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LA VERITE! - Page 120

  • Les bobos-gauchiasse ont la chiasse!

    Les trains de Paris vers la province pris d’assaut par crainte du confinement, la SNCF suspend le contrôle des billets à bord des trains

    Qui se bouchait le nez au début des réunions sur les ronds-points, en novembre 1919, quand les Gilets Jaunes se sont mis à rouspéter?

    Qui vomissait les Gilets Jaunes qui roulent la clope au bec dans des voitures au diésel -entre-parenthèse, c'est lui qui nous a fait vomir avec ses vidéos de malade mental obsessionnel!

    Voilà que les rats bobos quittent Paris pour aller se planquer chez les ploucs!

    On aura tout vu!

  • Le luxe a du panache!

    Trois usines de cosmétiques de LVMH se sont mises à fabriquer du gel hydroalcoolique, 12 tonnes reçues gratuitement par les hôpitaux ce lundi

    Par LePanacheFrançais

    Le groupe de luxe LVMH va fabriquer « en grande quantité » du gel hydroalcoolique sur trois de ses sites de production français dédiés d’ordinaire à ses parfums et cosmétiques (Dior, Guerlain et Givenchy), et le donnera aux hôpitaux, annonce-t-il dimanche.
    […]
    Ces gels seront ensuite « livrés gracieusement aux autorités sanitaires françaises, prioritairement » aux 39 hôpitaux de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), une initiative qui durera « le temps nécessaire », dit le groupe.
    […]

    BFM TV

    LVMH livrera dès ce lundi 12 tonnes de gel hydro-alcoolique aux hôpitaux de Paris

    L’Express

  • Bonne blague pour éclairer ce monde de ténèbres…

    photo de la basilique Saint Sernin à Toulouse au magnifique carillon

    Un jeune curé très angoissé est incapable de prononcer un seul mot le jour de son premier sermon. Le lendemain, il va voir l’archevêque et lui demande quelques conseils pour être à la hauteur, au sermon du dimanche suivant.

    L’archevêque lui conseille alors de se verser quelques gouttes de vodka dans une grand verre pour se sentir plus détendu.

    Le dimanche suivant, le jeune prêtre suit le conseil et réussit à parler sans être paralysé, et sans avoir le trac.

    De retour à la sacristie, il trouve une lettre laissée par l’archevêque ainsi rédigée:

    Mon fils, la prochaine fois, mettez quelques gouttes de vodka dans un grand verre d’eau et non quelques gouttes d’eau dans la bouteille de vodka. D’autre part, je tiens à vous faire part des quelques observations suivantes, afin que vous amélioriez encore un peu vos prochaines prônes.

    1. Il n’est nul besoin de mettre une rondelle de citron sur le bord du calice

    2: Evitez de vous appuyer sur la statue de la Sainte vierge et surtout évitez de l’embrasser en la serrant étroitement dans vos bras.

    3: Il y a 10 commandements et non pas 12.

    4: Les apôtres étaient 12, non pas 7 et aucun n’était nain.

    5: On ne parle pas de Jésus-Christ et ses apôtres comme de " JC & Co ".

    6: Nous ne nous référons pas à Judas comme à " ce fils de pute ".

    7: Vous ne devez pas parler du pape en disant " le parrain ".

    8: Ben Laden n’a rien à voir avec la mort de Jésus.

    9: Les murailles qui se sont effondrés au septième jour ne se trouvaient pas à Mexico mais à Jéricho !

    10: L’eau bénite est faite pour bénir et non pour se rafraîchir la nuque

    11: Ne célébrez jamais la messe assis sur les marches de l’hôtel.

    12: Ponce Pilate a dit: “vos histoires je m’en lave les mains", et non "vos conneries, je m’en bas les couilles".

    13: Les hosties ne sont pas des gâteaux apéritifs à consommer avec le vin de messe.

    14: Les pêcheurs iront en enfer et non " se faire enculer chez les Papous ".

    15: L’initiative d’appeler les fidèles à danser était bonne, mais pas celle de faire la chenille dans l’église.

    16: L’homme assis près de l’hôtel et que vous avez qualifié de "vieux pédé et de travelo en jupe", c’était moi…

    Sincèrement, L’archevêque.

    PS: Jésus n’a pas été fusillé mais crucifié.

