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Savoir - Page 52

  • Surveillance des vaccins

    Surveillance des vaccins

    Cas d'événements thrombo-emboliques signalés non investigués (embolie pulmonaire, thrombose) rapportés en France (données cumulées au 4 mars 2021)

        vaccin COMIRNATY : 24 cas d'embolies pulmonaires, 31 cas de thromboses veineuses profondes, 8 thrombopénies pour un nombre cumulé d'injections de 4 566 776 (cf. rapport n° 8 - page 14) ;

        vaccin MODERNA : 3 cas d'embolies et thromboses périphériques sur un total de 242 797 doses injectées (cf. rapport n° 5 - page 8) ;

        vaccin ASTRAZENECA : 1 cas de thromboses multiples pour un total de 454 545 premières injections réalisées.

    État des lieux des effets indésirables associés au lot ABV5300, en France

    En Autriche ainsi que dans d'autres pays européens, seul le lot ABV5300 a initialement été suspendu, suite au décès d'un patient et à un cas d'embolie pulmonaire survenus après l'administration d'une dose de ce lot.

    Ce lot a été distribué dans 17 pays en Europe. La France en a reçu 316 800 doses depuis le 9 février 2021 et près de la moitié de ces doses ont déjà été administrées.

    Au total, 183 cas d'effets indésirables médicalement confirmés et associés au lot ABV5300 ont été enregistrés en France depuis le début de la vaccination par le vaccin AstraZeneca Dans un communiqué du 13 mars 2021, l'ANSM précise que, parmi ces cas, aucun décès, ni situation de mise en jeu du pronostic vital, ni cas de thrombose ou de thrombopénie, n'a été mis en évidence en France.

    En revanche, l'injection d'une dose issue du lot ABV5300 est associée (selon le quatrième rapport de surveillance - du 26 février au 4 mars 2021) aux signalements suivants :

        un cas de cyanose des extrémités avec désaturation à 86 %, vomissements et fièvre (effets vasculaires) ;

        un cas d'hypoxie suivie, le lendemain, de malaise avec désaturation et hypertension (effets respiratoires, thoraciques et médiastinaux).

    Le quatrième rapport de surveillance du vaccin ASTRAZENECA porte sur les données de pharmacovigilance françaises recueillies en quatrième semaine d'utilisation, soit du 26 février au 4 mars 2021. 
    Depuis le début de la vaccination avec ce vaccin, utilisé majoritairement en ville, le profil de sécurité est dominé par des syndromes pseudo-grippaux, souvent de forte intensité (fièvre élevée, courbatures, céphalées).
    Au total, 3 013 cas d'effets indésirables ont été analysés sur 454 545 injections réalisées au 4 mars 2021.
    Sur la dernière période analysée (26 février au 4 mars), 1 020 cas attribuables à la vaccination ont été retenus, survenus dans 2/3 des cas chez des femmes. Un peu plus d'un quart (27,8 %) de ces effets indésirables sont considérés graves (1 décès chez une personne cumulant plusieurs comorbidités, 12 hospitalisations). La majorité des cas (62,5 %) se rapporte à des troubles généraux et anomalies au site d'injection (cf. Tableau II). 
    Le décès rapporté en France en semaine 4 est survenu après injection d'une dose du  lot ABV5045. 

    Ne pas négliger la gravité potentielle des effets pseudo-grippaux 
    Les syndromes pseudo-grippaux peuvent entraîner des complications sévères (désaturation, méningisme, fièvre à 41°C, convulsion, perte de connaissance avec chutes traumatiques, délire/hallucinations, cyanose des extrémités, hypothermies, etc.), en particulier dans certaines populations.
    Dans ce quatrième rapport, les auteurs proposent d'accroître la vigilance dans les populations susceptibles de voir leurs comorbidités décompenser : 

    • exacerbations de dyspnées et d'asthmes,
    • troubles du rythme,
    • poussées hypertensives hors syndrome grippal,
    • réactions anaphylactiques/urticaires,
    • hypotensions,
    • hypothermies,
    • lymphopénies,
    • déséquilibres diabétiques,
    • myo-péricardites/péricardites.

