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Blog - Page 31

  • Touché, coulé!

    C’est un sondage plutôt réconfortant qui vient de tomber:

    Selon une étude Via Voice pour Libération, 59% des Français ne veulent plus que Macron se représente en 2022. Un désaveu cinglant de sa politique mondialiste dévastatrice et de sa façon de traiter le peuple français, qu’il a toujours méprisé.

    Source BFM - Ha!

    71% des sondés estiment que le monarque de l’Élysée ne les représente pas bien et 67% jugent qu’il n’est pas proche des gens.

    C’est le moins qu’on puisse dire après les torrents d’insultes que notre Président a déversés sur ceux qui ne sont rien.

    Mais le pire est que 55% de ces gueux qui ne sont rien estiment qu’il n’est pas crédible et 56% le jugent incompétent pour nous sortir du bourbier.

    Quand on se prend pour le nombril du monde et qu’on est jugé incompétent par la plèbe, la pilule est dure à avaler.

    Il est vrai que Macron n’a cessé de mentir et de retourner sa veste, disant tout et son contraire en fonction de l’auditoire du moment. Un beau parleur certes, mais à la langue fourchue. Plus personne ne le croit, plus personne ne lui fait confiance, tant il détruit le pays avec ses délires mondialistes.

    Mais tout cela n’est pas nouveau.

    Dès l’été 2017, soit 100 jours après son arrivée, il s’effondrait dans les sondages, comme aucun Président avant lui.

    Source:

    Il faut dire que la façon dont il a traité son chef d’état-major des armées dès son arrivée ne laissa planer aucun doute sur l’arrogance de l’orgueilleux personnage.

    À la fois odieux, grotesque et puéril, son comportement à l’encontre du général Pierre de Villiers, sèchement recadré publiquement, reste un monument d’ignominie.

    “Je suis votre chef” avait osé hurler le gamin Président immature, qui n’était pas encore né quand le Cema intégrait l’armée! C’est dire l’orgueil du monsieur.

    Un quinquennat qui démarrait très mal et qui s’achève en laissant la France dans le pire état depuis 1945.

    3000 milliards de dettes, un déficit chronique démentiel, une industrie laminée, une agriculture asphyxiée par une concurrence déloyale et des normes UE intenables, une balance commerciale déficitaire de 70 milliards, un chômage toujours aggravé par une immigration de masse ruineuse.

    Ajoutons à ce sinistre tableau les pires chiffres de l’insécurité, qui font de la France le pays le plus dangereux d’Europe.

    Sans oublier l’islamisation galopante qui disloque la nation, avec une menace terroriste omniprésente.

    Les mini-califats prospèrent sur la lâcheté d’un État qui n’a plus aucune autorité et a peur des minorités qui imposent leur loi.

    Naufrage sécuritaire, fracture identitaire béante, faillite économique, dictature sanitaire et capitulation face à l’islam politique conquérant, tel est le bilan de ce quinquennat. Le pire de tous les temps.

    Avec Macron, il n’y a plus qu’à attendre le face-à-face imminent annoncé par Gérard Collomb!

    On comprend donc l’abîme qui se creuse entre le peuple et celui qui est censé le protéger.

    En fait, ce sondage Via Voice traduit une réalité que  la Macronie refuse de voir, mais qui peut représenter le salut pour le pays.

    D’une part, les 3/4 des électeurs ne veulent plus d’un duel Macron/Le Pen qui reconduirait l’illuminé de la mondialisation à l’Élysée.

    D’autre part, depuis l’été 2017, Macron se traîne à 35% d’opinions favorables.

    Mal aimé et se complaisant dans la culture de l’échec, Macron espère néanmoins tromper le peuple pour être réélu. Le Machiavel de l’Élysée est capable de tout.

    Mais rien ne prouve qu’il aura de son côté la finance, le grand patronat, la presse et les juges pour le réinstaller sur le trône comme en 2017.

    Cette situation politique est favorable à Éric Zemmour.