  • Lettre d’une Italienne à ceux qui pensent que tout ceci n’est pas inquiétant

    Je vous ai dit la dernière fois, en citant un médecin qui suit l’évolution mondiale de l’épidémie depuis longtemps, que le coronavirus n’en était qu’à ses débuts en France et ferait énormément de victimes, faute d’une politique adaptée.

    Voici la lettre d’une Italienne qui confirme cela.

    "Je vous écris de Bergame, en Italie, au cœur de la crise du Coronavirus. Les médias américains n’ont pas rendu compte de la gravité de ce qui se passe ici.

    Je vous écris parce que chacun d’entre vous, aujourd’hui, pas seulement le gouvernement, le district scolaire ou le maire, chaque citoyen a la possibilité, aujourd’hui, de prendre des mesures qui empêcheront la situation italienne de devenir la réalité de son propre pays.

    La seule façon d’arrêter ce virus est de limiter la contagion. Et la seule façon de limiter la contagion est que des millions de personnes changent leur comportement aujourd’hui.

    Si vous êtes en Europe ou aux États-Unis, vous êtes à des semaines de la situation actuelle en Italie.

    Je peux vous entendre maintenant. "C’est juste une grippe. Elle n’affecte que les personnes âgées qui en ont besoin".

    Il y a deux raisons pour lesquelles le Coronavirus a mis l’Italie à genoux. Premièrement, la maladie est dévastatrice lorsque les gens tombent vraiment malades et qu’ils ont besoin de plusieurs semaines de soins intensifs, et deuxièmement, en raison de la rapidité et de l’efficacité avec lesquelles elle se propage.

    Lorsque le Premier ministre Conte a annoncé hier soir que le pays tout entier, soit 60 millions de personnes, serait fermé, la phrase qui m’a le plus frappée a été " il n’y a plus de temps ". Parce que pour être clair, ce verrouillage national est une prière. Ce qu’il veut dire, c’est que si les chiffres de la contagion ne commencent pas à baisser, le système, l’Italie toute entière va s’effondrer.

    Pourquoi? Aujourd’hui, les unités de soins intensifs en Lombardie sont à pleine capacité – et même plus que la capacité. Ils ont commencé à installer des unités de soins intensifs dans les couloirs. Si les chiffres ne diminuent pas, le taux de croissance de la contagion nous dit qu’il y aura des milliers de personnes qui, dans une semaine? deux semaines? auront besoin de soins.

    Que se passera-t-il quand il y aura 100, 1 000, 10 000 ou 100 000 personnes qui auront besoin de l’hôpital et qu’il ne restera que quelques places dans les unités de soins intensifs?

    Lundi, un médecin a écrit dans le journal qu’ils ont commencé à devoir décider qui vit et qui meurt lorsque les patients se présentent aux urgences, comme ce qui se fait en temps de guerre. Cela ne fera qu’empirer.

    (JM: en clair, Momo 40 ans, trafiquant de drogue, aura droit à l’appareil respiratoire et Jean-Pierre, 70 ans, retraité ayant cotisé toute sa vie, devra se passer d’appareil respiratoire car ses statistiques vitales ne sont pas terribles. Bah oui, on choisit celui qui a le plus de chance de survivre. Pas de bol, Jean-Pierre!)

        #Coronavirus A Bergame, les médecins se retrouvent " à devoir décider du sort d’êtres humains, à grande échelle ", témoigne le docteur Christian Salaroli. Il décrit " une médecine de guerre ", dont l’objectif est de " sauver la peau " du plus grand nombre. https://t.co/JfeyZLn2w2

     

        — Le Monde (@lemondefr) March 12, 2020

    Il y a un nombre limité de médecins, d’infirmières et de personnel médical et ils sont plus facilement contaminés par le virus. Ils travaillent aussi sans arrêt, sans relâche, depuis des jours et des jours. Que se passe-t-il lorsque les médecins, les infirmières et le personnel médical ne sont tout simplement pas en mesure de s’occuper des patients, lorsqu’ils ne sont pas là?

     

    Et enfin, pour ceux qui disent que cela n’arrive qu’aux personnes âgées, depuis hier, les hôpitaux signalent que des patients de plus en plus jeunes – 40, 45, 18 ans – viennent se faire soigner.

    Vous avez une chance de faire la différence et d’arrêter la propagation dans votre pays. Faites pression pour que tout le bureau travaille depuis la maison aujourd’hui, annulez les fêtes d’anniversaire et autres rassemblements, restez chez vous autant que possible. Si vous avez de la fièvre, n’importe quelle fièvre, restez chez vous.

