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Une avancée scientifique majeure dans la SEP PP, la SLA, etc
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Pire qu'Orwell!
La reconnaissance faciale, à présent!
On pourra dire qu’Orwell ne s’était trompé que de quelques années. Nous ne sommes après tout que 35 ans plus tard que 1984. Alors récapitulons.
Nous subissons les écoutes, ayant fait l’objet d’un excellent film reportage coproduit par France 2 et diffusé la première fois en 2002: "Échelon, le pouvoir secret", dans lequel différents anciens membres du réseau témoignèrent des écoutes à très grande échelle.
Puis vint -en 2015- le film reportage de Snowden, "Citizen Four", un bon complément mettant à jour les informations et montrant que le système, déjà colossal, n’avait cessé de s’étendre et impliquait la quasi-totalité du monde. Aujourd’hui, ces écoutes illégitimes ne sont plus un secret.
Et il faut être bien naïf pour se procurer tous ces objets connectés qui vous surprennent jusque dans vos activités les plus intimes, dans votre salon, votre chambre à coucher, votre cuisine, votre salle de bain.
Des yeux, des oreilles indiscrètes vous épient, vous écoutent, vous fichent. À qui appartiennent ces yeux, ces oreilles? Vous ne le saurez jamais, mais il est clair que vous faites entrer dans votre vie la plus intime de parfaits étrangers que vous, vous ne verrez jamais.
Nous subissons l’obligation du politiquement correct. Mais ce "politiquement correct", qui le décrète? Pas vous, en tous cas. Cette atteinte au droit d’expression, parfaitement en opposition avec la Déclaration des droits de l’homme, est loin d’être innocente. Elle vise à empêcher le peuple de se coaliser contre ses tyrans, et nombreux, nombreuses, sont ceux et celles qui sont condamnés par des juges avant tout politiciens, cela également en contradiction avec les droits de l’homme: un pays dans lequel les pouvoirs ne sont plus séparés est une dictature. Et une dictature dans laquelle on bâillonne les citoyens est un État totalitaire.
Nous subissons l’interdiction de nous défendre lorsque nous sommes attaqués, soit individuellement – essayez de tirer sur le bandit qui entre chez vous et vous tuera peut-être et vous verrez les juges se déchaîner contre vous – soit collectivement puisqu’il est tout aussi interdit de se retourner contre ces " chances pour la France " qui assassinent au nom d’une croyance barbare et haineuse. Je pense à ces pauvres jeunes gens en prison pour s’être normalement défendus contre la bande à Méric qui les traquait depuis des semaines. Procès politique s’il en est.
Nous subissons la destruction de notre culture – assassinat programmé de notre langue par des doctrinaires parfaitement abrutis qui ont tenté, en vain heureusement, de nous imposer la langue inclusive;
assassinat de nos traditions culinaires par les mêmes qui veulent nous empêcher de manger ce que nous avons toujours mangé, afin de ne pas offusquer le palais tapissé de graisse de mouton des nouveaux venus;
assassinat de nos coutumes vestimentaires avec le viol des filles court vêtues de chez nous et les tentatives d’imposer à nos femmes le voile dont chez eux on tente de se débarrasser; assassinat surtout de nos familles, avec le vol de nos gosses pour les confier à des familles dont j’affirme qu’elles sont anormales puisque hors normes. Car la norme, c’est ce qui est porté par la majorité.
Nous subissons la destruction de notre liberté d’aller où bon nous semble de façon anonyme, car chaque fois que vous passez devant une borne, soit de téléphone, soit de banque, vous voilà trahis par vos téléphones portables, vos cartes visa, et peut être les autres qui sont magnétisées.
J’ajouterai qu’on nous vole aussi nos moyens d’existence, par des impôts d’une lourdeur inégalée. Il y en aurait en France plus de 214. Bon moyen pour nous ligoter une fois de plus; car que faire lorsqu’on n’a pas un rond devant soi?
Mais ils n’allaient tout de même pas s’arrêter là!
