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société - Page 72

  • Attention les retraités!

    Comment l’État s’apprête à faire les poches des retraités

    Il semble que l’État s’apprête, notamment sur les conseils du Comité de Suivi des Retraites, à faire une nouvelle fois la poche des retraités, et ce pour deux raisons mensongères.

    Par Thierry Benne.

    Un article de l’Iref-Europe

    Tel la cigale de la fable, une fois de plus fort pris au dépourvu après avoir dépensé sans compter pour faire face à la pandémie, il semble que l’État s’apprête, notamment sur les conseils du Comité de Suivi des Retraites, à faire une nouvelle fois la poche des retraités.

    Deux raisons sont avancées :

        leurs pensions de retraite font partie des rémunérations qui n’ont pas été affectées par les diverses mesures de restriction ou de fermetures prises au titre de l’épidémie et pour rétablir l’équité il faut donc exiger des retraités une sorte de contribution de solidarité sous une forme ou sous une autre ;

        leur niveau de vie dépasse encore légèrement aujourd’hui le niveau de vie moyen de l’ensemble des ménages.

    En réalité, et comme nous allons le démontrer, ces deux raisons sont toutes aussi mensongères l’une que l’autre.

    Le maintien du montant des pensions de retraite

    Le chœur des censeurs, qui ne brille pas davantage par sa clairvoyance que par son sens de la justice sociale, dénonce l’injustice insoutenable qui fait, qu’à l’écart de la pandémie, les pensions des retraités ont continué à être versées dans leur intégralité, alors que d’autres catégories sociales, telles les chômeurs partiellement indemnisés ou les indépendants contraints de cesser leur activité, ont vu chuter leurs rémunérations en dépit des indemnisations mises en place.

    Ils estiment donc que les retraités ainsi privilégiés doivent en retour à la solidarité nationale un sacrifice particulier sur leurs pensions.

    Assurément, c’est aller un peu vite en besogne.

    En termes de vies humaines, les retraités sont ceux qui ont payé le plus lourd tribut à la pandémie, aggravé encore par le comportement erratique des pouvoirs publics qui ont confiné nombre d’EHPAD, en les interdisant pratiquement de soins et dans des conditions qui s’apparentent davantage à une forme larvée d’euthanasie qu’à une approche curative.

    En dehors des indépendants de nombreuses catégories sociales, la plupart des employés des services publics n’ont rien perdu à l’occasion de la pandémie, tout simplement parce que leurs salaires et avantages ont été intégralement maintenus, même pendant les périodes de confinement les plus strictes.

    On observe même que certains actifs ont fait mieux que tirer leur épingle du jeu, soit que le télétravail mis en place ait considérablement réduit leurs frais d’emploi et de garde, soit que le maintien intégral de leur rémunération antérieure se soit accompagné de substantielles réductions de service, voire parfois de quasi- suppressions de service; notamment poste, justice, enseignement, guichets de Sécurité sociale et comme de juste, RATP et SNCF.

    Pourtant, entre un retraité ayant perçu l’intégralité de sa pension après avoir dûment acquitté ses cotisations et un salarié dont tout le salaire a été maintenu pendant les périodes de confinement sans plus accomplir son service, quel a été le mieux traité?

    Il n’existe donc aucune raison que les retraités les plus durement touchés par la pandémie soient les seuls à acquitter sous une forme ou sous une autre une sorte de nouvelle contribution de solidarité nationale, alors que de nombreuses catégories sociales davantage épargnées et mieux soignées et d’autres plus chanceuses encore ont réussi jusqu’ici à traverser la crise sans dommage pécuniaire ou sanitaire apparent et même parfois avec profit.

    Et si vraiment nos censeurs tiennent à leur contribution, qu’ils la proposent donc en priorité à tous les corps de la fonction publique dont le salaire a été intégralement maintenu sans que le service le soit également ! Mais ce n’est sans doute pas un hasard si la plupart des bonnes âmes qui veulent taxer les retraités appartiennent précisément à la fonction publique.

    La référence fallacieuse au niveau de vie des retraités

    Dans les milieux gouvernementaux, comme dans certaines publications statistiques ou encore dans la haute fonction publique il est de bon ton de substituer la référence du niveau de vie à celle du montant des pensions pour piloter l’indexation de ces dernières, en en profitant pour réduire au pain sec les retraités qui assistent impuissant au gel répété de leurs pensions ou à l’augmentation non compensée de leur CSG.

    Cela permet de faire des retraités des privilégiés puisqu’en 2018, leur niveau de vie mensuel par unité de consommation s’établit à 2100 euros contre 2041 euros pour la moyenne de l’ensemble de la population. Or dans tous les cas, ce calcul est intellectuellement malhonnête et moralement inadmissible.

