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  • L'enfumage à la macrouille pour les européennes

    La réalité des candidats d'Emmanuel Macron

    Mardi 26 mars, la République en Marche a présenté les 30 premiers noms de sa liste pour les élections européennes du 26 mai prochain. Immigration, multiculturalisme, élargissements, hausses d'impôt... la vérité sur les candidats d'Emmanuel Macron. Toujours plus de ce qui ne marche pas!

    Toujours plus d'immigration

    Cette liste est clairement pro-immigration. Emmanuel Macron veut répartir les migrants entre pays européens et augmente l'immigration en France. Elle a atteint l’année dernière un double record de nouveaux titres de séjour (255 550) et de nouvelles demandes d’asile (122 743, soit + 22% en un an).

    Fabienne Keller, numéro 7 de la liste En marche voulait également créer une taxe européenne sur les carburants pour financer l’accueil des migrants: "Il faut vraiment examiner avec intérêt une proposition très opérationnelle du ministre allemand Wolfgang Schaüble qui dit qu’on devrait taxer le gazole et l’essence. (...) On doit se donner les moyens d'intégrer les migrants. L'idée c'est que cette taxe soit européenne et destinée à un fonds européen qui servira tout autant à renforcer un meilleur contrôle aux frontières que l'intégration des migrants“. (KTO, 11 février 2016)

    Toujours plus d'élargissements

    Emmanuel Macron est "favorable" à l’élargissement aux pays des Balkans (comme il l'a appelé de ses vœux à Trieste le 12 juillet 2017). Il veut étendre l’espace Schengen à la Roumanie "le plus rapidement possible" (comme il s'y est engagé à Bucarest le 25 août 2017).

    Bernard Guetta, numéro 8 de la liste En marche soutenait un élargissement sans fin de l'Union européenne: "L'Union ne doit pas fixer ses frontières. Il faut, entend-on partout, des frontières à l’Union, des limites à son extension, fixées sans plus attendre et connues de tous. (…) Plutôt que de fixer des frontières, laissons les options ouvertes. Plutôt que de dire "jamais", disons "pas tout de suite mais un jour". (Libération, 20 mai 2009)

    Toujours plus de multiculturalisme

    Les macronistes font preuve d'une naïveté ou d'une complaisance inquiétante vis-à-vis du communautarisme islamique, la tête de liste En Marche n'hésitant pas à comparer le voile islamique avec le voile de Mère Thérésa ou avec un piercing!

    Ils persistent et ils signent. À ce degré de compromission, ce n'est plus de la naïveté, c'est une idéologie. Non, le voile islamique, contre lequel se battent tant de femmes dans le monde, n'a strictement aucun rapport avec la mantille catholique ou un serre-tête!

    Toujours plus de fractures manichéennes

    La liste En marche dont le premier clip de campagne commence par une injonction antidémocratique (" Vous n'avez pas le choix ") ne cesse d'opposer les gentils progressistes aux méchants populistes, nationalistes ou conservateurs. Cette réduction du débat démocratique à un clivage manichéen fracture l'Europe et isole la France.

    Nathalie Loiseau, tête de liste En marche, fait montre d'un simplisme désolant: "On est en train de jouer "50 nuances de brun en Europe". Elle dit assumer "le clivage entre nationalistes et progressistes": "Il n’est pas artificiel et il n’est pas abandonné. Ne pas voir qu’il y a aujourd’hui une poussée nationaliste, extrémiste et démagogue en Europe, c’est ne pas avoir d’yeux pour voir. Lorsqu'Emmanuel Macron a parlé d’une "lèpre qui monte", il a nommé ce qui se passait, sans avoir peur de le dire“. (Le Monde, 25 octobre 2018)

    Toujours plus d'enfumage

    Cette liste est un casting sans projet. Aucune proposition concrète d’En marche n'a été présentée à l'occasion de la présentation de leur liste. Nous avons assisté à une série de slogans incantatoires, de grandes envolées, dans la droite ligne des discours creux d'Emmanuel Macron.

    Stéphane Séjourné, directeur de campagne du parti présidentiel, lui-même candidat, demeure vague en indiquant qu’En marche ne présentera son projet "de renaissance" que dans quelques semaines...

     

  • Politique fiction

    2030: La France sur la voie du Venezuela?

