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LA VERITE! - Page 136

  • À bas les affameurs, vive les circuits courts!

    Il y a trois jours, j’ai eu besoin d’un extrait d’acte de naissance. Ni une ni deux, je me suis mise à l’ordinateur, c’est si pratique de faire ainsi les démarches, pas de déplacement comme autrefois, pas de lettre à envoyer. J’ai tapé "mairie de …", le site s’est ouvert, et j’ai rempli le questionnaire. Et puis je venais de terminer lorsqu’est apparue une page de paiement. Paiement pour un document gratuit? Sans blague! Aussitôt retour en arrière. Eh bien pour trouver le site réel de la mairie, j’ai dû consulter plusieurs sites et perdre du temps. Car, là aussi, des escrocs s’immiscent et se font passer pour ce qu’ils ne sont pas. Pour ceux qui tombent dans le panneau, ces sites payants se feront délivrer par les mairies les documents demandés, se substituant aux demandeurs, et les leur renverront.

    Partout, absolument partout, des profiteurs se font entremetteurs, sans qu’on le leur demande, et se font payer pour leurs " services". Ce qui est plus grave, c’est lorsque les intermédiaires se mêlent d’économie et d’approvisionnement. Un exemple parmi d’autres, concernant les pommes. Un de mes amis normands m’a raconté ce matin que son voisin, grand producteur de pommes, a été approché par une grande enseigne dont je tairai ici le nom. De toute façon, il semble bien qu’elles appliquent toutes les mêmes procédures. La grande enseigne lui a racheté, à bas prix, toute sa production, et a installé sur son domaine de grandes chambres froides dans lesquelles les fruits ont été tout de suite entreposés. Puis, par un système industriel, tout l’oxygène des chambres a été pompé. Ainsi pas de bactéries. " On mange les pommes de l’année précédente ", m’a expliqué cet ami. Ça explique bien des choses, notamment un goût qui a disparu et une conservation courte.

    Parlons des pêcheurs. Ils partent en mer, dans de très dures conditions, ne dormant que trois heures par jour et affrontant les éléments. Puis retour au port avec leur pêche. Et là, ce sont les mareyeurs, avec leurs blouses noires, qui font les prix. C’est insupportable. Les uns travaillent dur, les autres profitent de ce travail.

    Idem pour le vin, le lait, le blé… Idem lorsque les grands domaines n’appartiennent pas aux banques, internationalisées et aux très grandes entreprises qui n’ont plus qu’une patrie : le fric.

    À côté de cela, nos petits producteurs, nos paysans, se crèvent pour nous nourrir. Eux-mêmes, en couple, ne touchent même pas le Smig. Nous leur devons tout sans les reconnaître. L’année dernière, 108 d’entre eux se sont suicidés. Du moins est-ce ceux que l’on a recensés. Cela fait deux par semaine. Intolérable. Guillaume Canet a tourné, il y a quelques années, un beau film sur le sujet, " Au nom de la terre ", incarnant un agriculteur au bord du gouffre. Cela aurait dû alerter. Mais que dalle!

    Mais pourquoi un petit agriculteur du fin fond de la France devrait-il attendre les autorisations de Bruxelles pour savoir quand faucher? Quand récolter? Il sait mieux que les technocrates ce qu’il faut faire et quand. Et pourquoi le prix de son blé devrait-il être décidé aux États Unis, au sein de la fameuse bourse de Chicago? Quelle est donc cette folie?

    Il faut y mettre un terme, en développant au maximum les circuits courts par lesquels des agriculteurs vendent eux-mêmes les fruits de leur travail aux consommateurs, en direct. Ce sera plus frais, plus sain, et moins cher. Il est temps de mettre un frein au pouvoir corrupteur et déloyal des grosses entreprises. À nous d’agir pour en finir et rétablir une situation plus saine.

    Louise Guersan

    https://ripostelaique.com/a-bas-les-affameurs-vive-les-circuits-courts.html

     

  • Mort aux c o n s!