    Vaccins à ARNm : pas de signal de sécurité 
    L'ANSM a également publié les rapports hebdomadaires relatifs à la surveillance des vaccins à ARNm : 


    Vaccin COMIRNATY : un signal potentiel relatif à la récidive de thrombopénie suite à la seconde dose
    Depuis le début de la vaccination, 8 487 cas d'effets indésirables associés au vaccin COMIRNATY ont été analysés en France, dont 1 528 nouveaux cas signalés entre le 26 février et le 4 mars 2021. Au cours de la semaine 9, la proportion de cas graves reste stable par rapport aux analyses précédentes (24 %). La majorité des cas (graves et non graves) correspondent à des troubles généraux et anomalies au site d'injection. 
    Vaccin Moderna : la surveillance de certains événements indésirables se poursuit
    Largement moins utilisé en France, le vaccin Moderna a été administré à 242 797 français (données au 4 mars), dont 50 544 au cours de la semaine du 26 février au 4 mars 2021 (1re ou 2e dose). 
    Cette cinquième période de surveillance de la sécurité du vaccin MODERNA en France ne montre aucun signal particulier. 
    Depuis le début de la vaccination avec ce vaccin, 302 cas d'effets indésirables ont été analysés, dont 82 en semaine 9 (18 cas correspondent à des effets inattendus).
    La majorité des cas correspond à des réactions retardées locales non graves (plus de 80 %).
    La surveillance attentive des cas d'hypertension artérielle, d'arythmie et de zona se poursuit.
    Pour aller plus loin
    Point de situation sur la surveillance des vaccins contre la COVID-19 (ANSM, 12 mars 2021)

    VACCIN MODERNA - Rapport complet n° 5 (ANSM, 12 mars 2021)

  • Escrocs de la misère

    Révélations sur les relations troubles entre ONG et passeurs: les médias français détournent le regard

    L’étau se resserre autour de certaines ONG suspectées de collaborer avec les trafiquants d’êtres humains en libye et de faciliter l’immigration clandestine en mer méditerranée. les récentes révélations du journal suisse le temps à ce sujet, bien qu’explosives, n’intéressent visiblement pas les médias français de grand chemin, probablement trop occupés à vanter les mérites de l’immigration et de la diversité.

    L’immigration clandestine en méditerranée: un phénomène massif passé sous silence

    Il y a encore quelques mois, l’actualité était rythmée par les annonces des arrivées incessantes de bateaux chargés de clandestins sur les côtes italiennes ou à Malte. La question de la répartition des migrants entre pays européens se posait inévitablement. Les progressistes s’empressaient de minimiser l’ampleur des flux migratoires, les populistes préconisaient quant à eux la tolérance zéro face à cette immigration incontrôlée.

    Nos dirigeants ont rapidement compris le mauvais effet que les annonces sans cesse renouvelées des répartitions de migrants entre pays européens faisait auprès de l’opinion publique, en particulier en pleine pandémie de coronavirus. Ils sont désormais beaucoup plus discrets au sujet de celles-ci, et elles échappent maintenant à toute médiatisation. Mais cela ne signifie en aucun cas que l’immigration clandestine arrivant sur les côtes européennes soit à l’arrêt, comme en témoignent les statistiques tenues par le Haut-commissariat aux réfugiés des Nations Unies.

    Depuis le début des années 2010, c’est par millions que les clandestins sont arrivés en Europe par la mer méditerranée. Et comme nous le soulignions en début d’année, la pandémie de coronavirus a à peine infléchi la tendance en 2020. Cette immigration illégale massive ne serait pas possible sans un écosystème favorisant les passages incessants de clandestins, un écosystème dont les rouages n’intéressent, à la lumière des dernières révélations, pas beaucoup les médias de grand chemin.

    DES SUSPICIONS DÉJÀ ANCIENNES

    Les suspicions de collusion entre les passeurs et certaines Organisations Non Gouvernementales pour favoriser le transport des clandestins sur les côtes italiennes et grecques ne sont pas nouvelles. L’Observatoire du journalisme a consacré plusieurs articles à ce sujet:

    – Le 16 décembre 2016, nous faisions état du travail d’investigation de la fondation néerlandaise Gefira qui accréditait la thèse selon laquelle des ONG font passer les migrants en Europe " à une échelle industrielle " en lien étroit avec certains passeurs. Ces travaux avaient fait l’objet d’un pitoyable debunkage de Libération.