Non contents d’avoir volé nos voix, nos pensées dites ou écrites, nos libertés, nos coutumes, notre langue, nos enfants, nos moyens d’existence, voici qu’ils s’en prennent maintenant à notre physique. Ils nous volent maintenant nos images, je veux dire les traits de nos visages, notre façon de marcher et de nous tenir.
Mais oui! La reconnaissance faciale, très en vogue dans cette dictature qu’est la Chine, est arrivée. Comme le vin nouveau. Elle débarque chez nous d’ici un mois, en novembre.
L’outil s’appelle "Alicem". Fortement critiqué par la Cnil et les associations de défense des droits humains, il va cependant s’imposer. Prétexte: sécuriser les échanges et éviter le vol d’identité.
Mais Dieu, pourquoi les prétextes sont-ils aussi alléchants et la réalité aussi catastrophique? Car le danger sera encore plus grand. La Quadrature du Net a déposé en juillet un recours devant le Conseil d’État pour demander l’annulation du décret autorisant la création d’Alicem.
"En y conditionnant la création d’une identité numérique à un traitement de reconnaissance faciale obligatoire, le gouvernement participe à la banalisation de cette technologie, et cela au mépris de l’avis préalable de la Cnil qui avait pourtant souligné son illégalité […] Un projet d’identité numérique, fondé sur un dispositif de reconnaissance faciale obligatoire (au mépris du RGPD) et ayant pour objectif avoué d’identifier chaque personne sur Internet pour ne plus laisser aucune place à l’anonymat ne peut qu’être combattu".
Mais moi, mes bons amis, je vais vous donner la solution. Évitez de vous promener avec vos portables, prenez des billets de train ou de transport qui ne vous suivent pas à la trace,
n’emmenez avec vous votre carte visa que si elle est indispensable,
mettez un cache-col qui couvre le bas de votre visage, une casquette qui couvre votre front, et des lunettes qui dissimulent vos yeux.
Vous n’avez rien à cacher? Moi non plus. Mais je refuse d’être espionnée au profit des agrégateurs qui trient vos données et vous connaissent mieux que vous-mêmes. Et puis, sait-on jamais… la révolution semble bien en marche et mieux vaut ne pas vous trouver sous l’œil de Big Brother.
Louise Guersan
Historienne, amoureuse de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, donc de la liberté individuelle autant que du bien public. Fille et petite fille de grands résistants au nazisme et descendante de gens ayant fait la révolution de 1848, donc ennemie héréditaire des tyrannies.
https://ripostelaique.com/la-reconnaissance-faciale-a-present.html
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Bon à savoir...
Pourquoi vous ne verrez plus "sans paraben" ou "sans silicones" sur les étiquettes de vos cosmétiques
Les allégations "sans", qui ont une valeur marketing mais peu d'intérêt informatif, disparaissent des étiquettes des produits cosmétiques pour faire place à la liste des ingrédents qui les composent.
A partir du 1er juillet, les allégations "sans..." sur les produits cosmétiques vont être interdites.
Les étiquettes des cosmétiques vont être revues de fond en comble. À partir du 1er juillet, les mentions "sans paraben", "sans silicones", "sans sulfates" ou encore "hypoallergénique" disparaissent des bouteilles de shampoing et autres tubes de crème en France et dans toute l'Europe.
La composition des produits ne change pas
"Quand vous achetez des pâtes farcies, vous savez ce qu'il y a comme farce! s'exclame Anne Dux, directrice scientifique de la Fébéa, le syndicat de l'industrie cosmétique. C'est de la communication positive, donc il faut, quand vous achetez un produit cosmétique, que vous sachiez réellement ce qu'il y a dans le pot et il est temps d'apporter au consommateur de l'information réelle sur ce qu'il y a dans le produit."
Cela implique des emballages qui vont communiquer sur ce qu'il y a dans le produit au lieu de communiquer sur ce qu'il n'y a pas.”
