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actualité - Page 319

  • Salopards!

    La belle démocratie à la gauchiasse!

     

    Viols et agressions sexuelles à Nuit Debout

    À Nuit Debout comme ailleurs, les femmes se font agresser, insulter, emmerder. Remarques sexistes et mains aux fesses sont monnaie courante. La commission Féminismes lutte depuis des semaines pour imposer des bonnes pratiques et chasser les relous.

    Déséquilibre de la parole en faveur des hommes, remarques sexistes, mains aux fesses, agressions sexuelles en tous genres: sur la place de la République, les militantes féministes du mouvement Nuit Debout se battent quotidiennement contre cette violence. Nuit Debout n’est pas un repère de prédateurs sexuels, et la place de la République n’est pas la place Tahrir en Egypte. Mais, comme dans tout lieu public, comme dans le métro où toutes les femmes ont subi du harcèlement sexuel, les participantes sont régulièrement confrontées à la misogynie.

    Nuit Debout est face à ses contradictions, celles d’un mouvement de gauche progressiste, au sein duquel des commissions féministes sont actives, mais qui n’abrite pas moins de nombreux actes sexistes.

    Dans le rapport à la parole: les commissions non mixtes sont décriées, mais il a fallu presque un mois pour que dans les lieux mixtes soit acté le principe d’une parité dans les prises de parole, pas encore totalement atteinte dans les faits, selon plusieurs observateurs actifs du mouvement.

    Il arrive que des insultes fusent. Ludivine raconte par exemple cette anecdote, d’un "antifa" qui la prend à partie. "Il a fini par me dire qu’il allait "me baiser", que j’étais une "mal-baisée".

    Dans la violence physique: une militante explique à Slate.fr avoir dû se battre contre un homme "se collant à (elle) de tout son corps", une autre se souvient d’un type "mimant ostensiblement une fellation" qui est ensuite "parti en se marrant". Les mains aux fesses dans le noir sont monnaie courante, comme l’ont vécu Simone, étudiante (nous avons changé son prénom) ou Fatima Benomar, cofondatrice du collectif Les effronté-e-s, qui participent toutes les deux à la "commission Féminismes" qui squatte la place depuis plusieurs semaines.

    Fatima Benomar se souvient également d’un homme ayant plongé brutalement les mains dans ses longs cheveux bouclés, en criant "j’adore vos cheveux". "Dès que le soir commence à tomber, ça s’alcoolise et cela se mélange entre la population de Nuit Debout et d’autres personnes qui ne connaissent pas les fondamentaux du mouvement", regrette-t-elle.

    Au moins un viol a aussi été évoqué: plusieurs personnes interrogées par Slate.fr en ont entendu le récit lors d’une réunion non-mixte de la commission Féminismes, et leurs témoignages concordent. Le récit de ce viol est par ailleurs relaté dans deux posts du blog de la commission Féminismes, dont l’un a été supprimé. Ainsi que dans un article du site Reporterre.

     

    DISSOLUTION! ... et plus vite que ça!

     

     

     

  • LE BON CONSEIL DU JOUR

    À Paris, une voiture est enlevée par la fourrière toutes les deux minutes. Leurs cibles privilégiées: les quartiers “bourgeois” car ils sont sûrs d’être payés et ne risquent pas de violence physique. Peu de fourrières à Clichy, Gennevilliers ou à Trappes. Un tuyau : les vautours hésitent à enlever une voiture qui a une vitesse enclenchée et le frein à main.

  • Salopards!

     Des adolescents attaquent et mettent le feu chez une personne handicapée

    Croissy-sur-Seine (78)

    Deux adolescents de 15 ans ont été interpellés, dans la nuit de jeudi à vendredi à Croissy-sur-Seine, après une agression commise au domicile d’une personne handicapée. A 1 h 05, les jeunes hommes s’introduisent au domicile de la victime, placée sous tutelle.

    Pour une raison encore obscure, ils aspergent l’appartement de White-spirit et mettent le feu dans la cuisine. La victime parvient à maîtriser les flammes en jetant un seau d’eau et prévient la police. Les adolescents sont interpellés alors qu’ils sont encore dans l’appartement. Ils ont été placés en garde à vue dans les locaux du commissariat de Saint-Germain-en-Laye.