    Un électorat désabusé qui ne croit plus en ceux qui ont détruit le pays, qui ne veut ni Macron ni Marine, mais qui entend ne pas se laisser déposséder de son pays par les mondialistes et l’islam conquérant, peut très bien trouver en Zemmour le candidat salvateur qu’il attend depuis 20 ans.

    Un vrai patriote aux commandes, qui ne jure que par le peuple en clamant “la France d’abord”, ce serait enfin le bout du tunnel et le retour de la France souveraine.

    Zemmour peut compter sur la sphère patriote et sur les millions de Français qui pensent en majorité comme lui. L’immense vivier des abstentionnistes n’attend que lui pour retourner aux urnes.

    Puisse ce sondage réaliste se traduire dans les urnes, en balayant ceux qui ont échoué et trahi, en portant au pouvoir du sang neuf, dont la seule ambition n’est pas le pouvoir mais le redressement de la France.

    Mais attention! 

    Primo, la façon éhontée dont la presse a couvert la monstrueuse fraude électorale aux États-Unis prouve que ce fléau peut très bien sévir en France. Avec les machines à voter et le vote par correspondance que certains veulent rétablir pour raison sanitaire, le pire est possible.

    Secundo, il faut s’attendre à des coups bas venus de l’establishment, peu disposé à partager son fromage. Zemmour ne traînant aucune casserole, il vont tout essayer pour le barrer, comme il l’ont fait avec Fillon.

    Les mondialistes, ce sont ceux qui ont barré Norber Hofer en Autriche, qui ont torpillé Fillon, Salvini  et Trump. Ils sont capables de tout.

    Source:

    Tous les patriotes sont les ennemis des mondialistes, donc des cibles à abattre.

    C’est donc au peuple de déjouer toute machination antidémocratique.

    En attendant, dès demain, le temps de parole d’Éric Zemmour à l’antenne sera décompté. Telle est la décision du CSA qui juge que le journaliste est dorénavant un acteur politique.

    Source: la honte est sur eux!

    Jacques Guillemain

     

    Source:

     

  • Un livre pour ouvrir vos yeux

    Lydie Montié nous donne des explications claires et précises sur la demande d’asile et lève le voile sur des réalités souvent méconnues du grand public.

    Quelques extraits:

    Pendant les premières années, j’ai vraiment eu l’impression que j’exerçais une mission juste et honorable. Il faut dire que, dans une très grande majorité, les personnes accueillies obtenaient le droit d’asile: elles relevaient quasiment toutes des critères établis par la Convention de Genève. Cette Convention, rappelons-le, définit le terme de réfugié dans son article 1er ; elle précise que sera reconnue réfugiée toute personne " qui craint avec raison d’être persécutée du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques. " Il s’agit des personnes qui ont quitté leur pays de nationalité et qui, du fait de la crainte précitée, ne peuvent ou ne veulent se réclamer de la protection de ce pays. […]

    Loin des idéologies et des opinions toutes faites, je ne m’en tenais qu’aux faits. Or, très vite, j’ai été surprise de constater que beaucoup de familles kosovares arrivaient de la même ville qui, je le précise, n’était pas la capitale de ce petit pays. Je trouvais curieux que ces personnes aient connaissance d’une ville de province française et y arrivent directement. Quand je les interrogeais sur leur itinéraire et sur les raisons qui les avaient emmenées jusqu’en notre région, elles avaient toutes le même discours: " c’est le passeur qui nous conduisait, mais on ne savait pas exactement où il nous emmenait… ". Les passeurs étaient, eux, parfaitement informés du parcours du demandeur d’asile en France et ils déposaient " leurs clients " devant la préfecture où les intéressés devaient se faire enregistrer comme demandeurs d’asile pour pouvoir ensuite être hébergés. Mais les Kosovars en question savaient très bien, eux aussi, où ils se trouvaient car il ne leur fallait pas beaucoup attendre avant de " rencontrer " un compatriote: cette rencontre, vous vous en doutez, ne devait rien au hasard. Il s’agissait souvent d’un membre de leur famille, frère, cousin, oncle… Pourquoi ne pas dire la vérité alors? On peut tout imaginer: liens entre réseaux de passeurs et familles installées depuis plusieurs années? Peur de représailles de la part desdits passeurs? En tout état de cause, je ressentais une certaine gêne chaque fois que je découvrais que la vérité était cachée ou transformée. […]

