions égales par ailleurs un septuagénaire ayant gravi tous les échelons de sa carrière, dégagé au surplus des charges de famille et d’emprunts dispose inévitablement d’un patrimoine plus important qu’une jeune quadragénaire au milieu de sa carrière et supportant à la fois des charges de famille et d’emprunt.

    On ne peut donc statistiquement comparer les revenus du patrimoine d’un retraité avec ceux nécessairement très inférieurs de la moyenne des Français développant une moyenne d’âge inférieure de moitié ou presque à celle des retraités. Les premiers sont inévitablement plus importants que les seconds. Et ce sont essentiellement les écarts enregistrés sur ces revenus du patrimoine qui permettent aux retraités, malgré des pensions inévitablement inférieures aux salaires, d’obtenir in fine un niveau de vie légèrement supérieur à celui de l’ensemble de la population, en sachant toutefois que cette situation n’est que provisoire, car les salaires augmentent plus vite que les pensions.

    Inversement, et cette évidence semble curieusement échapper au Comité de Suivi des Retraites, tous les retraités n’ont pas nécessairement un patrimoine important et on ne peut pas régler de manière uniforme, aveugle et a minima la revalorisation uniforme des pensions de tous les retraités en se référant aux revenus moyens d’un patrimoine moyen, dont beaucoup de retraités ne disposent pas.

    Enfin, si malgré tout on tient à ce que l’indexation des retraites puisse être plafonnée en fonction du niveau de vie moyen des retraités, il n’y a aucune raison qu’une telle restriction ne pèse pas également sur les revenus de toutes les autres catégories sociales, dont la hausse des rémunérations devrait être aussi individuellement pilotée en fonction de l’importance de leur niveau de vie.

    On voit la suite… et certains des plus hauts corps de la fonction publique non dépourvus en patrimoine risqueraient fort de devoir prendre à leur compte l’inflation et plus si nécessaire. À défaut, les principes constitutionnels d’égalité entre les citoyens et d’égalité devant la contribution aux charges de la Nation seraient donc une nouvelle fois bafoués, à moins que le Conseil constitutionnel ne se décide enfin à appliquer le texte même de la Constitution au lieu de l’interpréter et de l’infléchir au gré de ses humeurs!

    Conclusion

    Il est donc clair que, quelque soit le bout par lequel on aborde la question, elle ne reçoit jamais une réponse logiquement satisfaisante, juridiquement fondée, ni économiquement juste.

    Contrairement à ce que l’on tente de nous expliquer, l’institution d’une nouvelle mesure attentatoire au pouvoir d’achat des retraités ne correspond à aucun souci de solidarité, mais à une nouvelle manifestation de cette hargne anti-générationnelle que l’on voit poindre et s’épanouir librement contre les retraités considérés par certains comme autant de bouches inutiles à nourrir, par d’autres comme des parasites pour les générations plus jeunes, les derniers y voyant des nantis insouciants passant le plus clair de leur temps dans de luxueuses croisières vers des pays lointains.

     

     

     

    Quand en plus on s’aperçoit qu’en violation de toutes les déclarations internationales protectrices des droits de l’Homme, ces retraités sont abusivement exclus de toutes les institutions consultatives et de la plupart des caisses de retraite du pays, quand on sait qu’ils ne manifestent guère qu’exceptionnellement et alors toujours ou presque pacifiquement, on dispose de tous les éléments de réponse à la revendication de nos censeurs.

    On sait maintenant qu’elle ne doit rien à l’intérêt général, mais bien plutôt à une volonté prédatrice et malsaine d’imposer une nouvelle mortification aux aînés, sans même s’apercevoir que ce sont leurs propres parents que nos justiciers s’apprêtent à appauvrir une nouvelle fois.

    Et puis, il n’est pas besoin d’être un politologue avisé pour craindre qu’en 2022 lors des prochaines échéances électorales nationales, les plus de 17 millions de retraités ainsi matraqués ne manifestent plus tout à fait la même fidélité à un pouvoir qui, durant cinq ans, n’aura cessé de se moquer d’eux, de les mépriser et de les châtier. Tous ceux qui leur doivent leur élection feraient bien d’y penser dès maintenant.

  • Un scandale français!

