Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Savoir - Page 82

  • C'est ça les Français: parfois aussi, un peu débiles

    Confinement, délations, petites dictatures et autres réjouissances françaises

    Le confinement semble autoriser tous les débordements " citoyens ": de la délation de voisin au rejet du touriste. Une situation hélas déjà vue dans le passé, dont nous n’avons rien retenu.

    Tout est bon pour lutter contre le coronavirus, même et surtout les mesures les plus stupides. Certains maires vont jusqu’à prendre des arrêtés municipaux qu’ils sont obligés d’annuler au bout de quelques jours tellement ils entrent en contradiction avec la Constitution ou avec la loi.

    Voici un florilège des décisions et des déclarations les plus étonnantes. À méditer pour de futurs choix électoraux lorsque ceux-ci seront de nouveau à l’ordre du jour…

    Interdiction d’acheter une seule baguette

    Ferdinand Bernard, maire de Sanary, a interdit aux habitants de sortir à plus de 10 mètres de chez eux.

    Il n’en était pas à son premier essai: agacé que certains aillent acheter leur pain ou leurs cigarettes et "en profitent" pour se promener, il avait tenté de faire passer une interdiction d’acheter un seul produit: il était donc obligatoire d’acheter plusieurs baguettes et plusieurs paquets de cigarettes! Il a finalement annulé ces deux arrêtés.

    Interdiction des locations saisonnières

    Dans les stations balnéaires ou à la montagne, on prend des mesures drastiques. Outre l’interdiction de l’accès aux plages, à Belle-Ile les locations saisonnières sont devenues interdites. Idem aux Sables-d’Olonne. Rappelons que les locations appartiennent non pas aux communes, mais à des propriétaires qui s’acquittent en retour d’un certain nombre d’impôts et de taxes.

     

    À Morlaix, la mairie a interdit de 9 h à 15 h l’usage des outils bruyants, tant pour jardiner que pour bricoler chez soi, au motif de permettre aux soignants de se reposer. Que ne ferait-on pas pour votre bien.

    La montagne, ça vous perdra

    Mais c’est dans un petit village de montagne que les mesures prennent un tour consternant.

    Le maire de Saint-Gervais-les-Bains, excédé par quelques personnes venues occuper leur résidence secondaire, critique la présence de ces habitants ponctuels:

    "Il y en a quelques-uns et ce sont quelques-uns de trop. On le voit à quoi ? Ce sont les voisins qui voient les chalets qui sont subitement allumés, qui mettent un message en disant:  "Mais pourquoi ils sont là? Qu’est-ce qu’ils viennent faire? Qu’ils restent chez eux, du début à la fin!"/

    La France, décidément, garde de vieilles habitudes bien ancrées. Que de voisins bien intentionnés qui veillent sur vous…

    Jean-Marc Peillex, le maire de Saint-Gervais, poursuit:

    "Ils auraient choisi Saint-Gervais pour se confiner, pas de souci ; ils auraient été accueillis à bras ouverts, mais ce n’est pas à la carte".

    Les habitants ponctuels de son village sauront apprécier la variabilité de l’accueil au moment où ils s’acquitteront de leurs taxes foncière et d’habitation, qui, elles, ne souffrent pas de paiement "à la carte".

    D’ailleurs ce charmant village donne surtout envie de ne plus y mettre les pieds, avec une formule du maire, qui fleure bon la menace et l’appel au règlement de comptes:

    "On est un petit village et les gens se souviendront que telle famille n’a pas respecté, que telle famille est venue".

    Certains commerçants râlent aussi, au motif que quelques touristes viennent leur faire prendre des risques:

    "Dans les Bauges aussi, certains commerçants locaux s’agacent de recevoir ces jours-ci la visite de clients… qui étaient absents jusqu’à présent. C’est le cas du chocolatier Jacob qui à l’approche de Pâques voit certains vacanciers dans son magasin. Il leur demande de rester en dehors de la boutique ou de se faire livrer à domicile" explique France Bleu.