    Il est donc mensonger d’affirmer que l’asile n’entraînerait aucun " appel d’air ". Pourtant, j’ai souvent entendu des gens soi-disant bien informés faire une telle déclaration de manière publique et d’un ton assuré… Soyons sérieux! […]

    Plus grave encore, c’est le détournement pur et simple du droit d’asile: la première fois que j’ai pu faire ce constat, je dois avouer que je suis tombée de haut! Il s’agissait d’un jeune homme que des membres de sa communauté m’avaient présenté comme étant un ami. Ce soi-disant " ami ", ils l’avaient, disaient-ils, rencontré à leur arrivée en France et il les aurait aidés par sa connaissance de la langue française puisqu’il était arrivé quelques années avant eux. Bon, pourquoi pas! C’était plausible. En tous les cas, l’ami était très sympathique puisqu’il se proposait de leur servir gratuitement de traducteur lors de leur entretien avec leur avocat. Oui, les personnes en question avaient été déboutées du droit d’asile par l’OFPRA et elles avaient fait appel devant la Cour nationale du droit d’asile. Elles avaient donc trouvé un avocat qui avait d’ailleurs si bien défendu leur dossier que la Cour a annulé la décision négative de l’Office et leur a reconnu la qualité de réfugié, ce qui a eu pour effet de les autoriser à séjourner en France avec tous les droits attachés à leur nouveau statut. […]

    Pourtant, d’autres déceptions m’attendaient. Quelques mois plus tard, dans cette même communauté, il y a eu un cas bien plus grave. Un homme avait obtenu l’asile sur un motif politique, disant qu’il avait été persécuté dans son pays par le gouvernement en place. Or, il y a eu, peu de temps après, un changement de régime dans le pays et c’est donc son parti politique qui était sorti vainqueur des élections. Cet homme n’est pas, pour autant, retourné dans " sa chère patrie " où il ne craignait plus rien mais qui ne lui manquait manifestement pas. On peut d’ailleurs remarquer qu’aucune autorité française ne le lui a demandé! Mais, ce qui est le plus hallucinant c’est que, quelques mois plus tard, son propre frère est arrivé en France sous un faux nom, se faisant passer pour une personne d’un bord politique différent de celui auquel il appartenait et il a également demandé l’asile pour motif politique… […]

    Je me souviens aussi d’une femme de nationalité algérienne qui venait d’arriver en France pour demander l’asile et à qui j’avais demandé comment elle se trouvait dans le quartier puisqu’elle était hébergée dans notre CADA. Sans aucune hésitation, elle m’a répondu: "Ah, c’est comme là-bas!

    "Vous avez bien compris que "là-bas" désignait son pays, l’Algérie!

    Comment en était-on arrivé là? Comment avait-on pu accepter que des résidents qui avaient sans aucun doute obtenu depuis longtemps la nationalité française ne parlent toujours pas français? […]

  • Enfermez cette démente:

    Après avoir remercié un certain « Jean-Pierre Belmondo », la candidate écolo Sandrine Rousseau écrit : « Une dernière cascade qui j’espère n’aura pas été trop difficile »

     

    Cette imbécile patentée qui veut faire "du styl " et se goure de prénom, pour finir avec une phrase lamentable. Mais tout va bien, on a bien un président qui pense que la Guyane est une ile?

  • Bravo!

