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actualité - Page 327

  • Depuis des années, déjà: la soumission

    Le calvaire de Martin, 6 ans: dans sa classe, 27 élèves sur 29 sont musulmans

    Publié le 17 mai 2013 - par Caroline Alamachère

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    Sur les 29 élèves de cette classe de primaire de Bruxelles, 27 sont musulmans. Martin fait partie des deux élèves minoritaires.

    Colette, la maman de Martin est ouverte à la diversité, comme toute une génération à laquelle a été soumis ce message perpétuellement envoyé à nos cerveaux dociles: la diversité est une chance, ne pas l’admettre c’est mal. C’est pour cela que, comme de très nombreux autres ados des années 80, elle a porté la fameuse main jaune.

    L’article (1), dans lequel elle relate sa révoltante histoire témoigne des graves conséquences d’une présence musulmane trop forte en milieu scolaire, usant au passage d’une tournure qui en dit long: "non musulman". Il n’y a pas si longtemps on se définissait comme Français ou Belge, aujourd’hui on se définit comme musulman ou non musulman. Tu es quoi toi? Je suis non musulman…

    Elle raconte cette fois, anecdotique selon elle, où une mère d’élève de maternelle avait demandé la lecture de sourates aux enfants sans que cela ne provoque chez elle d’indignation particulière. Quand on est pour la diversité, on est prêt à toutes les compromissions, même les moins acceptables.

    Colette se remémore les bagarres multiples, conséquences directes de l’islam invasif, de sa violente intolérance physique et orale, comme ces "sale porc" prononcés contre son fils, et de son incapacité à cohabiter avec les autres croyances ou incroyances.

    Le prosélytisme aussi, si fort que l’islam pénétrait jusque dans sa maison, Martin s’offusquant de ce que certains propos ou attitudes de ses parents ne correspondaient pas aux préceptes coraniques, allant même jusqu’à les rappeler à l’ordre. Ce petit garçon de 6 ans menaçait en effet ses parents de l’enfer lorsqu’ils buvaient du vin, critiquait le décolleté de sa mère ou lui demandait de porter un foulard pour aller le chercher à l’école… "ta mère est une sale dragueuse parce qu’elle se maquille"; "ne mets plus de décolleté, maman, s’il te plaît, je vais avoir des ennuis". En permanence Colette devait réinstaller les repères de respect que son fils reperdait aussitôt qu’il entrait dans l’école au contact des "croyants".

    C’était des bastonnades perpétuelles par les 27 qui croyaient en Allah contre les 2 qui n’y croyaient pas, l’intimidation au point que Martin suppliait sa mère de ne pas mettre de jambon dans ses sandwichs parce que les tolérants et pacifiques musulmans allaient cracher dedans et le frapper.

    Le garçonnet demandait régulièrement à changer d’école, ne supportant plus ce déchainement de violence contre lui, les menaces de coups permanentes comme lors de ses refus de jurer sur le coran, les menaces aussi sur ses parents. Sa mère a dû prendre des mesures drastiques pour tenter de mettre fin à sa souffrance, aux brutalités, pour maintenir son fils en sécurité.

    Le personnel scolaire, averti de la situation, a laissé faire, soit par peur des représailles, soit par bienveillance envers les 27 "racaillons", soit encore parce qu’il était lui-même musulman et qu’entre frères et sœurs on reste solidaires quoiqu’il arrive.

    A l’école, l’idéologie islamique était partout, et tout le temps, présente, il y avait d’ailleurs un professeur de cours de "religion islamique" au sein même de l’établissement. Martin apprenait le vocabulaire du coran, et lors des voyages organisés de l’école, les élèves emportaient leurs tapis de prières, des surveillants de cantine prononçaient des mots arabe, comme ce "bismillah" que l’enfant réclamait ensuite à sa mère de répéter à la table familiale.

    Dans le même temps Martin n’a pas appris à écrire durant les deux années d’enfer où il est resté dans cette école. Pour être accepté dans son nouvel établissement, il a dû passer les deux mois d’été à travailler, pendant que les autres malfrats en herbe devaient bien s’amuser au bled, afin d’apprendre à écrire 500 mots, des mots que les enseignants ont été infoutus de lui apprendre. On ne peut pas apprendre à la fois le français et l’arabe à un gosse de 6 ans, l’arabe a donc été prioritaire…

    La situation est devenue tellement ingérable que Colette a dû amener son fils consulter un psychologue afin de vérifier qu’il n’avait pas atteint la maladie mentale de ses bourreaux de classe.