    Faites pression pour que les écoles ferment, maintenant. Faites tout ce que vous pouvez pour arrêter la propagation, car elle se propage dans vos communautés – il y a une période d’incubation de deux semaines – et si vous faites ces choses maintenant, vous pourrez gagner du temps pour votre système médical.

    Et pour ceux qui disent qu’il n’est pas possible de fermer les écoles, et faire toutes ces autres choses, rappelez-vous que fermer l’Italie était impensable il y a seulement une semaine.

    Bientôt, vous n’aurez plus le choix, alors faites ce que vous pouvez maintenant. "

    Cristina Higgins

     

    Message diffusé par Coronavirus Info LIVE [12.03.20 02:33]

    À sauvegarder: ça pourra servir pour le procès de Macron.

    En Chine, l’épidémie est en voie de régression, suite à une quarantaine imposée à 750 millions de personnes et si l’on fait confiance au gouvernement chinois.

    En France, ce qui est sûr, c’est que l’épidémie ne fait que commencer (voir graphique ci-dessous).

    La France est la prochaine Italie.

    Tous les pays qui n’auront pas pris des mesures drastiques (fermeture des écoles, interdiction des rassemblements, fermeture des commerces autres qu’alimentaires et pharmaceutiques, quarantaine généralisée) parce qu’ils veulent protéger l’économie verront tout de même leur économie être sinistrée mais avec un nombre de morts bien plus importants que dans les autres pays et de manière bien plus grave puisqu’il faudra bien plus longtemps pour endiguer une épidémie qu’ils auront laissée se développer de manière incontrôlable.

    Sans les mesures de protection (fermeture des frontières, des écoles, des rassemblements, mise en quarantaine des clusters, l’épidémie progresse trop vite (voir courbe rouge) et dépasse de beaucoup les possibilités du système médical (ligne en pointillé) de traiter les 15-20 % de cas nécessitant une hospitalisation et les 5 % nécessitant des soins intensifs.

    Quand l’épidémie atteint trop vite un pic, le système de santé est saturé, il n’y a plus assez de lit, il n’y a plus assez d’appareil respiratoire et les personnels soignants (médecins, infirmiers) sont épuisés, commencent à tomber gravement malades du Coronavirus à force d’y être exposés et sont déjà au maximum de leurs possibilités.

    Si des mesures de protection avaient été mises en place suffisamment tôt en France, alors les cas de coronavirus auraient été suffisamment espacés dans le temps pour être tous traités par le système médical.

     

        Cette scène d’un homme qui agonise sur la voie publique se passe en Italie. Dans une semaine on aura la même chose en France. #COVID19 #20hmacron pic.twitter.com/FZyo6zynk7

     

        — Damien Rieu

  • Avertissement

    Journalistes français en Italie: "Pour que la France prenne enfin la mesure du danger"

    Dans un texte adressé aux autorités françaises et européennes, les journalistes français qui travaillent en Italie appellent les dirigeants à prendre "enfin la mesure du danger" face à la progression fulgurante du coronavirus.

    Journalistes français en Italie: "Pour que la France prenne enfin la mesure du danger"

    "Journalistes en Italie pour des médias français et francophones, nous couvrons depuis le début la crise épidémique du coronavirus dans la péninsule. Nous avons pu constater la progression fulgurante de la maladie et avons recueilli les témoignages du personnel de santé italien. Beaucoup nous font part de la situation tragique dans les hôpitaux, les services de thérapie intensive saturés, le triage des patients, ceux – les plus faibles – que l’on sacrifie faute de respirateurs artificiels suffisants.

    "Par conséquent, nous considérons qu’il est de notre responsabilité d’adresser un message aux autorités publiques françaises et européennes pour qu’elles prennent enfin la mesure du danger. Tous, nous observons en effet un décalage spectaculaire entre la situation à laquelle nous assistons quotidiennement dans la péninsule et le manque de préparation de l’opinion publique française à un scénario, admis par l’énorme majorité des experts scientifiques, de propagation importante, si ce n’est massive, du coronavirus.

    "Hors d’Italie aussi, il n’y a plus de temps à perdre. Nous estimons qu’il est de notre devoir de sensibiliser la population française. Souvent, les retours qui nous arrivent de France montrent qu’une grande partie de nos compatriotes n’a pas changé ses habitudes. Ils pensent qu’ils ne sont pas menacés, surtout lorsqu’ils sont jeunes.