    En effet le niveau de vie ajoute au montant des pensions de retraite d’éventuelles rémunérations accessoires, divers transferts et surtout le montant des revenus du patrimoine des retraités.

    Or, le patrimoine, qui s’acquiert par accumulation, croît normalement avec l’âge de son détenteur et toutes conditions égales par ailleurs un septuagénaire ayant gravi tous les échelons de sa carrière, dégagé au surplus des charges de famille et d’emprunts dispose inévitablement d’un patrimoine plus important qu’une jeune quadragénaire au milieu de sa carrière et supportant à la fois des charges de famille et d’emprunt.

    On ne peut donc statistiquement comparer les revenus du patrimoine d’un retraité avec ceux nécessairement très inférieurs de la moyenne des Français développant une moyenne d’âge inférieure de moitié ou presque à celle des retraités. Les premiers sont inévitablement plus importants que les seconds. Et ce sont essentiellement les écarts enregistrés sur ces revenus du patrimoine qui permettent aux retraités, malgré des pensions inévitablement inférieures aux salaires, d’obtenir in fine un niveau de vie légèrement supérieur à celui de l’ensemble de la population, en sachant toutefois que cette situation n’est que provisoire, car les salaires augmentent plus vite que les pensions.

    Inversement, et cette évidence semble curieusement échapper au Comité de Suivi des Retraites, tous les retraités n’ont pas nécessairement un patrimoine important et on ne peut pas régler de manière uniforme, aveugle et a minima la revalorisation uniforme des pensions de tous les retraités en se référant aux revenus moyens d’un patrimoine moyen, dont beaucoup de retraités ne disposent pas.

    Enfin, si malgré tout on tient à ce que l’indexation des retraites puisse être plafonnée en fonction du niveau de vie moyen des retraités, il n’y a aucune raison qu’une telle restriction ne pèse pas également sur les revenus de toutes les autres catégories sociales, dont la hausse des rémunérations devrait être aussi individuellement pilotée en fonction de l’importance de leur niveau de vie.

    On voit la suite… et certains des plus hauts corps de la fonction publique non dépourvus en patrimoine risqueraient fort de devoir prendre à leur compte l’inflation et plus si nécessaire. À défaut, les principes constitutionnels d’égalité entre les citoyens et d’égalité devant la contribution aux charges de la Nation seraient donc une nouvelle fois bafoués, à moins que le Conseil constitutionnel ne se décide enfin à appliquer le texte même de la Constitution au lieu de l’interpréter et de l’infléchir au gré de ses humeurs!

    Conclusion

    Il est donc clair que, quelque soit le bout par lequel on aborde la question, elle ne reçoit jamais une réponse logiquement satisfaisante, juridiquement fondée, ni économiquement juste.

    Contrairement à ce que l’on tente de nous expliquer, l’institution d’une nouvelle mesure attentatoire au pouvoir d’achat des retraités ne correspond à aucun souci de solidarité, mais à une nouvelle manifestation de cette hargne anti-générationnelle que l’on voit poindre et s’épanouir librement contre les retraités considérés par certains comme autant de bouches inutiles à nourrir, par d’autres comme des parasites pour les générations plus jeunes, les derniers y voyant des nantis insouciants passant le plus clair de leur temps dans de luxueuses croisières vers des pays lointains.

     

     

     

    Quand en plus on s’aperçoit qu’en violation de toutes les déclarations internationales protectrices des droits de l’Homme, ces retraités sont abusivement exclus de toutes les institutions consultatives et de la plupart des caisses de retraite du pays, quand on sait qu’ils ne manifestent guère qu’exceptionnellement et alors toujours ou presque pacifiquement, on dispose de tous les éléments de réponse à la revendication de nos censeurs.

    On sait maintenant qu’elle ne doit rien à l’intérêt général, mais bien plutôt à une volonté prédatrice et malsaine d’imposer une nouvelle mortification aux aînés, sans même s’apercevoir que ce sont leurs propres parents que nos justiciers s’apprêtent à appauvrir une nouvelle fois.

    Et puis, il n’est pas besoin d’être un politologue avisé pour craindre qu’en 2022 lors des prochaines échéances électorales nationales, les plus de 17 millions de retraités ainsi matraqués ne manifestent plus tout à fait la même fidélité à un pouvoir qui, durant cinq ans, n’aura cessé de se moquer d’eux, de les mépriser et de les châtier. Tous ceux qui leur doivent leur élection feraient bien d’y penser dès maintenant.

  • Où est passé la camisole de force?