    – Le 20 décembre de la même année, nous relations une enquête menée par le Financial Times à partir d’informations de Frontex. Celle-ci aboutissait à la conclusion de l’existence de liens entre des réseaux criminels et certaines ONG dont les bateaux croisent en mer méditerranée, dans un objectif affiché de " sauvetage en mer ".

    – En juillet 2017, nous consacrions un revue de presse au rôle des ONG dans la crise des migrants. Nous relevions que le journal Le Monde avait fait état le 24 avril 2017 des déclarations d’un procureur italien affecté à Catane, dans l’est de la Sicile, Carmelo Zuccaro, affirmant " avoir " des preuves " que des navires humanitaires qui secourent des migrants en Méditerranée (sont) en contact direct avec des trafiquants d’êtres humains en Libye ".

    – En décembre 2018, l’Observatoire du journalisme reprenait un article très fouillé du site l’Antipresse sur " ce phénomène étonnant: des navires qui orchestrent, financent, organisent de massifs transferts de population ".

    LA JUSTICE ITALIENNE MÈNE L’ENQUÊTE

    Dernier rebondissement en date, le journal suisse Le Temps vient de révéler les conclusions du travail d’enquête mené par un juge italien, Maurizio Agnello, accréditant l’existence d’une collusion entre certaines ONG et des passeurs. Le journal suisse Le Temps a eu accès aux 651 pages de son rapport, qui est le fruit de 3 ans de travail. Il en présente les grandes lignes dans un article du 11 mars. Celui-ci mentionne en substance:

    Les organisations de sauvetage auraient développé des relations de proximité avec les trafiquants afin d’être avertis à l’avance des départs de bateaux transportant des migrants et d’être ainsi les premiers sur place. Les trois ONG (Save the Children, Médecins sans frontières et Jugend Rettet, NDLR) auraient agi de concert et "contourné le système de secours mis en place par les autorités italiennes".

    Le rapport pointe la responsabilité d’une vingtaine de personnes, de nationalité italienne pour moitié, et également allemande, espagnole, française et belge. Celles-ci encourent des peines de 4 mois à 20 ans de prison. L’acte d’accusation serait sur le point d’être rédigé. D’autres faits de collusion alléguée avec les passeurs sont mentionnés dans l’article du journal suisse qui viennent alourdir les charges pesant contre les membres des 3 ONG.

    (…)

    Lire l’article en intégralité et gratuitement sur OJIM.

     

  • Si vous voulez de vraies infos…

    Toutes les trois minutes, en France, un innocent se fait agresser!

    Tous les jours, 110 policiers ou gendarmes se font sauvagement agresser!

    Ces toutes dernières semaines, trois Français ont été lâchement assassinés. Le jeune Thomas, 23 ans, poignardé; la jeune femme gendarme Mélanie renversée par ce que les médias ont osé appeler un “chauffard“» et Philippe le conducteur de bus lynché par des racailles.

    C’est insupportable et à mon sens, c’est la Justice qui porte la plus grande responsabilité sur tout ce sang innocent versé!

    Le sentiment d’impunité des racailles est total!

    Je relaye aujourd’hui une carte interactive qui répertorie tous les homicides perpétrés contre des Français. Pour obtenir l’identité de la victime et de l’agresseur, cliquez sur les icônes en tête de mort!

     

    Source:

  • Une romancière iranienne

    Qui ne connaît pas Chahdortt Djavann ?

     

    Le Saint-Père François est bien revenu d’Irak.

    Je viens de lire, à ce sujet, un livre dont je recommande aussi la lecture à nos lecteurs. Son titre est “Comment lutter efficacement contre l’idéologie islamique” (Ed. Grasset, 2016). Son auteur s’appelle Chahdortt Djavann. C’est une intellectuelle d’origine iranienne. Née en 1967, elle vit en France depuis 1993. Elle a vécu la révolution islamique dans son enfance. A l’âge de treize ans, elle a été emprisonnée pendant un mois pour avoir participé à une manifestation contre le régime des ayatollahs. Elle a été frappée. On lui a brisé deux côtes. Elle dit qu’elle avait de la chance de s’en tirer avec des coups et blessures. Elle a perdu deux amies, exécutées après avoir été sauvagement torturées. Elle raconte qu’à l’époque, Khomeiny martelait: "Il faut exterminer les ennemis de l’islam jusqu’au dernier. "

    Donc, l’auteur sait au moins de quoi elle parle. Bien que sa vie ait été remplie d’épreuves douloureuses, elle ne perd pas le sens de l’humour. Elle dit, par exemple: "Grands exportateurs de caviar, les mollahs iraniens ont trouvé la faiblesse de la "gauche caviar". Cela nous rapproche de l’actuel débat sur "l’islamo-gauchisme".

