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Outre les innombrables destructions diverses et onéreuses, le bilan des " émeutes” se compte aussi par milliers de véhicules incendiés… Bus, voitures, deux-roues, les dépanneurs sont débordés par les 5 000 carcasses à retirer au plus vite, pour faire oublier ces ravages.
"Mes vêtements sont imprégnés de l’odeur de brûlé, je n’en peux plus. "Au milieu du labyrinthe des dizaines de carcasses brûlées, le responsable de la fourrière de Nanterre tente de guider le conducteur du chariot élévateur. Les deux fourches soulèvent une voiture dans un nuage de poussière et la déposent sur le toit d’un deuxième véhicule pour gagner de l’espace.
Devant la fourrière, un camion en transporte une dizaine, en attente de trouver un lieu de stockage. "On doit en emporter sur un autre site, on est saturé là, ce n’est plus possible. On en a ramené 90 mais il en reste encore une trentaine dans Nanterre".
Ce volume exceptionnel de véhicules brûlés, Jean-Claude Dugeny, le président de Mobilians Île-de-France, le confirme: "En 40 ans de métier, je n’ai jamais vu ça, même pendant les émeutes de 2005 et 2007". Sur toute la France, 5 662 véhicules ont été incendiés. En 2005, c’était le double mais sur trois semaines d’émeutes au lieu d’une.
"Les feux ont été tellement violents que tout a fondu, les plaques d’immatriculation, les numéros de série, explique Dimitri. Ça va être très compliqué pour les assurances".
Se pose aussi le problème des bus dont l’opération de levage et de transport, par grue puis char, coûte très cher: "C’est entre 8 000 et 12 000 euros, indique Jean-Claude Dugeny. "Quand on le facture à l’administration, on nous répond que comme ce n’est pas identifiable, ce sont des déchets et donc on ne les paie pas. On demande donc aux dépanneurs d’assumer ce coût. Ce n’est pas normal" et ils ne le feront pas! À défaut, les fourrières vont laisser les véhicules où ils sont…
Ces professionnels, très habitués aux feux de joie des petits anges pour célébrer leur grandes fêtes de fin d’année ou autres réjouissances imprévues… s’attendent à des fiestas plus importantes que d’ordinaire pour le 14 juillet, assorties de feux d’artifices extraordinaires, les petits chérubins étant devenus des artificiers d’exception.
Et Darmanin enverra sa police compter les fusées envoyées par les Kevin et les Mattéo… puis les pompiers compter les véhicules brûlés par les Mattéo et les Kevin… sans parler des surprises que ces petits facétieux peuvent réserver à cette France qu’ils aiment tant.
Après Christiane Taubira, une indépendantiste (donc anti-France par définition), communautariste, "décolonialiste", épouse d’un militant radical responsable d’attentat, et adepte de la culture de l’excuse (réservée aux minorités) et de la revanche coloniale, voire de l’esclavage (en excluant les 1000 ans d’esclavage organisés par les Arabes…) et qui a, dès son arrivée, annulé les programmes de construction de prisons en 2012… et qui pendant 4 ans a semé les germes de l’impunité…
Ensuite, un mois de François Bayrou, vite rattrapé par ses affaires et qui lui, eut au moins la décence de s’effacer (avant d’être recasé en 2020 au Haut-commissariat au plan). Il reste à ce jour renvoyé en correctionnelle pour détournements de fonds publics mais ça ne dérange personne puisque cette mafia d’entre soi se coopte, se protège dans une totale impunité là aussi voire une arrogance provocatrice… Souvenez-vous, par exemple que pendant 5 ans, le président de l’Assemblée nationale était un escroc juste sauvé par la prescription de son affaire avérée, Richard Ferrand…
Ensuite, Nicole Belloubet, au look de sorcière baba cool, dont le seul objectif était de vider les prisons pour atténuer la surpopulation carcérale (découlant d’un invraisemblable aveuglement idéologique "socialo progressiste") et qui profita même de l’escroquerie covid pour libérer plus de 10 K "petits anges"…
Et enfin, en 2020, en pleine période déjà d’ensauvagement, de délinquance, de violence gratuite et globalement de tiers-mondisation même de nos centres-villes devenus des coupe-gorges, voilà que notre président Emmanuel Macron nomme Éric Dupond-Moretti, un avocat plus ou moins véreux, idole des racailles (dès sa nomination, il alla d’ailleurs visiter "ses clients" en prison pour vérifier leurs conditions de détention et se faire acclamer…).
