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Meilleure année que la précédente!
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Après le vaccin, elle tombe dans les pommes
Vaccin Pfizer: Tiffany tombe dans les pommes, “Le Monde” minimise…
par Henri Dubost
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Cette vidéo montrant une infirmière américaine s’écrouler après avoir reçu sa dose de vaccin anticovid Pfizer est devenue virale (sans mauvais jeu de mots):
https://lesmoutonsrebelles.com/vaccin-pfizer-une-infirmiere-americaine-sevanouit-apres-avoir-recu-une-injection-contre-le-covid/le quotidien Le Monde vous explique que TOUT, absolument TOUT, est normal, et que si ce spectaculaire malaise vous interpelle quelque part, c’est que vous êtes complotiste.
- D’abord, nous rassure le quotidien vespéral, Tiffany Dover – l’infirmière – n’a fait qu’un banal "malaise vagal" dont elle s’est rétablie "rapidement"
Ben oui: un malaise vagal, c’est somme toute banal dans un hôpital (vous apprécierez les rimes en "al"), avec un essaim d’infirmières et de médecins qui se précipitent pour vous porter secours.
Evidemment, si l’infortunée donzelle avait vu trente-six chandelles en rentrant chez elle (vous apprécierez les rimes en "elle") au volant de sa voiture, la situation aurait été un peu moins cosy à gérer pour la jeune femme. Sans doute, mais pourquoi aller imaginer des situations aussi tordues alors que TOUT s’est bien passé, nous dit Le Monde" Les complotistes sont vraiment des gens pénibles…
- "Aux journalistes, [Tiffany Dover] a expliqué qu’elle souffrait d’une maladie provoquant des malaises à la moindre douleur ressentie " expliquent benoîtement les déco(nn)deurs du Monde, qui précisent que "ce n’était pas une surprise pour elle que cela se soit produit".
Pas une surprise: "Donc ce stupéfiant évanouissement, au vu et au su des quatre coins de la planète, était plus que vraisemblable"
Et nos journaleux vespéraux de nous expliquer gravement que: "Cet élément important ne figure pas dans la séquence qui circule en ligne, ni dans certains articles rapportant l’information".
On imagine le médecin-commercial de chez Pfizer annoncer devant les caméras: " Alors voilà, mesdames-messieurs. On vous présente Tiffany Dover, une jeune femme qui souffre d’une maladie qui la fait tomber dans les pommes à la moindre douleur. Mais on va quand même la piquouzer en direct. D’acc, Tiff" Allez ! C’est parti… Attention, on pique, ça va faire mal ".
Au fait, chers déco(nn)deurs, qu’est-ce donc que cette maladie "provoquant des malaises à la moindre douleur ressentie"" Vous ne vous êtes pas renseignés" Et vous ne vous êtes pas demandé non plus pourquoi le staff Pfizer s’est hasardé à piquouzer en public quelqu’un qui en souffre, au risque d’un fiasco planétaire" Débunkeurs, mais pas trop…
3. Et Le Monde de poursuivre dans la même veine: " Présent sur place, Jesse Tucker, directeur du service des soins intensifs à l’hôpital de Chattanooga, précise qu’il n’y a aucune raison de soupçonner que cela serait dû au vaccin ". Aucune raison de soupçonner le contraire non plus, remarquez bien, chers déco(nn)deurs.Et merci à vous de nous apprendre incidemment que Tiffany, " qui s’est rétablie rapidement ", était quand même surveillée du coin de l’œil par le directeur des soins intensifs de l’hôpital. Difficile de croire qu’il était là tout à fait par hasard, non"
- La suite de l’article est du même tonneau: " Les données complètes publiées par Pfizer et Moderna, jugées rassurantes par les experts ont montré que les vaccins peuvent provoquer des effets indésirables fréquents (fatigue, courbatures, maux de tête) mais ils restent dans l’ensemble bénins ".
On remarquera ce " LES experts ", alors qu’il y a quand même un certain nombre d’experts de par le monde qui se montrent assez dubitatifs sur l’innocuité du vaccin Pfizer:
https://www.lci.fr/sante/les-effets-indesirables-du-vaccin-pfizer-sont-ils-vraiment-inhabituels-comme-le-dit-eric-caumes-2172522.htmlSans parler de l’efficacité des vaccins anticovid en général:
https://www.ladepeche.fr/2020/12/07/cest-surtout-de-la-publicite-affirme-le-professeur-didier-raoult-sur-le-vaccin-contre-le-covid-19-9243076.phpLe Monde se garde bien de rappeler que l’on n’a aucune visibilité sur les effets à long terme du vaccin. Et pour cause: alors qu’il faut en moyenne 12 ans pour tester un vaccin:
https://www.lecrips-idf.net/professionnels/dossiers-thematiques/dossier-VIH-vaccin/VIH-vaccin-essai.htmla commercialisation du vaccin-miracle Pfizer s’est faite tambour battant, en sautant quasiment toutes les étapes. Au point que les médecins vont devoir l’administrer " en aveugle ": ne pouvant s’appuyer sur des études scientifiques fiables, ils devront faire confiance aux dépliants publicitaires de la firme pharmaceutique.