    Horizon 2030, la France est devenue socialiste. La catastrophe avait pourtant commencé bien avant…

    Face à la colère de la rue sévèrement réprimée samedi dernier, le Président s’est finalement adressé hier soir à la Nation depuis le palais présidentiel sur la RTE3, la seule chaîne encore autorisée par le pouvoir. En présence de ses ministres, il s’est exprimé sur le blackout électrique qui plonge le Pays dans le noir depuis le 7 mars.

    Parmi les quelques journalistes officiels accrédités, on pouvait reconnaître au premier rang de l’assemblée la Première ministre, la ministre du Contrôle de l’audiovisuel et de la propagande, le ministre de l’Intérieur,  le ministre de la Culture, le ministre des Entreprises Nationales ainsi que son épouse la ministre de la Justice. Tous les accès avaient été bloqués par la Police politique sous l’œil noir de son chef toujours aussi impeccablement coiffé de sa brosse rousse légendaire.

    La moitié du pays étant toujours sans électricité, seule l’autre moitié a pu écouter le Président. Cela fait maintenant 4 semaines que les trains ne circulent plus, que les hôpitaux fonctionnent au ralenti, que la plupart des villes ne sont plus éclairées et que les quelques privilégiés possédant encore une voiture ne peuvent plus la recharger. En effet suite à la promulgation de la loi sur la transition écologique de 2025, seuls les véhicules officiels ont encore le droit de se déplacer avec un véhicule à essence.

    L’état d’urgence permanent

    Le Président a d’abord condamné les violences de ces derniers jours en rappelant que depuis l’instauration de l’état d’urgence permanent voici deux ans, les manifestations de rue étaient totalement interdites. Si elles se poursuivent, les forces de l’ordre et l’armée y répondront sans aucune complaisance. Ensuite durant plus de deux heures, il a expliqué les raisons du blackout électrique. Il résulte d’un " complot des capitalistes européens qui sous influence de l’impérialisme américain  refusent de fournir au peuple l’électricité dont il a besoin pour son bien-être ". Des explications relayées d’une seule voix par l’ensemble des membres du gouvernement.

    Rappelons en effet que, suite à la profonde dégradation du parc nucléaire dont les trois quart des réacteurs sont aujourd’hui à l’arrêt pour des raisons de sûreté, le pays est obligé d’importer 75% de son électricité de l’Union. Mais, en manque total de devises il n’a plus payé ses importations d’électricité depuis plus de deux ans, ce qui explique la riposte de ses voisins.

    Mais comment ce pays en est-il arrivé là? Lui qui était encore il y a 10 ans la sixième puissance mondiale est aujourd’hui devenu la plus pauvre nation européenne. En dix ans son PIB a été divisé par quatre, huit citoyens sur dix sont au chômage et l’espérance de vie est passée de 80 à 63 ans. Les touristes ont fui le territoire. Sur la côte les villas abandonnées des riches étrangers ont été préemptées par les membres du gouvernement et leurs proches. Cela fait maintenant cinq ans que le festival du film international a été supprimé. L’été dernier, le dernier palace a fermé ses portes faute de clients.

    C’est à l’automne 2018 sous le mandat du Président précédent que ce drame débuta avec le fameux mouvement des Casaques rouges. Un mouvement violent, déstructuré et revanchard animé par la jalousie et la haine de la réussite et des élites. Au nom d’une nouvelle " lutte des classes " les Casaques rouges réclamaient pouvoir d’achat, justice sociale, justice fiscale et reconnaissance au sein d’une démocratie représentative.

    La multiplication des violences a finalement abouti à ce fameux samedi noir d’octobre 2019 quand les Casaques rouges ont essayé d’envahir le palais présidentiel. Acculée, l’armée a alors ouvert le feu, faisant 50 morts parmi les manifestants. Le Président qui avait pourtant tout fait pour apaiser la situation en lançant notamment une Grande consultation populaire n’avait plus d’autre choix que de démissionner sous la pression de l’opinion publique, des médias et des partis de l’opposition.

     Les élections présidentielles qui suivirent qualifièrent au second tour les deux candidats extrêmes dont les programmes étaient finalement très voisins. La victoire de justesse du candidat d’extrême gauche à l’élection présidentielle fût largement confirmée aux élections législatives où son parti remporta plus de 65% des sièges.