Il commença par nier cet ensauvagement et l’explosion de l’insécurité qui n’est plus limitée à certains quartiers périphériques de grandes villes mais partout, même dans nos campagnes…
Le pire c’est qu’au-delà de cette provocation faisant passer les Français pour des fous (en parlant de simple "sentiment d’insécurité") et souvent avec agressivité façon donneur de leçons de morale, lui, l’immoral, en prime, il a profité de sa nomination et de son poste pour "régler ses comptes personnels" avec certains magistrats…
Grâce à lui, premier ministre de la Justice en exercice qui va être jugé par ceux qu’il nomme (en résumé) et qui n’est pas viré par le Président malgré sa déclaration mensongère de 2017 " un ministre mis en examen doit démissionner " (un mensonge parmi une longue liste d’autres mais qui sont permis par la Ve République actuelle…)…
… Eh bien, peut-être que "les gens" vont enfin comprendre qu’une réforme de la Justice est indispensable et vitale allant évidemment de pair avec une réforme de la Ve République…
En attendant, les partis et politiciens du système parleront, s’offusqueront mais ne proposeront rien de concret et les gens ne les mettront pas au pied du mur et pendant ce temps-là, il existe un petit mouvement citoyen que je ne nommerai pas ici mais qui depuis 2017 propose des solutions réalistes et concrètes mais dans le désert…
À cause des délires écologistes sur le soi-disant "dérèglement climatique" tout est mis cul par-dessus tête dans notre pays.
Notre territoire se couvre d’éoliennes et de méthaniseurs, qui coûtent une fortune et n’arriveront jamais à simplement égaler l’énergie nucléaire qui produit une électricité abondante et bon marché. À l’inverse, nous subissons une crise énergétique majeure à cause des décisions débiles de l’Europe qui lient le prix de l’électricité à celui du gaz pour satisfaire les intérêts économiques des Allemands, tout en ruinant notre pays et son peuple.
Toujours à cause des théories folles des écologistes, l’industrie automobile va être sacrifiée, provoquant des centaines de milliers de chômeurs dans notre pays, afin d’imposer l’utilisation de voitures électriques qu’une considérable partie de la population ne pourra pas s’offrir car elle n’en aura pas les moyens. Comment vont faire ces Français, notamment dans les campagnes pour se déplacer?
Non contente d’imposer cette catastrophe économique et sociale, l’Europe et les écologistes fous veulent aussi interdire dès 2025 (en plus des villes déjà frappées) l’accès aux villes de plus 125.000 habitants à tous les véhicules qui ne sont pas électriques (même les hybrides).
Comment vont faire nombre de Français pour se rendre à leur travail ou vivre tout simplement?
Comment le cœur des villes va-t-il pouvoir être livré des marchandises attendues si les camions et camionnettes ne peuvent y accéder?
Mais ce n’est pas tout, il y a aussi les récentes législations votées par l’Europe qui vont commencer à s’appliquer très rapidement concernant les logements.
Tout logement ne répondant pas aux normes exigées pour les économies d’énergies, ne pourra être ni vendu ni loué.
Les projections faites annoncent, par exemple, que 30% du parc immobilier locatif parisien devrait ainsi disparaître. Mais comment vont faire les gens pour se loger?
Les prix sont déjà extrêmement élevés en région parisienne, si vous enlevez 30% du parc immobilier nombre de personnes n’auront plus la possibilité de se loger et les prix vont exploser et atteindre d’incroyables sommets.