    C’est un combat surréaliste, digne de David contre Goliath, que livre actuellement une petite entreprise du Sud de la France contre la Ministre de l’Ecologie (et de la transition vu le nombre de ministres qui se sont succédés ces dernières années).

    Son crime ?

    Ne pas entrer dans cadre d’une procédure de reconnaissance que l’Etat cherche à lui imposer… alors qu’elle ne la concerne pas.

    Après une première victoire devant le tribunal administratif, la société Vento-Sol et son dispositif ECOBANG (technologie performante et économique pour traiter les effluents aqueux) viennent d’obtenir une nouvelle victoire devant la Cour d’Appel de Bordeaux.

    Pour protéger les grands groupes qui traitent les eaux usées et les effluents, Barbara Pompili et ses sbires ont abusivement utilisé les règlements et la justice pour interdire la commercialisation d’un dispositif simple et peu coûteux, inventé par une entreprise bien française.

    Le système révolutionnaire Ecobang menacerait, depuis 2008, la sûreté de l’Etat, et surtout, vu son faible coût, la pérennité des commissions versées à certains ministres et hauts fonctionnaires par les grands groupes de traitement des eaux et des eaux usées. Corruption, quand tu nous tiens!

    Le système Ecobang pour caissette de 900 litres. Avec ça, pas besoin de construire une mini station d’épuration!

    A l’origine, le système ECOBANG a été imaginé pour apporter une solution efficace aux problèmes de gestion des faibles volumes d’effluents aqueux. Nicolas Vento, qui travaillait déjà dans ce domaine, avait en effet identifié un besoin spécifique. Il a donc développé un dispositif “nouvelle génération” à partir d’un cahier des charges exigeant.

    Chronologie d’une saga judiciaire: quand l’administration paralyse le développement d’une innovation française

        2008-2010

    Conception d’ECOBANG par Vento-Sol. Nicola Vento crée un premier prototype, qui donne immédiatement de très bons résultats. Il réalise ainsi une quinzaine de prototypes entre 2008 et mars 2010 pour finaliser le produit final.

        Juillet 2010

    Le démarrage de l’activité est officiellement lancé… mais est immédiatement stoppé par des blocages administratifs: le Ministère de l’Ecologie impose une reconnaissance à ECOBANG.

        Juin 2013

    Après 3 années d’efforts, le Ministère reconnait finalement la première version d’ECOBANG… mais avec de telles restrictions que le dispositif est invendable. En septembre, Nicola Vento conteste cette reconnaissance.

        2014

    Après plusieurs échanges avec l’administration, Nicolas comprend en février 2014 d’où viennent les blocages et pourquoi il est si difficile de faire reconnaître ECOBANG: le dispositif ECOBANG n’entrait pas dans le cadre de la procédure de reconnaissance.

    Il écrit immédiatement au Ministère pour lui demander pourquoi il impose cette obligation alors que son dispositif n’est pas concerné. A partir de ce courrier, le Ministère cesse toute communication avec Vento-Sol.

        Juin 2015

    Après avoir épuisé tous les recours amiables, Nicola saisit le Tribunal Administratif.

        15 Mai 2018

    Le Tribunal Administratif de Toulouse donne raison à la société Vento-Sol. Le Ministère fait alors appel de cette décision.

        10 novembre 2020

    La Cour d’Appel de Bordeaux a confirmé la décision du Tribunal Administratif.

    Cette fois, la condamnation pour faute du Ministère de l’Ecologie a été confirmée.

    “La justice a considéré que notre dispositif ECOBANG aurait pu prendre 20 à 30% du marché agricole si le Ministère de l’Ecologie ne nous avait pas mis, à tort, autant de bâtons dans les roues ! Ce sont ainsi des milliers d’appareils qui auraient pu être commercialisés… nous permettant de devenir leaders sur notre marché” affirme Nicolas Vento, fondateur Vento-Sol en nous lisant les principaux attendus de la décision de justice condamnant Barbara Pompili.

    Si on écoutait la grosse Barbara Pompili, les employés communaux déneigeraient les routes à bicyclette!

    Et maintenant… un nouveau combat devant le Conseil d’Etat

    Malgré cette belle victoire obtenue devant la Cour d’Appel, Vento-Sol n’est pas pour autant libre de développer la commercialisation d’ECOBANG comme elle le souhaiterait!

