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Le courage! sentiment inconnu aujourd'hui...
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Joe Bidet aura-t-il gagné a la fin?
Ce dessin est déjà passé, mais je l'adore!
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On se pose des questions
1) Pourquoi ne nous communique-t-on pas les vrais chiffres des décès dus au seul coronavirus?
2) Pourquoi ne "mettons-nous pas le paquet" sur la recherche de soins adaptés à la maladie à son origine? Pourquoi ne parle-t-on jamais des solutions existantes et expérimentées qui ont donné ou peuvent donner des résultats: antibiotiques, corticoïdes, cortisone, interféron, artemisia etc.? Pourquoi la mise en œuvre du protocole hydroxychloroquine associée à un antibiotique (qui a fait ses preuves pour enrayer l’attaque virale de la covid-19, avant déclaration de son infection) a-t-elle été écartée au profit d’un remdésivir, seul remède reconnu officiellement mais qui n’apporte rien?
3) Pourquoi nous parle-t-on sans arrêt des tests et de vaccin en se détournant des traitements avant mise sous respirateur par intubation?
4) Pourquoi les circulaires sur l’administration du procédé euthanasique du Rivotril ont-elles été publiées au détriment de l’utilisation des places vides dans les hôtels pour aménagement des respirateurs artificiels avec rappel du ban et de l’arrière-ban de tous les soignants possibles, y compris les médecins libéraux et militaires?
5) Pourquoi le plan de prévention et de lutte contre le risque de pandémie, proposé par l’ex-ministre de la santé de M. Douste-Blazy, le 13 octobre 2004, a-t-il été abandonné, sans raison valable?
6) Pourquoi nous fait-on miroiter l’apport d’un vaccin contre la covid dans les mois qui viennent alors que l’on sait que la mise au point définitive d’un vaccin opérationnel et agréé demande entre 3 et 9 ans?
7) Pourquoi n’a-t-on pas publié les résultats des effets secondaires possibles (notamment infections bactériennes) de masques portés sur le visage pendant des heures, voire ré-utilisés pendant des jours?
8) Pourquoi ces mesures de confinement incohérentes (un seul exemple: boucheries et boulangeries restent ouvertes alors que leur fréquentation est multipliée par 10 voire 100 par rapport aux magasins de vêtement ou aux librairies) ont-elles été prises? Pourquoi un gouvernement peut-il prétendre connaître quels sont les besoins essentiels à satisfaire de chacun d’entre nous?
9) Pourquoi les frontières n’ont-elles pas été fermées pour au moins 6 mois?
10) Pourquoi empêche-t-on les gens d’aller se promener en plein air (forêt, campagne, bord de mer, campagne) sans regroupement et en respectant les gestes, dit “barrières”, ou encore d’aller cultiver leur jardin?
11) Dans l’examen de la balance coût/risque, pourquoi s’acharner à sauver coûte que coûte quelques dizaines de milliers de morts par un endettement colossal? Qui remboursera cette dette quand l’économie de la France sera exsangue (20% d’un PIB de 2 500 milliards = 500 milliards, soit pour 500 000 décès 1 000 000 d’euros ou pour 50 000 décès 10 000 000 d’euros le coût du décès !)?
12) Enfin, si l’OMS indique que le masque permet de protéger le porteur en bonne santé (c’est ce qu’assure Véronique Merle, médecin hygiéniste au CHU de Rouen et professeure de santé publique, à actu.fr: "Je ne sais pas d’où vient cette rumeur du masque chirurgical qui ne protégerait que dans un sens. […] Le masque chirurgical, en papier ou en tissu, protège les autres… Mais aussi celui qui le porte!"), de deux choses l’une: ou cette affirmation de protection est exacte et alors il ne sert à rien de confiner l’ensemble de la population, dans la mesure même où chacun est désormais tenu de porter un masque dès qu’il sort de chez lui (transport, travail, magasin, air libre) ou elle est inexacte et il conviendrait dans ces conditions de mettre en place un confinement intégral, pourquoi ces demi-mesures ont-elles été prises?
13) Pourquoi n’avons-nous jamais eu d’informations sur l’application du couvre-feu puis des confinements et re-confinements aux "territoires perdus de la République"?
14) Pourquoi ne parle-t-on jamais des difficultés des personnes portant des lunettes à devoir supporter un masque étant donné l’embuage des verres qui gêne considérablement la vue?