Tout cela au nom de la lutte contre le dérèglement climatique et afin de faire baisser la quantité de CO2 produite… alors que la production de CO2 en Europe ne représente que 9% de la production mondiale et moins de 1% en France.
Alors pourquoi cette politique complètement folle qui va agresser brutalement le peuple sans aucune justification sérieuse? D’autant que de nombreux scientifiques disent que ce "dérèglement climatique" est tout sauf prouvé scientifiquement.
On peut sur ce plan juger du sérieux de ceux qui font la promotion de ces mesures en écoutant par exemple Mathilde Panot qui vient de déclarer :
"Nous avons connu sur le mois de juillet les 7 jours les plus chauds depuis 100.000 ans".
Sans blague… il y a 100 000 ans, ils faisaient déjà des relevés de températures?
Et la même d’ajouter à propos de la sécheresse consécutive à cette augmentation des températures (due à la quantité de CO2 excessive dans l’atmosphère) :
"Nous avons notamment une situation de sécheresse en France, mais également une situation de sécheresse dans les océans et dans les mers ce qui est extrêmement dramatique".
Là c’est sûr, c’est extrêmement dramatique… mais le plus effrayant c’est qu’aucun journaliste n’a osé dire à la Mathilde qu’à l’évidence elle n’avait pas le gaz et l’électricité à tous les étages et qu’il fallait sans doute qu’elle pense à arrêter de fumer la moquette.
Par contre le peuple, lui c’est certain, va sérieusement dérouiller à cause de politiciens fous faisant la promotion de ces politiques qui sont autant d’actes de guerre contre le peuple.
Autre exemple de cette guerre déclarée au peuple : la liberté d’expression.
La "gauche" et les bien-pensants expliquent ni plus ni moins qu’ils sont les seuls à pouvoir informer la population.
Ainsi au JDD, depuis plus de 4 semaines, les journalistes sont en grève contre la venue de Geoffroy Lejeune, catalogué "extrême droite" par ces journaleux ultra sectaires mais qui se considèrent comme des démocrates.
Leur revendication est des plus simples : l’assemblée des journalistes du journal doit pouvoir décider par un vote (alors qu’il s’agit d’un journal sous statut privé) qui va être le Directeur de la rédaction.
Ces gens sont impayables. Ils se croient encore en Union Soviétique en exigeant que le soviet du JDD et le commissaire politique local approuvent ou pas l’arrivée nouveau Directeur de la rédaction.
Ça n’a peut-être l’air de rien comme cela, mais leur revendication est hallucinante.
Ils revendiquent le monopole de l’information de la population et refusent à quiconque n’a pas leur opinion de pouvoir le faire et même simplement de pouvoir y participer.
Donc seuls les bien-pensants et les "politiquement corrects" peuvent remplir cette fonction, les autres, c’est-à-dire "l’extrême droite" et "les fascistes", en étant obligatoirement écartés.
Ceux qui mettaient en œuvre ce type de méthodes étaient les sbires des régimes de Staline, Mao, Pol Pot, etc.
On se souviendra peut-être que ces régimes et leurs exécutants ont aussi fait des dizaines de millions de morts.
Mais en 2023, ces journalistes "démocrates" entendent remettre à l’honneur ces méthodes. Le plus incroyable étant que tant de gens ne soient pas choqués de cette volonté de mise en coupe réglée de l’information.
Et comme ces gens n’ont aucune limite, ils souhaitent même qu’une Loi officialise leurs volontés.
En attendant le jour de cet heureux événement, des "États généraux de l’information" doivent se tenir prochainement avec à leur tête Christophe Deloire, le patron de Reporters Sans Frontières, qualifié pour la circonstance de "personne neutre", mais qui passe sa vie à dénoncer l’empire Bolloré. Le reste des organisateurs dans cette commission étant constitué d’anciens de Libération et du Nouvel Obs, ainsi que quelques partisans de Macron. Des gens donc très objectifs et pas partisans pour un sou.
Le peuple français peut donc s’attendre à ce que des décisions sortent de ces États généraux lui assurant une information honnête et objective. Il n’y a absolument rien de négatif à redouter sur ce plan.
