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  • Alerte: prorogation du passe sanitaire européen au 23 juin 2023!

    C’est à nouveau la vigilante et courageuse eurodéputé, Virginie Joron, qui nous en avise. Alors que le passe sanitaire européen devait s’arrêter au 30 juin 2022, la Commission européenne en a demandé, sans justifications, la prorogation jusqu’au 23 juin 2023, sans débat parlementaire. Autre déni de démocratie: en février dernier, la Commission a fait semblant d’ouvrir une consultation publique sur ce sujet, laquelle a donné lieu à 385 000 avis très majoritairement contre le maintien du QR code.

    Cette prorogation semble donner lieu à d’intenses négociations entre les États-membres et la Commission sur le degré de liberté que ces États conserveront à l’avenir en matière de lutte contre le Covid… l’objectif d’Ursula étant de confisquer un maximum de pouvoir sur ce sujet dans la mise en œuvre du Great Reset.

    Le passe sanitaire européen ne régit que les déplacements entre États-membres, ne dispensant pas chaque pays d’adopter, dans le cadre de ses frontières, une législation propre sur le sujet.

    Lors de son lancement, le passe sanitaire avait été vendu aux opinions publiques comme transitoire et éphémère… Il sera durable et incontournable, ainsi en a décidé la dictature bruxelloise avec la complicité de 27 suppôts de Pfizer dont Foutriquet.

    Toutefois, la Commission a commis l’erreur d’écrire noir sur blanc que le passe sanitaire vise à inciter à la vaccination, non à prévenir la propagation de l’épidémie. Cette précision fracasse la doctrine du Conseil d’État sur le sujet, lequel a soutenu que le passe sanitaire ne portait pas d’atteinte disproportionnée aux libertés parce qu’il limitait les contagions, et qu’il n’était en rien une obligation vaccinale déguisée. Faisons confiance au Conseil d’État pour trouver une pirouette pour se dédire.

    Ursula et son mari, Pfizer, McKinsey, Macron, etc., n’ont pas encore gagné suffisamment de pognon, il leur faut des millions de morts et de malades en plus !

    Multipliant les mensonges et les mesures liberticides, ils seront sans pitié. N’oubliez pas qu’avant de prendre la suite de Véran, Brigitte Bourguignon s’occupait entres autres des Ehpad où tant de nos seniors furent anéantis grâce au décret Rivotril de mars 2020…

  • Gouvernement de coquins

    Le gouvernement Borne a repoussé la publication sur les comptes de l’an passé à après les législatives alors que la loi l’obligeait à la présenter avant le 1er juin

    LePanacheFrançais

     

    C’est officiel : le nouveau gouvernement vient d’enfreindre la loi. Plus exactement, l’article 46 de la loi organique relative aux lois de finances (Lolf) qui l’oblige à déposer avant le 1er juin le projet de loi de règlement de budget et d’approbation des comptes de l’année passée. Mais le texte n’a toujours pas été déposé. Un peu technique certes, mais de quoi déclencher l’ire de la commission des finances du Sénat.

    Cette dernière fustige une décision qui empêche «la représentation nationale de prendre connaissance des éléments d’exécution budgétaire et d’informer les Français sur le bon usage de leurs impôts et l’efficacité de l’action publique». Au ministère du Budget, on indique dans un premier temps que «ce texte sera déposé après les législatives à cause des contraintes de la réserve liée à cette année électorale».

    Mauvaise excuse

    Au Sénat, Claude Raynal, le président de la commission des finances, ne l’entend pas ainsi : «En aucune façon, ce texte n’est concerné par la période de réserve, il s’agit juste de sauter les législatives. Rien ne les empêcherait de le présenter aujourd’hui.»

    D’autant que tout est prêt, même les analyses de la Cour des comptes (qui vient d’ailleurs d’en reporter la présentation). […]

    Libération

    En ne déposant pas le texte avant le 1er juin, le gvt viole l’art 46, plus grave… en le repoussant après les législatives, il empêche les Français de savoir comment est utilisé l’argent public. Voulons nous un gvt qui refuse de rendre des comptes?

    https://t.co/HosIyIvwPc

    — Alain Houpert (@alainhoupert) June 2, 2022

  • Ils pillent la France, la preuve!!!

    Plus on fabrique de turbines, plus on est déficitaire, comment est-ce possible?", l’ancien site Alstom de Belfort serait dépouillé de ses profits par General Electric

    Après McKinsey, au tour de General Electric (GE) ! Le Parquet national financier est saisi d’une plainte contre l’Américain pour blanchiment de fraude fiscale, abus de confiance, recel, faux et usage de faux. La plainte a été déposée par Eva Joly le lundi 30 mai au nom des syndicats de la branche énergie de GE, ex-Alstom, avec le soutien des ONG Attac et d’Oxfam France. Révélations.

    " Plus on fabrique de turbines, plus on est déficitaire, comment est-ce possible ? " s’interrogeaient depuis des années les syndicalistes de General Electric Belfort. La réponse est désormais connue : elle figure dans la plainte déposée auprès du Parquet national financier (PNF) contre General Electric pour blanchiment de fraude fiscale, abus de confiance, recel, faux et usage de faux, au nom du Comité économique et social de la branche énergie de GE (Energy Products France, GEEPF) et des syndicats CFE-CGC et Sud-Industrie, par Eva Joly et le cabinet Baro Alto, ce lundi 30 mai.

