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Savoir - Page 55

  • Retourne à ton bled, salop….!

    Et en plus, cette saleté se vante!

    Assemblée nationale: le député franco-marocain M’jid El Guerrab rappelé à l’ordre pour avoir commencé son intervention en berbère

    "Inas (…)", sont les paroles de la célèbre chanson éponyme de Mohamed Rouicha. Ce son également les mots en amazigh choisis par le député franco-marocain M’jid El Guerrab, du groupe Agir ensemble (Majorité présidentielle), pour débuter son intervention à l’Assemblée nationale.

    Après avoir prononcé ce texte, l’élu a ainsi expliqué qu’il signifie "la fraternité et surtout l’entraide dans un cheminement commun".  […]

        Quand tu cites Mohamed Rouicha (Khénifra) avant ton discours à La Tribune… #Fierté ❤️❤️❤️

  • Super-lâches!

    Cannes: 8 personnes arrêtées après 3 mois d’enquête et 50 policiers mobilisés suite à des dizaines de vols à la tire sur des personnes âgées

    Une vaste opération de police a été menée ce mardi matin à Cannes (Alpes-Maritimes). Une quarantaine de victimes de ces vols à la tire, âgées en moyenne de 80 ans, ont été recensées.

    Une vaste opération de police a été menée ce mardi matin à Cannes (Alpes-Maritimes). Les policiers ont interpellé à leur domicile huit personnes, sept femmes et un homme, soupçonnés d’être les auteurs de nombreux vols à la tire dans la région cannoise depuis plusieurs mois.

    L’enquête démarre mi-novembre. Les policiers de la sûreté urbaine de Cannes constatent alors une recrudescence des vols à la tire à Cannes, mais aussi à Antibes et Cagnes-sur-Mer, à raison de près d’une plainte par jour avec le même mode opératoire.

    Des victimes âgées de plus de 70 ans

    À chaque fois, les victimes sont des personnes âgées de plus de 70 ans. Les voleurs les repèrent dans un magasin, ils notent leur code de carte bancaire puis ils les suivent quand elles rentrent chez elles. Là, ils proposent de les aider à porter leurs courses ou discutent avec elles avant de faire diversion et de subtiliser la carte bancaire. Ils l’utilisent ensuite pour des retraits ou, s’ils n’ont pas le bon code, pour multiplier les paiements sans contact. Les vols se déroulent sans violence et les victimes mettent parfois du temps à s’en apercevoir avant de faire opposition à la carte bancaire.

    En tout, une quarantaine de victimes, d’une moyenne d’âge de 80 ans, ont été formellement identifiées. Mais les policiers sont certains qu’elles sont encore plus nombreuses. Le préjudice par affaire n’est pas très élevé, mais tout additionné, il s’élève à plusieurs milliers d’euros.

    Trois mois d’enquête et 50 policiers mobilisés

    L’enquête a été menée par la sûreté urbaine de Cannes, qui a mobilisé une cinquantaine de policiers, dont certains venus en renfort d’Antibes et de Cagnes-sur-Mer. Il a fallu recouper toutes les affaires et identifier les voleurs, qui portaient un masque contre le coronavirus, mais aussi parfois un chapeau ou un bonnet.

    Et après trois mois d’investigation, huit interpellations ont été menées ce mardi matin, simultanément dans huit domiciles différents à Cannes. Sept femmes et un homme originaires de Bosnie ou de Croatie, dont certains étaient déjà connus des services de police pour des faits similaires. Toujours en garde à vue ce jeudi, les huit suspects devraient ensuite être déférés au parquet ce vendredi matin.

    La police de Cannes invite néanmoins les personnes âgées à la vigilance et à faire attention à leurs effets personnels.

     

    France Bleu

    Certains crétins ironisent sur le nombre de policiers et le temps que l'enquête à durée: ont-ils pensé aux traumatismes, voire aux blessures de ces personnes fragiles?

    Et si c'était leur grand-mère?

     

  • Dans la série: faites ce que je vous dis…

    Resto illicite à Carpentras : le magistrat blanchi, le flic muté…

    Le restaurant “Chez Serge” à Carpentras où étaient attablés le magistrat Jean-François Mayet et deux policiers en “plein confinement et fermeture”.

    Le vice-Procureur de la République près le TGI de Carpentras Jean-François Mayet, “alpagué” au restaurant (il déjeunait “Chez Serge) en plein confinement, n’a pas été sanctionné par la justice et par sa hiérarchie.