Un dernier exemple mérite d’être signalé en tant qu’acte de guerre contre le peuple : la dernière décision du Conseil constitutionnel concernant les squatteurs. Là, ça envoie du lourd, du très lourd.
Comme chacun le sait, tout propriétaire d’un bien immobilier redoute d’être victime de squatteurs. En effet, c’est un véritable parcours du combattant pour un propriétaire s’il est confronté à la confiscation de son bien par des squatteurs.
Il ne peut récupérer seul son bien et doit obligatoirement passer par le tribunal, qui met un temps infini à trancher le litige et lorsqu’au bout du parcours le propriétaire finit par retrouver son bien, il est invariablement dans un tel état qu’il lui faut dépenser des sommes considérables pour le remettre en état. Sans pouvoir se retourner contre les squatteurs qui sont insolvables dans la quasi-totalité des cas.
Donc une Loi a été votée récemment afin de faciliter pour les propriétaires victimes la récupération de leur bien, en pouvant expulser plus rapidement les squatteurs.
Mais il se trouve que le Conseil constitutionnel "dans sa grande sagesse" vient de censurer en partie cette Loi qui se fixait pour objectif d’être un peu plus protectrice pour le propriétaire des lieux.
Ainsi, invoquant l’article 1244 du Code civil qui prévoit que "le propriétaire d’un bâtiment est responsable du dommage causé par sa ruine, lorsqu’elle est arrivée par une suite du défaut d’entretien ou par le vice de sa construction" le Conseil constitutionnel a censuré en partie cette Loi.
Un squatteur pourrait être victime par exemple d’une blessure résultant d’un manque d’entretien du bâtiment qu’il squatte. Ce squatteur pourrait donc se retourner contre le propriétaire pour "défaut d’entretien de cette habitation" et même lui demander d’indemniser le préjudice.
On se pince pour y croire, mais c’est ce que vient de décider le Conseil constitutionnel à l’occasion de l’examen de la Loi "anti-squat" qui vient de lui être présentée.
Là où l’on se rend compte de la folie dans laquelle sont tombés ces "sages", c’est que si le propriétaire s’avise de pénétrer dans son logement, occupé par des squatteurs, pour y faire des réparations qui s’imposent, ce propriétaire peut se voir attaqué au tribunal par les squatteurs pour… violation de domicile.
Au lieu de défendre le propriétaire gravement spolié par le squatteur, le Conseil constitutionnel vient donc de prendre ouvertement le parti du squatteur contre le propriétaire. Tout cela est juste insensé.
Au moment de conclure cet article je ne peux m’empêcher de lister les points sur lesquels le peuple français est attaqué.
l y a la crise de l’énergie, la défiguration de nos campagnes avec éoliennes et méthanisations, les voitures, les habitations, l’accès aux villes, les possibilités de se déplacer notamment dans les campagnes, les restrictions d’eau, les limitations voire l’interdiction d’accéder à une information honnête, l’impossibilité de se défendre sérieusement contre les squatteurs.
Et je ne parle pas des problèmes d’insécurité, de vols ou d’agressions ainsi que de tant d’autres problèmes.
C’est indiscutable, notre société a vraiment déclaré la guerre au peuple français. Jusqu’à quand cela peut-il durer?
Je viens de voir un reportage qui a du faire frémir bien des Françaises… des laits pour enfants pleins de larves…
Dès que j'ai entendu le commentaire et AVANT de voir les images des boîtes de lait, j'ai su tout de suite, qu'il s'agissait des boîtes de lait en poudre BIO. (la caméra a montré des boîtes de lait incriminées par le haut du rayon et, en descendant, a montré les boîtes bio et donc…
Les farines bio ne sont jamais traitées par des insecticides…
Cela m'est arrivé durant plusieurs années, j'achetais des pâtes et autres bio et j'ai été infestée de larves et de papillons avant de comprendre d'où cela provenait… j'ai dû nettoyer mes placards en jetant TOUTES mes réserves et j'ai utilisé les bocaux de verre de légumes pour avoir des contenants en verre, fermés. Depuis, plus rien.