    Le confinement monte les gens les uns contre les autres

    Au lieu de voir une opportunité économique dans l’apport d’une poignée de touristes, les gens ont pris peur, se dénoncent les uns les autres, se surveillent.

    On pleurera sur l’arrêt de l’activité économique, mais on ne veut pas de touristes qui font vivre les commerces. On pleurniche sur les " lits froids ", que dénonce souvent le même Jean-Marc Peillex, ces lits inoccupés et ne rapportant rien à la commune. Mais on n’en veut pas, de ces touristes.

    D’ailleurs on se demande si ces maires ont bien compris que l’avenir de leur commune est lié à la manne financière apportée par les touristes et les propriétaires de résidences secondaires. Même eux finissent par mordre la main qui les nourrit. Jean-Marc Peillex, toujours très remonté contre les résidents secondaires de sa station de ski, déclare:

    "Pour eux ce n’est pas un problème d’argent ou d’amende. Celui qui a un beau chalet dans les Alpes, une belle maison sur la Côte d’Azur ou sur la côte atlantique, 135 euros ou 500 euros ce n’est pas grand-chose", constate Jean-Marc Peillex, impuissant devant cette situation. "

    Ces salauds de riches sauront apprécier.

    Délation, encore et toujours

    Certes, des idiots n’ont rien compris au mode de contamination. Mais monter dans sa voiture, faire 1, 10, 100 ou 500 km, et en descendre pour rester dans sa résidence secondaire ne contamine personne d’extérieur à la famille.

    Marcher sur un chemin ou une route, seul, ou accompagné de ces mêmes personnes ne contamine personne non plus.

    Il serait temps de mettre fin à ce zèle délétère, temps d’arrêter de faire passer quelques touristes pour des criminels.

    Par Margot Arold.

    Sur Contrepoint.org

  • La vérité est ailleurs...

    Visite présidentielle à l’hôpital Bicêtre: "Ce n’est surtout pas Macron que les soignants ont applaudi"

    Sur la vidéo postée par l’Elysée sur Twitter peu avant 13 heures, les soignants du CHU Bicêtre au Kremlin-Bicêtre (94) applaudissent à bras déployés. De concert avec Emmanuel Macron venu ce jeudi faire une "visite surprise" aux équipes hospitalo-universitaires engagées dans la recherche clinique contre le Covid-19.

        Depuis le CHU Bicêtre, soutien à nos héros en blouses blanches. pic.twitter.com/uQaeMecfvf

        — Élysée (@Elysee) April 9, 2020

    Cela m'avait fortement étonnée et je n'en revenais pas…Heureusement, voici la vérité

    Une belle image pour la communication gouvernementale qui mérite d’être replacée dans son contexte tandis que les équipes soignantes de tout le pays dénoncent le sort que le gouvernement actuel comme les précédents ont réservé à l’hôpital public en crise budgétaire.

    Ce que l’on ne voit pas sur la séquence diffusée, c’est l’invective d’une soignante. Syndiquée CGT, c’est elle qui enjoint ses collègues à applaudir tous les soignants engagés sur le front de la lutte contre le coronavirus après avoir pris à partie le président de la République.

    Le Parisien

    La véritable ambiance…

        La véritable ambiance entre #Macron et les soignants du #KremlinBicêtre était très différente de ce que suggère la vidéo publiée par l'Elysée…#coronavirus #COVID19frpic.twitter.com/2J2klBnfXB

        —

  • Des ponctionnaires dictatoriaux

    "Les Agences régionales de santé ont un vrai pouvoir de nuisance" : le coup de gueule d’un député LREM

    Benoît Simian, député LREM de Gironde, dit avoir été témoin de lourds dysfonctionnements de la part des ARS depuis dix ans. En pleine crise du coronavirus, il décide aujourd’hui de les dénoncer et préconise de les mettre sous la tutelle de l’Etat.