    Sixième République

    Un vent d’euphorie s’est alors levé sur le pays. Grâce à la Sixième République et à sa constituante, l’État allait enfin pouvoir apporter au pays la justice sociale qu’il attendait pour " reprendre aux riches et aux multinationales tout ce qu’ils avaient spolié dans le passé ".

    La nouvelle constitution octroya au peuple un semblant de démocratie participative. Ainsi, au début de son premier mandat Le Libérateur passait chaque dimanche plusieurs heures à la télévision pour animer son émission préférée " Allô Président ". Qui ne se souvient pas de l’appel de madame Dupont expliquant que " ses lunettes ne lui avaient pas encore été remboursées par la sécurité sociale " et de l’image du Président se retournant furieux vers son ministre de la Santé pour lui intimer l’ordre de créditer madame Dupont avant… mardi. Du grand art populiste qui, à l’époque, soulevait la passion des foules.

    Comme il l’avait promis lors de sa campagne électorale, le Président imposa des mesures économiques et sociales radicales. Pour compenser le doublement du SMIC, le retour de la retraite à 60 ans, la santé gratuite pour tout le monde et l’embauche d’un million de fonctionnaires, il rétablit immédiatement l’impôt sur la fortune en le portant à 3% par an. Jugeant le taux confiscatoire, de nombreuses personnes fortunées s’exilèrent au cours des deux années qui suivirent.

    Contre les recommandations de l’Union, il nationalisa sans aucune compensation la plupart des grandes entreprises privées ceci afin de " mettre la main sur leurs énormes bénéfices et éviter que les dividendes engraissent les actionnaires ". Il décida aussi d’y uniformiser la grille des salaires. Fortement pénalisés, la plupart des cadres supérieurs se sont alors mis en grève, paralysant instantanément l’économie du pays. En tant que nouvel employeur national, le gouvernement réagit immédiatement en licenciant sans délai " cette élite égoïste indifférente au malheur du peuple ".

    La première vague d’émigration

    Ces décisions eurent pour effet de faire fuir les investisseurs mais aussi et surtout les cerveaux. On les retrouve aujourd’hui dans les grandes multinationales des pays limitrophes où ils ont refait leur vie. La plupart ont d’ailleurs pris la nationalité de leur nouveau pays d’accueil pour éviter la double imposition qu’avait imposée le pouvoir en place. C’est ce que l’on a nommé la " première vague d’émigration ". En moins de trois ans, le pays s’était vidé de ses investisseurs et de ses élites, deux ingrédients indispensables à la croissance économique. Aussi, les recettes attendues des deux mesures phares (ISF confiscatoire et nationalisations) ne furent jamais au rendez-vous.

    Pour redistribuer aux Casaques rouges, il ne restait plus que la spirale de l’emprunt dont les taux sont restés très bas  jusqu’à la crise de 2026. Malgré les mises en garde de l’Union, le pays a ainsi porté son déficit à plus de 7% par an alors que sa croissance, la plus faible de l’Union, ne dépassait pas 1%. Début 2026 sa dette avait atteint 150% de son PIB. C’est pourtant cette politique économique qui permit au Président de se faire réélire haut la main en 2025 avec un surprenant 60%… au premier tour. Il faut dire que durant le premier mandat, l’opposition profondément désunie s’était révélée incapable de proposer un réel projet alternatif. Mais la nouvelle constitution fût aussi rédigée en faveur du parti au pouvoir avec notamment un redécoupage favorable des circonscriptions.

    Partie d’outre-atlantique et de Chine, la crise de 2026 emmena la planète dans une nouvelle spirale financière qui fit bondir les taux d’intérêt. En quelques mois la dette du pays doubla pour atteindre 300% du PIB. Le PREXIT était devenu inévitable. Refusant tout plan d’austérité et menaçant de ne plus rembourser ses créditeurs, le Président fût alors obligé de sortir sans délai et sans négociation de l’Union et de sa monnaie unique. Selon lui, le retour à la monnaie nationale devait être l’antidote à la mondialisation et faire recouvrer aux citoyens une prospérité que les "fascistes capitalistes et mondialistes" lui refusaient.