Hélas, concernant ce lait, rien n'y fera: il faut sans aucun doute mettre une date de validité plus courte (trois mois max) et mettre les boîtes poudre bio LOIN des autres boîtes, dans un rayon isolé.
Et la firme en question devrait communiquer comme j'ai indiqué plus haut
Record de sanctions disciplinaires contre les députés en un an, LFI quasiment le seul parti concerné
Au cours de la Ve République, le pouvoir disciplinaire était, jusqu’à récemment, très peu utilisé et surtout concentré sur le rappel à l’ordre simple. C’est de loin la sanction disciplinaire la plus appliquée (102 sur les 132 prononcées depuis les débuts de la Ve République). La majorité présidentielle l’a largement employé ces derniers mois, notamment dans le contexte de la réforme des retraites. Dans la période récente, d’autres sanctions ont pu concerner, par exemple, des situations de " confusion entre l’exercice de leur mandat politique et des intérêts privés".
UNE HAUSSE DES SANCTIONS SOUS MACRON Au total, 109 des 132 sanctions prononcées depuis 1958 l’ont été depuis 2017 et l’arrivée d’Emmanuel Macron au pouvoir. Dans le même temps, les peines les plus sévères sont moins rares. Début 2023, la censure avec exclusion temporaire a ainsi été prononcée par l’Assemblée, sur proposition du bureau, pour deux députés dont Thomas Portes (LFI), pour un tweet qui le montre, ceint de son écharpe tricolore, posant le pied sur un ballon à l’effigie du ministre du travail.
Cette sanction n’avait jusqu’alors été prononcée qu’une seule fois lors de la Ve République, en 2011. De la même façon, les rappels à l’ordre avec inscription au procès-verbal, dont la première utilisation date de 2009, sont plus fréquents.
La virulence verbale n’est pas un phénomène inédit, y compris durant la Ve République, rappelle l’historien Jean Garrigues. Alors, peut-on déduire de l’augmentation des sanctions une hausse récente de la violence dans l’hémicycle? Pour le président du Comité d’histoire parlementaire et politique, il faut lire dans les tensions des derniers mois une forme de "jeu de rôle" entre La France insoumise et le camp présidentiel.
Si l’un tente de "montrer à l’opinion, par le biais de cette conflictualité, qu’il constitue la seule opposition", la majorité tend à les "exclure de ce que l’on appelle l’arc républicain".
(…)
LES DEPUTES DE LA GAUCHE RADICALE, LES PLUS SANCTIONNES Ce sont sans surprise les élus de La France insoumise, qui effectuent pour la plupart leur premier mandat à l’Assemblée nationale, qui ont concentré la quasi-totalité des sanctions de la session parlementaire ordinaire 2022-2023. Le 16 mars, Matthias Tavel (LFI) a par exemple reçu un rappel à l’ordre pour un "Ta gueule, toi là-haut!", lancé à un député d’extrême droite.
En parallèle, les députés du Rassemblement national n’ont reçu que quatre sanctions depuis leur arrivée massive au Parlement, l’année dernière.
Les parlementaires d’opposition sont les plus sanctionnés, mais ils n’ont pas le monopole. La macroniste Pascale Fontenel-Personne a ainsi été rappelée à l’ordre en 2017 pour sa "confusion entre l’exercice de son mandat parlementaire et les intérêts de son entreprise".
UN PERIMETRE DE SANCTION VARIABLE? "Il est compliqué de sanctionner son camp", relève Jean Garrigues. Plusieurs responsables politiques ont récemment allégué de différences de traitement selon l’appartenance politique du député en cause.
Fin juillet 2022, François Ruffin a ainsi déploré qu’un député de la majorité ne reçoive qu’un rappel à l’ordre pour un salut nazi (fait, selon l’intéressé, pour "stigmatiser" un député du Rassemblement national qui aurait préalablement effectué ce geste) – alors que M. Ruffin avait pour sa part été sanctionné financièrement en 2017 pour avoir porté un maillot de football en séance, en soutien à une proposition de loi.