    Martin et les quelques survivants de ses anciens copains de maternelle qui se trouvaient dans d’autres classes ont quitté cette école maudite, laissant la place aux remplaçants, à ses nouveaux petits "Français" intolérants, violents, xénophobes, athéophobes, "murés dans leurs différences".

    La morale de cette histoire est invariablement la même: le laxisme, pour ne pas dire la volonté des politiques de tous bords de détruire nos cultures occidentales, qu’elles soient de Belgique, de France, de Suède, d’Allemagne ou d’ailleurs.

    Ce que ces politiques asservis et criminels refusent d’admettre, c’est que toutes les cultures ne se valent pas, que des individus aux croyances et aux valeurs opposées ne peuvent pas se mélanger. Ils peuvent feindre de vivre ensemble et de se tolérer mais ce n’est qu’un leurre. Le communautarisme et la ségrégation restent le fondement de certaines sociétés quand l’individualisme et la liberté d’agir et de penser sont un droit inaliénable des autres. La loi de Dieu contre la loi des hommes, cela ne se négocie pas, ni d’un côté ni de l’autre, et les politiques n’ont pas le droit de jouer avec ce feu là. Ils ont la responsabilité de l’oppression des uns sur les autres, et quand les oppressés sont des jeunes enfants ils en sont doublement responsables.

    Ces politiques corrompus ont des comptes à nous rendre et il va falloir qu’on se décide à leur demander de les régler, et le plus vite possible.

    Caroline Alamachère

    PS (ci-dessous quelques témoignages d’expériences du même ordre):

    "Ma fille allait dans une école du centre ville de Bruxelles. Elle y a vécu un truc similaire niveau jambon, les enfants ne voulaient pas jouer avec elle parce qu’elle en mangeait…
nous l’avons changé d’école"

    "ceci existait déjà il y a plus de 30 ans à l’U T (Charleroi) peut-être pas aussi fort, mais les musulmans avaient déjà gain de cause à l’époque bien que minoritaire.(le plus jeune de mes frères n’a plus pu manger de salami à la cantine de l’école soit disant que c’était de la provocation)"

    "ma fille a eu des problèmes de ce type (j’appelle ça du racisme inversé),mais en école supérieure, a Bxl aussi, elle était la seule Belges parmi 7 musulmanes. Arrivée en cours d’année, car elle cherchait sa voie, elle a été dégoutée de se rendre compte, qu’aucune de ses "camarades"de classe n’était prête a l’aider a se mettre en ordre! Mais en plus un professeur de français a même insulté les belges (dont elle fait partie) d’incapables, de fénéants…en regardant ma fille droit dans les yeux, alors que celle-ci était la seule a n’avoir fait que 2 fautes dans une dictée"

    "j’étais enseignante jadis. Je faisais mon travail correctement, sans vague. Une jeune fille iranienne, totalement voilée qui n’était pas mon élève, ne m’avait jamais parlé, m’a traitée de ‘pute européenne’. J’ai demandé 3 jours de renvoi mais le Préfet des Etudes m’a demandé de n’en donner qu’un parce que ça ferait tâche, ça se serait et il perdrait des inscriptions à la rentrée prochaine si on sévissait de trop ce genre de remarques!!!! J’ai dit ‘3 jours où je démissionne’. Il s’est confondu en excuses mais ne voulait pas perdre de subsides pour son école et préférait brader le respect de son corps professoral!. J’ai démissionné de ma carrière d’enseignante à cause de cet événement. "

    http://francejeunessecivitas.hautetfort.com/media/02/02/3667615934.pdf

     

    http://destexhe.blogs.com/blog2007/2013/05/ecole-publiquecoranique.html

     

     

  • La France est devenue une république bananière!

    Tuberculose: silences sur l’importation en France d’un vaccin destiné au marché polonais

    Certes l’information n’est pas cachée. On la trouve sur un courrier "Sanofi Pasteur MSD" daté du 18 mars : " Information importante destinée aux professionnels de santé des PMI, CLAT et centres de vaccination " :" Vaccin contre la tuberculose BCG-SSI : rupture de stock et importation d’un vaccin polonais". On peut, en cherchant un peu, la retrouver depuis peu sur le site de l’ANSM. Elle est également présente sur " Actualités santé Vidal". Ou sur le site mesvaccins.net: "Le vaccin BCG contre la tuberculose du laboratoire BIOMED-LUBLIN remplace le vaccin BCG SS" (Elisabeth Nicand).