    Catastrophe économique

    Les conséquences économiques furent catastrophiques. Dans les mois qui suivirent, le pays entra en récession continue (il ne l’a plus quittée depuis). Inflation à trois points, baisse dramatique de la productivité et des salaires, incalculable nombre de faillites, déliquescence des services publics et retard récurrent de la paye des fonctionnaires conduisirent à un accroissement de la corruption mais aussi à des mouvements sociaux violents que le pouvoir réprima durement.

    Des mouvements sociaux " fomentés de l’étranger par les pays capitalistes hébergeant les dissidents et les traîtres " selon le Président. Un Président aux abois, qui s’est alors durci pour se maintenir au pouvoir: suppression du conseil constitutionnel, état d’urgence permanent, arrestation d’opposants politiques et de journalistes, fermeture de la plupart des organismes de presse, des chaînes de télévision et des radios privées, interdiction de la plupart des partis politiques. Pour des " raisons de sécurité nationale " la constitution a été modifiée en 2027 autorisant le Président à se représenter cette année pour un troisième mandat.

    Et pendant ce temps on assiste à une seconde vague d’émigration. Ce ne sont plus comme en 2022 les investisseurs ou les cadres supérieurs des grandes compagnies nationalisées qui quittent le pays mais des citoyens affamés et malades en quête d’un avenir meilleur. Comme toutes les frontières terrestres ont été fermées leur seul choix est de traverser la méditerranée pour rejoindre les côtes africaines totalement submergées par ce flux migratoire inattendu.

    Du Venezuela où il est actuellement en exil, l’ancien Président soutenu par de nombreux pays démocratiques appelle les citoyens à résister. Mais difficile de résister quand on gagne moins de dix euros par mois, que tous les magasins sont vides, qu’on vit la moitié du temps sans électricité et que l’on doit s’approvisionner en eau à plusieurs kilomètres car le réseau de distribution n’est plus entretenu.

    Cet appel a été relayé par Stéphane A., ancien leader charismatique des Casaques rouges lui aussi en exil et que nous avons pu rencontrer en caméra cachée. Lui qui croyait tant à la lutte des classes, à l’écologie, au partage de la richesse et à la solidarité reconnait aujourd’hui son errance. Il nous confie cette phrase étonnante " finalement je me rends compte que la richesse ne se partage pas, à terme seule la pauvreté se partage ".

     Philippe Charlez est expert en questions énergétiques à l’Institut Sapiens.

    Mayela Rivero est membre de la communauté Vénézuélienne de France.

    Radio Télévision d’État.

  • Encore une forfaiture de la macrouillerie!

    Comment l’Élysée a fait diffuser sur Twitter, via un compte anonyme, un montage vidéo falsifié pour tenter de disculper Benalla

    Une nouvelle polémique embarrassante pour l’Elysée dans l’affaire Benalla. L’ex-conseiller spécial d’Emmanuel Macron Ismaël Emelien a ajouté des images d’une autre scène de violence à celles récupérées illégalement auprès de la préfecture de police pour tenter de disculper Alexandre Benalla au sujet des violences du 1er mai à Paris. C’est ce que révèle Le Monde, vendredi 29 mars. Le tout avait été diffusé sur Twitter via un compte anonyme le 18 juillet.

    Le stratège de l’Elysée avait déjà dû s’expliquer mi-janvier devant la "police des polices" sur la diffusion de ces images de vidéosurveillance policière montrant un jeune couple en train de lancer des bouteilles et d’autres projectiles sur les policiers place de la Contrescarpe, avant l’intervention d’Alexandre Benalla.

    Les images en question, qui avaient fuité le soir de la révélation du scandale par Le Monde, s’étaient retrouvées le lendemain sur des comptes Twitter pro-Macron, tels que @FrenchPolitic, tenu par un salarié de La République en marche chargé du numérique, Pierre Le Texier, et supprimé depuis.