35.000 signataires de l’Oregon Petition, dont de prestigieux universitaires et directeurs de recherche, ainsi qu’une brochette de Prix Nobel, pour qui « Il n’existe aucune preuve scientifique convaincante indiquant que les émissions de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à effet de serre causent ou causeront, dans un avenir prévisible, un réchauffement catastrophique de l’atmosphère de la Terre et une rupture de son climat.» Un article mis en ligne le 4 juillet, intitulé "L’humanité n’est pas responsable du réchauffement climatique". Son auteur, un certain Pascal Mainsant, ingénieur de recherche à l’Inrae y développe des arguments connus depuis les premières mises à plat de Claude Allègre qui, déjà en 1995, dénonçait un danger imaginaire inventé par des lobbies. Mais il est toujours utile de rappeler ce qui, pour les scientifiques non sponsorisés par le GIEC, officine de propagande du gouvernement mondial, relève de connaissances élémentaires du niveau d’un étudiant de première année. Les réchauffements climatiques du passé historique L’auteur écrit : « Aussi bien au Moyen Âge que pendant l’Empire romain, les glaciers alpins étaient encore plus reculés qu’aujourd’hui » En effet, en l’an 218 avant notre ère, Hannibal a fait franchir les cols des Alpes à 40 éléphants de guerre pour attaquer les Romains par surprise. Et sur leur route, les pachydermes ne sont pas gelé les orteils dans les glaciers et les neiges éternelles. En 985, les Vikings s’étaient installés au Groenland libre de glaces… Et, en 994, Hugues Capet régnant en France, l’absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, asphyxiant tous les poissons. La chaleur enflamma des forêts entières avec leur gibier et anéantit les prairies, les moissons et les troupeaux. Une reconstitution modélisée de ces phénomènes extrêmes conclut à des températures supérieures à 42°C pendant au moins 6 à 8 semaines. Les clercs, témoins à l’époque, relatent une "chaleur infernale" pendant plus de 3 mois! Des canicules de plusieurs mois, tarissant puits et fontaines, faisant des fleuves de simples ruisseaux, détruisant les récoltes tandis que hommes et bétail mouraient littéralement de soif puis de faim, on en connut 8 majeures jusqu’en 1684… Et ça continua ainsi jusqu’au XXème siècle. Mais les astrologues du GIEC n’ont probablement jamais entendu parler de la canicule de 1911 qui fit en France 45.000 morts sur 40 millions d’habitants (en 2003, 19.000 morts pour 60 millions de personnes) Emmanuel Leroy Ladurie (pourtant pro GIEC auparavant) relève dans son "Histoire du climat depuis l’an mil"» que des lieux dits des Alpes, qui n’ont pas changé de nom jusqu’à aujourd’hui, figuraient au Moyen Âge comme fermes, pâturages ou forêts sur des actes notariés, alors qu’ils sont en partie ou en totalité recouverts par des glaciers de nos jours. Les mensonges du GIEC pour affoler les populations L’auteur qui s’adresse aux décideurs nationaux, exécutifs régionaux et hauts fonctionnaires, expose qu’il n’y a pas plus de canicules, de cyclones, d’inondations, de sécheresses ni de record de température maintenant que depuis 3000 ans. Et que les mensonges sur la réalité de la situation climatique servent l’objectif inavouable du GIEC: convaincre l’humanité de sa responsabilité dans un réchauffement cataclysmique. Tout cela pour accéder au statut de sauveur avec les récompenses que l’on peut en attendre: Renommée, argent et pouvoir. Le dioxyde carbone, obsession des réchauffards, n’est pas un poison Bien au contraire, il est indispensable à la vie ! C’est l’aliment de base des plantes. Avec l’eau et le rayonnement solaire. Sans le CO2, qui ne représente que 0,04% de l’atmosphère, il n’y aurait pas de plantes et une grande partie de l’air que nous respirons ne se renouvellerait plus. D’ailleurs, si la concentration de CO2 dans l’atmosphère a