    “Suivant que tu sois puissant ou misérable, la justice te sera favorable ou défavorable”. L’adage populaire se vérifie, puisque les procédures contre le magistrat Jean-François Mayet *(1) et les policiers qui ont déjeuné dans un restaurant de Carpentras le 30 janvier ont été classées sans suite….pour “vice de forme”. Rires….

    Le 30 janvier, alors que tous les bars et les restaurants de France étaient fermés en raison de l’épidémie de Covid, le vice-procureur de Carpentras Jean-François Mayet, membre du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) et délégué de l’Union syndicale des magistrats (USM, majoritaire), était surpris dans le célèbre restaurant “Chez Serge”, où il était attablé pour un repas bien arrosé (il mangeait des tapas lors de l’intervention des policiers de la ville) en compagnie du commissaire central de police et d’un autre policier.

    C’est ce qui ressort de l’enquête et des auditions confiées à la police par le procureur de la République de Nîmes. Néanmoins, le parquet a classé le dossier pour vice de forme. Pas parce que les aliments étaient avariés, mais parce qu’il manquait les signatures sur les PV. Personne ne croit à l’oubli involontaire, car les policiers intervenus sur place étaient chevronnés.

    Selon les informations recueillies ce mardi par téléphone auprès d’une source proche du dossier, qui préfère conserver l’anonymat, “le fait que le procès-verbal initial d’infraction qui a constaté les faits dans un restaurant du centre-ville de Carpentras n’était pas signé et l’utilisation non conforme des caméras de vidéoprotection ont vicié la procédure. Les règles du Code de procédure pénale n’ayant pas été respectées, le parquet de Nîmes n’a eu d’autres choix que de procéder au classement sans suite. Le procureur l’a confirmé dans un communiqué de presse sans détailler les raisons du classement”. C’est la version officielle.

    Le commissaire central de Carpentras muté à Sarcelles par Darmanin

    Ni sanction judiciaire, ni sanction administrative pour le vice-procureur. Par contre, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a muté le commissaire de police à Sarcelles dans le Val-d’Oise. Preuve, s’il en faut, que la loi a bel et bien été violée.

     

    Source:

     

    Adieu soleil et cigales, bienvenue dans les cités de la banlieue parisienne pour le commissaire trop gourmand de Carpentras, qui pourra faire la chasse aux restaurants clandestins du côté de Sarcelles. Comme le relèvent nos confrères de la rédaction du quotidien Le Parisien, les agapes du policier “dans un restaurant présumé clandestin de Carpentras (Vaucluse) ont valu au commissaire central de cette ville… une mutation forcée à Sarcelles. Un vague remake du film Bienvenue chez les Ch’tis.

    Source:

    Le commissaire va prendre en charge le poste de chef de la sûreté urbaine de Sarcelles, qui était vacant. Sur le plan hiérarchique, comme le deuxième commissaire en charge de la tenue, il est sous les ordres de la commissaire Fabienne Azalbert, chef de la circonscription de Sarcelles.”

    Le magistrat Jean-François Mayet impuni soutenu par sa hiérarchie

     

    Dans ce dossier, le magistrat Jean-François Mayet a été soutenu par l’USM, le syndicat ultra majoritaire au sein de la justice. Et le ministre de la Justice Eric Dupond-Moretti est resté muet comme Bernardo dans Zorro.

    Néanmoins, contrairement aux dénégations initiales du magistrat Jean-François Mayet soutenues par son syndicat dans un communiqué, le vice-procureur Jean-François Mayet   n’est pas entré dans l’établissement pour récupérer deux bouteilles de vin précommandées, mais pas pour y consommer des “assiettes”, et déjeuner sur place selon l’expression utilisée par le restaurateur Serge lui-même lors de son audition. Contactée par téléphone, l’USM n’a pas répondu à nos questions.

    Si le “click and collect” est en effet autorisé, le “drink and collect” est  passible de poursuites pour le client comme pour celui qui le sert. Près de 15 personnes étaient présentes en même temps et sans masque. Aucune d’entre elles n’a fait l’objet d’une contravention de 135 euros.

    “Dans cette enquête, il est aussi établi que le commissaire central de police, lui, avait bien déjeuné sans s’émouvoir de la présence d’autant de monde dans cet espace clos, sans aucun respect des règles sanitaires en vigueur et des gestes barrières. De même que le magistrat et les policiers, le restaurateur échappe lui aussi aux poursuites pénales sur la mise en danger d’autrui ainsi qu’à une contravention.” ajoute la source proche du dossier.

