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Blog - Page 42

  • Dis Macron, quand vas-tu sortir de la puberté?

    C’était hier à Jérusalem. Encore un manque de discernement! Encore un manque de retenue! Encore un oubli de sa fonction! Bref, encore un comportement de petit gamin en colère et en plus, qui veut imiter son grand frère! " t’vas voir ta gueule à la récré ". Déjà, on se souvient de ses pitreries à côté de Poutine durant la coupe du monde de foot-ball, ses sauts débiles quand la France marquait un but. Décidément, et depuis longtemps, on n’est pas gâté chez nous, question président de la République. On a eu droit à: " casse-toi pauv’con! " de notre ami Sarkozy puis à Hollande qui se tirait en douce en Vespa, fortement casqué, pour rejoindre sa belle et jeune poule. C’est toujours comme ça en France: plusieurs fois, on se désigne des nullités, puis on finit par s’en rendre compte, et on finit, enfin! à trouver de hautes pointures. C’est vrai qu’on nous a traités de bœufs, alors…

    Mais pour revenir à Macron, il aurait au moins pu se souvenir qu’il était à Jérusalem… pour célébrer le 75e anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz par l’Armée rouge et se souvenir du million de Juifs massacrés dans les conditions effroyables que l’on connaît. Mais cela ne l’a pas empêché de faire un saut chez le Palestinien Mahmoud Abbas et " d’affirmer le soutien de la France au processus de paix dans la région fondé sur la solution à deux États ", rien de moins! Et poursuivant la philosophie de bon Samaritain qu’il applique en France avec les immigrés, il a ajouté que " la France continuera à soutenir le peuple palestinien dans ses institutions et le développement de son économie ". Ah! la France! c’est quelque chose, quand même, hein! Toujours prête à défendre la veuve et l’orphelin.

    Il aurait pu rappeler à l’humaniste Abbas que le Hamas avait fêté, lui, début de ce mois, le 32e anniversaire de sa création et que la charte précise (pas précisait) que " la lutte contre les Juifs est immense et très sérieuse " et que " seul le djihad peut résoudre le problème palestinien ". Oui, mais c’était hier tout cela, allez-vous me dire. Tu parles, tiens! Qu’est-ce qu’à vociféré  Ibrahim Yazouri,  cofondateur du Hamas, le jour anniversaire?Que " Le Hamas et sa branche militaire ne s’arrêteront qu’une fois la Palestine libérée… Pour le Hamas, tous les moyens de libérer la Palestine sont bons ". Macron aurait pu rappeler à Abbas que 4 jours après les accords d’Oslo, le 13 septembre 1993, Yasser Arafat avait déclaré: " Les Palestiniens recevront tout le territoire qu’Israël leur remettra, puis l’utiliseront comme tremplin pour procéder à d’autres gains territoriaux jusqu’à ce qu’ils obtiennent la libération totale de la Palestine, la liquidation de l’État juif ".

     

    "Liquidation", le mot est sans équivoque. En fait, ce dont rêvent les Palestiniens mais aussi tous les musulmans de ce monde, c’est tout simplement un second Holocauste. Il y avait autrefois une valeur, c’était le respect des morts. Macron, lui, qui est un jeune trouduc et qui bien sûr n’a jamais lu ce magnifique morceau de la littérature mondiale qu’on appelle le Coran, s’en moque éperdument ; il va, lui, faire copain-copain avec les nazis d’aujourd’hui!!! Vous allez voir que demain, parti comme il est parti, il va applaudir à la vandalisation des cimetières juifs.

    Philippe Arnon

    https://ripostelaique.com/dis-macron-quand-vas-tu-sortir-de-la-puberte.html

  • S.T.O. à Auschwitz

    C'est l'histoire d'un homme merveilleux, mon papa.

    Dernier enfant d'une fratrie de 11 enfants de mes grands-parents espagnols. Né en France, en 1921 dans les Hautes Pyrénées, naturalisé Français à l'âge de 3 ans. 5 garçons et 1 fille sont vivants  quand éclate la guerre 39-45.

    Un jour de début 1942, mon papa reçoit une lettre terrible. Il est le seul enfant resté auprès de sa maman, ma grand-mère paternelle; les autres sont partis du foyer, un à Barcelone où il a fait la Révolution de 1936 puis s'est marié avec une Catalane, un vivait sa vie à Tarbes sans s'occuper de rien, un autre est au Venezuela, un encore se trouve dans le maquis des Pyrénées, la fille, ma marraine et tante chérie est mariée, très jeune et reste auprès de son mari.