    Or, l’Italie commence à avoir des cas critiques relevant de la réanimation dans la tranche d’âge 40-45 ans. Le cas le plus éclatant est celui de Mattia, 38 ans, sportif et pourtant à peine sorti de dix-huit jours de thérapie intensive. Il est le premier cas de Codogno, fin février, au cœur de la zone rouge dans le sud de la Lombardie.

    "Par ailleurs, certains Français n’ont pas conscience qu’en cas de pathologie grave, autre que le coronavirus, ils ne seront pas pris en charge correctement faute de places, comme c’est le cas en Italie depuis plusieurs jours. Soulignons aussi que le système sanitaire impacté aujourd’hui est celui du Nord, soit le meilleur d’Italie, un des meilleurs en Europe.

    La France doit tirer les leçons de l’expérience italienne."

    Manuella Affejee, de la rédaction francophone de Radio Vatican;

    Delphine Allaire, de la rédaction francophone de Radio Vatican;

    Salvatore Aloïse, correspondant d’Arte;

    Olivier Bonnel, de la rédaction francophone de Radio Vatican;

    Bertrand Chaumeton, réalisateur radio;

    Marie Duhamel, de la rédaction francophone de Radio Vatican;

    Ariel F. Dumont, correspondante de Marianne, le Quotidien du médecin;

    Antonino Galofaro, correspondant du Temps;

    Bruce de Galzain, correspondant permanent de Radio France en Italie;

    Marine Henriot, de la rédaction francophone de Radio Vatican;

    Arthur Herlin, directeur de l’agence i. Media;

    Richard Heuzé, politique internationale;

    Blandine Hugonnet, journaliste pigiste; Franck Iovene, AFP;

    Eric Jozsef, correspondant de Libération et RTS;

    Anne Le Nir, correspondante de RTL et la Croix;

    Marc-Henri Maisonhaute, journaliste pigiste; Francesco Maselli, correspondant de l’Opinion;

    Alban Mikoczy, correspondant de France 2-France 3;

    Jean-Charles Putzolu, de Radio Vatican;

    Quentin Raverdy, journaliste pigiste;

    Xavier Sartre, de la rédaction francophone de Radio Vatican;

    Eric Sénanque, correspondant RFI au Vatican;

    Valérie Segond, correspondante du Figaro;

    Nicolas Senèze, envoyé spécial permanent de la Croix au Vatican; Anne Tréca, correspondante RTL;

    Valentin Pauluzzi, correspondant de l’Equipe;

    Arman Soldin, envoyé spécial d’AFPTV;

    Matteo Cioffi, correspondant sportif de RFI;

    Natalia Mendoza, correspondante de France 24;

    Manuel Chiarello, JRI indépendant.

    https://www.liberation.fr/planete/2020/03/12/journalistes-francais-en-italie-pour-que-la-france-prenne-enfin-la-mesure-du-danger_1781450

     

     

     

  • Toux, éternuements? on vous ment!

    Les bactéries issues de la toux et des éternuements peuvent continuer à vivre dans l’air jusqu’à 45 minutes après avoir été expulsées

    Des chercheurs ont mis au point une nouvelle technique afin d’étudier comment les bactéries, qui peuvent causer des maladies, se propagent et restent dans l’environnement après avoir été expulsées (par la toux ou les éternuements par exemple). Résultats? Les bactéries issues de la toux et des éternuements peuvent continuer à vivre dans l’air jusqu’à 45 minutes après avoir été éjectées.

    L’équipe de recherche a en effet constaté qu’un sous-ensemble de pseudomonas aeruginosa, une espèce bactérienne associée aux infections hospitalières, possède encore une durée de vie de 10 minutes et peut rester dans l’air pendant 45 minutes après avoir été expulsée.

    " Nos recherches précédentes ont révélé que ces agents pathogènes ont parcouru jusqu’à 4 mètres et sont restés viables pendant 45 minutes après avoir été toussés dans l’air ", explique Lidia Morawska, l’une des chercheuses principales de l’Université de technologie du Queensland (QUT). " Nous voulions déterminer comment ces gouttelettes transportant des bactéries expulsées par des éternuements ou par la toux parcourent de telles distances et comment elles peuvent infecter d’autres personnes après une telle durée ", ajoute-t-elle.