    Mais la gauche n’est pas l’unique responsable. En tous cas, Djavann affirme: "C’est en France, à Neauphle-le-Château, qu’est né ce qui est devenu par la suite l’idéologie islamique. "Elle précise, cependant, que Valéry Giscard d’Estaing a par la suite regretté d’avoir accueilli Khomeiny.

    L’une des idées les plus intéressantes de l’auteur me semble être la suivante: "L’idéologie islamique a été introduite savamment en Occident par le bas, via le terrain, dans certains quartiers, cités, banlieues, et par le haut, via les intellectuels, les politiques, les artistes et les médias".

    Elle estime que le cerveau de l’idéologie islamique est en Iran. Elle rappelle les propos de Khomeiny: “Nous exporterons l’islam au monde entier!".

    Elle semble être particulièrement critique à l’égard de Barack Obama. Elle dit: "Sous ses deux mandats, huit ans au total, l’islamisme a décuplé au Proche et Moyen-Orient". Elle estime que l’élection d’Obama a été dans une large mesure aidée par le travail des agents iraniens. Et qu’on doit à Obama aussi la guerre civile en Syrie.

    J’étais particulièrement sensible aux propos suivants de Chahdortt Djavann:" Un certain nombre d’intellectuels européens comparent notre époque avec les années 1930 et le racisme contre les musulmans d’aujourd’hui en Europe avec l’antisémitisme d’hier. Cette comparaison n’a aucun fondement. Dans les années 1930, il n’y avait aucun pays juif au monde. Aujourd’hui, il n’en existe qu’un, de la taille d’un mouchoir de poche. Or il existe au moins une quarantaine de pays musulmans. Certains d’entre eux sont très riches grâce à la manne pétrolière. Quelques-uns financent les islamistes et le terrorisme dans le monde.

    Il n’existait aucune idéologie juive conquérante dans les années 1930. Or il existe, depuis plus de trente ans, une idéologie islamique conquérante. Il n’y avait pas de mouvements djihadistes juifs à l’époque. Or il y a des mouvements djihadistes islamiques aujourd’hui.

    Le nombre de juifs s’élevait à quelques millions hier comme aujourd’hui. Or il y a plus d’un milliard de musulmans dans le monde. Les juifs n’étaient pas prosélytes, même les plus intégristes d’entre eux. Or les islamistes sont prosélytes. "

    D’après Le Figaro, Klaus Kinzler, l’un des deux enseignants récemment mis en cause à Grenoble, s’est attiré la colère de ses adversaires parce qu’il s’était permis de dire que l’on ne pouvait pas comparer l’antisémitisme traditionnel à la façon dont les musulmans sont traités en France aujourd’hui.

    Je dirais que ces islamo-gauchistes savent que la principale motivation de ceux qui sont réceptifs à leur idéologie est le complexe de culpabilité. Beaucoup d’Européens se sentent coupables à la fois à l’égard des musulmans qu’ils avaient colonisés, et à l’égard des juifs qu’ils avaient opprimés. Les islamo-gauchistes, tout en étant eux-mêmes fortement antisémites, mais en cachant leur antisémitisme sous un soi-disant antisionisme, veulent toujours tirer profit des complexes de culpabilité de certains à l’égard des juifs.

    De son coté, Mme Djavann rappelle qu’à l’école on leur faisait scander "A bas l’Amérique!  A bas Israël!", qu’on leur inculquait qu’il n’y avait jamais eu de génocide juif.

    Notre auteur ne confond pas l’idéologie islamique et les musulmans en tant que tels. Elle dit que "parmi les plus farouches ennemis de cette idéologie, on compte bon nombre de gens d’origine musulmane qui en ont connu la monstruosité de l’intérieur".