     

    Le Parisien

  • Mais, enfin.... ce n'est pas possible!!!!!!!! ils sont pire que fous!

    Il faut faire quelque chose! que les parents et grands parents envahissent les écoles et protestent!!!!!

    Il en va de l'avenir de vos enfants!

    Faites suivre, faites passer: c'est plus ébouriffant, c'est à pleurer.....

     

    " Sa va dps samedi ? G1 truc a te dir jcroi kon devré fer 1 brek… "

    Manuel scolaire 5ème, 4ème, 3ème, éditions Nathan.

    Voilà, la réforme du collège devient concrète.

    Cette semaine, les enseignants découvrent, effarés, les manuels scolaires conformes aux injonctions ministérielles, préparés dans l’improvisation totale pour la rentrée prochaine. C’est un cours de maths remplacé par un sondage dans la classe sur les discriminations. C’est la littérature et la langue françaises sacrifiée pour des "punchlines" et des SMS. C’est l’immense aventure des sciences qui s’achève dans une curiosité morbide pour la mort de Claude François dans sa baignoire.

    Immense tristesse, immense colère aussi. J’ai la rage au fond du cœur de voir ce délire devenir réalité, avec la collaboration honteuse d’éditeurs serviles et lâches, dans le silence des médias et dans la passivité générale – si l’on excepte la complicité coupable de l’enseignement privé.

    Tous ceux qui coopèrent à cette immense dévastation, à ce mensonge, à ce délire, j’espère qu’ils ont un peu honte, au fond d’eux mêmes. Et j’espère, envers et contre tout, que cette réforme n’ira pas jusqu’au bout. Parce que ce n’est pas possible… Ils n’ont pas le droit. Nous n’avons pas le droit.

    L’école n’a qu’une seule mission : élever les élèves qui lui sont confiés. Chacun d’entre eux porte en lui quelque chose d’exceptionnel, et chacun d’entre eux a droit au meilleur de ce que nous avons reçu. De quel droit allons-nous priver les générations qui viennent de la beauté, de la grandeur, de l’intelligence ? De quel droit condamnons-nous ces enfants à ne plus rien comprendre de leur propre histoire, de leur langue, de leur culture ? Quand la conjugaison est remplacée par l’approximative " impression " des temps, quand toute la maîtrise de la langue consiste à faire de bonnes vannes et à casser avec sa copine, qu’espérons-nous faire grandir chez nos élèves ?

    Le manuel "Le livre scolaire", ici reproduit, comporte une phrase de Abd Al Malik qui résume à elle seule toute cette réforme du collège: "A force de vouloir se faire rue, on est devenu caniveau“.

    Voilà à quoi ressemble une civilisation qui meurt.

    Je voudrais crier partout ma tristesse pour ces enfants qu’on sacrifie… Qui ne trouveront à l’école que ipads, des SMS et des anecdotes people – tout ce qu’ils connaissent déjà en fait, bien mieux que nous, d’ailleurs, et ils nous trouveront bien ridicules de vouloir leur apprendre le "swag“"

    Je voudrais crier ma tristesse pour ces gamins condamnés à la pauvreté culturelle par l’école, le lieu même qui aurait dû être pour eux le chemin de l’évasion vers ce qu’il y a d’universel, d’intemporel – les grands textes, les grandes œuvres, les grandes découvertes, tout ce qui fait grandir le cœur, tout ce qui élargit le regard… Pour ces talents qu’en chacun d’eux nous condamnons à la médiocrité.

    Quand j’avais sept ou huit ans, mon grand-père m’a offert l’Anthologie de la poésie française, de Georges Pompidou, et il m’a dit: "Si tu veux être heureux dans la vie, il faut apprendre deux vers par jour“. Je l’ai fait. Il avait raison. J’ai découvert un savoir, une saveur de la vie que je ne soupçonnais pas, que le quotidien ne donne pas. Je n’ai pas tout compris bien sûr – pas tout entier, pas tout de suite… Mais c’était beau. C’était grand. Et finalement, c’est tout simplement que ce qu’il y a de beau, de grand, se dépose dans un cœur d’enfant pour l’enrichir, par le cœur. Mais qui maintenant aura encore la chance d’apprendre un peu de poésie – par cœur?