En cas d’accidents post-vaccinaux fâcheux, c’est le flou artistique le plus complet sur le chapitre des responsabilités:
https://www.leparisien.fr/societe/vaccins-une-clause-de-non-responsabilite-pour-les-labos-cinq-minutes-pour-comprendre-la-polemique-10-12-2020-8413532.phpLes laboratoires pourront toujours arguer du fait que les gouvernements leur ont " mis la pression " pour qu’ils commercialisent au plus tôt leur potion-miracle, et qu’ils ne sauraient donc être tenus pour responsables des effets secondaires qu’ils n’ont pas eu le temps de déceler.
Ainsi dédouanés de toute responsabilité, ce ne sont donc pas les laboratoires qui dédommageront les patients atteints de pathologies directement dues aux vaccins, mais les Etats, donc les contribuables, donc les patients eux-mêmes. “Socialisation des risques, privatisation des bénéfices”…
- Et Le Monde de poursuivre: " Un vaccin avec de multiples effets secondaires graves observés en phases cliniques n’aurait jamais été mis en circulation ". Dans ces conditions, on aurait aimé que nos déco(nn)deurs nous expliquent pourquoi l’hexachloroquine (hydroxychloroquine)– dont certains " experts " viennent de découvrir les " effets secondaires graves ", n’est-ce pas" – était non seulement prescrit depuis plus de 70 ans dans le monde entier, mais en vente libre dans quasiment tous les pays. Débunkers, mais pas trop…
- " En France, reconnaît Le Monde, un dispositif de surveillance renforcé sera mis en place par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM) pour surveiller et informer des effets indésirables survenus après les injections de vaccin contre le (sic) Covid-19. Il sera prêt dès le début de la campagne de vaccination qui commencera fin décembre dans l’Hexagone ". En résumé: s’il y a de gros pépins post-vaccinaux, comme pour les médicaments Médiator, Distilbène, Vioxx:
https://www.lelynx.fr/mutuelle-sante/soins/medicaux/medicament/top-5-plus-grands-scandales-pharmaceutiques-medicaments/
pas grave ! L’Etat veille, qui compilera gentiment les plaintes des handicapés à vie ainsi que celles des veuves et des mères éplorées.
* * *
En tout cas, il y a un détail que vous ne trouverez pas dans l’article du Monde: en 2019, le média détenu très majoritairement par les oligarques Pigasse, Niels et Kretinski, a reçu 2,1 millions de dollars de la Fondation Bill Gates:
https://www.mediapart.fr/journal/international/081019/la-fondation-gates-donne-19-million-d-euros-au-monde?onglet=fullBill Gates qui s’est – mais c’est un hasard – engagé à fond dans la promotion des vaccins Pfizer et Moderna, et qui dès 2015 prédisait – mais c’est un autre hasard – l’arrivée d’une pandémie mondiale de type coronavirus:
https://usbeketrica.com/fr/article/quand-bill-gates-predisait-l-apparition-d-une-pandemie
Concluons par ce dicton à l’adresse de nos chers déco(nn)deurs du Monde: "Dis-moi quelle est la main qui te nourrit, je te dirai ce que valent tes discours"
Henri Dubost -
Souriez, vous êtes fichés!
ournal officiel samedi 26 décembre 2020
Décret n° 2020-1690 du 25 décembre 2020 autorisant la création d'un traitement de données à caractère personnel relatif aux vaccinations contre la covid-19
NOR: SSAP2033349D
ELI: https://www.legifrance.gouv.fr/eli/decret/2020/12/25/SSAP2033349D/jo/texte
Alias: https://www.legifrance.gouv.fr/eli/decret/2020/12/25/2020-1690/jo/texte
JORF n°0312 du 26 décembre 2020
Texte n° 82
Version initiale
Publics concernés: personnes éligibles à la vaccination contre la covid-19 ; professionnels du secteur sanitaire intervenant dans la vaccination.
Objet: création d'un traitement de données à caractère personnel ayant pour finalité la mise en œuvre, le suivi et le pilotage des campagnes vaccinales contre la covid-19.
Entrée en vigueur: le texte entre en vigueur immédiatement.
Notice: le décret autorise le ministère des solidarités et de la santé et la Caisse nationale d'assurance maladie à mettre en œuvre le traitement dénommé " SI Vaccin Covid". Conformément aux dispositions de l'article 35 de la loi du 6 janvier 1978 modifiée, il définit les finalités du traitement, les catégories de données à caractère personnel enregistrées dans le traitement, les destinataires de ces données, les droits reconnus aux personnes concernées au titre du règlement 2016/679 du 27 avril 2016 (RGPD) ainsi que leurs modalités d'exercice.