Voir plus bas, mon astuce*
15) Pourquoi aucun député n’a-t-il posé aucune question prioritaire de constitutionnalité (QPC) des inégalités de traitement, en matière de confinement, des différents types de commerce?
Patrick Verro
MON ASTUCE
Lorsque je mets le masque, je tourne la bride sur elle-même avant de la poser derrière l'oreille d'un part et j'appuie bien le masque sur le visage pour bien l'appliquer (voir photo)
Je n'oublie pas bien sûr AVANT de plier le barrette avant de poser le masque sur le nez sinon, chaque fois que vous parlez, le masque descend....
On ne met pas son masque sur le menton (bactérie), on le laisse pendre sur une oreille et on attrape le cordonnet pour le remettre en place
Vous éviterez ainsi de mettre des virus sur vos mains
On passe ses mains au gel AVANT la pose et APRÈS avoir retiré le masque
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Sans lui
Le journal "LE MONDE" a viré180° !
Certains journalistes ne seraient-ils plus aux ordres?
Tiens un journaliste qui ose en France. Ça surprend non.
Le journal "LE MONDE" a viré à 180° !
UN DE SES JOURNALISTES ÉCRIT CECI :
Sans l'islam, personne ne contesterait les sapins de Noël dans la rue, ni les crèches dans les mairies.
Sans l'islam, nous ne subirions pas la présence de 2500 mosquées, à raison d'une nouvelle par semaine, payées tantôt par les émirats du Golfe, tantôt par les pays d'Afrique du Nord, et la plupart du temps avec nos impôts.
Sans l'islam, autour de ces mosquées, nous n'assisterions pas à la mise en place d'un État dans l'État, où le petit État islamique ronge de plus en plus le grand État républicain et lui impose ses codes
Sans l'islam, nous n'assisterions pas à une recrudescence d'agressions homophobes, antisémites et sexuelles, encouragées par les textes sacrés du Coran et la vie de Mahomet.
Sans l'islam, nous n'assisterions pas, dans certaines périphéries urbaines, à la mise en place d'une politique de Grand remplacement, de changement de peuple et de civilisation.
Sans l'islam, Saint-Denis serait toujours la ville des rois de France.
Sans l'islam, nos policiers ne subiraient pas une guerre quotidienne, visant à saper l'édifice de l'État français.
Sans l'islam, nous n'aurions pas de halal dans l'armée française, ni des militaires musulmans qui refusent de se battre contre leurs frères.
Sans l'islam, nous n'aurions pas, sur le territoire français, la mise à mort barbare d'animaux égorgés sans étourdissement (halal), qu'on laisse agoniser pendant un quart d'heure.
Sans l'islam, nous n'aurions pas l'impression, dans certains quartiers, d'avoir changé de continent.
Sans l'islam, le Qatar ne serait pas en train d'acheter des pans entiers de la France.
Sans l'islam, nous ne subirions pas sur les plateaux de télévision, les enfumeurs comme Tariq Ramadan, Malek Chebel, Dalil Boubakeur, Dounia Bouzar et bien d'autres, qui roulent dans la farine les ignorants en leur faisant le coup de la RATP.
Sans l'islam, un Français d'origine pourrait aimer une née-musulmane sans être obligé par sa belle-famille de se convertir.
Sans l'islam, il y aurait moins de crachats sur les trottoirs, et le maire de Béziers n'aurait pas été obligé de faire un arrêté municipal pour sanctionner les fautifs.
Sans l'islam, nos médecins et l'ensemble du personnel médical ne risqueraient pas de se faire agresser par des maris violents qui refusent qu'un homme observe leur épouse.
Sans l'islam, nous n'aurions jamais subi, dans un pays laïc, des prières musulmanes sur nos trottoirs ou dans les rues, afin de marquer la volonté d'occupation de l'espace public.
Sans l'islam, les enfants juifs pourraient encore aller dans les écoles publiques en Seine Saint-Denis.
Sans l'islam, on pourrait enseigner la Shoah et parler de Charles Martel dans nos écoles.
Sans l'islam, nous n'aurions pas d'appel au muezzin par haut parleur, comme à Nanterre.
Sans l'islam, nous n'aurions pas de revendications alimentaires dans nos cantines scolaires, dans les entreprises.
Sans l'islam, nous n'aurions pas d'accompagnatrices marquant leur religion par un voile lors des sorties scolaires.