    La rappeuse Azealia Banks déterre son chat mort et cuit le cadavre lors d’un rituel de sorcellerie

    […]

    Sur Instagram, la star (sic) s’est ainsi filmée en train de déterrer le cadavre de son chat Lucifer, mort il y a quelques mois. Les internautes ont pu ainsi apercevoir la dépouille de l’animal. "Le chat est dans le sac!", peut-on l’entendre dire, en riant en arrière-plan.

    Azealia Banks a ensuite fait bouillir le cadavre dans une imposante casserole, contenant également une étrange substance. En procédant à ce "rituel", le but était de ramener son chat à la vie.

    […]

    Les images insoutenables ont évidemment suscité la polémique sur les réseaux sociaux, ses fans évoquant leur écœurement, et même leurs inquiétudes sur l’état mental de la rappeuse.

    Depuis, les vidéos ont été supprimées. Il ne reste qu’une photo, postée en story, sur laquelle on peut apercevoir le crâne d’un animal – vraisemblablement le chat – entouré de multiples objets, du champagne, du parfum, un crucifix…etc…

    En 2016, Azealia Banks avait déjà indigné les internautes en révélant – sur Instagram déjà – qu’elle avait pratiqué pendant plusieurs années des sacrifices de poulets.

     

  • Un scandale français!

    C’est un combat surréaliste, digne de David contre Goliath, que livre actuellement une petite entreprise du Sud de la France contre la Ministre de l’Ecologie (et de la transition vu le nombre de ministres qui se sont succédés ces dernières années).

    Son crime ?

    Ne pas entrer dans cadre d’une procédure de reconnaissance que l’Etat cherche à lui imposer… alors qu’elle ne la concerne pas.

    Après une première victoire devant le tribunal administratif, la société Vento-Sol et son dispositif ECOBANG (technologie performante et économique pour traiter les effluents aqueux) viennent d’obtenir une nouvelle victoire devant la Cour d’Appel de Bordeaux.

    Pour protéger les grands groupes qui traitent les eaux usées et les effluents, Barbara Pompili et ses sbires ont abusivement utilisé les règlements et la justice pour interdire la commercialisation d’un dispositif simple et peu coûteux, inventé par une entreprise bien française.

    Le système révolutionnaire Ecobang menacerait, depuis 2008, la sûreté de l’Etat, et surtout, vu son faible coût, la pérennité des commissions versées à certains ministres et hauts fonctionnaires par les grands groupes de traitement des eaux et des eaux usées. Corruption, quand tu nous tiens!

    Le système Ecobang pour caissette de 900 litres. Avec ça, pas besoin de construire une mini station d’épuration!

    A l’origine, le système ECOBANG a été imaginé pour apporter une solution efficace aux problèmes de gestion des faibles volumes d’effluents aqueux. Nicolas Vento, qui travaillait déjà dans ce domaine, avait en effet identifié un besoin spécifique. Il a donc développé un dispositif “nouvelle génération” à partir d’un cahier des charges exigeant.

    Chronologie d’une saga judiciaire: quand l’administration paralyse le développement d’une innovation française

        2008-2010

    Conception d’ECOBANG par Vento-Sol. Nicola Vento crée un premier prototype, qui donne immédiatement de très bons résultats. Il réalise ainsi une quinzaine de prototypes entre 2008 et mars 2010 pour finaliser le produit final.

        Juillet 2010

    Le démarrage de l’activité est officiellement lancé… mais est immédiatement stoppé par des blocages administratifs: le Ministère de l’Ecologie impose une reconnaissance à ECOBANG.

        Juin 2013

    Après 3 années d’efforts, le Ministère reconnait finalement la première version d’ECOBANG… mais avec de telles restrictions que le dispositif est invendable. En septembre, Nicola Vento conteste cette reconnaissance.

        2014

    Après plusieurs échanges avec l’administration, Nicolas comprend en février 2014 d’où viennent les blocages et pourquoi il est si difficile de faire reconnaître ECOBANG: le dispositif ECOBANG n’entrait pas dans le cadre de la procédure de reconnaissance.

    Il écrit immédiatement au Ministère pour lui demander pourquoi il impose cette obligation alors que son dispositif n’est pas concerné. A partir de ce courrier, le Ministère cesse toute communication avec Vento-Sol.

        Juin 2015

    Après avoir épuisé tous les recours amiables, Nicola saisit le Tribunal Administratif.

        15 Mai 2018

    Le Tribunal Administratif de Toulouse donne raison à la société Vento-Sol. Le Ministère fait alors appel de cette décision.

        10 novembre 2020

    La Cour d’Appel de Bordeaux a confirmé la décision du Tribunal Administratif.

    Cette fois, la condamnation pour faute du Ministère de l’Ecologie a été confirmée.