Références: le décret peut être consulté sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre des solidarités et de la santé,
Vu le règlement (UE) 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016 relatif à la protection des personnes physiques à l'égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données, et abrogeant la directive 95/46/CE ;
Vu le code civil, notamment son article 1er ;
Vu le code de la défense, notamment son article L. 4123-9-1 ;
Vu le code de la santé publique, notamment ses articles L. 3111-1 et L. 3131-15 ;
Vu le code de la sécurité sociale, notamment son article L. 162-5-3 ;
Vu la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 modifiée relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés, notamment ses articles 6, 31 et 35 ;
Vu l'avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés en date du 10 décembre 2020 ;
Vu l'avis du conseil de la Caisse nationale de l'assurance maladie en date du 14 décembre 2020 ;
Vu l'avis du conseil central d'administration de la Mutualité sociale agricole en date du 15 décembre 2020 ;
Le Conseil d'Etat (section sociale) entendu,
Vu l'urgence,
Décrète:
Article 1
- - Est autorisée la création d'un traitement automatisé de données à caractère personnel dans le cadre de la campagne de vaccination contre la covid-19, dénommé " Vaccin Covid".
La direction générale de la santé et la Caisse nationale de l'assurance maladie sont conjointement responsables de ce traitement, qui est mis en œuvre conformément aux dispositions du e du 1. de l'article 6 du règlement (UE) du 27 avril 2016 susvisé et pour les motifs d'intérêt public mentionnés au i du 2. de l'article 9 du même règlement.
- - Le traitement mentionné au I a pour finalités:
1° L'identification des personnes éligibles à la vaccination au regard des recommandations énoncées par le ministre chargé de la santé en application des dispositions de l'article L. 3111-1 du code de la santé publique, l'envoi de bons de vaccination à ces personnes, l'enregistrement des informations relatives à la consultation préalable à la vaccination et l'organisation de la vaccination de ces personnes ;
2° Le suivi de l'approvisionnement des lieux de vaccinations en vaccins et consommables ;
3° L'envoi à la personne vaccinée d'un récapitulatif des informations relatives à la vaccination, établi par le professionnel de santé réalisant la vaccination ou par le personnel placé sous sa responsabilité ;
4° La mise à disposition de données permettant la présentation de l'offre de vaccination, la surveillance de la couverture vaccinale, la mesure de l'efficacité et de la sécurité vaccinales, la pharmacovigilance, le suivi statistique de la campagne de vaccination, l'appui à l'évaluation de la politique publique de vaccination et la réalisation d'études et de recherches ;
5° La délivrance, en cas d'apparition d'un risque nouveau, de l'information prévue à l'article L. 1111-2 du code de la santé publique, aux personnes vaccinées et, le cas échéant, leur orientation vers un parcours de soins adaptés ;
6° La prise en charge financière des actes liés à la vaccination.
Article 2
- - Les catégories de données à caractère personnel et informations enregistrées dans le traitement autorisé par l'article 1er sont:
1° Les données d'identification de la personne invitée à se faire vacciner ou vaccinée: nom, prénoms, sexe, date de naissance, lieu de naissance, numéro d'inscription au répertoire national d'identification des personnes physiques ou, le cas échéant, code d'admission au bénéfice de l'aide médicale d'Etat sous la mention immatriculation ;
2° Le code du régime d'affiliation et de l'organisme gestionnaire assurant la prise en charge des frais de santé de la personne mentionnée au 1° ;
3° Les coordonnées de la personne mentionnée au 1° et de son représentant légal éventuel: adresse postale, numéro de téléphone, adresse électronique ;
4° Les références du ou des bons de vaccination délivrés à la personne ;
5° Les données relatives à la réalisation de la vaccination: dates de la, ou des injections, informations permettant l'identification du vaccin injecté, précisions sur l'administration du vaccin, identification du ou des lieux de vaccination, identification des professionnels de santé ayant réalisé respectivement la consultation préalable à la vaccination et chaque injection ;
6° Les données relatives à la santé de la personne mentionnée au 1°:
- a) Critères médicaux d'éligibilité à la vaccination et traitements suivis ;
- b) Informations relatives à la recherche et à l'identification de contre-indications à la vaccination;
- c) Effets indésirables éventuels associés à la vaccination ;
7° Les informations sur les critères d'éligibilité non médicaux à la vaccination ;
8° Les données d'identification des professionnels de santé, et des personnes placées sous leur responsabilité, ayant réalisé la consultation préalable et la vaccination: données d'identification, coordonnées et numéro d'identification de l'établissement ou de la structure de rattachement, de l'établissement ou de la structure de vaccination.
- - Les professionnels de santé ou les personnes placées sous leur responsabilité qui concourent à la vaccination sont tenus d'enregistrer sans délai les données recueillies en application du I dans le traitement autorisé par l'article 1er.
Vacciné? vous serez fiché
Par application du premier alinéa du I de l'article L. 4123-9-1 du code de la défense, les données énumérées au I, à l'exclusion de celles mentionnées au 2° et au 8°, ne doivent pas révéler la qualité éventuelle de militaire de la personne mentionnée au 1° du même I.