Sans l'islam, nos enfants ne seraient pas en danger, lorsqu'ils mangent halal sans que leurs parents ne le sachent, à cause du bacille e-coli, comme nous en alerte le docteur Alain de Peretti.
Sans l'islam, il y aurait davantage de places dans nos prisons.
Sans l'islam, les Français ne connaitraient pas la souffrance de voir leur pays défiguré...
Sans l'islam, ils pourraient savourer les douceurs, les insouciances délicieuses et les frivolités légères qu'offre souvent la vie.
Sans l'islam, les chers souvenirs resteraient doucement mélancoliques et ne seraient pas devenus des regrets brulants de nostalgie et de rancœur.
Sans l'islam, le passé ne serait pas si présent, sans l'islam, l'avenir ne serait pas si terrifiant...
Sans l'islam, nous ne subirions pas dans la rue, les tenues guerrières des salutistes en djellaba ou en kamis.
Sans l'islam, il y aurait beaucoup moins de bénéficiaires de la CMU et de l'AME, considérée comme une nouvelle version des razzias du 21ème siècle dans l'esprit de certains musulmans.
Sans l'islam, on pourrait consacrer davantage d'argent à nos malades et à nos retraités, sans oublier toutes les aides utiles qui font avancer une société.
Sans l'islam, nous ne subirions pas, un mois par an, le cirque du ramadan, avec le bruit, les violences et les entreprises désorganisées.
Sans l'islam, après le ramadan, il y aurait moins d'absentéisme à l'école.
Sans l'islam, nous n'aurions pas des abattoirs mobiles où les jeunes garçons prennent l'habitude de voir égorger des animaux de manière barbare.
Sans l'islam, nous n'aurions pas des clips agressifs, sexistes et racistes, de rappeurs haineux.
Sans l'islam, les sites internet ne seraient pas pollués par des messages haineux et menaçants, qui nous menacent de mort, disent qu'ils vont faire la loi dans notre pays, et que nous sommes foutus.
Sans l'islam, nous ne partagerions pas les angoisses de Michel Onfray, jugeant que dans cinquante ans, notre pays sera intégralement sous domination musulmane.
Sans l'islam, il n'y aurait plus de péril fasciste en France, et nous pourrions jouir de tous les charmes d'un pays formidable
Sans l'islam, nos enfants ne seraient pas confrontés à un choix terrible devenir résistants ou dhimmis, avec forcément beaucoup de dégâts dans les deux cas.
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Enfin, bonne nouvelle sur le virus!
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TOUCHE PAS A MON NOËL!
La mairie de Bordeaux doit, en principe se trouver sise dans un beau palais ancien... m'étonnerait qu'il n'y a pas de planchers en bois et autres trucs anciens en bois...
Le couillon vert doit, pourtant, se prélasser dans son palais... on peu savoir pourquoi il ne change pas les lames du parquet de bois mort?
Le grand concours des maires écolo-dingos!
Il faut revenir sur cette forfaiture qui voit un maire, ayant dédaigné d’honorer une tradition chrétienne multi-séculaire de sa ville, se précipiter sur un chantier pour y baptiser, toute honte bue, le symbole de notre futur asservissement à l’islam.
Il faut, ayant en mémoire les noms des serpillères vaincues qui vendirent la France à l’Allemagne nazie en 1940, marteler les noms des auteurs de ce crime contre le pays, quatre-vingts ans plus tard.
Grégory Doucet, maire de Lyon, Thomas Rudigoz, député du Rhône, accompagnés de la servante de garde ce jour-là, Fanny Dubot, maire d’un arrondissement de la capitale des Gaules.
Imaginons la jouissance intérieure que ressent le quatrième larron de cette farce, le dénommé Farouk Korichi, démocrate français attaché aux Droits de la Femme et à la mémoire de Guillaume Apollinaire, ici posant la main à côté de celles de ses comparses, sur la pierre qui scelle la prise de possession, pour près d’un siècle, c’est-à-dire pour toujours ou presque, d’une part de la France par les hordes du Prophète.
On dirait un serment. Ou une fervente invocation. Au Dieu des Vrais Croyants. Par des spectres. Dix-neuf ans après que les compagnons du Prophète ont déclenché la Troisième Guerre mondiale.
C’est une trahison. Comme en 1940.
Méritant le même sort, pour l’Histoire et pour solde de tout compte.