    Covid-19: une faille informatique fait fuiter les données privées de 700 000 personnes

     

    Noms, prénoms, dates de naissance, adresses, numéros de téléphone, numéros de Sécurité sociale, adresses e-mail et résultats de tests…

    La semaine dernière, à la faveur d’une faille informatique, les données personnelles de près de 700 000 personnes étaient disponibles en accès public sur FranceTest, a révélé Mediapart hier.

    Sur ce site non agréé par le ministère de la Santé, ayant vocation à transmettre les résultats des tests au coronavirus vers la plate-forme gouvernementale SI-DEP, les internautes ont pu accéder à ces informations privées grâce à “un mot de passe trouvable, en clair, dans un dossier accessible à tous“, relate à son tour l’Obs.

    Un scandale qui n’a pas manqué d’irriter Philippe Besset, président de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France, qui rappelle: “Cela fait des semaines et des semaines que nous alertons les autorités sur ces sociétés qui se présentent comme labellisées et facilitent la tâche des pharmaciens pour aller sur le SI-DEP“.  

    Entre le passe sanitaire qui viole allégrement le secret médical, voire même un certain nombre de libertés publiques, et l’exposition de la vie privée des personnes testées aux quatre vents sur Internet, comment ne pas se sentir épié de toutes parts en France?

    Voilà qui devrait garnir les rangs des manifestations du samedi: après les anti-passe, les anti-tests !

    Valeurs Actuelles

  • Les contres-indications à la vaccination

    Le point sur les contre-indications à la vaccination contre la covid 19

    Auteur : Jean-Louis KOECK

    A partir du moment où la vaccination contre la covid 19 devenait obligatoire pour certains professionnels et indispensable en pratique à la population générale pour accéder à des activités courantes, il devenait indispensable d'en définir précisément et sans ambiguïté les contre-indications.

    L'autorisation de mise sur le marché (AMM) de chaque vaccin contre la covid 19 est délivrée par l'Agence européenne des médicaments (European Medicines Agency, EMA) pour tous les pays de l'Union européenne. Cette autorisation est accompagnée d'un "résumé des caractéristiques du produit" (RCP) à l'intention des professionnels de santé, qui contient les éléments d'appréciation du rapport bénéfice-risque et détermine les indications, le schéma vaccinal, les contre-indications, les précautions d'emploi et les interactions possibles avec d'autres médicaments en fonction des données d'efficacité et de sécurité obtenues lors des essais cliniques, puis lors de l'utilisation "en vie réelle" du vaccin. Un résumé de ces informations est également publié à l'intention du public.

    Ces consignes de bonne utilisation du vaccin peuvent être complétées et précisées par les autorités de santé de chaque pays. C'est ainsi que la Haute Autorité de santé (HAS) ou le Conseil d'orientation de la stratégie vaccinale (COSV) ont pu proposer, au-delà des résumés des caractéristiques des produits, des adaptions des schémas de vaccination (augmentation ou réduction de l'intervalle entre les doses), une optimisation de la sécurité vaccinale (par exemple, la recommandation d'utiliser les vaccins à vecteur viral à partir de l'âge de 55 ans), ou encore des précisions sur les contre-indications vaccinales (par exemple la conduite à tenir face au risque d'allergie). Le RCP des vaccins stipule d'ailleurs de manière générale que "le vaccin doit être utilisé selon les recommandations nationales".

    Les cas de contre-indication médicale "faisant obstacle à la vaccination contre la covid 19" sont les suivants :

    1° Contre-indications inscrites dans le résumé des caractéristiques du produit :

    • antécédent d’allergie documentée (avis allergologue) à un des composants du vaccin, en particulier aux polyéthylène-glycols, et par risque d’allergie croisée aux polysorbates ;
    • réaction anaphylaxique au moins de grade 2 (atteinte au moins de 2 organes) à une première injection d’un vaccin contre la covid posée après expertise allergologique ;
    • personnes ayant déjà présenté des épisodes de syndrome de fuite capillaire (contre-indication commune au vaccin Vaxzevria et au vaccin COVID-19 Vaccine Janssen) ;
    • personnes qui ont présenté un syndrome thrombotique et thrombocytopénique (STT) suite à la vaccination par Vaxzevria.