        Enquête du @lemondefr sur la diffusion de la vidéo Benalla:

        Trois quarts d’heure après la mise en ligne, Sibeth N’Diaye prévient quelques journaliste : "Va voir un compte qui s’appelle “French Politic”. Tu verras que Benalla n’est pas celui qu’on dit."https://t.co/wEVon5cePb

        — Vivien Vergnaud (@Vergnaud) March 29, 2019

    Ismaël Emelien, spécialiste de la communication de crise passé par l’agence Havas, a ajouté à ces images de vidéosurveillance une autre scène de violence où l’on voit un homme, très agité, poursuivre un policier, chaise à la main. "Il ne s’agit nullement du jeune homme désormais bien connu immobilisé par Alexandre Benalla place de la Contrescarpe, comme en attestent facilement ses chaussures, de couleur différente, ou encore son blouson, sans fourrure", écrit Le Monde. La vidéo date de la soirée, "bien après l’altercation entre Alexandre Benalla et le couple" de la Contrescarpe, poursuit le quotidien.

    (…) France info

     

  • Les cons, ça ose tout….

    c'est même à cela qu'on les reconnait (M. Audiard)

    Rokhaya Diallo attaque Céline Pina… parce qu’elle n’est pas d’accord avec elle

    La militante laïque Céline Pina est la cible de la médiatique activiste "décoloniale" (pauvre tarée!) Rokhaya Diallo et de l’association musulmane "féministe" (hé mon cul… c'est du poulet (réplique de B B. dans un film) Lallab.

    Son crime: être en désaccord avec elles, et avoir osé le dire.

    Céline Pina, militante républicaine universaliste et laïque, est en butte à d’odieuses accusations de la part de Rokhaya Diallo et de l’association Lallab. Au lieu d’essayer de répondre à ses arguments, ses ennemis préfèrent essayer de la faire taire en instrumentalisant les tribunaux et d’abuser des droits que la République leur donne pour tenter d’en saper les fondements même.

    Face aux attaques, et après un moment de doute bien compréhensible, Céline Pina a fort heureusement trouvé la force de poursuivre la lutte, grâce à des soutiens spontanés qui prouvent, si besoin était, qu’il est encore permis d’espérer.  (…)

    www.causeur.fr

     

    SOUTIEN SANS RÉSERVE A CÉLINE PINA

     

     

  • Traitre à la Nation française, le macrouille

    Les barrages français cèdent face aux intérêts privés

    Le gouvernement a annoncé sa volonté de privatiser 150 barrages hydroélectriques en France, en dépit de leur caractère hautement stratégique. Il répond ainsi à la volonté de la Commission qui s’était juré de faire chuter ce monopole d’État contraire au dogme de la concurrence libre et non faussée.

    Vous avez aimé les Aéroports de Paris, les autoroutes et Engie, vous allez adorer ce nouvel épisode de la grande série de privatisations, pour le moins étonnantes, menée par le gouvernement français. Cette annonce fait suite à près de dix ans de pression de la part de la Commission européenne pour démanteler la gestion publique de l’énergie hydro-électrique.

    Puisqu’il était impossible d’exiger la privatisation des centrales nucléaires, relevant des activités d’importances vitales de la nation, la Commission s’est donc reportée sur la deuxième source française de production d’énergie, à savoir les barrages.

     […]

    Source: France Culture

    Macrouille, vendu aux puissances de l'argent!

     

  • Y'a des coups de pieds au... qui se perdent!

    Les églises, victimes d’un inquiétant vandalisme

    Saccages, vols, profanations… Les lieux de culte catholiques sont pris pour cible sur tout le territoire, avec près de trois actes commis par jour. Des élus LR interpellent les autorités.

    "Dieu pardonnera, moi pas": Bernard Carayon, maire de Lavaur, dans le Tarn, ne décolère pas depuis la profanation qui a visé, le 5 février dernier, la cathédrale Saint-Alain, joyau du gothique méridional. En fin de journée, deux lycéens, identifiés grâce à des caméras situées à proximité, investissent le lieu de culte, embrasent l’autel d’une des chapelles de l’édifice ainsi qu’une crèche. Un crucifix est retourné, un second jeté tandis qu’un troisième Christ en croix a le bras tordu pour lui faire prendre une pose grotesque dans le confessionnal.

    "Cet acte fondamentalement antichrétien a été perpétré au moment même où l’on venait d’achever cinq années de travaux de restauration, pour une facture de 2 millions d’euros, s’indigne l’édile du Tarn. Il a fallu en appeler aux pompiers pour aspirer l’épaisse fumée noire et à une quarantaine de paroissiens pour remettre de l’ordre".

     (…) Le Figaro