    Saint Saturnin Toulouse (basilique Saint Sernin)

    Le saint trainé par des taureaux à Toulouse (rue du Taur)

     

    Les rares catho restants vont devoir se réunir comme dans le temps, dans le secret, dans les catacombes, et dessiner un poisson pour se reconnaitre

    https://www.lamontagne.fr/amp/saint-eloy-les-mines-63700/actualites/la-creche-de-saint-eloy-les-mines-puy-de-dome-vandalisee-cette-nuit-les-tetes-des-santons-arrachees_13709274/?__twitter_impression=true 

     

    Chaque année, c'est pareil depuis une dizaine d'années!

    Mer.. alors, ça suffit!

    Ce gouvernement de fantoches ne fait rien pour sauver la France et nos traditions!

    et je mettrais autant d'images catholiques qu'il le faudra pour faire chi.... ces conn.... s'il advenait qu'ils passent sur ce blog!

     

  • L'autiste magnifique? la vérité!

    Greta est une grosse menteuse: elle voyage en première classe!

    Mais pourquoi, pourquoi donc le monde entier parle-t-il de Greta l’autiste? Vous ne savez pas qu’elle est une simple marionnette? Autant accuser Daisy Duck de délation! Je développe: en 1947, Walt Disney avait dénoncé trois anciens employés pour opinions communistes: L’accusation était grave dans le contexte tendu de l’après-guerre. Ce simulacre de procès fut annonciateur du maccartisme qui marquera profondément la conscience américaine. Disney a -bien entendu- profité de son témoignage pour s’enorgueillir de vertus patriotiques et se donner l’image d’un Américain irréprochable. Vilaine Daisy !

    La Greta, aux soutaches plus longues qu’un dimanche sans Netflix, elle me ressort par tous les pores.

    La morveuse exaspérante s’est rendue au sommet sur le climat, organisé par l’ONU (Une mioche reçue à l’ONU!) le 23 septembre à New York.

    "Nous allons faire grève pour la vie et tout ce que nous aimons! "

    Et vous savez ce qu’on aime, à cet âge? Lisez donc:

    https://www.7sur7.be/faits-divers

    "Nous allons faire grève pour vous !". De nombreux jeunes (se prenant pour les véritables défenseurs de la planète) sont venus manifester devant les Nations Unies pour réclamer une action urgente en faveur du climat. Tout en laissant derrière eux une foultitude de cannettes en métal. Partout dans le monde, des jeunes manifestent tous les vendredis dans le cadre des Fridays for Future.

    Dans la poche le portable à 300 € bourré de lithium. Le lithium, lui est extrait par une centaine de milliers d’hommes travaillent dans les mines pour récolter quelques grammes de cobalt, qu’ils revendent aux gros revendeurs. Ces “creuseurs“ ne sont qu’un maillon dans le long procédé qui sépare la récolte du cobalt brut, ancré dans la roche, à son raffinement puis son incorporation dans une batterie de téléphone. À plusieurs mètres de profondeur, dans des trous étroits, les mineurs s’aventurent à trouver le métal qu’ils pourront convertir en argent à la fin de la journée.

    Les conditions de travail sont honteuses: lampe de poche vissée sur la tête, sans casque ni équipements spécifiques, ils descendent dans les profondeurs des galeries creusées sans aucune espèce de plan. Parfois, afin de ramener plus de cobalt, les mineurs vont jusqu’à dormir dans ces galeries, où ils inhalent alors des quantités toxiques de gaz tels que le méthane qui peuvent s’échapper des roches. Mais la pire crainte de ces travailleurs est bien de rester coincés dans ces tunnels en cas d’effondrement. En septembre 2015, trente mineurs avaient perdu la vie.

    Sur les "jeunes" bienfaiteurs du climat, des jeans troués fabriqués par des enfants au Bangladesh, et des t-shirts tendance tout droit sortis usines de Tamil Nadu.

    How dare you?

    Retournez à l’école et fermez-la!

    Greta voyage en bateau à cause des conséquences désastreuses de l’avion sur l’environnement. Une idée qui a du sens au regard du "combat" de l’adolescente et de son équipe de com. Seulement voilà, elle avait "oublié" de préciser que l’organisation de sa traversée de l’Atlantique en bateau à bord d’un voiler en carbone nécessitait six vols en avion.