    Benoît Simian accuse les Agences régionales de santé "d’un manque total de transparence". FACEBOOK/Benoît Simian

    Depuis dix ans, en tant qu'adjoint au maire puis maire de Ludon-Médoc (Gironde), et en tant que député d'un territoire à la fois urbain, avec la métropole de Bordeaux, et très enclavé avec la presqu'île du Médoc, Benoît Simian dit avoir été témoin de lourds dysfonctionnements de la part des Agences régionales de santé (ARS). Face à la crise du coronavirus, l'élu LREM décide aujourd'hui de les dénoncer et préconise de les mettre sous la tutelle de l'Etat.

    En pleine crise sanitaire, vous poussez un coup de gueule contre les Agences régionales de santé. Pourquoi?

    BENOîT SIMIAN. Nous sommes plusieurs parlementaires de tous partis politiques à tirer la sonnette d'alarme. Moi, comme d'autres, nous nous étions émus des dysfonctionnements majeurs des ARS avant même le déclenchement de l'épidémie. Mais là, les ARS sont à l'évidence non seulement inadaptées à l'urgence sanitaire, mais, en plus, elles ont un vrai pouvoir de nuisance.

    Concrètement, que leur reprochez-vous?

    Les Agences sont devenues des technostructures qui se comportent comme un Etat dans l'Etat. Elles font preuve d'un manque total de transparence. Il est plus facile aujourd'hui pour un maire ou un député de joindre un ministre qu'un directeur d'Agence régionale de santé. Pire. Ce manque de proximité et de diffusion de l'information a des conséquences très négatives sur les moyens que les maires, les élus mais aussi les préfets et les sous-préfets – qui s'en plaignent aussi mais ne le feront jamais savoir publiquement — pourraient mettre en œuvre pour résoudre la crise.

    Sur quels points ce comportement est-il le plus préjudiciable?

    Tout d'abord, l'identification et la localisation des cas de Covid-19. On peut comprendre que les ARS ne les fassent pas connaître au grand public, mais elles font preuve d'une opacité inadmissible, et encore une fois nuisible, vis-à-vis des élus et des services de l'Etat. Si ces derniers étaient en mesure de détenir plus rapidement de telles informations ils seraient en effet plus à même de mieux faire respecter le confinement et de limiter ainsi l'épidémie. Il y a aussi le problème des masques.

    Elles sont responsables du manque de stock?

    Non. Mais les ARS ont fait de l'organisation des circuits de distribution des masques existants leur domaine réservé. Or, elles s'avèrent totalement défaillantes. Quand on se prétend le grand organisateur en matière de crise sanitaire, on procède à des réquisitions systématiques dans les entreprises qui avaient ces masques en stock afin de pouvoir les mettre à la disposition des plus fragiles. Elles ne l'ont pas fait.

    Il faudrait, selon vous, les supprimer?

    En période d'urgence sanitaire comme celle que nous traversons, je préconise de les mettre sous la tutelle des services de l'Etat. Je peux vous dire qu'un grand nombre de préfets le suggèrent également. Après la crise, c'est une réforme en profondeur que je réclame. Je suis un "girondin" donc très attaché aux pouvoirs locaux. Je reste favorable à cette décentralisation en matière économique. Mais j'estime plus que jamais nécessaire de re-centraliser les questions "sociales" comme l'aide à l'enfance, et ce, au nom de l'efficacité et de l'égalité de tous les Français. Avec l'Etat comme garant.

    http://www.leparisien.fr/politique

     

     

  • Les rats quittent le navire…

    Les autorités marocaines ont arrêté, mardi 7 avril 2020, quatre jeunes Marocains qui ont bravé la mer pour rentrer au pays en cette période de confinement. Un cinquième Marocain a été interpellé par la Guardia civil.

    Ce groupe de jeunes Marocains a bravé la mer, dans la nuit du mardi 7 avril vers 3 h 30 du matin, depuis la plage de Tarajal, à proximité du poste-frontière entre la ville autonome de Sebta et le Maroc, rapporte EFE.

