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occitanie - Page 152

  • Avant tout: hystériques

    Moissy-Cramayel (77) : dystopie… Ou quand du soda versé sur la route devient " de l’alcool versé sur des fidèles dans une mosquée "

    Plusieurs membres de l’islamosphère se sont faits les relais d’une odieuse agression islamophobe à la mosquée de Moissy- Cramayel (Seine et Marne)

    Idriss Sihamedi est l’islamiste à la tête de l’ " ONG " BarakaCity

    " C’était prémédité, c’est sûr… "

    Le " collectif contre l’islamophobie en France " n’aura bien évidement pas manqué de sauter sur l’occasion

    Le " Muslim Post " y va de son article…

    Un acte islamophobe perpétré à la mosquée de Moissy-Cramayel

    Ce vendredi, une femme a aspergé une mosquée de Seine-et-Marne d’alcool et crié des insultes islamophobes à l’encontre des fidèles présents sur place.

    " Je sors de la Salat Jumu’ah à Moissy-Cramayel. Des personnes sont rentrées et ont renversé de la bière dans la mosquée. " L’appel d’un fidèle à ses coreligionnaires juste après la prière du vendredi fait froid dans le dos alors qu’une mosquée a été attaquée par un terroriste en Nouvelle-Zélande. Le CCIF confirme l’acte islamophobe : Abdelaziz Abderrahmane, président de l’association des musulmans de Moissy-Cramayel, était avec les membres du Collectif contre l’islamophobie en France.

    actualité,société,politique,occitanie

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Problème… De l’aveu même des intéressés: Tout ceci n’est qu’une fable.

     

     

  • L’odieuse et illégale “grève scolaire mondiale pour le climat”

    Par Auteur Benoît Rittaud   

    Menacés par le ridicule et par l’usure de leurs slogans, les autoproclamés défenseurs de la planète jettent leurs dernières forces dans la bataille: les jeunes. Un procédé outrancier que dénonce Benoît Rittaud, président de l’association des climato-réalistes.

    Si vous n’en avez pas encore entendu parler, ça ne va plus tarder: le 15 mars sera le jour d’une " grève scolaire mondiale pour le climat ". Attendez-vous à une prochaine avalanche d’éléments de langage vous expliquant une énième fois que, par votre faute, nous sommes au bord du gouffre: la planète va très bientôt se réchauffer d’une dizaine de degrés, la mer va monter de plusieurs mètres d’ici l’année prochaine, et d’ailleurs la " très sérieuse revue Nature " publie justement un nouvel article bourré de chiffres et de courbes plus sérieuses les unes que les autres montrant une "accélération encore pire que prévu" des catastrophes à redouter pour demain matin. Préparez-vous à vous sentir coupables.

    La vie d’un militant de la " cause climatique " est toujours la même: publier des "appels" dans tel ou tel organe de presse bien-pensant sur la question (autant dire la presque totalité des médias), parader auprès des grands de ce monde dans force COP, "one planet summit" et autres réunions inutiles et coûteuses, et enfin orienter la politique énergétique du pays pour mettre consciencieusement à terre notre outil industriel majeur qu’est la production d’électricité nucléaire (qui n’émet pourtant pas de dioxyde de carbone, mais la cohérence n’est pas requise lorsqu’il s’agit de sauver la planète).

    Malgré ces valeurs sûres pour faire les importants, les inquiets du climat doivent désormais faire face à trois gros problèmes. Le premier, c’est que leurs éléments de langage sont si stéréotypés qu’à peine nos prophètes prononcent-ils trois mots qu’il est possible à tout un chacun, avec un entraînement minimal, d’anticiper la fin de leur phrase. Le ridicule guette, ce dont ils se passeraient volontiers même si celui-ci ne tue heureusement pas davantage que quelques dixièmes de degrés centigrades de plus en un siècle.

    “Les alarmes sur tel ou tel phénomène soi-disant "inédit" relèvent davantage de la stratégie de communication que de l’exposition objective de la situation climatique.

    Le second problème, c’est qu’après avoir entendu crier au loup climatique pendant tant d’années, passant de la banquise aux cyclones et voguant de coraux en glaciers, le grand public se lasse de plus en plus de ces focalisations sélectives, changeantes au gré des inévitables fluctuations des multiples courbes climatiques à disposition. Les alarmes sur tel ou tel phénomène soi-disant "inédit" relèvent davantage de la stratégie de communication que de l’exposition objective de la situation climatique, qui n’est en réalité pas plus inquiétante aujourd’hui qu’hier.

    Troisième problème: les "solutions" proposées telles que la transition énergétique sont progressivement en train d’apparaître pour ce qu’elles sont: des politiques dispendieuses, socialement injustes, et dont les effets sur le climat seront nuls, même en supposant la validité des modèles les plus décidés à désigner le dioxyde de carbone comme gaz satanique.