    D’après des documents dont Marianne et LeTrois.info, un site d’information locale de Belfort, ont eu connaissance, la multinationale américaine est soupçonnée d’avoir eu la main lourde sur la délocalisation en Suisse et au Delaware (un paradis fiscal au cœur des États-Unis) de profits réalisés en France. Péché de gourmandise ? En tout cas, un gros paquet de factures. " De 2016 à 2019, GEEPF a été privé de gain à hauteur de 555,5 millions d’euros par suite de tarifications intragroupe inappropriées ", estime la plainte. Qui cingle : " GEEPF semble avoir été “dépouillée” de ses profits dans l’intérêt d’autres sociétés du groupe ".

    Pour ce faire, trois mécanismes auraient été massivement actionnés. Premier d’entre eux, la redevance de marque : le site de Belfort, qui fabrique les turbines, paie le droit d’utiliser la marque GE à une société localisée dans l’État américain du Delaware. Si le mécanisme est légal, le taux effectivement acquitté s’avère supérieur à celui stipulé dans le […]

    Article abonnés de Marianne

     

  • Voilà pourquoi ils sont tous tarés!

    “Interroger le rôle de l’endogamie de certaines populations et de la consanguinité dans la survenance de maladies psychiatriques est frappé d’un interdit absolu” :  L’analyse du pédopsychiatre Maurice Berger.

    (…) Pourtant, les faits sont assez simples. Nous avons tous des vulnérabilités génétiques en nous à la naissance : plus de risques que d’autres d’avoir un infarctus du myocarde, ou un cancer du sein, ou une anémie de type thalassémie, ou une schizophrénie ou une maladie bipolaire, car la dimension génétique de ces maladies psychiatriques est maintenant largement prouvée, même si leur apparition dépend aussi en partie de l’environnement.

    Si vous vous mariez avec un membre de votre famille (qui a donc obligatoirement une partie de patrimoine génétique commun avec vous), vous multipliez pour votre descendance l’éventualité d’avoir les maladies décrites ci-dessus, encore plus si c’est un mariage entre cousins germains (ce qu’on appelle “mariage royal” au Maghreb, c’est-à-dire un mariage souvent " arrangé " ou forcé). Et si cela se répète sur plusieurs générations, ce qui est fréquemment le cas, les pourcentages de risques sont encore plus élevés, à tel point que Germaine Tillion s’en est inquiétée lors de son travail d’ethnologue dans l’Aurès entre 1935 et 1938.

    En 2009, une recherche du Reproductive Health sur la consanguinité dans les pays arabes faisait état de 70% de mariages consanguins au Pakistan en 2007, 67% en Arabie Saoudite, 39% en Tunisie, 28% au Maroc et 38% en Algérie (avec des pics à 88% dans certaines wilaya). Dans ce dernier pays, le ministère de la Solidarité, de la Famille et de la Condition de la femme a d’ailleurs organisé en 2018 un colloque sur le thème : " Problèmes liés aux mariages consanguins en Algérie "[1].

    Osez l’exogamie !

    Le seul article en français à ma connaissance est celui d’Aïcha Dahdouh-Germouche, Mohamed Taleb, et coll, " Consanguinité, schizophrénie et trouble bipolaire "[2] paru en 2013 et qui comprend une imposante bibliographie concernant l’ensemble du monde arabe. Mais il n’y a pas d’écrits sur la situation en France.

    Dans notre pays, aucun psychiatre ne parle de cela, par peur d’être qualifié de raciste, alors qu’on évoque avec moins de gêne le rôle de la consanguinité dans d’autres pathologies que les maladies mentales. Pourtant, ce n’est pas une question de race : tout groupe humain pratiquant l’endogamie arriverait aux mêmes problèmes de santé pour sa descendance. En France, Louis XIV lui-même y fut confronté, lors de son mariage avec sa cousine Marie-Thérèse d’Autriche.

    Personne n’envisage sérieusement de mener une recherche sur la généalogie des patients soignés dans nos hôpitaux psychiatriques publics, originaires de pays frappés par une plus forte consanguinité. Aurait-on peur de constater aussi une éventuelle surreprésentation ? Ce type de recherche se fait pourtant bien pour les autres maladies ayant une possible transmission génétique, et les enjeux sont importants. Tout d’abord, il pourrait être proposé aux citoyens français concernés, s’ils l’acceptent, une consultation génétique prénuptiale, comme cela se fait aux Émirats arabes unis et au Qatar avec l’accord des autorités religieuses.

    Ensuite, ceci nous amènerait peut-être à constater que nous accueillons une population présentant un risque non négligeable de manifester une folie violente, même si heureusement, la grande majorité des personnes atteintes de troubles psychiatriques ne sont pas dangereuses. Et qu’il y a des formes d’asile qui peuvent prendre la forme d’asile psychiatrique.

    Causeur