    Privatisation des productions

    En apparence c’est une information technique. C’est aussi un nouveau symptôme de l’incurie croissante qui, en France, prévaut dans le système de fabrication-distribution des vaccins. Une incurie d’autant plus inquiétante que le pouvoir politique a entrepris d’ouvrir un " débat national " sur la politique vaccinale – avec l’annonce d’une remise en question du système actuel des vaccins " obligatoires " et des vaccins " recommandés ".Que se passe-t-il sur le front tuberculeux ? Résumons à la lumière des informations disponibles sur la Toile:

    A la suite de la "rupture de stock" du vaccin contre la tuberculose BCG SSI®, le laboratoire SanofiPasteurMSD met à disposition à partir du 29 mars 2016 et à titre exceptionnel et transitoire un vaccin BCG fabriqué en Pologne par la société BIOMED-LUBLIN.Pourquoi une "rupture de stock"? On ne le sait pas. Le vaccin BCG SSI® était fabriqué par le Statens Serum Institut (d’où l’abréviation "SSI"), une entreprise publique internationale de recherche, de production et de services qui dépend du ministère de la santé du Danemark. L’Institut est confronté à des difficultés pour produire ce vaccin en quantité suffisante. Le Statens Serum Institut a engagé un processus de privatisation de sa production de vaccins.

    Marché polonais

    Le vaccin BCG SSI® était distribué en France par le laboratoire Sanofi Pasteur MSD. Du fait des "tensions d’approvisionnement", sa distribution était contingentée auprès des centres de Protection maternelle et infantile (PMI) et des Centres de Lutte Antituberculeuse (CLAT) depuis le 14 janvier 2015.

    La rupture de stock du vaccin BCG SSI est effective à compter du 31 mars 2016, les doses encore disponibles arrivant à péremption le 31 mars 2016. La remise à disposition du vaccin BCG SSI®, qui est importé en France par le laboratoire Sanofi Pasteur MSD, n’est pas déterminée à ce jour.

    En accord avec l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) Sanofi Pasteur MSD (seul laboratoire à distribuer le vaccin contre la tuberculose en France) va importer un vaccin BCG contre la tuberculose initialement destiné au marché polonais. Ce vaccin est fabriqué par la société BIOMED-LUBLIN. Il bénéficie d’une autorisation de mise sur le marché en France depuis le premier mars 1994, dont le dernier renouvellement date du 29 mai 2013 (renouvellement tous les 5 ans). Jusqu’à ce jour, il n’avait pas été distribué par le laboratoire Sanofi Pasteur MSD.

    Forme d’incurie

    Il existe toutefois de très nombreuses différences entre le vaccin BCG SSI® et le vaccin BCG contre la tuberculose BIOMED-LUBLIN sur les modalités de préparation et le volume à administrer. Tout comme pour le vaccin BCG SSI, les doses de vaccin BCG BIOMED-LUBLIN sont contingentées. La distribution de ce vaccin sera accessible dans les centres de Protection maternelle et infantile, les Centres de lutte antituberculeuse, les maternités et les centres de vaccination. De fait, les pharmacies n’auront pas avoir accès à cette spécialité.

    Les causes premières de toutes ces perturbations ne sont pas précisés par l’ANSM sur la fiche de rupture de stock du vaccin BCG-SSI. Elles ne le sont pas non plus par le laboratoire Sanofi pasteur MSD dans sa lettre aux professionnels de santé. Pourquoi ne pas dire la vérité sur ces ruptures de stocks à répétition? Sur cette incapacité chronique à fournir un vaccin dont on recommande l’usage?