Article 3
- - Sont destinataires des données enregistrées dans le traitement autorisé par l'article 1er, pour assurer les seules finalités mentionnées au II de cet article:
1° Les professionnels de santé, ainsi que les personnes placées sous leur responsabilité, réalisant la consultation préalable et la vaccination, pour les données énumérées au I de l'article 2, à l'exclusion de celles mentionnées au a du 6° de ce I ;
2° Le médecin traitant choisi par la personne vaccinée, conformément aux dispositions de l'article L. 162-5-3 du code de la sécurité sociale, pour les données mentionnées au 1° et, sous réserve du consentement de celle-ci, aux 5°, 6° et 8° du I de l'article 2 ;
3° Pour les ressortissants des organismes des régimes obligatoires d'assurance maladie, les agents, spécialement habilités par le directeur de ces organismes, pour les données énumérées au I de l'article 2, à l'exclusion de celles mentionnées au 6° de ce I ;
4° La direction du numérique des ministères chargés des affaires sociales, en tant que personne de confiance désignée par le directeur général de la santé, pour les données mentionnées au 1° et au 5° du I de l'article 2, aux seules fins de conserver celles-ci et d'en permettre l'accès aux professionnels de santé prenant en charge, en cas d'identification de risques nouveaux, l'information de la personne vaccinée dans les conditions prévues à l'article L. 1111-2 du code de la santé publique et son orientation vers un parcours de soin adapté ;
5° La Caisse nationale d'assurance maladie, pour les données mentionnées aux 1°, 4°, 5°, 6°, et 7° du I de l'article 2, transmises par les professionnels de santé en vue de leur versement dans le dossier médical partagé de la personne vaccinée, conformément aux dispositions de l'article L. 1111-15 du code de la santé publique ;
6° L'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé et les centres régionaux de pharmacovigilance, pour l'exercice de leur mission de pharmacovigilance, pour la partie des données mentionnées au 1° du I de l'article 2 comprenant les trois premières lettres du nom et du prénom, la date de naissance et le sexe de la personne concernée par la vaccination, ainsi que pour les données mentionnées aux 5°, 6° et 7° de ce I ;
7° Le service public d'information en santé prévu par l'article L. 1111-1-1 du code de la santé publique, pour les seules données mentionnées aux 5° et 8° du I de l'article 2 nécessaires à sa mission de diffusion gratuite auprès du public de l'offre de soins disponible.
- - Sont destinataires de données ayant fait l'objet de mesures adéquates de pseudonymisation permettant d'assurer la confidentialité de l'identité des personnes, notamment par la suppression de leur nom, prénoms, numéro d'inscription au répertoire national d'identification des personnes physiques, adresse et de leurs coordonnées de contact téléphonique ou électronique:
1° Les personnes habilitées par le directeur général de l'Agence nationale de santé publique, pour les données nécessaires au suivi de la couverture vaccinale et à la mesure de l'efficacité vaccinale ;
2° Les personnes habilitées par les directeurs généraux des agences régionales de santé, pour les données nécessaires à l'organisation de la campagne de vaccination à l'échelon régional et à son suivi ;
3° Les personnes habilitées par le directeur de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques du ministère chargé de la santé, pour les données nécessaires à sa mission d'analyse et de diffusion des informations statistiques dans le domaine de la santé ;
4° Le groupement d'intérêt public mentionné à l'article L. 1462-1 du code de la santé publique et la Caisse nationale de l'assurance maladie aux seules fins de faciliter l'utilisation des données de santé pour les besoins de la gestion de l'urgence sanitaire et de l'amélioration des connaissances sur le virus.
Article 4
Les personnes invitées à se faire vacciner reçoivent les informations prévues par les dispositions du f du 2. de l'article 14 du règlement (UE) du 27 avril 2016 susvisé en même temps que leur premier bon de vaccination.
Les personnes ayant consenti à la vaccination et les professionnels de santé concourant à la prise en charge vaccinale reçoivent individuellement, au moment de la consultation préalable à la vaccination, les informations prévues par les dispositions des a, c et e du 1. et des a et b du 2. de l'article 13 du même règlement.
Article 5
- - Les droits d'accès et de rectification, ainsi que le droit à la limitation, s'exercent auprès du directeur de l'organisme d'assurance maladie de rattachement de la personne concernée, dans les conditions prévues aux articles 15, 16 et 18 du règlement (UE) du 27 avril 2016 susvisé.
Compte tenu des motifs d'intérêt public mentionnés au c du 3 de l'article 17 du même règlement, le droit à l'effacement ne s'applique pas au traitement autorisé par l'article 1er du présent décret.