— Anne Dux
Un produit sans silicones n'a plus le droit de l'annoncer comme tel sur son emballage, mais ça ne signifie pas que des silicones seront réintroduits dans la composition du produit. "On va expliquer par exemple, qu'on met du karité pour adoucir la peau, détaille Anne Dux, tel ou tel conservateur pour éviter la prolifération bactérienne, qu'on met des filtres solaires pour que le produit soit efficace, ou pour son activité anti-rides, mais la composition des produits ne change pas."
Une base de données accessible à tous
Les mots-clefs rassurants pour les consommateurs, comme les expressions "sans paraben", "sans phtalates" ou "hypoallergénique" (qui reste autorisée mais dont l'utilisation devient très encadrée et difficile à obtenir). Les as du marketing vont devoir trouver de nouvelles formules, dont on ne sait pas encore si elles déclencheront l'achat.
"Évidemment on ne va pas faire les mêmes allégations pour un produit capillaire que pour un produit de soin de la peau, affirme Isabelle Orquevaux Hary, directrice scientifique et réglementaire de L'Oréal. Il n'y a pas eu d'unicité dans le remplacement des allégations "sans". Il n'y a pas de retrait sur le marché donc, ce n'est pas un changement du jour au lendemain. Après on verra si on a effectivement plus de questions des consommateurs." Par manque de place, dans certains cas les ingrédients ne pourront pas tous figurer sur les emballages.
”On développe des sites des marques, le site 'Au cœur de nos produits', pour apporter des informations complémentaires pour le consommateur qui souhaite en avoir”
— Isabelle Orquevaux Hary
Les industriels de la beauté ouvrent une base de données dans laquelle 25 000 ingrédients sont répertoriés selon leur fonction, leur origine, et tout ce que la science sait sur ces composants. Cette base de données est accessible aussi bien aux professionnels et aux consommateurs pour informer, et pour redonner confiance aux clients.
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Appropriation culturelle : la mode répond aux attaques
Par Olga NEDBAEVA,
Une brodeuse mexicaine au village Sans Nocolas à Tenando de Doria, dans le centre du Mexique, le 18 juin 2019© AFP Pedro PARDO
Le monde de la mode se défend à son tour contre les accusations d’appropriation culturelle, après l’offensive lancée par le Mexique contre la maison de couture américaine Carolina Herrera, accusée de plagier des motifs locaux.
A Paris Fashion Week, qui s’achève dimanche, les créateurs interrogés par l’AFP jugent que les emprunts sont légitimes, mais définissent les lignes à ne pas franchir.
C’est Wes Gordon, directeur artistique de la griffe new-yorkaise fondée par la styliste vénézuélienne Carolina Herrera, qui s’est retrouvé dans la tourmente après sa collection Resort 2020, inspirée des “vacances latino-américaines”, débordant de couleurs et de broderies.
Le gouvernement mexicain a protesté contre l’utilisation des motifs de Tenango de Doria, une localité très pauvre, nichée dans les montagnes du centre du Mexique, l’accusant d’“appropriation” de l’artisanat indigène.
Cet exemple est le dernier en date d’une série de polémiques.
Il y a quatre ans, une autre communauté mexicaine autochtone s’en était prise à la créatrice française Isabel Marant, lui reprochant d’avoir emprunté le design de la blouse de la communauté des Tlahuitoltepec, vieille de 600 ans. Auparavant, le Mexique avait protesté contre certains motifs utilisés par Zara, Mango ou Michael Kors.
“Cela appartient à tous”
Des dirigeants mexicains veulent durcir une loi sur le droit d’auteur qui protège déjà les savoir-faire traditionnels pour punir “le plagiat dont différents peuples autochtones ont souffert”.
“J’ai fait mes études a l’académie d’Anvers où l’on apprend à s’inspirer des cultures, il n’y a rien de honteux à cela”, estime au contraire le Belge Kris van Assche, directeur artistique de Berluti, qui a été pendant 11 ans le créateur des collections hommes de Dior.