    Je comprends cela d’autant mieux que j’ai connu de l’intérieur la monstruosité du totalitarisme communiste, avant de bénéficier, comme Mme Djavann, de l’asile en France. A l’époque, les fils à papas qui venaient à la faculté dans leurs belles voitures, qui voulaient bénéficier à la fois du confort matériel grâce au capitalisme et du confort moral en s’identifiant avec les exploités, ne daignaient pas discuter avec moi, du moment que je ne partageais pas leur admiration pour Fidel Castro, pour Ho Chi Min ou Mao Tsé Toung, ou d’autres tyrans sanguinaires.

    Mme Djavann parle d’"une conception définitivement totalitaire d’un islam dogmatique, le tout dans une vision impérialiste et hégémonique de la dernière religion monothéiste conquérante, dont la vocation revendiquée est de régner sur la planète entière. "

    Elle nous exhorte à sauvegarder les "valeurs essentielles qui font la grandeur de la France, de l’Europe et des démocraties occidentales. Nous devons nous battre contre l’obscurantisme en prenant pour armes la raison et l’intelligence". Elle dit que "défendre, protéger la culture française, le mode de vie français, la langue française doit être l’honneur de ce pays".

    Mme Chahdort Djavann a publié, au total, quatorze livres. En 2003, elle a reçu le Prix de la laïcité de l’association "Comité Laïcité République".

    Son dernier livre, publié également chez Grasset, en 2018, s’appelle “Iran: J’accuse”.

    J’ai commencé cet article en parlant du voyage du pape en Irak. A cette occasion, j’ai aussi acheté le journal La Croix, pour m’en informer. J’y ai lu que, à en croire le pape, "la religion, de par sa nature, doit être au service de la paix et de la fraternité".

    Sans doute. Encore il faut voir, de quelle religion on parle. Dans La Croix du 8 mars, je lisais aussi un petit article, nous informant de la situation à Cabo Delgado, une région du nord du Mozambique, où des groupes islamistes ont tué, depuis 2017, plus de 2000 personnes et ont fait fuir 530 000 autres, puis déplacées.

    Le Mozambique était une colonie portugaise jusqu’en 1975. On peut se demander si les peuples du tiers monde étaient vraiment tellement plus malheureux, lorsque les nations d’Europe y exerçaient encore leur "mission civilisatrice" que maintenant. Mais poser une telle question est évidemment très politiquement incorrect.

    Martin Janecek

     

    Source:

     

    N'OUBLIONS JAMAIS

    Petit rappel des épisodes islamistes 2015-2018 en France

    2015: 150 morts, 470 blessés

    2016: 90 morts, 493 blessés

    2015-2016: 240 morts, 963 blessés

    2017: 7 morts 59 blessés

    2015-2017: 247 morts, 1022 blessés

    Bilan provisoire 2015-2018: 255 morts, 1100 blessés.

    Source:

  • Qui peut se faire vacciner?

    J'ai entre 50 et 74 ans et souffre de comorbidités

    Qui? Les personnes entre 50 et 74 ans inclus souffrant d’une ou plusieurs comorbidités sont éligibles à la vaccination contre la Covid-19.

    Les comorbidités ouvrant droit à cette vaccination sont notamment:

        les pathologies cardiovasculaires ;

        l'hypertension artérielle compliquée ;

        un antécédent d’accident vasculaire cérébral ;

        une insuffisance cardiaque ;

        des diabètes de type 1 et 2 ;

        des pathologies respiratoires chroniques susceptibles de décompenser lors d’une infection virale, notamment ;

        une sclérose en plaques ;

        un syndrome d’apnées du sommeil ;

        une mucoviscidose...

    Consulter la liste complète des comorbidités

    Source:

    Où? Chez leur médecin traitant ou sur leur lieu de travail.

    Comment? En prenant rendez-vous auprès de leur médecin traitant ou médecin du travail ou lieu de soin.

    Je suis atteint d'une pathologie à haut risque

    Qui? Les personnes de plus de 18 ans atteintes d’une pathologie à haut risque, c’est-à-dire celles:

        atteintes de cancers et maladies hématologiques malignes en cours de traitement par chimiothérapie ;

        atteintes de maladies rénales chroniques sévères, dont les patients dialysés ;

        transplantées d’organes solides ;

        transplantées par allogreffe de cellules souches hématopoïétiques ;

        atteintes de polypathologies chroniques et présentant au moins deux insuffisances d’organes

        atteintes de certaines maladies rares et particulièrement à risque en cas d’infection ;

        atteintes de trisomie 21.