- - En application de l'article 23 du règlement (UE) du 27 avril 2016 susvisé, le droit d'opposition prévu à l'article 21 du même règlement ne s'applique au traitement autorisé par l'article 1er du présent décret qu'en ce qui concerne:
1° Le traitement des données enregistrées suite à l'identification des personnes éligibles à la vaccination par les organismes des régimes obligatoires d'assurance maladie, et uniquement jusqu'à l'enregistrement, par un professionnel de santé concourant à la prise en charge vaccinale, du consentement de la personne à la vaccination ;
2° La transmission, telle que prévue au 4° du II de l'article 3 du présent décret, des données au groupement d'intérêt public mentionné à l'article L. 1462-1 du code de la santé publique et à la Caisse nationale de l'assurance maladie. Le droit d'opposition s'exerce auprès du directeur de l'organisme d'assurance maladie de rattachement de la personne concernée.
Article 6
Le ministre des solidarités et de la santé est chargé de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française et entrera en vigueur immédiatement.
Fait le 25 décembre 2020.
Jean Castex
Par le Premier ministre:
Le ministre des solidarités et de la santé,
Olivier Véran
Selon le décret publié, ce fichier devra permettre aux personnes vaccinées de recevoir des informations après coup "en cas d’apparition d’un risque nouveau" par exemple ou alors en cas d’effets secondaires. Ce fichier regroupera ainsi des informations concernant le patient, que ce soit son identité, sa date de naissance et des " données relatives à la réalisation du vaccin " à savoir le modèle du vaccin utilisé, le nom de la personne qui l’aura injecté ou encore son lieu.
Vers un regroupement de deux fichiers
Pour éviter toute polémique quant à un éventuel "fichage", une partie des données sera accessible aux soignants, à des médecins traitants et à la Caisse nationale d’assurance maladie, mais les autres professionnels de santé n’auront qu’un accès restreint, grâce à des " mesures adéquates de pseudonymisation". Une confidentialité promise notamment concernant l’identité des personnes ainsi que leurs coordonnées. Selon Le Parisien, il est également précisé que toute personne pourra faire valoir son droit à l’effacement des données personnelles si "les conditions entrent dans l’un des cas listés par le règlement européen de protection des données de la CNIL".
Après le premier confinement, un fichier similaire avait vu le jour, cette fois-ci concernant les personnes testées. Dans " SI-Dep ", on retrouvait les informations et le résultat des tests de milliers de personnes. Toujours selon nos confrères du Parisien, le ministère envisagerait un recoupement des deux fichiers pour " permettre de vérifier l’efficacité vaccinale pour ceux qui se font tester après l’injection".
Un fichier qui ne servira en pratique à RIEN. Les vaccins à ARN-messager n'ont une durée de protection efficace que de 6 mois (un peu comme actuellement le vaccin anti-grippal), et en plus, la souche de l'épidémie change, comme elle est en train de le faire avec le variant se développant au Royaume-Uni...Encore un acte qui ne peut satisfaire que les obsessions administratives de nos dirigeants énarco-macronien, coûteux et inutile.
Le fichier intitulé “SI Vaccin Covid” permettra aux médecins d’avoir accès à de nombreuses informations, tout en gardant certaines mesures d’anonymat.
A l’aube de la campagne de vaccination contre le Covid-19 qui débute en Europe ce dimanche 27 décembre, un décret paru au prévoit la mise en place d’un fichier de données regroupant de nombreuses informations concernant les personnes qui seront vaccinées en France, rapporte franceinfo. Le but affiché est " la mise en œuvre, le suivi et le pilotage des campagnes vaccinales", peut-on apprendre.
Selon le décret publié, ce fichier devra permettre aux personnes vaccinées de recevoir des informations après coup " en cas d’apparition d’un risque nouveau " par exemple ou alors en cas d’effets secondaires. Ce fichier regroupera ainsi des informations concernant le patient, que ce soit son identité, sa date de naissance et des " données relatives à la réalisation du vaccin " à savoir le modèle du vaccin utilisé, le nom de la personne qui l’aura injecté ou encore son lieu.
Vers un regroupement de deux fichiers
Pour éviter toute polémique quant à un éventuel "fichage", une partie des données sera accessible aux soignants, à des médecins traitants et à la Caisse nationale d’assurance maladie, mais les autres professionnels de santé n’auront qu’un accès restreint, grâce à des "mesures adéquates de pseudonymisation". Une confidentialité promise notamment concernant l’identité des personnes ainsi que leurs coordonnées. Selon Le Parisien, il est également précisé que, toute personne pourra faire valoir son droit à l’effacement des données personnelles si "les conditions entrent dans l’un des cas listés par le règlement européen de protection des données de la CNIL".
Après le premier confinement, un fichier similaire avait vu le jour, cette fois-ci concernant les personnes testées. Dans "SI-Dep", on retrouvait les informations et le résultat des tests de milliers de personnes. Toujours selon nos confrères du Parisien, le ministère envisagerait un recoupement des deux fichiers pour "permettre de vérifier l’efficacité vaccinale pour ceux qui se font tester après l’injection".