     Pour faire face à ces vents contraires, les ayatollahs du climat ont alors eu une idée: exploiter les enfants. Ne reculant devant aucune outrance, ils se sont choisis une égérie en la personne d’une adolescente suédoise atteinte d’autisme pour promouvoir une " grève scolaire " de tous les enfants du monde, destinée à dénoncer l’inaction climatique.

    Quiconque a des enfants sait combien ceux-ci peuvent être angoissés devant le monde qui s’offre à leurs yeux, un monde qu’ils ne maîtrisent pas et connaissent mal. Ils s’effraient à l’idée qu’ils puissent ne jamais réussir à y évoluer de manière autonome. C’est l’un des rôles les plus fondamentaux des adultes que de les rassurer, leur apprendre à surmonter leur peur, leur enseigner qu’un jour ils seront de taille à faire face aux inévitables difficultés de l’existence, que tout n’est pas rose mais que l’on peut tout de même tâcher d’être heureux et de répandre un peu de joie autour de soi.

    Lorsque des adultes tournent le dos à ce devoir, lorsqu’ils s’abaissent à exploiter une angoisse infantile en l’étalant, en l’exposant comme jadis on exhibait des infirmes, ils commettent un crime moral qui ne peut avoir aucune circonstance atténuante, aucune indulgence de principe, quoi que l’on pense de la cause ainsi "défendue".

    Malheureusement le terrorisme intellectuel sur ces questions n’a que trop bien fonctionné. Qui, chez les personnes "raisonnables", dénonce cette instrumentalisation des souffrances psychiques d’une adolescente, alors qu’un tel procédé indignerait n’importe quel éditorialiste s’il était question d’autre chose que de l’intouchable religion climatique?

    “Les mots qui sortent de la bouche des adolescents ne sont que ceux qui leur ont été rabâchés depuis des années par les adultes.

    Pour l’instant, il semble que les jeunes ne soient heureusement pas trop nombreux à se laisser manipuler— car il s’agit bien de cela. Sans doute les manifestants ont-ils l’impression d’agir en révolutionnaires, mais la réalité est que les mots qui sortent de leur bouche [mettre: des adolescents] ne sont que ceux qui leur ont été rabâchés depuis des années par les adultes. S’il est de bon ton aujourd’hui de critiquer le mouvement étudiant de mai 68, du moins doit-on convenir que celui-ci émanait vraiment de la jeunesse. Aujourd’hui, les slogans de l’époque, contestables mais néanmoins joyeusement subversifs, ont laissé la place aux " punchlines " d’importation, aux banals copiés-collés d’éléments de langages élaborés bien loin des manifestants.

    En plus d’être odieuse dans son principe, la "grève climatique" à laquelle certains enseignants et certains chercheurs ont appelé est parfaitement illégale. Les textes en vigueur sont très clairs: par définition, "la grève est une cessation collective et concertée du travail destinée à appuyer des revendications professionnelles".

    À moins d’une interprétation particulièrement extensive (mais politiquement correcte, donc comptons sur quelques juristes pour l’endosser quand même), exiger qu’on empêche la pluie de tomber ou le soleil de briller n’a rien d’une "revendication professionnelle". Il s’agit d’une revendication politique, explicitement exclue du champ du droit de grève par un arrêt du Conseil d’État (Rousset, 8 février 1961).

    S’agissant des enseignants et des chercheurs de la fonction publique, leur appel à la grève se devrait, toujours aux termes de la loi, d’être "précédé d’un préavis émanant d’une ou plusieurs organisations syndicales représentatives au niveau national, dans la catégorie professionnelle ou dans l’administration ou le service concerné".

    Même s’il reste possible que tel ou tel syndicat enseignant prenne le train en marche et soutienne le mouvement, il n’en demeurera pas moins que l’appel à la grève l’aura précédé, en violation donc de l’obligation de préavis syndical.

    Le plus comique est pour la fin: "Pendant la durée du préavis, les organisations syndicales et l’administration employeur sont tenues de négocier". C’est sans doute ce point qui montre le plus clairement le caractère non-professionnel de la "grève climatique": l’employeur des enseignants et des chercheurs étant le ministère de l’Éducation nationale ou celui de la Recherche, on attend que s’ouvre une négociation dans laquelle Jean-Michel Blanquer serait sommé d’interdire aux États-Unis et à la Chine d’émettre du CO2…

    Le droit de grève fait partie de notre paysage démocratique. En dénoncer les dévoiements est important pour lui permettre de remplir utilement son rôle. Si les extrémistes du climat ont le droit de défendre leur point de vue, cela ne doit donc pas nous empêcher d’exiger d’eux deux choses: qu’ils n’instrumentalisent pas le droit de grève et, surtout, qu’ils cessent d’enrôler nos enfants dans leurs passions tristes.

    valeurs-actuelles

    C'est la collectivité qui est responsable et c'est aux parents à interdire à leurs enfants de jouer les guignols au profit des écolos bobos complètement cinglés et incompétents qui poursuivent un projet de dérèglement civilisationnel prétexté par un dérèglement climatique naturel que nous ne maîtrisons et maîtriserons en aucun cas.