    Où? Chez leur médecin traitant ou médecin du travail ou lieu de soin ou en centre de vaccination avec une prescription médicale de leur médecin traitant.

    Comment? En contactant leur médecin traitant pour la prescription médicale, puis en prenant rendez-vous dans un centre de vaccination soit:

        sur internet sur sante.fr (également accessible directement depuis l'application TousAntiCovid) dans le centre de leur choix ;

        par téléphone au 0800 009 110 ouvert 7 jours sur 7 de 6h à 22h (numéro vert) qui oriente directement vers les plateformes téléphoniques du centre de vaccination choisi.

    Je suis en situation de handicap

    Qui? Les personnes en situation de handicap, quel que soit leur âge, et hébergées en maisons d’accueil spécialisées (MAS) et foyers d’accueil médicalisés (FAM).

    Où? Dans les MAS et FAM.

    Comment? Les personnes en situation de handicap ou leurs proches peuvent s’informer auprès des MAS et FAM.

    J'ai plus de 75 ans

    Qui? L’ensemble des personnes de 75 ans et plus, quel que soit leur lieu de vie (en établissements ou à domicile).

    Où? Chez leur médecin traitant, en centre de vaccination ou dans leur établissement (Ehpad, USLD, par exemple).

     

    Comment? Concernant les centres de vaccination, les personnes de plus de 75 ans, ou leurs proches, peuvent prendre les deux rendez-vous pour les deux injections sur sante.fr (également accessible directement depuis l'application TousAntiCovid) dans le centre de leur choix.

    Elles peuvent aussi prendre rendez-vous en appelant:

        le numéro vert 0800 009 110 ouvert 7 jours sur 7 de 6h à 22h (numéro vert) qui oriente directement vers les plateformes téléphoniques du centre de vaccination choisi ;  

        le centre de vaccination près du domicile de la personne de plus de 75 ans (les coordonnées téléphoniques sont sur le site sante.fr qui propose une liste complète des centres ouverts dans chaque département).

    Cas particulier: je suis enceinte

    Au vu des données actuelles, la Haute autorité de santé (HAS) et l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) estiment que la vaccination est à évaluer chez les femmes enceintes au cas par cas, d’autant plus si elles présentent une comorbidité ou sont susceptibles d’être en contact avec des personnes infectées du fait de leur activité professionnelle.

    Cette évaluation doit être faite en étroite concertation avec le médecin, la sage-femme ou le gynécologue de ladite femme enceinte.

    Par ailleurs, selon la HAS et l’ANSM, sur la base des mécanismes biologiques, il n’y a pas d’effet attendu chez le nourrisson et l’enfant allaités par une femme vaccinée.

    Toutes les informations sur la vaccination des femmes enceintes

    ansm.sante.fr

     

    https://www.gouvernement.fr/les-personnes-eligibles-a-la-vaccination-contre-la-covid-19

  • Le compte à rebours a commencé.

    La guerre civile, elle est déjà là, à basse intensité, avant la déflagration

    Les politiques détournent le regard, les policiers se taisent par obligation, les gardiens de prison crient leur désespoir… Xavier Raufer ose dire ce qui va arriver si on ne reprend pas la main.

    Quand on rafale les terrasses de café comme en 2015, quand on égorge un prêtre en pleine messe et qu’on décapite un enseignant devant son lycée, quand on assiste à des émeutes à répétition, avec des dizaines d’attaques de commissariats et plus de 45 000 véhicules brûlés chaque année, quand on dénombre  1 000 agressions gratuites par jour contre les mécréants, qui peut encore croire à des lendemains qui chantent ?

    Si ce ne sont pas là les prémices d’une guerre civile interconfessionnelle, cela y ressemble beaucoup.

    Jean-Pierre Chevènement disait il y a peu “qu’il faut se méfier des guerres civiles qui arrivent à bas bruit”.

    Gérard Collomb nous annonçait un “face-à-face” dans les cinq ans, en quittant la place Beauvau.