“Il faut faire attention à ne pas attaquer tout le monde sur à peu près tout. L’inspiration vient forcément de quelque chose, le but c’est de le reconnaître et de le réinterpréter”. Pour lui, la ligne rouge c’est : “être “respectueux ou pas“.
Alejandro Gomez Palomo, jeune star espagnole montante, est plus catégorique.
L’appropriation culturelle est un concept que “nous devrions tous oublier, il y a trop de polémiques, alors que nous vivons dans un monde globalisé“, a lancé le styliste, qui vit dans le village andalou, où est localisée sa marque Palomo Spain.
“La culture appartient à tout le monde. Plutôt que de nous nuire, Carolina Herrera nous rapproche de la culture en général et de celle du Mexique en particulier“, a-t-il ajouté. “C’est comme si les gens m’accusaient d’une appropriation culturelle parce que j’utilise les volants!“, comme sur les robes des gitanes.
Aider les autochtones
Le créateur britannique Kim Jones, qui a succédé à Kris Van Assche chez Dior homme l’année dernière, insiste sur le fait qu’il faut avoir “énormément de sensibilité” dans cette question.
“Vous devez traiter tout le monde avec beaucoup de respect. J’ai grandi dans des pays différents, il y a partout des particularités“, souligne-t-il. “Il suffit de parler aux gens, travailler avec eux, les écouter, célébrer ce qu’ils font et cela ira“.
Pendant son long règne chez Louis Vuitton, Kim Jones a appris à quel point la question pouvait être complexe.
Ayant grandi au Kenya et en Tanzanie, il a introduit le shuka, la célèbre robe à carreaux rouges et bleus du peuple massaï, lors d’un défilé homme pour la maison de luxe française.
Cela a suscité des protestations de la part de Massaï, dont certains ont depuis engagé des avocats pour réclamer des dommages aux marques comme Calvin Klein, Ralph Lauren, Jaguar Land Rover, ayant utilisé leur iconographie.
Pourtant, originellement le shuka tire ses origines du tartan que les commerçants et les missionnaires écossais ont apporté dans la Vallée du Grand Rift au 19e siècle, en Afrique de l’Est.
Pour Kim Jones, la question se résume à deux choix: “appréciation ou appropriation culturelle“.
“Lorsque j’ai travaillé sur des choses qui ont été référencées culturellement, nous avons soit demandé aux personnes concernées si elles nous autorisaient à le faire, et elles percevaient alors une rétribution, soit nous avons travaillé ensemble pour fabriquer ces choses. Les aider, c’est vraiment essentiel”.
N'importe quoi, les pleureuse, suceuses de fric!
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Trop chaud?
Quand il fait chaud, très chaud, on est plutôt flapi-e et cela dure tout l'été. Bien sûr, j'espère que vous avez pu vous faire installer comme moi, la climatisation. Dans ce cas, dépêchez-vous de demander un devis avec un vrai professionnel qui possède l'agrément EDF pour profiter d'une prime de l'Etat qui varie selon votre budget installation: il est important que votre logement soit construit depuis plus de deux ans.
Attention: aussi, la prime va disparaitre d'ici un an et quelque mois. Perso, j'ai fait installer un clim pour les chambres (je ne l'avais que dans la salle à manger), le travail a été fait fin mars et bien qu'EDF a accepté le très gros dossier à fournir (impôts sur le revenu), je n'ai toujours pas reçu ma prime… donc, la patience est une vertu.
ATTENTION aux climatiseurs mobiles que vous transportez d'une pièce à l'autre: vous vous allez sans aucun doute regrettez ce choix. Comme il faut laisser la fenêtre pour le tuyau, l'appareil doit fonctionner très fort donc, dépense d'électricité plus importante.
Quelques astuces pour rafraîchir son corps et supporter cet épisode de chaleur (sans clim).