LE GRAND CONCOURT DES MAIRES ÉCOLO-DINGOS
Nous ouvrons officiellement cette rubrique promise à un bel avenir. Le camarade Doucet l’inaugure de manière brillante, mais nul doute qu’il sera bien vite dépassé par plus dingo-débilo que lui. En attendant les records qui ne vont pas manquer de tomber, la cueillette du jour nous emmène à Bordeaux.
Bordeaux donc. Le stationnement des résidents sera calculé en fonction de leurs revenus. Et la baguette de pain, c’est pour quand? Extension souhaitée vers les hétaïres qui tapinent en plein air ou dans des roulottes, avec tarifs étudiants:
Bordeaux toujours. Bon. Vous vous disiez: ce n’est pas possible, il ne descendra pas jusqu’à ce tréfonds d’absurdité. Et bien oui! Non seulement, il a désouché le sapin de Noël mais en prime il creuse pour trouver quelque chose. Quoi? Je ne sais pas… son frais minois dans un miroir envasé, peut-être… Khmers Verts, oui, à 100 %, aussi toxiques que les Rouges. Alors, les Bordelais, heureux?
Et les moutons de l’Aïd égorgés à vif, il a l’intention d’interdire cette pratique, le verdâtre? Même pas en rêve, pense Candide, jamais il n’aura les c… de s’attaquer à la Religion d’amour!
Le maire écolo de Bordeaux: il faut sauver les sapins de la barbarie de Noël!
Jusqu’où va l’inventivité des écologistes. Le nouveau maire de Bordeaux veut une " charte des droits de l’arbre".
Faut-il en rire ou en pleurer (éventuellement de rire)? Alors qu’il pouvait sembler y avoir plus grave et plus urgent en cette période de bouleversements majeurs et de crise économique profonde à la suite des mesures de confinement généralisé du printemps dernier, voilà qu’il semble urgent… de sauver les sapins de Noël.
L’écologisme, jamais à court d’idées
Ainsi que le relevait Nathalie MP Meyer pas plus tard qu’hier, dans un article sur le sujet, en évoquant, outre la bien-pensance des stars et autres bobos écolos, les propositions de la Convention citoyenne pour le Climat:
Pour bien faire, il faudrait interdire la vente de véhicules neufs pour un usage particulier, il faudrait que les constructions neuves soient exclusivement de l’habitat collectif avec une surface maximum de 30 m2 par habitant, que les vols hors Europe non justifiés soient interdits, que les vêtements neufs mis sur le marché soient limités à 1 kg par personne et par an, que la consommation de viande passe de 90 kg à 25 kg par personne et par an, que toutes les parcelles de jardin deviennent productives, etc. etc.
Il faudrait en outre assujettir nos droits fondamentaux inscrits dans la Constitution à la priorité environnementale et reconnaître un crime d’écocide malgré la difficulté d’en définir les contours de façon indiscutable. Et n’oublions surtout pas, il faudrait se débarrasser une fois pour toutes de l’énergie nucléaire qui a l’immense tort de rendre possible un avenir décarboné mais hélas beaucoup trop croissant!
Et il ne s’agit là que d’un extrait des multiples propositions plus ingénieuses (ou farfelues, ou liberticides, ou délirantes, au choix) les unes que les autres de nos chers écologistes et consorts. Mais en la matière, il semble bien que nous sommes bien lancés depuis un certain temps dans une surenchère pas prête de s’étioler…
L’instauration d’une charte des droits de l’arbre
Voici donc que le nouveau maire de Bordeaux, qui semblait jusque-là plus mesuré que d’autres maires écologistes de grandes villes, organise ce matin une conférence de presse pour décréter qu’il ne veut plus "d’arbre mort sur la place de la ville". Stupeur!
Et surtout, tenez-vous bien: une "charte des droits de l’arbre" va être adoptée d’ici la fin de l’année. Non vous ne rêvez pas!
Il est vrai que lorsqu’on vient de se faire élire brillamment maire de l’une des plus grandes villes de France sous l’étiquette écologiste, il faut bien justifier son empreinte et ne pas décevoir son électorat… (je ne peux pas écarter non plus la possibilité, bien sûr, que Pierre Hurmic soit authentiquement convaincu par son idée et qu’elle lui tienne profondément à cœur).
Le reste, je le laisse à votre appréciation. Mais était-ce si urgent d’annoncer solennellement cette décision au moment où d’autres questions qui pourraient sembler autrement plus urgentes se posent avec acuité?