    Quatre jeunes hommes se sont mis en danger en nageant de Sebta vers Fnideq. Ils ont réussi à traverser la frontière à la nage, mais ils ont été arrêtés par les autorités marocaines, une fois arrivés à destination. Un cinquième Marocain a été arrêté par des agents de la Guardia civil et se retrouve désormais entre les mains de la police nationale espagnole. À leur arrivée, ils ont tous subi un test de dépistage du coronavirus.

    Ce n’est pas la première fois que des jeunes marocains rallient le Maroc via ce canal. En tout, 9 Marocains ont déjà traversé la frontière depuis la fermeture des frontières avec l’Espagne pour cause de coronavirus.

    Bladi

  • A ne pas oublier, les idiots qui se plaignent du confinement...

    Pour comprendre combien de peu d'efforts nous sommes appelés à faire: Anne Frank est restée enfermée 25 mois, sans aucun des conforts que nous avons aujourd'hui, en faisant attention à ne pas faire de bruit pour ne pas être découverte.

    Jeune fille ado, connue pour avoir écrit un journal intime. Celui-ci est rapporté dans le livre “Le Journal d'Anne Frank“, écrit pendant les deux années où elle se cachait avec sa famille à Amsterdam, aux Pays-Bas, alors sous occupation allemande, afin d'éviter la Shoah.

    Arrêtée le 4 août 1944 puis déportée le 2 septembre 1944 vers le camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau. Sept mois après son arrestation, Anne meurt du typhus dans le camp de Bergen-Belsen, quelques jours après sa sœur Margot Frank.

    Le camp est libéré par des troupes britanniques le 15 avril 1945, Amsterdam est libérée le 5 mai 1945.

    Juste pour se rappeler que ce que nous faisons, aujourd'hui, n'est pas grand chose.

  • Ces émeutes qu'on nous cache

    Cette guerre ethnique quotidienne que médias et politiques nous cachent

    Chaque jour, dans la presse parisienne, dans les médias en général, il est fait mention de ces pauvres jeunes issus de l’immigration, forcément maltraités, forcément discriminés, et forcément objet de la vindicte policière! Les journalistes aident à casser les thermomètres sociaux.

    Les journalistes et les politiques leurs donnent des petits noms. Le premier étant " sauvageon " de Jean-Pierre Chevènement. Depuis, cela diffère en fonction du niveau culturel du journaliste! C’est souvent " des jeunes ", accompagnés par le mot colère, marche blanche, et d’autres ironisent un peu, pas trop, en écrivant " djeunes ". Il est à noter qu’un seul les a appelés " voyous ", mais c’était pour gagner les élections présidentielles en 2007! Depuis, le karcher électoraliste a été planqué dans les armoires de l’Élysée!

    Dans le Parisien, lesdits "voyous" sont appelés " trublions "! Comme c’est curieux! J’ai donc été cherché ce que signifiait ce mot.  Ce serait un fauteur de trouble, un agitateur! Il troublerait l’ordre en agitant l’environnement! Comme un poisson en fait! Il agite l’eau du bocal de la cité, dans l’espoir que son maître lui envoie de quoi bouffer! Cela marche si on en juge par les queues (de poisson) devant les guichets de l’aide sociale! (Source)

    Ces trublions agitent très fort le bocal car, comme nous dit le Parisien autrefois Libéré: les policiers intervenaient pour un feu de mobilier urbain dans la cité des Indes (et) ont été agressés par des groupes hostiles.

    Des groupes hostiles! C’est un peu plus audacieux que " trublions ", tout de même! On apprend que vers 22 h 45 rue du 8 mai 1945, une quarantaine de trublions encagoulés, armés de barres de fer et de cocktails Molotov allument une quinzaine de poubelles et incendient une voiture. Les conteneurs à ordures sont positionnés de manière à former un barrage destiné à empêcher les forces de l’ordre d’entrer dans la cité des Indes. Des tas de pierres de ballast, ramassées sur la voie ferrée voisine, sont également disposés sur la chaussée pour constituer cette barricade.

    Nous sommes donc passés de trublions à groupe hostile, alors qu’il s’agit d’émeutiers!