    On peut voir là un simple oubli. Certains médecins commencent à y voir une forme de mépris. Cette situation les place dans de grandes difficultés vis-à-vis de parents inquiets demandant des explications. Le tout dans un contexte où la justification du maintien de la vaccination, en France en 2016, est de plus en plus contestée. Tous les symptômes réunis, en somme, d’une forme, grave, d’incurie.

    https://jeanyvesnau.com/2016/04/02/tuberculose-silences-autour-de-limportation-en-france-dun-vaccin-destine-au-marche-polonais/

     

  •  Jean-Pierre Coffe: dommages des hommages

    Quand la France d’avant se fait la malle

    Dans notre société où tout n’est plus que communicationnel, dès qu’un "pipeaule" casse sa pipe, ce qui leur arrive aussi et arrivera à la totalité de l’humaine espèce, tout le monde ou presque de sortir sa nécrologie ou son hommage toujours d’une mièvrerie appuyée, dégoulinante de bons sentiments marqués, et manquant singulièrement d’intelligence ou de nuances. Par le "miracle" de la technique et en particulier celui des "réseaux — dits — sociaux" n’importe quel pékin peut également déposer sa gerbe peu odoriférante au pied du piédestal en carton-pâte dressé par le grand barnum médiatique.

    On a le droit à des dizaines de milliers de "Salut l’artiste" se voulant à la fois familiers et respectueux, et larmoyants, à des "RIP un grand meussieur" et autres "il nous manque" et autres formules toutes faites sorties de la méthode Assimil du festivisme ambiant.

    Aujourd’hui, c’était le tour de Jean-Pierre Coffe dont la première intervention télévisuelle, dans "Le Petit rapporteur" de Jacques Martin, reste de loin la meilleure, car la plus vraie, la plus authentique. Il joua également dans quelques films des années 70 des crapules visqueuses avec une délectation évidente. Par la suite, de "La Grande famille" de Delarue sur Canal Pelu dans les années 80 aux "Grosses têtes" de Bouvard puis de Ruquier, les fausses colères de Coffe virèrent au procédé en somme de comédie. Ses fureurs entrèrent dans son "emploi" de scène.

    Coffe est bien vite devenu le Géronte faisant rire de la bouffe contre-balançant — un peu — l’hygiénisme à la noix d’une société de plus en plus repliée sur des petites certitudes rassurantes, une société de plus infantilisée par un "coaching" collectif lénifiant et au fond de plus en plus puritaine:

    Le tabac c’est très mal, le pauvre type au RSA, chômeur de longue durée, j’en passe et des pires, n’a même plus le droit de s’en "griller une" afin de se détendre ne serait-ce que quelques secondes sans qu’un curé du "bien vivre" improvisé ne lui sorte un sermon moralisateur.

    Le gras du jambon, c’est mauvais aussi, surtout pour les pauvres qui ne pensent qu’à bouffer les inconscients. On songe au personnage de l’alcoolique repenti dans un vieux "Lucky Luke" se lançant dans des conférences hygiénistes grotesques après avoir été "guéri" par le psy censé "guéri " également les Dalton de leurs mauvais penchants.

    Il faut absolument manger les fameux cinq fruits et légumes par jour, bio de préférence, cultivé selon des méthodes présentées comme nouvelles par leurs promoteurs ne faisant que redécouvrir l’eau tiède et l’agriculture traditionnelle, celle que leurs ancêtres pratiquaient…

    Le vin, c’est très mal aussi et l’alcool en général également. On est toujours étonné que les contempteurs du bon pinard pour lequel ils n’ont pas de mots assez durs soient souvent des partisans de la légalisation du cannabis pourtant bien plus nocif. Ou alors est-ce qu’ils estiment que les grands crus doivent rester un privilège de classe? Une manière d’ostentation sociale, de compétitions entre égos de "bourgeois pédagogues".

    Manger de la viande, c’est pas gentil du tout pour les animaux car pour en manger forcément il faut les tuer et les abattoirs sont des abattoirs. Et tuer, c’est pas gentil car la mort c’est laid. Les amis des bêtes sont dans le slogan fort et l’engagement drôlement marqué, je suis même sûr qu’ils s’opposent aussi à la violence et qu’ils lui préfèrent la paix tel Renaud proclamant qu’il n’aime pas du tout le terrorisme ou Madame Hidalgo organisant un genre de "Love Parade" contre les islamistes. A coup sûr, ils seront terrifiés…

    Coffe est mort, caricature d’une France d’avant, plus rurale, bonne vivante. Avec lui s’en va encore un peu plus de ce vieux pays.