    Essayez de demander à votre ado d'éteindre la lumière quand il quitte sa chambre...

    ou de débrancher son portable dès que la batterie est remplie (car il continue à "brûler" le compteur)

    etc, etc....

  • Les crétins encartés de Macrouille

    Quand des dizaines de députés LREM “brassent de l'air”

    Par valeursactuelles.com  

    Dans le “JDD” de ce 10 mars, on apprend que “40 à 60” députés de la majorité ne font qu' “acte de présence”.

    Le "nouveau monde" promis par Emmanuel Macron s’étiole un peu plus chaque jour. Ce 10 mars, le JDD rapporte ainsi, sources à l’appui, que certains des députés de La République en Marche remplissent à peine leurs fonctions.

    Certains font "acte de présence"

    " On a identifié 40 à 60 qui sont… perdus, pas bons. Ils font des trucs, mais ils brassent de l’air", rapporte "un fin connaisseur du groupe", selon l’expression qu’emploie l’hebdomadaire. Certains des élus, même, "subissent les textes" et ne font qu’ "acte de présence", lance un député. Et un parlementaire de pointer le cas particulier d’une de ses collègues: " Elle pointe le mardi, mais le reste du temps on ne sait pas ce qu’elle fait. Je pense qu’elle est assez malheureuse de faire de la politique", dit-il.

    Gilles Le Gendre, lui, a réagi auprès du Point: " C’est complètement imaginaire ", affirme le patron des députés LREM à l’Assemblée nationale. Et d’ajouter: "C’est une invention, avec deux citations, vous faites un papier. Je ne connais pas ces 40 députés dont il est question“.

  • Cette info peut vous rendre service…

    ou bien, elle va vous remonter le moral si vous pensez être nul-le en français…

    Vaucluse : une classe de CE1 travaille sur un tract de propagande immigrationniste, truffé de fautes d’orthographe.

    On embauche des instit's qui ont réussi l'examen avec 3,5 de moyenne sur 20. Allez-y, tentez votre chance! c'est formid' d'être fonctionnaire, croyez-moi…..

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    Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, toutes les fautes ne sont pas marquées en rouge!

     

     

  • Macrouille, le pourri

    Derrière l’affaire Benalla, une officine de riposte numérique clandestine pilotée depuis l’Elysée

    Ismaël Emelien, conseiller d’Emmanuel Macron, a avoué devant la police avoir transmis des images censées disculper Alexandre Benalla à un certain Pierre Le Texier, salarié de LREM, lequel les a diffusées… sous pseudo. Une initiative qui interroge lourdement sur les pratiques en ligne du parti macroniste.

     

    La version officielle se craquèle de plus en plus. Voilà près de deux ans que La République en marche (LREM) dément, notamment auprès de Marianne, participer à des opérations de riposte clandestine sur les réseaux sociaux. Ce vendredi 8 mars, cette ligne de communication paraît moins crédible, puisque Le Monde révèle qu’Ismaël Emelien, conseiller spécial du président Macron qui vient d’annoncer son prochain départ, a admis avoir fait transiter une vidéo supposément clé de l’affaire Benalla sur les réseaux sociaux, via… Pierre Le Texier, salarié de LREM, agissant sous pseudo. Une officine d’influence parallèle au canal de communication officiel, en somme. Gênant, pour un parti qui a érigé en valeur cardinale la lutte contre les manipulations de l’information.

    Interrogé par un commissaire de l’IGPN sur la diffusion, le 19 juillet, d’images probablement issues de la vidéosurveillance de la préfecture de police de Paris, Ismaël Emelien a reconnu en être à l’origine, rapportent nos confrères. Il a expliqué s’être vu remettre par Alexandre Benalla – dès le 2 mai, dit-il -, des images de la place de la Contrescarpe en date du 1er mai, montrant les manifestants qui ont par la suite été molestés par le garde du corps du président en train de lancer une chaise sur les forces de l’ordre. Ce fameux 19 juillet, Emelien reconnaît avoir transmis ces images – obtenues illégalement, semble-t-il – à ce Pierre Le Texier, chargé du pôle e-influence de La République en marche.

        Emmanuel Macron : «Je ne veux plus de l'anonymat sur les plateformes internet» pic.twitter.com/m1qHaQrARO

        — CNEWS (@CNEWS) February 7, 2019

    www.marianne.net

     

  • Macrouille menteur

    Les Renseignements contredisent l’affirmation de Macron

    Emmanuel Macron évoquait fin janvier que le mouvement des Gilets Jaunes était gangrené par 40 à 50 000 ultras (gauche/droite). Les services de renseignements ont contredit cela, ils seraient quasi-inexistants dans les cortèges chaque samedi. Selon les Renseignement, l’État a joué la carte de l’ultra droite/gauche pour camoufler le profond malaise en France et ainsi étouffer le mouvement.

    Mediapart

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