    Quand il y a volonté d’en découdre avec les forces de l’ordre, que l’on monte des barricades, défait des ballasts de la voie ferrée adjacente, c’est une émeute! Cela rappelle cet échange apocryphe de Louis XVI demandant en juillet 1789, si c’était une révolte. Non Sire, lui répondit-on, c’est une révolution!

    Les précautions littérales des journalistes de la presse écrite sont en phase avec celles, oratoires, de nos politiques et journalistes de télévisions! Elles sont tout simplement sidérantes!

    Si nous osions un parallèle, on pourrait se demander comment ils appelleraient aujourd’hui les émeutiers du massacre de septembre 1792, sous l’instigation de Jean-Paul Marat, le dépeçage de la princesse de Lamballe, voire le génocide de Vendée ?  Comment appelleraient-ils les noyades de Nantes organisées par Jean-Baptiste Carrier ?

    Sans doute nous diraient-ils que des policiers n’ont pas " encore " été massacrés sur place! Cela viendra…

    Les mots ont un sens, mais dans notre pays, gouverné par des " élites ", les mots sont mis en musique par le ministère de la Vérité! Songeons un peu à 1984 d’Orwell, écrit dans les années 50: ne voyez-vous pas que le véritable but de la novlangue est de restreindre les limites de la pensée ? À la fin, nous rendrons littéralement impossible le crime par la pensée car il n’y aura plus de mots pour l’exprimer.

    Julien Constant, le journaliste qui a écrit cet article est soit un complice de la " novlangue " soit un idiot utile! Si c’est un complice, il est donc responsable de cette édulcoration des faits qui transforme une émeute en petite agacerie contre la police!  

    Julien Constant du Parisien autrefois Libéré est complice d’une société qui, plus elle s’éloigne de la vérité, plus elle hait ceux qui la disent et donc, se préserve, comme tous les collabos sévissant en ce moment dans les médias, en évitant les sujets qui fâchent, en arrondissant les coins, en taisant les aspérités, en lissant le discours.

    Car enfin, qu’est-ce que c’est d’autre que des émeutes, ces actions ? À minuit et quart, une vingtaine de jeunes, voyant que le piège ne fonctionne pas, montent à l’assaut du groupe des forces de l’ordre en tirant des coups de mortier de feux d’artifice. Ils sont repoussés et dispersés par les policiers qui lancent quatre grenades incapacitantes.  Notons au passage le langage militaire, ils montent à l’assaut comme les Poilus de 14/18 montaient à l’assaut des lignes allemandes!  Quelle dérive langagière!

    Ce n’est plus une émeute à ce moment-là, mais bien une guerre voulue par des sécessionnistes qui refusent clairement la République, les lois françaises, et attaquent les représentants d’un ordre qu’ils détestent.

    En réponse, nous avons Macron, nous avons subi Hollande (5 ans), Sarkozy (5 ans), Chirac (12 ans), aidés par des sous-fifres de type Castaner qui ont refusé, et refusent encore d’agir, d’assumer leurs responsabilités, leurs devoirs.

    Aujourd’hui, les sondages nous " informeraient " que Macron serait en hausse dans les sondages. On se demande vraiment si les sondeurs ne sont pas des imposteurs, ou les sondés des moutons de l’Aïd.

    Je ne crois pas aux sondages, surtout pas ceux-là qui forcément dépendent des questions posées, c’est-à-dire orientées!

    Les Français doivent prendre conscience de ces tartuferies sondagières révoltantes, de ces journalistes qui infantilisent, des médias en général, hormis des hommes comme Ivan Rioufol, Éric Zemmour, André Berkoff, Élisabeth Lévy, Charlotte d’Ornellas, et notre journal, Riposte Laïque, et ses rédacteurs. Pardon pour tous ceux que j’oublie, et qui dans la tourmente tiennent le cap d’une info juste, tant sur les plateaux de télévision que sur les réseaux sociaux.

    Gérard Brazon

    https://ripostelaique.com/cette-guerre

     

     

Blog d'une Française de FRANCE: vive la laïcité, vive la FRANCE et la République Française!