    Et bien des auteurs ont décrit l’embrasement de la France dans un futur proche.

    Par conséquent, ignorer la menace et la laisser s’aggraver en refusant de combattre les violences urbaines et l’insécurité, c’est assumer un renoncement éminemment criminel.

    Voilà des années que policiers et pompiers sont agressés, victimes de guets-apens dressés par des racailles assurées de l’impunité.

    Qu’ont donc fait les pourris qui nous gouvernent pour rétablir la sécurité ? Ils ont multiplié les enquêtes de l’IGPN à l’encontre des policiers, les paralysant au point qu’ils n’osent même plus sortir leur arme face à des barbares qui veulent les brûler vifs !

    Plutôt risquer la mort que de subir les foudres de l’IGPN, avec menace de radiation ! Ce triste constat est à peine caricatural !

    On a vu le sinistre Darmanin évoquer la radiation de policiers sur un plateau TV, avant leur procès, avant que la vérité soit connue et avant même que les policiers aient pu s’exprimer.

    C’est dire la pitoyable soumission de ce ministre à la dictature bien-pensante.

    Les racailles, quant à elles, écopent d’une garde à vue, qui, la plupart du temps, se terminera par un simple rappel à la loi de la part d’un juge qui se fout totalement de ce droit élémentaire à la sécurité, auquel tout citoyen d’une démocratie digne de ce nom peut prétendre.

    Les émeutes ne datent pas d’hier et la violence prospère sur le terreau d’un laxisme judiciaire criminel, entretenu par un pouvoir démissionnaire qui a peur de son ombre.

    Au classement des pays les plus dangereux d’Europe, la France est en troisième position derrière la Suède et l’Ukraine.

    La Suède, paradis des années soixante, peut se féliciter de sa politique d’immigration !

    Mais en taux d’incarcération rapporté à la population, la France se situe au 18e rang. 100 000 peines de prison ne sont pas exécutées faute de place.

    90% des déboutés du droit d’asile disparaissent dans la nature, allant grossir le million de clandestins qui ne sont jamais expulsés, qui seront un jour régularisés et qui deviendront français tôt ou tard.

    https://fr.numbeo.com/criminalit%C3%A9/classements-par-pays?region=150&title=2019

    La peur, elle est du côté des policiers lâchés par leur hiérarchie et harcelés par la justice.

    On a encore vu notre ministre de la Défense, une inconnue qui ne faisait aucune différence entre un sous-marin nucléaire et un Rafale avant d’être bombardée à l’Hôtel de Brienne,  infliger un blâme à un capitaine de gendarmerie dont le seul tort est d’avoir dit la vérité sur la démission du pouvoir face aux racailles.

    Il n’y a pas pire sanction qu’un blâme pour un officier.

    Dans toute l’Union européenne, quand un malfrat croise un flic, il change de trottoir. En France, ce sont les policiers qui rasent les murs, évitant l’affrontement qui risque de les mener devant l’IGPN.

    Mais tout s’aggrave.

    Quand les policiers et pompiers ont été agressés, le pouvoir a fermé les yeux.

    Quand les soignants ont été tabassés dans les urgences, le pouvoir a détourné le regard.

    Quand les enseignants ont été menacés de mort, il a fallu attendre la décapitation de Samuel Paty pour que le problème soit pris au sérieux.

    Mais maintenant, après des décennies de lâcheté et d’inaction, ce sont les journalistes et les élus qui sont dans le collimateur des malfrats.

    “Et que dire, symbole parmi les symboles, du tabassage à mort du digne journaliste de l’Union à Reims. Voici que nous apprenons, une fois encore, une fois de plus, une fois de trop, le profil de l’agresseur présumé : un jeune Algérien de 21 ans déjà condamné huit fois en France depuis 2018 pour des vols, des violences, des trafics de stupéfiants. Que fait-il sur notre sol ? J’ai honte de ceux qui nous gouvernent et qui font semblant.” (Guillaume Peltier)

    Il n’y aura plus de sanctuaire pour quiconque. La violence gagne les campagnes et toutes les strates de la société.

    Ceux qui s’imaginent rester à l’abri de leur tour d’ivoire se trompent lourdement. Quand viendra l’heure de l’embrasement généralisé, les assaillants ne feront pas de détail entre banlieues et beaux quartiers.