    “En effet, le Ministère de l’Ecologie se sachant en faute, il a fait évoluer sa réglementation le 27 décembre 2019, pour éviter d’avoir à modifier sa liste officielle devenue non conforme, explique Nicolas Vento.

    “Or les changements apportés posent de sérieux problèmes juridiques et rendent ce texte non applicable selon Vento-Sol.

    “Ainsi, en août 2020, après avoir épuisé tous les recours amiables, la société Vento-Sol a saisi le Conseil d’Etat pour faire annuler les modifications du texte de loi.”

    En essayant de paralyser et de tuer une entreprise française, tous les ministres et hauts fonctionnaires qui se succèdent au ministère de l’écologie se comportent en “nuisibles”.

    – Nuisibles pour les entreprises qui innovent pour protéger la nature, comme l’entreprise Vento-Sol et Nicolas Vento, avec le dispositif révolutionnaire Ecobang.

    – Nuisibles pour 80 000 apiculteurs français, en réintroduisant les néonicotinoïdes tueurs d’abeilles, interdits par la France et l’Europe en 2015 ; en interdisant des produits pas chers pour traiter les ruches contre le varroa destructor ; en ayant refusé de lancer, depuis 10 ans, une campagne de destruction du frelon asiatique, qui détruit désormais des milliers de ruches et des milliards d’insectes pollinisateurs sur le territoire français.

    – Nuisibles pour des tas d’entreprises innovantes, en bloquant des procédés simples pour protéger l’environnement ou recycler les déchets.

    Bravo à l’entreprise Vento-sol pour son invention et pour son combat judiciaire.

    Francis GRUZELLE

    Carte de Presse 55411

    Source:

  • Joe le bidet est une éponge!

    Avec un fou pareil, on est dans la m…

    Biden sur la sortie de la crise sanitaire : “Notre priorité (pour accorder des aides financières) ira vers les entreprises détenues par des Noirs, Latinos, Asiatiques, Indiens ou par des femmes”

     

        "Our priority will be Black, Latino, Asian, and Native American owned small businesses, women-owned businesses, and finally having equal access to resources needed to reopen and rebuild." — President-elect Biden pic.twitter.com/pIyDuhf5pH

     

        — Biden-Harris Presidential Transition (@Transition46) January 10, 2021

  • Le professeur Perronne

    à faire circuler et à utiliser pour convaincre et sur les réseaux sociaux et vos proches de dire non au vaccin.

    On peut bien le taxer de complotisme, il fait ici son travail de médecin fidèle au serment d’Hippocrate, bien qu’il ait déjà payé plus que le prix fort pour avoir dit la vérité sur les manigances et mensonges du gouvernement.

    Ce texte est très important. Il dit tout de l’imposture (…) qui nous gouvernent.

    Message du Pr PERRONNE sur les vaccins!

    Publié le 02.01.2021 par Christian PERRONNE

     

    Chers amis,

    La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.

    Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie. En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de "complotiste" ou mieux de "rassuriste", termes désignant ceux qui critiquent ou “challengent” la pensée unique.

    Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie. Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’État.

    Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première. Le ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le président du Conseil scientifique de l’Élysée, le Pr Jean-François Delfraissy, le directeur général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.

    Même le président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le re-confinement, nous a prédit non moins de 400 000 morts, renchérissant sur les 200 000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur. Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-COV-2. L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.

    Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée. Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement. Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place. La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.

    Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave, de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes. Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocement. Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or, on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter. Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.

     

    Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices. Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour. Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en Bourse. Le pire est que les premiers "vaccins" qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique.

    On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains "vaccinés" fabriquaient trop d’éléments viraux, entraînant des réactions incontrôlables dans notre corps?

    Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits "endogènes" intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus "domestiqués" qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées "vaccins" sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde pour des cobayes.

    Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques, des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie.

    C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.

    Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale. Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe. La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

    Christian PERRONNE

    Source:

  • Après le vaccin, elle tombe dans les pommes

    Vaccin Pfizer: Tiffany tombe dans les pommes, “Le Monde” minimise…

    par Henri Dubost

    FacebookTwitterLinkedInVKWhatsAppSMSFacebook Messenger

    Email

    Cette vidéo montrant une infirmière américaine s’écrouler après avoir reçu sa dose de vaccin anticovid Pfizer est devenue virale (sans mauvais jeu de mots):
    https://lesmoutonsrebelles.com/vaccin-pfizer-une-infirmiere-americaine-sevanouit-apres-avoir-recu-une-injection-contre-le-covid/

    Dans cet article:
    https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/12/21/attention-a-la-video-d-une-infirmiere-qui-s-effondre-apres-avoir-recu-le-vaccin-contre-le-covid-19_6064122_4355770.html

    le quotidien Le Monde vous explique que TOUT, absolument TOUT, est normal, et que si ce spectaculaire malaise vous interpelle quelque part, c’est que vous êtes complotiste.

    1. D’abord, nous rassure le quotidien vespéral, Tiffany Dover  – l’infirmière – n’a fait qu’un banal "malaise vagal" dont elle s’est rétablie "rapidement

    Ben oui: un malaise vagal, c’est somme toute banal dans un hôpital (vous apprécierez les rimes en "al"), avec un essaim d’infirmières et de médecins qui se précipitent pour vous porter secours.

    Evidemment, si l’infortunée donzelle avait vu trente-six chandelles en rentrant chez elle (vous apprécierez les rimes en "elle") au volant de sa voiture, la situation aurait été un peu moins cosy à gérer pour la jeune femme. Sans doute, mais pourquoi aller imaginer des situations aussi tordues alors que TOUT s’est bien passé, nous dit Le Monde" Les complotistes sont vraiment des gens pénibles…

    1. "Aux journalistes, [Tiffany Dover] a expliqué qu’elle souffrait d’une maladie provoquant des malaises à la moindre douleur ressentie " expliquent benoîtement les déco(nn)deurs du Monde, qui précisent que "ce n’était pas une surprise pour elle que cela se soit produit".

    Pas une surprise: "Donc ce stupéfiant évanouissement, au vu et au su des quatre coins de la planète, était plus que vraisemblable"

    Et nos journaleux vespéraux de nous expliquer gravement que: "Cet élément important ne figure pas dans la séquence qui circule en ligne, ni dans certains articles rapportant l’information".

    On imagine le médecin-commercial de chez Pfizer annoncer devant les caméras: " Alors voilà, mesdames-messieurs. On vous présente Tiffany Dover, une jeune femme qui souffre d’une maladie qui la fait tomber dans les pommes à la moindre douleur. Mais on va quand même la piquouzer en direct. D’acc, Tiff" Allez ! C’est parti… Attention, on pique, ça va faire mal ".
    Au fait, chers déco(nn)deurs, qu’est-ce donc que cette maladie "provoquant des malaises à la moindre douleur ressentie"

    " Vous ne vous êtes pas renseignés" Et vous ne vous êtes pas demandé non plus pourquoi le staff Pfizer s’est hasardé à piquouzer en public quelqu’un qui en souffre, au risque d’un fiasco planétaire" Débunkeurs, mais pas trop…
    3. Et Le Monde de poursuivre dans la même veine: " Présent sur place, Jesse Tucker, directeur du service des soins intensifs à l’hôpital de Chattanooga, précise qu’il n’y a aucune raison de soupçonner que cela serait dû au vaccin ". Aucune raison de soupçonner le contraire non plus, remarquez bien, chers déco(nn)deurs.

    Et merci à vous de nous apprendre incidemment que Tiffany, " qui s’est rétablie rapidement ", était quand même surveillée du coin de l’œil par le directeur des soins intensifs de l’hôpital. Difficile de croire qu’il était là tout à fait par hasard, non"

    1. La suite de l’article est du même tonneau: " Les données complètes publiées par Pfizer et Moderna, jugées rassurantes par les experts ont montré que les vaccins peuvent provoquer des effets indésirables fréquents (fatigue, courbatures, maux de tête) mais ils restent dans l’ensemble bénins ".