Un fichier qui ne servira -en pratique- à RIEN. Les vaccins à ARN-messager n'ont une durée de protection efficace que de 6 mois (un peu comme actuellement le vaccin anti-grippal), et en plus, la souche de l'épidémie change, comme elle est en train de le faire avec le variant se développant au Royaume-Uni...Encore un acte qui ne peut satisfaire que les obsessions administratives de nos dirigeants énarco-macronien, coûteux et inutile.
Il contiendra des informations sur la personne vaccinée (nom, prénoms, date de naissance...) et des données relatives à la réalisation de la vaccination (modèle du vaccin, lieu de vaccination, soignant ayant réalisé le vaccin...).
Pseudonymisation dans certains cas
Ce fichier permettra "l'envoi à la personne vaccinée d'un récapitulatif des informations relatives à la vaccination, établi par le professionnel de santé réalisant la vaccination ou par le personnel placé sous sa responsabilité", selon le décret. Les informations permettront également de contacter les personnes vaccinées "en cas d'apparition d'un risque nouveau".
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Voulez-vous de la pétrochimie dans votre corps?
L’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) démarre une étude pour évaluer le risque des nanoparticules des vaccins de Pfizer et de Moderna, composées de polyéthylène glycol – PEG
Rappel 1 : les vaccins de Pfizer et de Moderna sont composés d’ARN synthétique.
Cet ARN a été dessiné sur ordinateur de manière à être génétiquement différent de l’ARN naturel, puis produit par synthèse chimique.
C’est donc un produit de synthèse génétiquement modifié.
Contexte : On entre ici dans le domaine de la biologie synthétique où les chercheurs travaillent par ex. à assembler des brins d’ADN synthétiques pour créer des bactéries synthétiques: des machines qui reproduisent la sélection naturelle et l’évolution. (lien)
En produisant de telles bactéries, les chercheurs ont créé des organismes synthétiques qui peuvent survivre hors du laboratoire, et donc entrer en compétition et échanger du matériel génétique avec les espèces sauvages.
L’un des business-plans de l’industrie chimique consiste à faire du profit en artificialisant le vivant. (lien)
Après la révolution de la chimie par la synthèse au 19e siècle, la révolution de la biologie par la synthèse au 21e siècle? (lien)
Ces bactéries frankenstein sont déjà utilisées – de manière totalement irresponsable d’un point de vue éthique et écologique – dans des essais cliniques sur des humains : Bientôt un médicament à base de bactéries synthétiques? (Top Santé)
Ces chercheurs héritiers du nazisme jouent à Frankenstein et menacent la vie.
La loi devrait encadrer cette industrie et ces matériaux génétiques de synthèse encore plus drastiquement que les OGM, et imposer des tests sur les risques sanitaires et écologiques sur plusieurs années.
Rappel 2 : Le vaccin de Pfizer a déclenché des réactions allergiques inquiétantes chez au moins 8 personnes vaccinés aux USA ces deux dernières semaines.
Rappel 3 : Pfizer a exclu de ses essais ceux qui avaient déjà eu une réaction indésirable grave à un vaccin. De plus, ceux ayant déjà eu des réactions allergiques à des aliments ou à des médicaments ont été sous-représentés. Pratique !
Rappel 4 : le PEG n’a jamais été utilisé auparavant dans un vaccin approuvé.
Le PEG est un composé chimique fabriqué à partir du pétrole. Il ne doit pas être confondu avec un autre dérivé : le Polyéthylène (PE) qui est l’une des formes de plastique les plus utilisées.
L’industrie pétrochimique utilise le PEG comme solvant ainsi que dans la fabrication de produits de consommation comme les encres pour imprimantes et les gélifiants dans les cosmétiques (shampoings, dentifrices…).
Le PEG est aussi un composant de certains médicaments (des laxatifs notamment) qui ont déclenché par le passé une anaphylaxie : une réaction potentiellement mortelle qui provoque éruptions cutanées, chute de la pression artérielle, essoufflement, accélération du rythme cardiaque.
Les vaccins de Pfizer et Moderna contiennent de l’ARN synthétique enveloppé dans des nanoparticules lipidiques (LNP) fabriquées en PEG. Elles aident à transporter l’ARN jusque dans les cellules humaines. Elles constituent aussi un adjuvant en augmentant la réponse immunitaire.
Un nombre croissant de produits biopharmaceutiques comprennent des composés en PEG. Or, si on a longtemps pensé que les PEG étaient biologiquement inertes, un nombre croissant de preuves suggère qu’ils ne le sont pas.
Selon une étude de 2016 dirigée par Samuel Lai, pharmaco-ingénieur à l’Université de Caroline du Nord, jusqu’à 72% des personnes ont déjà des anticorps contre les PEG, probablement en raison d’une exposition à des produits cosmétiques et pharmaceutiques.