    .Francis GRUZELLE

    Carte de Presse 55411

     

    *(1) Né le 29 avril 1971, M. Jean-François Mayet est Docteur en droit, spécialisé en droit des affaires. Titulaire du certificat d’aptitude à la profession d’avocat obtenu en 1998, il a exercé la profession d’avocat aux barreaux de Carcassonne et de Toulouse avant d’intégrer la magistrature en 2009. Il y occupe en premier poste les fonctions de substitut placé auprès du procureur général près la cour d’appel de Limoges.

    En 2014, il rejoint  le tribunal de grande instance de Pointe-à-Pitre où il exerce les fonctions de substitut du procureur de la République. Il est installé dans les fonctions de vice-procureur de la République près le tribunal de grande instance de Carpentras le 1er septembre 2016

  • Ne nous laissons pas faire!

    La dissolution de Génération Identitaire, une agression contre le peuple français

    Dès que nous avons appris la dissolution de Génération Identitaire, nous avons, entre autres réactions, sollicité Jérémie Piano, un des leaders du mouvement, pour recueillir ses premières réactions…

    Si tous ceux qui nous soutiennent manifestent avec nous…

    Riposte Laïque: Vous venez d’annoncer que le gouvernement a lancé la procédure de dissolution de votre mouvement. Quelles sont les échéances, et qu’allez-vous faire?

    Jérémie Piano: Sur les plans juridiques et politiques, nous avons quelques jours pour rendre nos " observations " au gouvernement et pour organiser un rassemblement contre la dissolution de Génération Identitaire. Ces observations ne changeront probablement rien à notre sort. En revanche, le rassemblement de ce samedi pourra faire pression sur le gouvernement, à condition d’être massif et populaire. Pour cela, nous avons besoin de la participation des grandes personnalités politiques de la droite, capables de mobiliser des milliers de Français derrière elles. Marine le Pen, Marion Maréchal, Éric Zemmour et bien d’autres nous soutiennent déjà de manière officielle contre cette dissolution! S’ils joignent l’acte à la parole et marchent à nos côtés lors de ce rassemblement, le Gouvernement se verra alors obligé de revenir sur sa décision.

    Cette dissolution est une atteinte grave au peuple français, qui ne supporte plus l’immigration

    Riposte Laïque: Je présume, qu’à défaut d’être surpris, vous êtes scandalisé, par une telle décision qui ne repose sur rien, au niveau juridique?

    Jérémie Piano: Cette décision est d’abord une grave atteinte à la liberté d’expression, à la liberté d’association et à la démocratie. C’est ensuite une grave atteinte au peuple Français, qui ne supporte plus l’immigration et qui compte notamment sur Génération Identitaire pour le défendre face à la politique multi-culturaliste du gouvernement. Nous ne sommes pas surpris car, terrorisé par nos récents succès et notre popularité grandissante, le gouvernement ne pense plus qu’à une chose depuis des semaines: se débarrasser de Génération Identitaire et, par ce biais, tenter de faire taire les Français contestataires. Cette dissolution est aussi un coup politique destiné à calmer les pressions de la gauche, très critique envers le gouvernement depuis les mesurettes prises à l’encontre des islamistes dans la loi sur le séparatisme. Elle ne repose donc sur rien de juridique, et nos avocats – Gilles-William Goldnadel en tête – feront tout pour annuler cette injuste décision politique dans les mois à venir.

    Ils ne pourront en revanche jamais dissoudre le sens du devoir de nos militants

    Riposte Laïque: Cela signifie-t-il que, si la dissolution était confirmée, vous ne pourriez plus militer?

    Jérémie Piano: Nous ne pourrons alors plus militer collectivement, car une " reconstitution de ligue dissoute " pourrait aller jusqu’à envoyer certains d’entre nous en prison. La question du militantisme devra donc être répondue par chacun de façon individuelle: où suis-je le plus utile à mon pays et à ma cause? Pour ma part, je passerai probablement de l’activisme à une autre forme de militantisme politique, mais je serai toujours là demain, au grand dam du gouvernement. S’ils peuvent dissoudre une structure, ils ne pourront en revanche jamais dissoudre le sens du devoir de nos militants ni leur volonté d’agir pour la France et pour l’Europe.

    La place d’un patriote est d’être à nos côtés, samedi à 14 heures, à Paris

    Riposte Laïque: Que proposez-vous aux patriotes qui souhaitent vous aider?