légèrement augmenté à la fin du siècle dernier, aujourd’hui le niveau est stable, et même en très légère baisse sans que l’intervention humaine y soit pour quelque chose. Dans le même temps la surface couverte par la végétation sur la terre s’est accrue de 20%. La déforestation est un autre mythe des catastrophistes. Au temps des dinosaures, le niveau de CO2 a atteint des valeurs proches de 10.000 ppm (partie par million ou 106) soit 25 fois la concentration actuelle. Ce fut pourtant l’époque d’une flore et d’une faune géantes d’une extraordinaire diversité. D’ailleurs est-ce un hasard si les agriculteurs en serres y injectent trois fois plus de CO2 qu’il n’y en a dans l’atmosphère? Résultat observable: Les plantes poussent plus vite, elles résistent mieux aux maladies et aux insectes, leurs fruits sont plus gros, et grâce à une photosynthèse plus efficace, elles consomment moins d’eau. Perdre la moitié de la concentration actuelle, de l’ordre de 400 ppm, conduirait inexorablement à l’extinction d’une grande partie de la végétation et donc des animaux qui s’en nourrissent. Avec à l’horizon la famine pour la plupart des humains. Incluant les végans qui divaguent. En outre, rappelons que près des trois quarts de l’oxygène que nous respirons provient du phytoplancton (et pas des forêts!) C’est le vrai poumon de la planète, lequel se nourrit de CO2. Réduire de façon drastique le CO2 mènerait à une catastrophe planétaire. Les dépenses pour une transition énergétique fantasmée sont de l’argent dilapidé, mais pas perdu pour tout le monde Un minimum de 90.000 milliards de US dollars est prévu afin de réduire la teneur en CO2. Le seul résultat tangible sera d’engraisser les multinationales ripolinées en vert du Nouvel Ordre Mondial, les apôtres de la bonne pensée subventionnée, les commissaires politiques du comportement conforme, et les politicards qui prélèveront leur dîme au passage. L’auteur continue sur sa lancée, provoquant l’effroi puis la haine de ses critiques. Il ose écrire : "La hausse des températures provient d’une augmentation du champ magnétique du soleil qui favorise l’ensoleillement. Et si un réchauffement naturel tendait à augmenter la teneur de l’atmosphère en CO2, l’activité humaine y serait marginale. Conclusion : La thèse du GIEC est dépourvue de toute base scientifique. Sa diabolisation des énergies fossiles est notoirement fausse". LES VARIATIONS DE TEMPERATURE DEPENDENT A 99% DU SOLEIL Avant l’ère spatiale, les scientifiques croyaient que l’irradiation solaire totale était constante. À partir de 1978, on a pu la mesurer par les satellites. Leurs données combinées ont prouvé que la TSI (total solar irradiance) varie d’environ 0,1 % du minimum au maximum du cycle solaire. Ça paraît peu. En astronomie c’est énorme. L’intensité de la radiation de notre étoile varie en fonction des taches solaires qui sont plus sombres et plus froides que la surface du Soleil. Ces taches s’accompagnent de points lumineux qui augmentent l’intensité des radiations solaires qui régulent nos climats. Dès lors une période avec peu de taches n’annonce pas un réchauffement mais un refroidissement ! Ainsi, le petit âge glaciaire entre 1550-1860 a correspondu à un très faible nombre de taches solaires. Et même à une disparition complète de celles-ci entre 1665 et 1700. Et en 2020 alors que l’Europe subissait une canicule "jamais vue" selon les médias-menteurs, l’Institut Météorologique Danois affirmait que "L’Arctique connaît son été le plus froid depuis 64 ans". Les réchauffards s’étranglent quand Christian Gérondeau, polytechnicien, ancien haut fonctionnaire et scientifique climato-réaliste, conclut que "la vision uniformément négative de l’évolution de la planète et de l’humanité qui nous est constamment ressassée ne correspond pas à la réalité". Graphiques sur https://climatorealist.blogspot.com