les preuves accablantes
Chacun se souvient de la polémique suscitée, lors de la crise du Coronavirus, par l’usage d’un médicament, le Rivotril, dispensé abondamment dans les maisons de retraite (qu’on appelle maintenant Ehpad) aux personnes âgées, pour abréger leurs souffrances, quand elles ne pouvaient plus respirer. Certains avaient parlé d’euthanasie, et d’autres, comme le docteur Serge Rader, interrogé par André Bercoff, avaient parlé de " personnes âgées achevées ". De nombreuses plaintes ont été déposées, tant la manière dont ce régime a laissé mourir nos anciens, en interdisant toute visite des êtres aimés, et en les privant de toute possibilité de soins dans nos hôpitaux et nos cliniques, figurera dans les pages noires du bilan de Macron et de son équipe d’assassins.
Et malgré tout, comment ne pas faire le parallèle entre l’usage massif du Rivotril, imposé pour hâter la mort des personnes âgées, et le traitement que Macron fait subir à notre France, depuis trois ans, certes, mais surtout depuis l’épidémie du Coronavirus, et ses lendemains.
Rappelons d’abord que ce dangereux idéologue a refusé de fermer nos frontières, y compris pendant une bonne partie du confinement militaire imposé aux Français, laissant ainsi des personnes venues de zones contaminées, notamment l’Asie, descendre tranquillement de leurs avions et se balader en France !
Rappelons encore que ce régime a tout fait pour empêcher que le maximum de Français guérissent, notamment en multipliant les mesures contre le traitement proposé par le professeur Raoult, et en persécutant celui que le monde entier, sauf la France, considère comme un expert incontournable, voire un génie, dans le traitement des maladies infectieuses.
Rappelons enfin que Macron et sa fine équipe, terrorisés par les chiffres annoncés par le fumeux mathématicien anglais Ferguson – par ailleurs conseiller de Bill Gates et de l’OMS – ont mis en prison toute la population française et ont mis fin à toute activité économique, pendant deux mois, ne laissant ouverts que ce qu’ils considéraient comme des produits de première nécessité. Décision imbécile et criminelle, comme l’ont montré de nombreux spécialistes, notamment l’anthropologue suisse Jean-Dominique Michel.
Faire cohabiter ensemble, sans les avoir testés, des gens malades et des gens en bonne santé, c’est créer les conditions pour que les premiers contaminent les seconds. D’autre part, par une vision centraliste stupide, imposer le même traitement à la Lozère qu’à Paris est d’un rare crétinisme.
Les résultats sont bien sûr catastrophiques. La France, qui se vantait d’avoir le meilleur système de santé au monde, et d’y consacrer l’argent nécessaire, se retrouve dans le Top-5 des pays qui ont le plus de morts par million d’habitants (comme d’autres pays confineurs fous) et notre économie fait partie de celle qui a le plus souffert au monde.
En dehors de cela, Macron, durant l’épidémie, a laissé nos frontières ouvertes, et se permettait de faire la leçon aux autres pays européens qui, eux, avaient fermé les leurs. Sa priorité a été de donner de l’argent aux pays d’Afrique du Nord, et de militer pour l’annulation de la dette des pays africains. Mais il y a pire.
À peine trois jours après l’allègement du confinement, début mai, il faisait voter à la hussarde la liberticide loi Avia, malgré les nombreuses casseroles de celle que ses détracteurs surnomment " La cannibale taxiphobe " depuis qu’elle a mordu sauvagement un chauffeur de taxi qui voulait lui faire payer son transport. Alors que Sibeth Ndiaye voulait imposer un site gouvernemental, sur le Covid, donnant les bons et les mauvais points pour la presse et les sites, Avia a fait voter une loi monstrueuse, encourageant une véritable délation d’État, et imposant à des officines privées, appelées les Gafa, le devoir, sous peine d’énormes amendes, de virer tous les textes ou toutes les vidéos dénoncées par des minorités organisées, qui y verront de l’incitation à la haine. Une façon de museler les Français, la réinfosphère et tous ceux qui seraient tentés par l’alternative populiste pour sauver notre pays, sa civilisation et son mode de vie.
La haine, les Français informés, ceux qui ne sont pas encore lobotomisés par la propagande gouvernementale et médiatique, la voient tous les jours dans les pratiques des soldats de l’islam, dans les violences des nombreux jeunes issues de la diversité, qui, trop souvent, se tournent contre nos compatriotes qui avaient le seul tort d’être au mauvais endroit, au mauvais moment. Contrairement à la situation aux États-Unis, les statistiques ethniques sont interdites dans notre pays, mais, malgré les menteurs professionnels comme Hervé Le Bras, tout le monde sait que les prisons sont majoritairement remplies de Noirs et d’Arabes, même si la Belloubête se distingue en relâchant 15 000 d’entre eux dans la nature. Tant pis pour ceux qui les croiseront!
Mais le sommet de la pourriture de ce régime est atteint depuis une semaine, par sa complicité criminelle avec des racistes noirs et les organisations d’extrême gauche, qui ont décidé d’installer une guerre civile raciale en France, rien de moins, en transférant en France les violences qui se déroulent aux États-Unis, orchestrées par les démocrates, les Antifas et des suprémacistes noirs. Car ne soyons pas dupes, la cible, outre-Atlantique, c’est Donald Trump, dont ils n’ont toujours pas digéré l’élection de 2016, et encore moins le bilan économique exceptionnel, avant la crise du Coronavirus. Ayant échoué à le faire destituer, malgré trois années de pilonnage et de propagande hostiles, il rêvent, à présent, après avoir, dans les états démocrates, multiplié les confinements aux conséquences mortelles pour les Américains, et catastrophiques pour l’économie, de faire tomber le Président américain avec ces émeutes manipulées.