    Jérémie Piano: La place d’un patriote, d’un identitaire, d’un Français qui a à cœur de se battre pour son identité et pour sa liberté se trouve au rassemblement de ce samedi à 14 h. Je compte sur chacun d’entre vos lecteurs capables de se rendre à cette manifestation de se joindre à nous pour défendre un mouvement qui depuis des années, est en première ligne pour défendre notre pays face à l’immigration-invasion, l’islamisation, le racisme anti-blanc, l’insécurité, notre remplacement. Parlez de cet événement autour de vous, mobilisez-vous, ne laissez pas la dictature s’installer!

    Riposte Laïque: Souhaitez-vous ajouter quelque chose, Jérémie?

    Jérémie Piano: Le lieu exact du rassemblement sera communiqué dans quelques jours, lorsque nous nous serons entendus à ce sujet avec la Préfecture. Restez alertes!

    Propos recueillis par Pierre Cassen

    A cause des violents blacks-blocs, les médias diffuseront leurs fake-news de la violence causée par GI avec délectation…

    Il est fort à craindre que, lors de la manifestation pour la non-dissolution de Génération Identitaire, des blacks-blocs viennent semer le trouble et faire passer "Génération Identitaire" pour des violents, alors que ceux-ci ont toujours agi d’une façon “pacifique”.

    Eric Zemmour a dit -à juste titre- qu'il faut, à tant que faire, dissoudre les associations d'anciens combattants car ces gens ont protégé nos frontières!

  • MDR

    Il entreprend une enquête généalogique sur ses ancêtres esclaves et découvre que son aïeul affranchi était lui aussi devenu propriétaire d’esclaves

    Un homme entreprend une enquête généalogique sur ses ancêtres esclaves et découvre que son aïeul affranchi en Jamaïque était lui aussi devenu propriétaire d’esclaves.

    Histoire de l’exploitation économique 1 – récit décolonial 0 pic.twitter.com/qoo63yOrMp

    — Johann Margulies (@JohannMargulies) February 14, 2021

    Bienvenue au club des méchants racistes blancs!

    Ben oui sans la complicité des noirs, pas d'esclavage noir, car ils furent les tous premiers esclavagistes au monde! La vérité est toujours bonne à entendre, qu'ils le veuillent ou pas

  • Propriétaires ou locataire: attention!

    Des jeunes -qui ont crié dans la rue devant la maison de Roland- se sont fait agresser de façon violente par la gauchiasse! en bas de l'article, quelques conseils pour vous défendre si l'on a squatté votre maison... c'est ce que je ferais si l'on m'"expulsait" de mon logement... à vous d'en trouver d'autres! sinon, puisque la loi est pour les pauvres, contre les "riches proprios", payez un pauvre pour qu'il le fasse à votre place: il risquera moins que vous!

    Et oui, même locataires, c'est déjà arrivé!

    En France, les squatteurs ont plus de droits que les propriétaires

    Propriété privée by belpo (CC BY-NC 2.0) — belpo, CC-BY

    Comment un citoyen peut-il investir ses économies dans l’immobilier si la loi ne lui permet pas de préserver son bien contre la spoliation, les dégradations et la voyoucratie?

    La négation de la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen

    L’article 17 de la DDHC et les articles 544 & 545 du Code civil sont désormais allègrement ignorés, contournés, bafoués. Les récentes et de plus en plus fréquentes accaparations de logements par des squatteurs, en sont l’illustration la plus spectaculaire.

    Ce phénomène qui n’est pas récent, n’a pas été pris au sérieux par les gouvernements précédents. Malgré une médiatisation importante, l’aggravation actuelle n’incite pas le gouvernement, pas plus que les élus, à réagir pour régler ce problème grave. Ils se réfugient derrière la notion très magnanime de droit au logement pour trouver prétexte à ne pas expulser des individus qui volent impunément le bien d’autrui.

    Ce bien dont les propriétaires acquittent au trésor public des taxes foncières, des droits de cession ou de mutation permet d’abonder le grand tonneau sans fond permettant de payer des allocations de soutien social aux spoliateurs de logements.

    Ces squatteurs très bien renseignés par le site Internet "Guide juridique de l’occupant sans titre" s’organisent pour profiter gratuitement et pratiquement sans risque d’un logement et de son contenu, (un meublé gratuit !) pour une durée variable.

    En effet, si la loi prévoit un an d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende pour occupation illégale du bien d’autrui, cette sanction est très rarement appliquée car les prisons sont encombrées et les allocations perçues par les squatteurs sont insaisissables.