    Elle (ou plutôt, son équipe de com) ment.

    https://resistancerepublicaine.com/2019/08/18/greta-thunberg-un-voyage-a-new-york

    https://www.jeanmarcmorandini.com/article-410761-greta-thunberg-a-t-elle-menti

    Greta a de nouveau menti en faisant croire qu’elle voyageait assise par terre dans un train… alors qu’en réalité elle voyageait en première classe… aux frais de la compagnie ! Gratuitement, sans payer un sou, alors que ses parents font fortune avec ses turlupinades.

    How dare you !

    Greta veut démolir nos maisons!

    Greta veut qu’on panique!

    Greta veut que nous écoutions les scientifiques!

    Et veut que nous nous unissions derrière la science!

    Elle prétend que NOUS lui avons volé son enfance!

    Et ensuite, que nous "agissions réellement"!

    Bonne idée. Je m’en vais immédiatement supprimer les portables de mes enfants, éteindre le chauffage dans leur chambre, leur confisquer les jeans hors de prix pour les remplacer par des braies en laine de vieille bique et leurs baskets par des chausses ou des sabots en bois.

    Laurent Alexandre, chirurgien urologue, (que je tendrais à croire plutôt qu’une ado criarde) est clair: Je ne suis pas jaloux de Greta Thunberg: je n’aimerais pas avoir des TOC (troubles obsessionnels compulsifs) graves, une dépression infantile, un mutisme sélectif, un Asperger avec mono-idéation et des troubles alimentaires graves me conduisant à être minuscule! Je respecte l’enfant malade mais regrette sa manipulation".

    "Ma génération a hérité d’une planète qui s’écroule" hurle la gourou apocalyptique. Sauf qu’aujourd’hui, 80% des enfants vont à l’école, que de nombreuses maladies ont été éradiquées, et que les gens vivent jusque près de 90 ans.

    Opération de communication hyper bien ficelée qui explose en vol. Une nouvelle fois, l’imbuvable gamine atteinte d’un trouble du développement caractérisé par des difficultés de l’apprentissage social et de la communication, avec des comportements stéréotypés et persévératifs qui donne des leçons d’écologie à toute la planète s’est fait épingler.

    La petite activiste sous emprise aux longues tresses a diffusé sa photo la montrant assise par terre dans un train, entourée de ses valises, ajoutant qu’elle traversait l’Allemagne dans des trains bondés.

    Mais tu es une sale petite menteuse, Greta. How dare you! La société ferroviaire allemande a aussitôt répliqué: "Chère Greta, merci pour votre soutien aux employés des chemins de fer dans notre combat contre le changement climatique. Nous sommes heureux que vous ayez voyagé sur le ICE 174 samedi.  Il aurait été aimable de faire également mention de la façon courtoise et compétente dont vous avez été traitée par notre personnel en première classe".

    La prophétesse en culotte courte (ou plutôt, son équipe de com) qui refuse de voyager en avion pour limiter son empreinte carbone, et qui, au lieu de remercier la société des chemins de fer du privilège accordé, ne trouve rien de mieux que de mentir (elle ou son équipe de com). Dommage que je ne sois pas fonctionnaire de la DBB, J’aurais écrit: "Mademoiselle,  la prochaine fois que vous voyagerez dans l’un de nos trains, nous vous demanderons de payer comme tout le monde. Merci de faire publier séance tenante par votre équipe de com un démenti officiel".

    Beata Thunberg, qui dépasse quasiment sa sœur d’une tête, est la petite sœur de Greta (sa maladie l’empêchant de grandir). Agée de 14 ans, soit deux ans de moins, elle la soutient dans son action militante pour le climat. Selon le site d’actus Heavy, Beata Thunberg a participé à l’écriture de l’ouvrage familial à huit mains

    Beata souffre elle aussi de "multiples troubles mentaux et du développement", pour autant considérés par sa famille comme des "superpouvoirs". D’après l’ouvrage familial cité plus avant, Beata Thunberg a été diagnostiquée à l’âge de 12 ans d’un TDAH, d’un autisme Asperger, de troubles obsessionnels compulsifs et d’un trouble oppositionnel avec provocation.