Et maintenant, tout ce cinéma arrive dans notre pays ! La France, considérée comme le sixième puissance au monde (quand nous allions à l’école, nous étions quatrième) a montré, lors de la révolte populaire des Gilets jaunes, ce que l’appareil d’État était capable de faire pour briser un mouvement qui menaçait le régime. Chacun se souvient des yeux crevés, des nassages (mis en place contre La Manif Pour Tous), des arrestations massives, des centaines de peines de prison effectives, et surtout du matraquage médiatique pour discréditer un mouvement de "petits Blancs" des campagnes.
Et à cette époque, personne, parmi les journalistes, les antiracistes, les diversités, ne protestaient contre ce traitement, infligé à des Français moyens. Par contre, surfant sur la mort du délinquant noir George Floyd aux États-Unis, les gauchistes, le fumeux comité Amara Traoré, les islamistes et les indigénistes ont monté une manipulation d’une ampleur telle qu’ils donnent raison à Goebbels, ministre de la propagande nazie, qui affirmait "qu’un mensonge, plus c’était gros, et mieux cela passait".
La réalité de la France de Macron, c’est que notre police est agressée tous les jours, que des dizaines de membres des forces de l’ordre sont blessées quotidiennement, et certaines tuées dans l’exercice de leurs fonctions.
La réalité, c’est que les racailles savent qu’elles n’ont rien à craindre des juges, qui le relâchent la plupart du temps, malgré un CV des plus fournis.
La réalité, c’est qu’elles savent que le premier policier qui se défend et se fait respecter a tout de suite sur le dos sa hiérarchie collabo, les antiracistes et les médias, et qu’on parle à nouveau de bavures et de violences policières.
Mais la police est raciste, et les Noirs en sont les principales victimes, en France. C’est ce que martèlent matin, midi et soir les médias de propagande, au service de la politique de Macron. C’est ce que confirme celui qui devrait être en première ligne pour défendre ses hommes, et qui, au contraire, par lâcheté, carriérisme et électoralisme, les enfonce en disant que le racisme n’avait rien à faire dans la police, laissant entendre donc que l’institution serait gangrenée ! Donc, c’est bien connu, les clandestins, majoritairement africains, qui n’ont rien à faire en France, mais s’y imposent, sont victimes du racisme de l’État français et des violences policières. Donc, il faut les régulariser tous!
C’est bien connu, Amara Traoré, et toute la famille, sont des paisibles citoyens, victimes des violences racistes policières, même si, depuis trois ans, tous les rapports montrent le contraire, et que de véritables journalistes, comme Louis de Raguenel, décortiquent l’ampleur de la manipulation, autour de cette affaire. Mais malgré cela, 20 000 manifestants, alors que c’était interdit, un ministre de l’Intérieur, Castaner, qui ne proteste pas, et un ministre de l’Agriculture, Guillaume, qui félicite ceux qui ont bravé la loi!
Et ce samedi, nous avons eu le pompon, qui s’est terminé devant l’Assemblée nationale. La Ligue de défense noire africaine, la LDNA, un groupuscule ouvertement raciste, s’est permis de multiplier les insultes contre la France, et dont les militants voulaient même déboulonner la statue de Colbert, rien de moins!
Cela va-t-il durer encore longtemps? Quelle est la stratégie de Castaner et Lallement pour faire cesser cela? Sont-ils encore capables de faire respecter l’ordre républicain? Quand fout-on à la porte ceux qui ne sont pas contents et nous insultent? Quand dissout-on les associations racistes noires? Quand met-on hors d’état de nuire les décolonialistes et les gauchistes? Quand expulse-t-on les clandestins? Quand arrête-t-on, en période de chômage, une invasion migratoire qui nous amène 500.000 Africains nouveaux tous les ans? Quand arrête-t-on de libérer des délinquants? Quand remet-on la France à l’endroit?
Ces solutions de bon sens ne sont absolument pas les priorités de Macron et de son équipe d’assassins. Ils paraissent se réjouir et tout faire pour accélérer une guerre raciale en France, espérant ainsi se débarrasser au plus vite d’un peuple qu’ils méprisent, et souhaitent remplacer. Ils en sont même à vouloir, à présent, pour mieux contrôler encore la population, surveiller les communications privées des Français, et inculper ceux qui oseraient, même dans leur sphère intime, mal parler et mal penser, même, et surtout, si ce sont des policiers !
Et cerise sur le gâteau, ils annulent le défilé militaire du 14 juillet, en osant un alibi sanitaire, alors que la vraie raison, outre la peur de Macron d’être sifflé, est idéologique, et répond à la volonté de Soros et des siens: en finir avec l’armée française, pour en finir avec la France et les États-nations, et laisser la place à une gouvernance mondiale, échappant au contrôle des peuples, et imposant, par exemple, une vaccination obligatoire à 7 milliards d’individus, comme le souhaite Bill Gates, autre mondialiste fou.
Tout cela a une cohérence, et ceux qui l’incarnent, Soros, Gates, Macron, paraissent bien pressés de se débarrasser de Trump d’abord, et d’administrer à la France une bonne dose de Rivotril, pour accélérer son agonie, et en finir avec un pays qui les dérange.
Mais dans la vie, il y a deux sortes de gens: ceux qui plient l’échine, et se mettent à genoux, et ceux qui redressent la tête, même en utilisant l’humour, dans un premier temps, pour ridiculiser l’ennemi…
"On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps."
Abraham Lincoln