     

    La bactérie P. aeruginosa (autrement connue sous le nom de bacille pyocyanique, bacille du pus bleu ou encore pyo), est une bactérie commune et très résistante aux traitements médicamenteux (il s’agit de l’une des bactéries les plus difficiles à traiter cliniquement) et peut provoquer des infections telles que la pneumonie acquise sous ventilation (PAV) ou la septicémie.

    En général, ces bactéries ne génèrent de maladies que chez les personnes ayant déjà des prédispositions à ces maladies, en particulier la mucoviscidose.

    Bien que ce type de bactérie soit assez bien connu et étudié, nous ne comprenons toujours pas exactement comment une toux ou des éternuements peuvent propager ces infections. " À ce jour, la plupart des recherches dans ce domaine se sont concentrées sur les bioaérosols générés en laboratoire, ou sur les gouttelettes aériennes, qui sont différentes des gouttelettes respiratoires naturelles générées par les êtres humains dans leur composition et leurs mécanismes de production ", explique Morawska. " Nous avons développé une nouvelle technique visant à cibler le vieillissement à court et à long terme des bioaérosols des personnes, sans contamination de l’air ambiant ", ajoute-t-elle.

    Cette technique, développée par l’équipe du QUT, est appelée Tandem Aged Respiratory Droplet Investigation System (soit TARDIS) et a permis aux chercheurs d’étudier comment les bioaérosols issus de la toux ou d’un éternuement se propagent, puis s’arrêtent, et pendant combien de temps. " Pour démontrer la technique, des gouttelettes de toux en suspension dans l’air ont été échantillonnées chez deux patients atteints de mucoviscidose et d’une infection pulmonaire chronique à Pseudomonas aeruginosa ", a expliqué Morawska.

    "Dès que les gouttelettes de la toux arrivent dans l’air, elles sèchent rapidement, refroidissent et deviennent assez légères pour rester en suspension dans l’air. Elles se dégradent également en raison du contact avec l’oxygène présent dans l’air, et les plus grandes gouttelettes prennent beaucoup plus de temps à s’évaporer ", a-t-elle ajouté.

    La plupart de ces gouttelettes se dégradent suffisamment pour que les bactéries situées à l’intérieur ne puissent pas survivre (et généralement rapidement). Les chercheurs ont constaté que la plupart des bactéries situées dans les gouttelettes séchées, sont mortes ou décomposées après environ 10 secondes, mais un sous-ensemble plus petit de la bactérie avait une durée de vie de plus de 10 minutes en moyenne. " Cela suggère que certaines bactéries pseudomonas aeruginosa sont résistantes à la désintégration biologique rapide et restent donc viables dans l’air ambiant assez longtemps pour former un risque d’infection atmosphérique, en particulier chez les personnes ayant des problèmes respiratoires, tels que les patients atteints de mucoviscidose ", a expliqué Morawska.

    Actuellement, les chercheurs ne sont pas encore totalement certains de connaître la raison pour laquelle cela se produit, mais ils suggèrent que le phénomène est lié à l’endroit où les gouttelettes sont produites (dans le système respiratoire, avant d’être expulsées), et à la taille des gouttelettes elles-mêmes. " Nous pensons que cela pourrait être dû au fait que les gouttelettes sont produites dans différentes parties des voies respiratoires, et portent différentes “cargaisons” de bactéries ", explique Morawska. " Les plus grandes gouttelettes transportant des bactéries prennent plus de temps à s’évaporer, ce qui les rend plus résistantes à la désintégration et permet de maintenir leur viabilité pendant de longues périodes ", ajoute-t-elle.

    Dans tous les cas, cette recherche possède des implications importantes dans le domaine du contrôle des infections dans les hôpitaux, et confirme encore une fois qu’il est fort judicieux de se couvrir la bouche lors de toux ou d’éternuements, et d’ensuite se laver les mains convenablement.

    Source: QUT

     

    Cela, je l'ai entendu de divers experts sur les chaînes infos

    Les bactéries peuvent survivre jusqu'à 9 jours sur une surface; donc attention, votre manche de veste devient un nid à bactéries!!!

    Changez de pull CHAQUE JOUR

    et portez attention aux manches de vos vestes

     

    Pour tuer les bactéries, il faut laver le vêtement à l'eau à 60°!

Blog d'une Française de FRANCE: vive la laïcité, vive la FRANCE et la République Française!