     

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    A l'occasion de la sortie du film (mars 2016) “Au nom de ma fille“ qui relate l'histoire de l'affaire K., je me suis souvenue qu'un de mes amis journalistes, Philippe M. m'a, un jour, demandé ce que je pensais de cette terrible affaire. La femme avait divorcé et était partie épouser en Allemagne un médecin en entraînant sa fille de quinze ans. Le père effondré, appris que sa fille avait été assassinée. L'autopsie lui fait soupçonner que sa fille a été violée et, commença alors sa grande errance entre les deux pays, seul, en lutte contre la machine judiciaire. Errance qui a duré de très nombreuses années. Il a du se “faire justice“ lui-même, en quelque sorte. (il a embauché des hommes de main pour “extrader“ de force le violeur allemand qu'il fit enchaîner devant un commissariat pour que la justice française, enfin! s'en mêle).

    La suite sur mon site professionnel

  • Le foutage de gueule de Hidalgo!

    L’Institut des Cultures d’Islam a déjà couté 14 millions aux contribuables parisiens, mais un Parisien a porté plainte pour ce détournement de bien public et la Cour d’appel a cassé le bail, annulé les contrats, et demandé des réparations.

    voir copie du verdict sur le lien

    La Société des Habous et des Lieux Saints de l’Islam avait réussi à obtenir un bail emphytéotique de la Mairie de Paris, en contravention avec la loi de 1905 sur la laicité. "

    " Un contribuable a attaqué les décisions du Conseil de Paris des 22 et 23 avril 2013 – et a gagné en appel – en affirmant que :

    le bail signé pour 1 euro par la Mairie est une subvention déguisée pour l’exercice d’un culte,

    la nature cultuelle de la Société des Habous et des Lieux Saints de l’Islam a été délibérément dissimulée aux élus du Conseil de Paris,

    le coût des travaux est supporté par les impôts locaux des Parisiens, mais l’édifice construit ne reviendra pas à la ville de Paris à l’expiration du bail,

    le prix de vente (moins de 2.2 millions d’euros) d’un immeuble destiné à l’opération est anormalement bas et cache une subvention déguisée,

    l’ensemble de l’opération est entouré d’opacité: les documents concernant les dépenses, leur affectation, les aspects financiers, l’évaluation de France domaine, ont été cachés aux élus membres du Conseil de Paris,

    le principe de séparation des cultes et de l’Etat a été violé,

    le code général des collectivités territoriales sur la neutralité confessionnelle n’a pas été respecté,

    Il a donc demandé au Tribunal administratif de dire que les actes signés par la Mairie de Paris dans cette opération religieuse sont tous illégaux, que l’opération cache une subvention déguisée en infraction avec la Constitution française sur la laïcité, et que le principe d’égalité de traitement entre les citoyens, auquel les socialistes disent être très attachés, a été piétiné.

    L’attentif contribuable a donc demandé au Tribunal de casser le bail, d’annuler les contrats, et demandé la réparation de son préjudice lié à l’augmentation de ses impôts fonciers entrainés par les dépenses illégales de la Ville de Paris dans ce dossier. "

    " le Tribunal a ANNULÉ " la décision du maire de Paris de conclure le bail emphytétotique consenti à la Société des Habous et des Lieux Saints de l’Islam ".

    La Ville de Paris à été en outre condamnée à verser 1500 euros au contribuable abusé, au titre de l’article L.761-1 du code de justice administrative. " (…)

    http://www.medias-presse.info/la-mairie-de-paris-condamnee-a-dedommager-les-contribuables-parisiens-pour-ses-aides-deguisees-a-linstitut-des-cultures-dislam-14-millions-plus-les-reparations/47209

     

    En Espagne, un Hidalgo est un gentlemen pétri d'une superbe classe.... il ne lui viendrait jamais à l'idée de se comporter ainsi sans se retrouver banni de la "bonne société madrilène".... cf la littérature espagnole.

    Porter ce nom de famille oblige....

    Mais la mairesse de Paris n'est qu'une gonzesse ridicule, avide et cupide... comme l'est  toute la gauchiasse! Quand ils ne seront plus aux manettes, on va en apprendre de plus belles encore!