Au moins 7% ont un niveau qui peut être suffisamment élevé pour les prédisposer aux réactions anaphylactiques, a-t-il constaté. Certaines entreprises ont ainsi abandonné les produits en PEG. Mais vu leur rentabilité pour l’industrie, BigPharma qualifie ces constats d’exagérés.
Il faut savoir que le procédé d’obtention des PEGs implique de l’oxyde d’éthylène et du 1,4-dioxane ; des substances non seulement très dangereuses mais également très polluantes. La production des PEG et donc des vaccins est donc un énorme désastre écologique.
En outre, des impuretés toxiques issues du procédé industriel peuvent laisser des traces dans les PEG, permettant ainsi leur absorption plus tard dans la peau. [Le risque est d’autant plus à prendre au sérieux dans le cas d’une injection intramusculaire de PEG.]
Pour ces raisons, les PEGs ne sont pas acceptés dans la cosmétique certifiée biologique en Europe qui utilise des ingrédients naturels afin de couvrir les multiples fonctions des PEGs, par exemple le polyglyceryl (acceptés dans les formules écocertifiées).
En résumé, nous baignons tellement dans un monde chimique que nos organismes produisent de + en + des anticorps contre les produits pétrochimiques utilisés dans l’agriculture, les cosmétiques, les pharmaceutiques… notamment contre les PEG.
Selon certains, une injection de PEG, un composé chimique normalement bien éliminé par les reins, peut aujourd’hui provoquer des réactions allergiques potentiellement mortelles chez les personnes qui développent le plus d’anticorps anti-PEG.
C’est l’une des théories du NIAID.
La société de pathologie infectieuse (SPILF) partage ce point de vue dans sa note du 24 décembre, sur les vaccins géniques, et destinée aux soignants.
Notons que cette note est partiale et ses rédacteurs totalement conquis par les biotechnologies de BigPharma.
Ils écrivent "les chercheurs travaillent sur l’ARN depuis 20 ans" oubliant que de nombreux chercheurs dénoncent son utilisation comme vaccin à grande échelle et sans filet.
Ils oublient aussi que "les chercheurs" qui travaillent sur l’ARNm depuis 10 ans sont décrits comme des "gourous autoritaires " en quête du " logiciel de vie " par ceux qui les ont côtoyés.
Ces chercheurs" sont également entourés de directeurs financiers issus de Goldman Sachs et sont invités aux Forum Economique Mondial de Davos avec les représentants des industries pétrochimiques, agrochimiques, pharmaceutiques etc…
Naturellement, la note n’évoque pas les risques liés aux vaccins pointés par les généticiens, notamment les risques de recombinaison virale et de génotoxicité :
Bref, pour en revenir au PEG, une autre théorie développée par l’immunologiste Janos Szebeni est que le mécanisme derrière l’allergie au PEG est inconnu car il n’implique pas d’immunoglobuline E (IgE), le type d’anticorps qui provoque des réactions allergiques classiques.
C’est pourquoi il préfère les appeler des réactions "anaphylactoïdes". Le PEG déclenche deux autres classes d’anticorps, l’immunoglobuline M (IgM) et l’immunoglobuline G (IgG), impliquées dans une branche de l’immunité innée du corps appelée le système du complément.
En 1999, Szebeni a découvert un nouveau type de réaction induite par les médicaments à base de nanoparticules en PEG qu’il a surnommé la pseudo-allergie liée à l’activation du complément (CARPA) : les PEG sont reconnus à tort par le système immunitaire comme des virus.
Selon Science, une équipe de l’Université de Duke a rencontré des problèmes similaires avec un anticoagulant expérimental contenant de l’ARNm enrobé de PEG. L’équipe a dû interrompre un essai de phase III en 2014 après des réactions allergiques sévères et un décès.
L’équipe a constaté que chaque participant souffrant de réaction allergique grave avait des niveaux élevés d’IgG anti-PEG. Mais certains sans réaction indésirable avaient aussi des niveaux élevés. Donc la cause n’est pas seulement la présence de ces anticorps, conclut l’équipe.
En résumé, on sait que les vaccins à ARN enrobés de PEG déclenchent des réactions de type allergique parfois graves et potentiellement mortelles, on pense que ça vient des PEG mais en réalité on ne connaît ni le pourquoi ni le comment.
Mais on va quand même l’injecter en masse.
Et comme on avait jamais utilisé ni l’ARNm ni le PEG dans des vaccins sur l’homme, on avance complètement à l’aveugle. On essaye en effet de comprendre en temps réel comment agit ce produit de synthèse génétiquement modifié enrobé de PEG sur toute la population. Mais qu’est-ce que c’est que ce délire?
Enfin, c’est très bien de surveiller les effets indésirables à court terme de ces vaccins à ARNm, mais il semble qu’aucune étude n’ait été lancée sur les risques de génotoxicité (cancers) à moyen et long terme.
Comme pour les pesticides, si on ne cherche pas on ne trouvera pas.