    Et quand la force publique est enfin requise après des mois de procédure, celle-ci est réticente à exécuter l’expulsion qui doit être suivie d’un relogement. Le "bon" squatteur préférera squatter un autre logement plutôt que devoir payer un loyer !

    Vers une "soviétisation" de la propriété?

    La loi du 3 janvier 1992 déclare que l’eau fait partie du bien commun de la nation. Cependant, l’article 641 du Code civil dispose que tout propriétaire dispose des eaux pluviales qui tombent sur son fonds, ainsi que des eaux de sources qui y sont nées.  Cet article du Code civil, modifié par une ordonnance du 18 septembre 2019 devrait s’imposer comme plus récent que la loi de 1992.

    Il n’empêche qu’un propriétaire qui veut créer une réserve collinaire sur ses terres pour collecter les eaux de ruissellement hivernales, régulant l’excédent qui provoque des crues dévastatrices, ne peut le faire sans "l’agrément" des services administratifs, eux-mêmes soumis à l’agrément des associations environnementalistes.

    Ainsi, l’opinion qui approuve sans réserve la collecte et la mise en réserve de l’eau qui tombe sur les toitures, s’offusque et s’oppose le plus souvent contre le stockage de celle qui tombe sur les champs.

    Ainsi, au prétexte que l’eau appartient à tout le monde, on préfère laisser partir à la mer une eau de pluie si précieuse qui pourrait, par l’irrigation, lutter contre les dégâts des sécheresses estivales, permettant de réguler les récoltes en quantité et en qualité pour le bien commun.

    L’eau, bien commun, ne doit plus être utilisée comme propriété individuelle, même si la finalité est le bénéfice commun!

    Les prospectives des conseils gouvernementaux vont plus loin

    Mais la réflexion pour collectiviser les biens privés n’a pas de limites. Si l’air est depuis longtemps considéré comme un bien commun, les limites de propriété étant difficiles à définir, et étroitement surveillées pour des questions de salubrité publique, il est aussi prétexte à taxation (CO2) et restrictions (vignette Crit’Air) qui sont autant d’atteintes à la libre disposition des biens privés.

    Les besoins budgétaires incitent les têtes pensantes des gouvernements à réfléchir sur de nouvelles mesures pour éponger la dette abyssale de la nation. Ainsi France Stratégie, think tank ayant succédé au commissariat au plan récemment régénéré par la nomination de François Bayrou, proposait en 2017 de:

    Rééquilibrer comptablement le bilan patrimonial de l’État, par la voie d’un transfert d’actifs depuis le bilan des agents économiques privés résidents […] L’État décrète qu’il devient copropriétaire de tous les terrains construits résidentiels, à hauteur d’une fraction fixée de leur valeur, et que ce nouveau droit de propriété est désormais incessible.

    Non seulement cette proposition envisage de spolier les propriétaires d’une partie du terrain qui supporte leurs constructions, mais elle ne propose aucune indemnité, en infraction totale avec l’article 545 du Code civil. Plus encore, elle envisage l’obligation du paiement d’un loyer annuel sur la partie du sol accaparée par l’État.

    Le propriétaire, qui s’acquitte déjà des taxes et impôts qui normalement donnent obligation à l’État d’apporter ses protection et garantie, devient locataire et les loyers impayés éventuels seront retenus lors de la future cession de l’immeuble.

    À l’issue d’un colloque organisé à l’Assemblée nationale le 27 novembre 2019 par les députés Dominique Potier, Jean-Michel Clément et Jean-Bernard Sempastous, un appel pour une nouvelle loi foncière a été signé par 17 organisations (collectivités territoriales, syndicats agricoles, ONG…). Parmi les neuf mesures proposées, figure en premier plan :

    Inscrire dans la loi le principe selon lequel le sol, comme les autres ressources naturelles, est un "élément du patrimoine commun de la Nation“.

    Cela aura-t-il comme conséquence la dépossession de leurs terres pour les propriétaires ruraux? Les bailleurs ruraux seront ils privés de leurs fermages? Les citadins pourront-ils accéder en tout temps et en tout lieu dans les champs agricoles, comme les seigneurs du Moyen Âge, pour des randonnées de loisirs sans avoir à répondre des dégâts aux récoltes?

    Une nationalisation masquée?

    L’État-providence se trouve confronté à une impossibilité mathématique. La production nationale ne suffit plus à équilibrer la masse monétaire qu’il distribue pour soutenir l’économie et aider les plus démunis à survivre. S’il continue à distribuer de l’argent qu’il n’a plus, il risque le défaut de remboursement de ses dettes; s’il cesse de soutenir l’économie et les citoyens, ce sera le chaos, puis la guerre civile.