    Greta, accueillie comme une star dans toutes les gares d’Europe, avec des centaines de photographes qui font le pied de grue, des fleurs, des micros qui se tendent, est-elle vraiment assez sotte pour croire que quelqu’un allait gober l’histoire de la petite fille aux allumettes? How dare you, Greta?

    Anne Schubert

    https://ripostelaique.com/greta-est-une-grosse-menteuse-elle-voyage-en-premiere-classe.html

  • Miss France 2020: on se paye votre gueu…

    Un membre du jury fait des révélations...

    Il se passe pas mal de choses autour du concours Miss France ces derniers temps… Tout d’abord, il y a eu la polémique concernant Miss Provence, grande favorite du concours, battu par Miss Guadeloupe. Désormais, il y a de nouveaux rebondissements!

    En effet, on apprend que le concours serait truqué. Hermine de Clermont-Tonnerre s’est souvenue d’un détail intriguant: "Ce qui était assez amusant, c’est que les premiers résultats, on ne nous demande même pas notre avis. On dit: “Oui ils ont délibéré”, on n’a rien délibéré du tout!", a expliqué la princesse et actrice de 53 ans dans l’émission Jordan de Luxe sur Non Stop People.

    Hermine s’est ensuite montrée très déstabilisée lorsque l’animateur lui a demandé clairement si le concours était truqué. Elle a simplement répété: "Ce qui me choquait c’est qu’on dise: “Le jury a délibéré” alors qu’on n’avait pas délibéré. Après, oui, on le fait pour les dernières, mais les phases d’avant, rien du tout".

    On apprend ainsi que le Comité Miss France sélectionne les quinze finalistes avant même le début de l’élection pour se séparer des filles qu’ils ne veulent pas voir gagner. Ce fut le cas de Miss Nord-Pas-de-Calais, Florentine Somers, qui pensait d’ailleurs avoir mis toutes les chances de son côté en se rapprochant des anciennes Miss. Elle avait été coachée par Maëva Coucke, Iris Mittenaere et Camille Cerf.

    On se demande bien pourquoi le comité n’a pas voulu d’elle dans les quinze dernières…

    Fallon C.

     

    Pour la première fois:

  • Ce pays est foutu.

    Grèves: cette énorme facture humaine qu’on ne veut pas voir

    Conséquence inattendue du réchauffement climatique: la récolte de mouvements sociaux issus de la gréviculture française célèbre dans le monde entier et qui s’étend normalement de mi-septembre à fin novembre se déplace progressivement vers les mois d’hiver. C’est ainsi que l’habituelle grève d’automne à la SNCF, la RATP et aux autres sévices publics en décrépitude va probablement s’étendre jusqu’aux fêtes.

    Et bien que les habitudes de ces mouvements de grève intempestifs soient maintenant ancrées dans la population, l’extension-surprise de ce mouvement-ci provoque son lot de petites adaptations intéressantes dans la façon dont les uns et les autres gèrent ces ♩ périodes amusantes ♪ où l’entraide ♫, la débrouille ♬ et la bonne humeur ♪♪ permettent de surmonter les petits tracas ♩ du quotidien youpi youpi ❥❥.

    C’est ainsi qu’on voit apparaître des rames de train réservées aux personnes vulnérables, c’est-à-dire les handicapés, les personnes âgées et les femmes. Dans la France de 2020 (pour ainsi dire), voilà qui laisse quelque peu songeur à plusieurs titres, au-delà de la légitime interrogation sur le fait de considérer d’emblée que les femmes seraient vulnérables (tout le monde sait que, depuis #metoo et le féminisme de combat, oser penser qu’elles le seraient est coupable d’un tribunal, au moins médiatique).

    En effet, l’apparition de cette nouvelle ségrégation à la suite des grèves permet surtout de mettre en exergue que les grèves ne provoquent pas seulement des petits désagréments pour ceux qui voudraient se déplacer. À ces derniers, les grévistes et leurs sympathisants s’empressent généralement de répondre qu’après tout, ce mouvement permet de défendre aussi les acquis de ceux qui ne peuvent pas faire grève (mais bien sûr !) et qu’après tout, il existe plein d’alternatives viables pour se passer du train, m’voyez. Circulez (ou essayez), il n’y a rien à voir.