    Les bobos totalement déconnectés des réalités vont tomber de très haut.

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    Comme quoi, ce n’est pas en imposant une omerta sur la criminalité d’origine immigrée que les choses vont s’arranger.

    Taire la vérité c’est infecter la plaie en refusant de la soigner.

    Car élus et journalistes récoltent ce qu’ils ont semé en pratiquant une odieuse désinformation sur la criminalité importée depuis 40 ans.

    Leur éthique se résume à taire la vérité au nom du politiquement correct, cette dictature de la pensée devenue le cancer de la société qui va tout emporter.

    Tout ce que sait faire ce gouvernement, c’est dissoudre Génération Identitaire et persécuter la belle jeunesse gauloise qui entend défendre nos frontières, en digne descendante de nos courageux Poilus.

    Jamais condamnés et n’ayant jamais usé de la violence, ces jeunes patriotes sont pourtant comparés par l’abominable Darmanin  à une milice paramilitaire, limite groupe terroriste.

    “Cette association et certains de ses militants doivent être regardés comme tenant un discours de haine incitant à la discrimination ou à la violence envers des individus en raison de leur origine, de leur race et de leur religion” et, “par sa forme et son organisation militaires”, GI “peut être regardée comme présentant le caractère d’une milice privée”.

    Il ne fait pas bon être un patriote en 2021. Il y a un siècle, Darmanin aurait été marqué à jamais du sceau de l’infamie pour avoir persécuté les défenseurs de nos frontières.

    Ils étaient des héros en 1918, ils sont des salauds en 2021. Ainsi va l’Histoire quand des illuminés prennent le pouvoir…

    60% des jeunes musulmans ont la haine de la France et souhaitent l’avènement de la charia, mais ce sont les jeunes patriotes de GI que le pouvoir veut briser.

    Macron, fort avec les faibles, mais faible avec les forts. Les immigrés, il en a une peur bleue.

    Macron et ses sbires sont indignes de gouverner la France.

    Non, monsieur Darmanin, les violences urbaines ne sont pas dues à la lutte anti-drogue et au démantèlement des réseaux. Excuse aussi facile que mensongère. Les violences urbaines sont la conséquence de la lâcheté d’un pouvoir démissionnaire qui répugne à condamner.

     

    Macron avait promis 15 000 places de prison, il a libéré 15 000 détenus pour régler le problème de la surpopulation carcérale.

    Et l’insécurité?

    “Un fantasme d’extrême droite” nous dit le King-Kong des prétoires, toujours plus soucieux de la santé des crapules que de celle des victimes.

    Les violences urbaines, les VU en langage policier, n’inquiètent le pouvoir que s’il y a risque d’embrasement.

    Que 45 000 voitures brûlent chaque année ou que 1 000 citoyens se fassent agresser chaque jour n’empêche pas Macron de dormir. Un Français de plus ou de moins, tombé sous les coups de couteau d’un “déséquilibré”, quelle importance ?

    Mais des violences urbaines pouvant dégénérer en émeutes de type 2005, c’est sa hantise.

    Il  faut donc empêcher une insurrection généralisée qui compromettrait sa réélection en 2022.

    200 policiers vont être envoyés à Lyon pour tenter de  déminer le terrain. Il n’y aura aucune condamnation, comme d’habitude.

    Seuls les policiers et les jeunes patriotes de GI sont dans le collimateur de l’Élysée.

    C’est la racaille qui fait la loi, assurée de la complicité du pouvoir, assurée de la paralysie imposée aux policiers, de l’omerta orchestrée par les médias et du laxisme des juges qui répugnent à condamner et à exercer leur métier, qui est de protéger la population.

    Telle est la France de 2021 sous le règne de Macron. Un pays à l’abandon, en passe de se désintégrer.

    Le compte à rebours a commencé.

    Et le retour au réel, qui va pulvériser la grande illusion du “vivre-ensemble”, sera sanglant, faute d’avoir eu le courage d’affronter la vérité depuis 40 ans.

    Mais peut-être est-ce là le prix à payer pour en finir avec les délires du mondialisme et du multiculturalisme, que les élites s’obstinent à imposer contre la volonté du peuple.

    Jacques Guillemain

     

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