    On remarquera ce " LES experts ", alors qu’il y a quand même un certain nombre d’experts de par le monde qui se montrent assez dubitatifs sur l’innocuité du vaccin Pfizer:
    https://www.lci.fr/sante/les-effets-indesirables-du-vaccin-pfizer-sont-ils-vraiment-inhabituels-comme-le-dit-eric-caumes-2172522.html

    Sans parler de l’efficacité des vaccins anticovid en général:
    https://www.ladepeche.fr/2020/12/07/cest-surtout-de-la-publicite-affirme-le-professeur-didier-raoult-sur-le-vaccin-contre-le-covid-19-9243076.php

    Le Monde se garde bien de rappeler que l’on n’a aucune visibilité sur les effets à long terme du vaccin. Et pour cause: alors qu’il faut en moyenne 12 ans pour tester un vaccin:
    https://www.lecrips-idf.net/professionnels/dossiers-thematiques/dossier-VIH-vaccin/VIH-vaccin-essai.htm

    la commercialisation du vaccin-miracle Pfizer s’est faite tambour battant, en sautant quasiment toutes les étapes. Au point que les médecins vont devoir l’administrer " en aveugle ": ne pouvant s’appuyer sur des études scientifiques fiables, ils devront faire confiance aux dépliants publicitaires de la firme pharmaceutique.

    En cas d’accidents post-vaccinaux fâcheux, c’est le flou artistique le plus complet sur le chapitre des responsabilités:
    https://www.leparisien.fr/societe/vaccins-une-clause-de-non-responsabilite-pour-les-labos-cinq-minutes-pour-comprendre-la-polemique-10-12-2020-8413532.php

    Les laboratoires pourront toujours arguer du fait que les gouvernements leur ont " mis la pression " pour qu’ils commercialisent au plus tôt leur potion-miracle, et qu’ils ne sauraient donc être tenus pour responsables des effets secondaires qu’ils n’ont pas eu le temps de déceler.

    Ainsi dédouanés de toute responsabilité, ce ne sont donc pas les laboratoires qui dédommageront les patients atteints de pathologies directement dues aux vaccins, mais les Etats, donc les contribuables, donc les patients eux-mêmes. “Socialisation des risques, privatisation des bénéfices”…

    1. Et Le Monde de poursuivre: " Un vaccin avec de multiples effets secondaires graves observés en phases cliniques n’aurait jamais été mis en circulation ". Dans ces conditions, on aurait aimé que nos déco(nn)deurs nous expliquent pourquoi l’hexachloroquine (hydroxychloroquine)– dont certains " experts " viennent de découvrir les " effets secondaires graves ", n’est-ce pas" – était non seulement prescrit depuis plus de 70 ans dans le monde entier, mais en vente libre dans quasiment tous les pays. Débunkers, mais pas trop…
    2. " En France, reconnaît Le Monde, un dispositif de surveillance renforcé sera mis en place par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM) pour surveiller et informer des effets indésirables survenus après les injections de vaccin contre le (sic) Covid-19. Il sera prêt dès le début de la campagne de vaccination qui commencera fin décembre dans l’Hexagone ". En résumé: s’il y a de gros pépins post-vaccinaux, comme pour les médicaments Médiator, Distilbène, Vioxx:
      https://www.lelynx.fr/mutuelle-sante/soins/medicaux/medicament/top-5-plus-grands-scandales-pharmaceutiques-medicaments/

    pas grave ! L’Etat veille, qui compilera gentiment les plaintes des handicapés à vie ainsi que celles des veuves et des mères éplorées.

    * * *

    En tout cas, il y a un détail que vous ne trouverez pas dans l’article du Monde: en 2019, le média détenu très majoritairement par les oligarques Pigasse, Niels et Kretinski, a reçu 2,1 millions de dollars de la Fondation Bill Gates:
    https://www.mediapart.fr/journal/international/081019/la-fondation-gates-donne-19-million-d-euros-au-monde?onglet=full

    Bill Gates qui s’est – mais c’est un hasard – engagé à fond dans la promotion des vaccins Pfizer et Moderna, et qui dès 2015 prédisait – mais c’est un autre hasard – l’arrivée d’une pandémie mondiale de type coronavirus:
    https://usbeketrica.com/fr/article/quand-bill-gates-predisait-l-apparition-d-une-pandemie
    Concluons par ce dicton à l’adresse de nos chers déco(nn)deurs du Monde: "Dis-moi quelle est la main qui te nourrit, je te dirai ce que valent tes discours"
    Henri Dubost