    Malheureusement, c’est un peu court: si des voitures de train sont maintenant réservées aux "personnes vulnérables", c’est précisément parce que la grève aggrave la situation de ces personnes. Et elles ne sont pas les seules à supporter un coût très important de ces mouvements sociaux de plus en plus arbitraires et de moins en moins justifiables.

    Surtout si l’on tient compte de la vraie facture de ces grèves, cette facture que les médias, les syndicats et les politiciens s’empressent de nous cacher et que pourtant tous les Français devront payer, parfois d’un coût exorbitant.

    Il m’est difficile de trouver les mots assez durs pour exprimer le mépris que je peux avoir de ces grévistes. Attention, je dis ça non parce qu’ils font la grève: confortablement installés dans leur petit nid douillet d’acquis sociaux et de privilèges moelleux payés par les autres, je comprends fort bien qu’ils se battent pour les conserver en l’état le plus longtemps possible. C’est humain…

    En revanche, qu’il leur soit permis de paralyser tout le pays est parfaitement odieux: c’est une insulte à ceux qui doivent travailler et n’ont justement pas ces privilèges ou la sûreté de l’emploi. C’est un camouflet à tous ceux qui payent leur abonnement, qui se comportent comme des citoyens modèles et n’ont jamais fraudé. C’est une injure crachée à la figure de ceux qui n’ont pas d’autres moyens de se déplacer que le train, généralement les plus pauvres, ceux qui par leur travail, leurs impôts, leurs taxes et surtout leurs cotisations, payent les largesses accordées à ces grévistes qui leur nuisent directement. C’est aussi un scandale jeté dans les bras du législateur qui avait, jadis, voté un service minimum que l’État, dans son incompétence, est infoutu de faire appliquer. C’est enfin un échec lamentable de plus à porter au débit des institutions républicaines françaises qui, encore une fois, s’aplatissent devant les forts, les collectivistes syndiqués, pour ensuite écraser les faibles de taxes, d’impôts et (le cas échéant) de coups de LBD.

    Et au-delà de ces éléments, il y a bien sûr le coût économique évident: ces grèves paralysent l’activité économique d’une partie du pays. Comme en témoigne cette restauratrice (une chef d’entreprise parmi des milliers, en réalité), ces incessantes périodes de caprices interruptifs pour un tout petit pourcentage minoritaire de grévistes entraînent des pertes, des déficits et des dettes pour un nombre considérable d’entreprises, qui se traduiront inévitablement par des faillites et la mise au chômage de centaines, de milliers de salariés.

    Merci aux grévistes.

    Si c’était le seul coût, peut-être pourrait-il être ignoré (encore que ce pays ne puisse pas trop fanfaronner sur son taux de chômage). Mais cette grève entraîne d’autres problèmes, bien plus graves encore.

    Qui remboursera les énormes dégâts causés par ces grévistes qui ont jugé bon de couper le courant à Béziers il y a quelques jours?

    Combien de blessés dans les rues des grandes villes parmi ceux qui, forcés par la grève de recourir à des moyens de déplacement alternatifs, se retrouvent à voyager à trottinette ou en vélo et se fracturent un membre… ou subissent un traumatisme grave?

        Les accidents de vélos et trottinettes se multiplient à Paris depuis le début de la grève pic.twitter.com/9nCPFgpPTU

        — BFMTV (@BFMTV) December 14, 2019

     

    Là encore, difficile de ne pas dire merci à ces grévistes pour tous ces blessés et tous ces arrêts de travail qui, sécurité sociale obligatoire oblige, seront plus ou moins couverts et qui ne viendront pas grever (!) à leur tour les comptes sociaux.

    Ces grèves, c’est aussi l’occasion de générer une masse considérable de petits tracas qui se traduiront directement, en plus de ces faillites, de ces destructions de matériel, de ces blessés multiples et de ces déficits sociaux, par rien moins que des morts.

    Eh oui: la grève, c’est une façon ludique, corporatiste, collectiviste, amusante et parfaitement décontractée de tuer des gens qui n’avaient rien demandé à personne.

    J’exagère? J’aimerais bien, mais non.