    Comme il ne peut pas augmenter les impôts pour alimenter ses dépenses, pour rassurer ses créanciers il rééquilibre son bilan. Il regonfle son actif en s’accaparant les actifs de ses citoyens. Les actifs immobiliers ne pouvant se délocaliser sont les premiers visés. Il réalise ainsi un objectif progressiste d’égalité. Pourquoi des citoyens seraient-ils propriétaires et profiteraient d’une rente de situation

    Ce rééquilibrage ne tiendra qu’un temps: quand une société distribue plus qu’elle ne produit, la finalité est inéluctablement dans un premier temps l’appauvrissement, puis la faillite. Ainsi, les solutions envisagées vont dilapider en peu de temps des richesses ayant mis des générations à se construire. Un bien est -généralement- mieux entretenu par celui qui a peiné pour le construire ou l’acquérir que par celui qui l’utilise.

    Comme les solutions proposées ne règlent pas le problème de la production nationale et le déséquilibre de la balance commerciale, et que ce rééquilibrage de bilan ne sera que d’effet temporaire, quelles seront les prochaines propositions? Confisquer l’épargne des citoyens-fourmis pour la distribuer aux citoyens-cigales? Cela est déjà prévu par la loi Sapin 2…

    Il est temps de rétablir l’ordre et le respect d’autrui et de son bien

    L’Homme est ainsi fait qu’il préfère la carotte au bâton. Le citoyen qui peine chaque jour à produire de la richesse consent à partager le fruit de son travail par le biais de l’impôt. C’est ainsi que la société a progressé en confort, en justice sociale. Grâce à la démocratie, l’État se doit de garantir l’équité, la sécurité et la pérennité de la paix sociale.

    Mais on ne peut que constater chaque jour un peu plus la dégradation de ces critères. J’avais dénoncé dans un précédent billet la position ambiguë de l’État face aux dégradations et à son laxisme dans le maintien de l’ordre public.

    Comment un citoyen peut-il investir ses économies dans l’immobilier si la loi ne lui permet pas de préserver son bien contre la spoliation, les dégradations et la voyoucratie?

    Comment un paysan peut-il continuer à produire de la nourriture quand des individus s’attaquent à ses animaux, sabotent ses installations d’irrigation?

    Comment un commerçant peut-il exister quand à chaque manifestation son magasin est pillé, vandalisé, incendié?

    Comment le salarié peut-il continuer à se lever chaque matin pour aller travailler et payer par ses impôts les allocations sociales du voyou qui a brûlé sa voiture?

    La loi a imposé le soutien aux citoyens défavorisés, malchanceux, et c’est heureux. La majorité d’entre eux ont assez de sens civique pour respecter la loi et ses concitoyens. Mais la jurisprudence a supprimé tous les moyens de coercition efficace pour dissuader ceux d’entre eux qui se livrent à des actes inacceptables et destructeurs.

    On ne met plus en prison les délinquants même récidivistes, on laisse en liberté surveillée des individus dangereux qui peuvent égorger malgré le bracelet électronique, on ne peut pas diminuer ou supprimer les allocations ou subsides sociaux aux agresseurs, pilleurs de magasins ou brûleurs de voitures…

    Bref, si on est bénéficiaire de minimas sociaux, si on a peu ou rien, on peut voler, détruire, agresser… la punition est hypothétique! Si on n’a rien, on a tous les droits!

    Et malheur à celui qui, attaqué, a l’audace de se défendre… S’il prend le dessus, blesse ou tue son agresseur, tout sera fait pour lui retirer le bénéfice de la légitime défense et s’il a du bien, on le fera payer !

    Armand Paquereau

    papyrural.blog4ever....

     

    Si, on peut se défendre: par exemple, hurler devant la maison de l'avocat gauchiasse qui protège les squatteurs1 pour lui faire mauvaise image de marque devant ses voisins. Hurler plusieurs fois par jour, pas plus de 5 mn avant que la police n'intervienne et vous colle une contredanse et prendre soin d'hurler pas les mêmes jours et pas la même heure.

    Déjà, ces avocats de la gauchiasse seront plus modérés à défendre les squatteurs. D'ailleurs, vous pouvez faire la même chose devant votre propriété ou appartement squatté!

    1- on trouve des papiers à coller sur les vitres que le site en question vous indique de télécharger: il y a toujours le nom de l'avocat et son numéro de téléphone.

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