Ventilateur souffler de l'air frais
Quand il fait trop chaud, le ventilateur souffle de l'air chaud. Du coup, l'effet recherché tombe à plat. Pour que votre ventilateur vous rafraîchisse, l'astuce consiste à placer sur son axe de ventilation (devant lui) un saladier de glaçons ou deux bouteilles d'eau très fraîches. En soufflant dessus, l'air va se rafraîchir dans la pièce.
Humidifier vos rideaux ou placer des draps mouillés devant la fenêtre
Si vous avez des doubles rideaux, fermez-lez; pour les voilages simples, l'idée est de rafraîchir l'air qui rentre de l'extérieur. Humidifiez vos rideaux (bombe) ou placez un drap humide sur votre fenêtre (si c'est possible) pour rafraîchir l'air chaud extérieur lorsqu'il pénètre chez vous.
Bien sûr, on ouvre la nuit et l'on referme les volets dès 8 heures du matin car c'est à cette heure précise que cela commence à chauffer en période de canicule. Le mieux serait d'avoir un thermomètre (avec testeur sur la fenêtre) et l'autre à l'intérieur de la pièce à rafraichir… si la température extérieure dépasse celle de l'intérieur, il est plus que temps de fermer vos volets.
Il vaut mieux le faire avant bien sûr, environ 1° et demi avant. Il faut noter que le béton retient la chaleur, donc, le testeur de l'extérieur peu indiquer une température bien plus élevée. Testez plusieurs fenêtres du même coté de façade.
Faites sécher votre linge dans la chambre
La présence de linge humide contribue à faire baisser la température de la pièce. Placez un ventilateur devant votre linge et l'air ventilé sera lui aussi plus frais.
Si vraiment la canicule est insupportable, n'attendez-pas que le linge soit entièrement sec avant de le porter…. attention cependant, si vous avez des rhumatismes.
Une serviette mouillée sur la nuque
Vous êtes déjà passé sous la douche ? Mouillez un gant de toilette ou une petite serviette et placez-la sur la nuque. Cette astuce peut aider les enfants à s'endormir...
Un lit frais
Si vous éprouvez des difficultés à vous endormir, pulvérisez un peu d'eau sur vos draps, ou votre oreiller de façon à rafraîchir votre lit. Une bouillote passée au congélateur est également efficace. Vous pouvez aussi essayer de mettre votre oreiller dans le frigo. Placez-le dans un sac en plastique pour le protéger des denrées alimentaires. En espérant que vous avez fait de la place.
Mangez frais bien sûr.
En temps de canicule, le corps a besoin de se refroidir. Plus épaisses que les boissons, les soupes froides ont un effet désaltérant et rafraîchissant très efficace. Privilégiez les repas froids comme des salades, des gaspachos et des sorbets en dessert. Si votre système digestif sature par la faute des crudités, n'hésitez pas à cuire vos légumes en amont, et à les consommer frais en salade. Côté viande, le rôti de porc ou le filet de poulet sont délicieux froids, avec ou nom des sauces froides.
Prendre une douche tempérée
La douche froide vous tente? Ce n'est pas forcément la meilleure option pour aider votre corps à réguler sa température. En optant pour une température tempérée à 20 degrés, vous ressentez déjà une sensation de fraîcheur sans provoquer de choc thermique. N'hésitez pas à mouiller votre tête, la sensation de fraîcheur sera plus forte.
Achetez un brumisateur
Les atomiseurs d'eau minérale (bombes aérosols à emporter partout) procurent une agréable sensation et atténuent momentanément la sensation de chaleur.
Sachez qu'il en existe des modèles "fixes", spécialement adapté pour le jardin. Idéal quand les enfants s'amusent à l'extérieur. Rafraichissez-le avant de sortir… après une pulvérisation, un coup d'éventail peut être super lorsque l'on se sent mal. Dès que la peau est sèche, vite, recommencez.
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PROMO EXCEPTIONNELLE:
1ne boîte d'ampoule acheté, (prépare la peau au bronzage)
1 huile Merveilleuse offerte (après- bronzage)