    Les dons du sang ont nettement diminué pendant cette période de grève d’une certaine catégorie de privilégiés. Comme l’explique le docteur François Charpentier, porte-parole de l’Établissement Français du Sang, "Un don c’est potentiellement trois vies sauvées". Cette grève, avec ses 5000 dons de retard, c’est potentiellement 15 000 morts.

    Merci aux grévistes.

    Et s’en tenir aux dons serait un peu court.

    Il ne faudrait pas oublier tous ces conducteurs qui ont été forcés de prendre leur voiture ou leur moto dans des conditions de route de plus en plus défavorables, pour se rendre au travail et, pour certains, ne jamais l’atteindre: ce sont ces pères ou ces mères de famille qui se tueront sur la route, après avoir été forcés de prendre un véhicule pas toujours vaillant, dans des conditions de route qu’ils ne maîtrisent plus (pour avoir trop longtemps compté sur les trains qui, maintenant, ne passent plus).

    Ces grèves, ce sont combien de motards du dimanche qui passeront sous les roues d’un camion parce que eh oui pas de train ma brave dame? Combien de personnes mourront dans une ambulance coincée dans un bouchon routier record?

    Statistiquement, ce mois de décembre verra le nombre de blessés et de morts sur la route augmenter: la fatigue et le stress accumulés par l’occurrence inévitable de ces déplacements imprévus (et non désirés) à la suite de ces mouvements d’enfants gâtés provoqueront inévitablement davantage d’accidents, dont certains fatals. Les chiffres seront timidement relayés, mais déjà, l’augmentation de la location de voitures et de motos n’est pas à mettre en doute: lorsqu’on augmente le nombre de personnes qui voyagent, lorsqu’on augmente le nombre de kilomètres parcourus, lorsqu’on augmente les temps de trajets, on augmente statistiquement le nombre de morts.

    Le chiffre sera probablement camouflé et minimisé, mais il y aura bel et bien des morts et des accidentés à cause de ces grèves.

    Merci aux grévistes.

    Enfin et quasiment comme une cerise sur le gâteau global de ces protestations capricieuses, qui viendra faire le calcul des montagnes d’énergies fossiles cramées en pure perte dans ces bouchons que ces grèves ont provoqués? Ah, qu’elle est belle, l’écologie de façade qui ne tient pas devant la ô combien terrible menace d’une égalité de traitement (des pensions, en plus, horreur des horreurs)!

    Tant au gouvernement qui n’aura jamais le courage d’en finir avec le monopole, les privilèges et les passe-droits de ces professions gâtées, que dans les médias qui sont tous acquis à la cause des grévistes, qu’au sein même de toute la société qui s’empressera de mettre un mouchoir sur toutes les dérives qu’on a dû subir, on se gardera bien de faire le bilan carbone de ces exactions et de leurs conséquences. Peu importe les dégradations provoquées par une bande d’hystériques en choisissant d’accélérer nettement l’obsolescence de trottinettes parisiennes. Cette facture écologique-là ne sera mentionnée par personne.

    Ces grèves à répétition sont une facture énorme que tout le pays se doit, ensuite, de payer péniblement, écologiquement, financièrement, socialement, politiquement, et surtout humainement: certains paient littéralement de leur vie l’incurie de ces services publics lamentables.

    https://www.contrepoints.org/2019/12/16/360483-greves-cette-enorme-facture-humaine-quon-ne-veut-pas-voir

     

  • Dommage que cette vérité vienne uniquement de lui!

    Oui, où sont les révoltés d'opérettes droit-de-l'hommiste?

    Jean Messiha (RN): “Les progressistes sont émus pour un gamin dans un conseil régional mais personne ne réagit quand il s’agit d’une crèche de Noël avec des enfants“

        "Les progressistes se sont émus et indignés pour un gamin dans un conseil régional.

        Personne n'évoque le sujet quand une crèche avec des enfants est attaquée.

        Quand il s'agit de nos racines, c'est silence radio et personne ne réagit …" – @JeanMessiha pic.twitter.com/tNWNXIxR5j

        — Tancrède ? (@Tancrede_Crptrs) December 16, 2019

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