     

     

  • Suite de la note d'hier

    Obésité: Une piste épigénétique pour lutter contre la prise de poids et l’hypercholestérolémie

    Le nombre de cas d’obésité a doublé depuis 1980 : en 2014, plus de 600 millions d’adultes étaient touchés à l’échelle de la planète. Les causes de cette épidémie sont notamment environnementales et génétiques. Des chercheurs de l’Inra, en association avec des collègues de l’Institut Pasteur, de l’Inserm, du CNRS et de l’Université de Cambridge (Royaume-Uni), révèlent qu’une protéine (BAHD1) participe aux mécanismes de régulation du taux de cholestérol et de la prise de poids, en contrôlant l’expression de certains gènes par des phénomènes épigénétiques. Ces résultats publiés le 3 Mars 2016 dans la revue PLoS Genetics pourraient ouvrir la voie à la recherche de nouvelles thérapies contre l’obésité, le diabète, et les maladies cardiovasculaires.

    Chez l’homme et les autres vertébrés, BAHD1 est une protéine contribuant à rendre certains gènes peu actifs, voire totalement inactifs, en compactant certaines régions des chromosomes. Jusqu’à présent, le rôle physiologique de BAHD1 était inconnu. Une équipe de chercheurs de l’Institut Micalis de l’Inra, en association avec l’Institut Pasteur, l’Inserm, le CNRS et l’Université de Cambridge (Royaume Uni), révèlent aujourd’hui que BAHD1 participe aux mécanismes de régulation du taux de cholestérol et de la prise de poids.

    Une déficience en protéine BAHD1 entraîne une baisse de la cholestérolémie et de la graisse corporelle

    Pour comprendre le rôle de cette protéine, les chercheurs ont produit des souris qui ne possèdent plus le gène BAHD1. A la naissance, les souris sans BAHD1 sont petites. Au cours de la croissance, ces animaux rattrapent la taille de leurs congénères chez lesquels la protéine s’exprime, mais restent plus maigres. Les chercheurs ont observé que les adultes sans BAHD1 avaient un taux de cholestérol sanguin, une glycémie et une masse graisseuse plus faibles que chez les souris témoins.

    L’ablation du gène BAHD1 provoque donc une diminution de la cholestérolémie et de la quantité de graisse corporelle chez les souris. Elle provoque aussi un mauvais fonctionnement du placenta et une réduction du poids des fœtus. BAHD1 est donc un élément clé des réseaux de régulation du développement du placenta pendant la phase embryonnaire, et du stockage de la graisse corporelle chez l’adulte.

    Les scientifiques ont également recherché les gènes dérégulés chez la souris par l’inactivation de BAHD1, ou in vitro par la surexpression de BAHD1 dans des cellules humaines. Ils ont découvert que, dans ces deux modèles, BAHD1 modifie l’expression de plusieurs gènes importants dans le contrôle du métabolisme du cholestérol, des hormones stéroïdiennes, des lipides et des sucres.

    La protéine BAHD1, élément clé d’un mécanisme épigénétique

    Les chercheurs ont aussi mis en évidence que BAHD1 agit avec d’autres protéines, comme des enzymes appelées histones déacétylases et méthyltransférases, pour déclencher des changements dits épigénétiques. Ce sont des variations dans l’activité des gènes qui interviennent non pas par des mutations dans la séquence de l’ADN, mais par des changements de son état de compaction, à la suite de modifications chimiques de l’ADN ou des protéines histones (dans lesquelles l’ADN est enroulé, formant une fibre appelée la chromatine). Ainsi par exemple, BAHD1 régule l’expression d’un gène codant pour un récepteur aux oestrogènes (des hormones sexuelles qui influencent le poids) en agissant sur la méthylation de l’ADN et des histones dans la région de ce gène.

    Les résultats de ces travaux montrent que ces mécanismes épigénétiques agissent comme une commande du stockage ou de la consommation d'énergie dans l'organisme, à différentes phases de la vie. Ils pourraient, par des approches ciblées sur BAHD1, ses partenaires ou ses gènes cibles dans certains tissus, ouvrir la voie à de nouvelles thérapies contre l’obésité, le diabète et les maladies cardiovasculaires.

    Source

     Role of the BAHD1 Chromatin-Repressive Complex in Placental Development and Regulation of Steroid Metabolism, PLoS Genetics, 3 mars 2016

    Goran Lakisic, Alice Lebreton, Renaud Pourpre, Olivia Wendling, Emanuele Libertini, Elizabeth J. Radford, Morwenna Le Guillou, Marie-France Champy, Marie Wattenhofer-Donzé, Guillaume Soubigou, Slimane Ait-Si-Ali, Jean Feunteun, Tania Sorg, Jean-Yves Coppée, Anne C. Ferguson-Smith, Pascale Cossart, Hélène Bierne