    Maintenant que le sujet des manuels de littérature, c’est: "jcroi kon devré fer 1 brek… "

    Voilà à quoi ressemble une génération qui renonce à transmettre.

    J’ai tant de tristesse au cœur…

    Pourquoi ne nous réveillons-nous pas?

    http://www.fxbellamy.fr/blog/2016/04/30/jcroi-kon-devre-fer-1-brek/

     

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  • Ce qu’un jeune pense de Nuit Debout

    Comment la jeunesse doit-elle se positionner parmi ces revendications ? Un lycéen nous livre son analyse du mouvement Nuit Debout.

    Par Lyvann Vaté.

    Etudiant en classe de première, Lyvann Vaté, né en 2000 à Auxerre, vit sur la Côte basque. Il publie régulièrement sur son blog (https://lyvannvate.wordpress.com ) où il traite de littérature ou de sujets de société et a collaboré à la revue littéraire La Règle du jeu.

     

    https://www.contrepoints.org/2016/05/01/250121-nuit-debout-lorniere-jeunesse

     

    Il a tout juste 16 ans!

     

    Ouf!!! Il y a encore des jeunes gens qui ont les pieds sur terre, en France!

  • Chronique d'un monde à l'envers...

    Victime d’un vol, il publie la vidéo de surveillance pour retrouver la voleuse qui porte plainte contre lui

    Une femme de 52 ans, qui a reconnu avoir volé une sacoche dans un cabinet dentaire à Nancy, va porter plainte contre sa victime, à qui elle reproche d’avoir publié sur internet la vidéo du larcin capté par la vidéo-surveillance.

    Publier de telles images, où l’auteur du vol est clairement reconnaissable, "c’est une méthode cavalière, c’est inconcevable", a expliqué aujourd’hui Me Paul Kéré, le défenseur de la quinquagénaire. " Ma cliente est très atteinte psychologiquement, elle va demander des dommages et intérêts", a ajouté l’avocat, précisant qu’il déposerait plainte lundi pour "atteinte à l’intimité de la vie privée".

    Les faits remontent à mardi dernier. Constatant le vol de sa sacoche, laissée derrière le comptoir d’accueil de son cabinet et qui, selon lui, contenait 1000 euros, le chirurgien dentiste s’était rapidement rendu compte que la voleuse était clairement visible sur les images de la vidéo-surveillance. Il les avait alors mises en ligne sur Facebook, avec ce commentaire: "Si l’un d’entre vous reconnaît (la voleuse), je vous serais infiniment reconnaissant de m’en faire part. Cette vidéo est à partager au maximum ". [...]

    "On comprend tout à fait que la personne veuille que justice soit faite, mais ce qu’on n’accepte pas, c’est le procédé", a dit à France Bleu Sud Lorraine une des filles de la voleuse présumée. "Il aurait dû déposer (les images) à la police, pas les divulguer sur internet, car ça revient à se faire justice soi-même. Il n’a pas mesuré les répercussions sur la famille. C’est la porte ouverte à tout et n’importe quoi", a-t-elle ajouté.[...]

    Le Figaro

     [...] Sur la vidéo postée sur son mur, on distingue nettement le petit manège. Toute de noir vêtue, bottines sombres aux pieds, foulard noir sur la tête, lunettes imposantes sur le nez, sacoche en bandoulière, la femme, que le praticien n’a pas reconnue comme étant une de ses patientes, pénètre dans le cabinet et s’accoude au comptoir, près de l’aquarium, attendant vraisemblablement une secrétaire. Les secondes défilent et pendant ce temps, elle observe nerveusement autour d’elle. Le canapé rouge et la salle d’attente sont vides… Mais elle ne remarque pas la caméra qui la filme depuis le début. L’indélicate passe alors derrière le guichet puis ressort pour assurer le coup avant de repasser derrière et de prendre la poudre d’escampette, d’un pas pressé, la fameuse sacoche brune à la main. [...]

    L’Est Républicain