    2° Recommandation médicale de ne pas initier une vaccination (1ère dose) :

    • Syndrome inflammatoire multi systémique pédiatrique (PIMS) post covid 19.

    3° Une recommandation établie après concertation médicale pluridisciplinaire de ne pas effectuer la seconde dose de vaccin suite à la survenue d'un effet indésirable d'intensité sévère ou grave attribué à la première dose de vaccin signalé au système de pharmacovigilance (par exemple : la survenue de myocardite, de syndrome de Guillain-Barré).

    4° Situations de contre-indication temporaire à la vaccination contre la covid 19 :

    • traitement par anticorps monoclonaux anti-SARS-CoV-2 ;
    • myocardites ou péricardites antérieures à la vaccination et toujours évolutives.

    Le certificat attestant d’une contre-indication médicale est remis par un médecin à la personne concernée. Il permet de déroger à l’obligation vaccinale professionnelle mais il dispense aussi de la présentation du passe sanitaire dans les lieux, services, établissements et événements où le passe sanitaire est exigé. Pour l'instant, le certificat de contre-indication délivré par le médecin ne remplace pas le passe sanitaire et ne contient pas de QR code. Cependant, le Gouvernement a indiqué qu'un certificat de contre-indication médicale au même format (QR code) que les autres preuves (certificat de vaccination, de test négatif ou de rétablissement) sera intégré dans le passe sanitaire. Il devra pour cela être transmis à l'assurance maladie.

    Les femmes enceintes peuvent désormais se faire vacciner dès le premier trimestre de leur grossesse. Toutefois, leur vaccination ne peut être requise dans le cas de l'obligation faite aux professionnelles avant le début du deuxième trimestre.

    La concertation médicale pluridisciplinaire (point 3 des cas de contre-indication) a pour objectif de consolider la décision médicale dans les cas les plus délicats.

    Le contenu du décret a pris en compte les modifications suggérées par la Haute Autorité de santé (HAS), dans son avis du 4 août 2021. On relèvera les éléments suivants apportés par la HAS.

    • Il ne faut pas confondre le syndrome de Kawasaki et le syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique (PIMS) faisant suite à une covid 19 : seul ce dernier est un motif de contre-indication à la vaccination contre la covid 19 (voir cet article). 
    • De même, le contexte d'apparition des péricardites ou myocardites est déterminant : leur survenue après l'administration d'un vaccin contre la covid-19 contre-indique l'administration ultérieure de ce vaccin, tandis que leur survenue avant la vaccination contre la covid n'est pas une contre-indication si l'affection est guérie.
    • En cas de contre-indication à un vaccin à ARNm (Comirnaty ou Spikevax), il n’est pas possible de contraindre les personnes âgées de moins de 55 ans à recourir à un vaccin à adénovirus (Vaxzevria ou COVID-19 Vaccine Janssen). Il est seulement envisageable, dans ce contexte, de proposer un vaccin à adénovirus après une évaluation de la balance bénéfice/risque, dans le cadre d’une décision médicale partagée et après leur avoir apporté une information claire sur la connaissance des risques liés à l’administration de ce vaccin, en particulier sur la survenue de cas graves de syndrome de thromboses associées à une thrombocytopénie. 
    • La HAS note que les alertes ou signaux de pharmacovigilance (dont nous rendons compte périodiquement sur MesVaccins, exemple ici) peuvent précéder les modifications du résumé des caractéristiques du produit ; elle estime donc que le recours aux vaccins doit être conforme à la fois aux mentions légales du résumé des caractéristiques du produit et aux alertes émises par les autorités compétentes en matière de pharmacovigilance (avis du 15 juillet 2021).

    Référence 

    Maladie : Covid 19

    Vaccins : COMIRNATY Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine Janssen SPIKEVAX - COVID-19 Vaccine Moderna VAXZEVRIA - COVID-19 Vaccine AstraZeneca