Enfin, le risque de recombinaison virale sur lequel alerte le Dr Velot est totalement évacué de la campagne de vaccination. Le risque est de voir apparaître un virus mutant plus virulent, il est donc incompréhensible que les pouvoirs publics ne le prennent pas en compte.
Auteur : Docteur Gonzo.
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Noël ! Noël ! Noël !
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Et oui!
La courageuse Stella Kamnga, l’opposé de la bourgeoise Rokhaya Diallo
J’ai été surpris d’apprendre que l’animateur des " vraies voix " sur Sud Radio s’était excusé sur Tweeter envers Rokhaya Diallo sur cette prétendue affaire décrétée raciste parce qu’une auditrice a tout simplement dit une réalité africaine.
L’excellente Stella Kamnga, Camerounaise vivant en France depuis seulement quatre ans, explique pourquoi Rokhaya Diallo a tort, et se demande pourquoi cette femme poursuit de sa haine un pays, la France en l’accusant de racisme systémique. Stella, que vous allez entendre sur cette vidéo, a souhaité revenir sur cette affaire.
Pour ceux qui sont allés plusieurs fois en Afrique, y ont travaillé, y compris en Afrique du Nord, ont pu s’apercevoir que la femme africaine n’avait pas le même niveau de liberté que les hommes. Que la femme africaine musulmane est le plus souvent soumise à l’homme quand elle ne partage pas son mari avec d’autres femmes.
La femme africaine subit la polygamie, elle ne l’accepte pas de bon gré et le plus souvent sa famille, qui l’aura infibulée très jeune, ne lui laisse pas le choix de choisir l’homme qui va lui pourrir la vie, et lui faire une dizaine de gosses.
Quelle femme française accepterait cela? Quelle femme d’origine africaine née en France ne se pose pas des questions sur les mariages forcés, le voyage en Afrique pour être mariée de force après un accord familial? Rokhaya Diallo le sait bien, elle qui a eu la chance de naître en France, d’y étudier et d’y saisir des opportunités qui lui permettent de bien vivre.
Rokhaya Diallo, comme Obono et d’autres Africaines ont compris l’air du temps et les avantages de profiter d’un pouvoir politique déliquescent, empli de compassion et se battant la coulpe en permanence sur les soi-disant "crimes“ de la France en général, et des Français en particulier comme si mes ancêtres de la Sarthe pouvaient être responsables de situations politiques, économiques et de décisions gouvernementales prises en France.
Rokhaya Diallo est de ces femmes qui vivent sur le dos de cette incompréhensible culpabilité française, puisque la France n’a pas à rougir en tant que telle de ces actions, et encore moins de ce qu’elle a apporté à l’Afrique. Le bon et le mauvais bien sûr. Le bon comme d’avoir libéré les esclaves chrétiens du bey d’Alger en 1830, d’avoir permis à une population subsaharienne africaine de survivre à l’esclavage commis par des Africains au service des Arabo-musulmans, d’avoir fait des guerres contre des tribus pratiquant toutes sortes de crimes contre l’humanité allant jusqu’au cannibalisme. L’Afrique a vu sa population augmenter du temps des colonies, et ce fait prouve simplement qu’un génocide est justement une action qui va à l’inverse.
Oui, la colonisation a été positive à beaucoup d’égards. Oui, elle a permis à des tribus, à des peuples de se développer dans les limites de leurs moyens.
Une amie ivoirienne me disait que la langue française a été une chance, pour des tribus qui ne parlaient pas le même dialecte, se faisaient en permanence la guerre, de se comprendre et d’échanger sur d’autres plans que des captures afin de vendre les prisonniers comme esclaves, et autres pillages. Parce oui, les Noirs ont été aussi, au même titre que les Arabo-musulmans, des esclavagistes.
Alors oui, tout n’a pas été rose, tout n’a pas été magnifique, et toutes les entreprises sur place, tous les coloniaux n’ont pas été, loin de là, des anges et des bons samaritains. Il y a eu sûrement des ordures, des abus, des excès aussi, et Rokhaya Diallo aurait pu les dénoncer en toute équité. Faire un procès historique, en mettant sur la table les avantages et les inconvénients de cette colonisation. Au lieu d’un débat salutaire, elle est tombée dans l’excès inverse en niant qu’elle-même, en tant que femme, sa vie d’Africaine musulmane se serait traduite par un mariage, les abus d’un homme polygame, et qu’elle aurait dû devoir porter des récipients d’eau sur la tête, pendant des kilomètres, et piler le mil avec le petit dernier sur le dos. C’est encore la réalité en Afrique.
Si une femme africaine qui, par le plus grand des hasards, devait voir ces bourgeoises africaines s’agiter, ces femmes bien éduquées à la française, propres sur elles, libres de leurs choix de vie, voire élues de la République, voire ministres en France, se transformer en harpies anti-France, elle serait écœurée.
Je remercie encore Stella Kamnga qui, avec talent, logique, démonte l’argumentation fallacieux de Rokhaya Diallo et de ses complices harpies.
Gérard Brazon