    “La justice a considéré que notre dispositif ECOBANG aurait pu prendre 20 à 30% du marché agricole si le Ministère de l’Ecologie ne nous avait pas mis, à tort, autant de bâtons dans les roues ! Ce sont ainsi des milliers d’appareils qui auraient pu être commercialisés… nous permettant de devenir leaders sur notre marché” affirme Nicolas Vento, fondateur Vento-Sol en nous lisant les principaux attendus de la décision de justice condamnant Barbara Pompili.

    Si on écoutait la grosse Barbara Pompili, les employés communaux déneigeraient les routes à bicyclette!

    Et maintenant… un nouveau combat devant le Conseil d’Etat

    Malgré cette belle victoire obtenue devant la Cour d’Appel, Vento-Sol n’est pas pour autant libre de développer la commercialisation d’ECOBANG comme elle le souhaiterait!

    “En effet, le Ministère de l’Ecologie se sachant en faute, il a fait évoluer sa réglementation le 27 décembre 2019, pour éviter d’avoir à modifier sa liste officielle devenue non conforme, explique Nicolas Vento.

    “Or les changements apportés posent de sérieux problèmes juridiques et rendent ce texte non applicable selon Vento-Sol.

    “Ainsi, en août 2020, après avoir épuisé tous les recours amiables, la société Vento-Sol a saisi le Conseil d’Etat pour faire annuler les modifications du texte de loi.”

    En essayant de paralyser et de tuer une entreprise française, tous les ministres et hauts fonctionnaires qui se succèdent au ministère de l’écologie se comportent en “nuisibles”.

    – Nuisibles pour les entreprises qui innovent pour protéger la nature, comme l’entreprise Vento-Sol et Nicolas Vento, avec le dispositif révolutionnaire Ecobang.

    – Nuisibles pour 80 000 apiculteurs français, en réintroduisant les néonicotinoïdes tueurs d’abeilles, interdits par la France et l’Europe en 2015 ; en interdisant des produits pas chers pour traiter les ruches contre le varroa destructor ; en ayant refusé de lancer, depuis 10 ans, une campagne de destruction du frelon asiatique, qui détruit désormais des milliers de ruches et des milliards d’insectes pollinisateurs sur le territoire français.

    – Nuisibles pour des tas d’entreprises innovantes, en bloquant des procédés simples pour protéger l’environnement ou recycler les déchets.

    Bravo à l’entreprise Vento-sol pour son invention et pour son combat judiciaire.

    Francis GRUZELLE

    Carte de Presse 55411

    Source:

  • Joe le bidet est une éponge!

    Avec un fou pareil, on est dans la m…

    Biden sur la sortie de la crise sanitaire : “Notre priorité (pour accorder des aides financières) ira vers les entreprises détenues par des Noirs, Latinos, Asiatiques, Indiens ou par des femmes”

     

        "Our priority will be Black, Latino, Asian, and Native American owned small businesses, women-owned businesses, and finally having equal access to resources needed to reopen and rebuild." — President-elect Biden pic.twitter.com/pIyDuhf5pH

     

        — Biden-Harris Presidential Transition (@Transition46) January 10, 2021

  • Le professeur Perronne

    à faire circuler et à utiliser pour convaincre et sur les réseaux sociaux et vos proches de dire non au vaccin.

    On peut bien le taxer de complotisme, il fait ici son travail de médecin fidèle au serment d’Hippocrate, bien qu’il ait déjà payé plus que le prix fort pour avoir dit la vérité sur les manigances et mensonges du gouvernement.

    Ce texte est très important. Il dit tout de l’imposture (…) qui nous gouvernent.

    Message du Pr PERRONNE sur les vaccins!

    Publié le 02.01.2021 par Christian PERRONNE

     

    Chers amis,

    La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.

    Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie. En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de "complotiste" ou mieux de "rassuriste", termes désignant ceux qui critiquent ou “challengent” la pensée unique.

    Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie. Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’État.

    Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première. Le ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le président du Conseil scientifique de l’Élysée, le Pr Jean-François Delfraissy, le directeur général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.

    Même le président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le re-confinement, nous a prédit non moins de 400 000 morts, renchérissant sur les 200 000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur. Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-COV-2. L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.

    Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée. Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement. Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place. La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.

    Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave, de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes. Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocement. Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or, on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter. Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.

     

    Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices. Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour. Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en Bourse. Le pire est que les premiers "vaccins" qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique.

    On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains "vaccinés" fabriquaient trop d’éléments viraux, entraînant des réactions incontrôlables dans notre corps?

    Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits "endogènes" intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus "domestiqués" qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées "vaccins" sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde pour des cobayes.

    Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques, des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie.

    C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.

    Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale. Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe. La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

    Christian PERRONNE

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