    Cette lettre affreuse le met en demeure de se rendre à la gendarmerie toulousaine pour partir au service du travail obligatoire. Mon papa, jeune homme de 19 ans passé, n'a pas du tout envie de se mettre au service des nazis… Vite, il fait passer un message à son frère du maquis et la réponse arrive: demain matin, prends le train de 6 heures jusqu'à Tarbes et “quelqu'un“ t'attendra. Cette information n'arrive pas assez vite, le délai de se présenter à la gendarmerie est dépassé d'un jour.

    Ce matin-là, mon père à mis quelques vêtements dans une valise en bois pour rejoindre le maquis et il est en train de se raser à 5 heures du matin, lorsque des coups violents sont frappés à la porte: il ouvre, son blaireau plein de savon à la main et se trouve face à deux gendarmes qui lui posent cette question: “pourquoi ne vous êtes pas présenté à la gendarmerie?" Mon papa explique: j'ai dû m'occuper de ma maman qui a fait un gros malaise hier, mais, là, vous voyez, j'ai fais ma valise et j'allais me présenter“…

    Ni une, ni deux, ils l'embarquent et mon papa se retrouve dans une ferme à deux km du camp d’Auschwitz à travailler, avec d'autres français, du lever au coucher de soleil sans s'arrêter, tandis que toutes les victuailles: œufs, volailles, grains et autres sont envoyées aux S.S. et autres gens du camp.

    Les “travailleurs“ n'étaient pas nourris; ils devaient se contenter de manger ce qu'ils trouvaient dans les champs, surtout des racines et herbes mauvaises… de la terre, même a-t-il dit, un jour. Ce régime épouvantable lui a causé d'énormes problèmes à l'estomac. Il était très mal en point.

    Il a faillir mourir et quand le camp et l'alentour ont étés découvert et libérés par les Russes, il fut envoyé dans un hôpital russe. Où on l'opéra. Il échappa de peu à la mort et fut, très longtemps alité, sans force, sans pouvoir se tenir debout.

    Jamais on le voyait revenir… on ne savait pas où il était. Ma famille avait peur. Sa sœur, ma tante, faisait appel à toutes les administrations françaises: rien, rien, rien.

    Elle fit venir auprès d'elle sa belle-sœur barcelonaise pour courir d'un côté et de l'autre et supplier pour qu'on le ramène. Mon oncle, à Barcelone, venait de trouver un emploi et il gardait sa fille aînée; il ne pouvait perdre son travail et  effectuer les recherches avec sa grande sœur pour retrouver son petit frère.

    Cela dura encore plus de six mois, la guerre était terminée et Toulouse, libérée depuis longtemps. Puis, après des semaines d'angoisse et d'expectative, vint la bonne nouvelle de la Croix Rouge internationale, on avait retrouvé mon papa, il allait pouvoir revenir. Il était dans le dernier train de retour des prisonniers Français, le tout dernier… en 1945. D'autres Français n'ont pas eu la chance de rentrer chez eux. Ils furent enrôlés de force par les Russes et ne revinrent jamais au pays!

    Mon papa était méconnaissable m'a dit ma tante: il était have, barbu, émacié; jamais on aurait pu croire qu'il avait été un beau jeune homme; il avait perdu 25 kg, il était squelettique et famélique.

    Mon père n'a jamais parlé de cette époque terrifiante. Bien sûr, il savait ce qui se passait dans ce foutu camps nazi. Pour le détail de racines et de la terre qu'il avait dû manger, je l'ai su, un jour de 1958, quant un homme était venu le voir: un qui avait, aussi, été dans la ferme, prisonnier comme lui. C'est la seule fois où j'ai entendu parler de cela. Dix ans plus tard, ma tante m'a raconté ses démarches et ce temps si long avant son retour.

    Mon papa est décédé en 1962 d'une tumeur au cerveau, après une épouvantable épreuve de deux longues années de maladie: c'était le 21 décembre 1962, j'avais un peu plus de douze ans. Il n'a jamais revu son frère, assassiné par les Allemands en 1944,  lors de la libération de la France.

    Deux ans après sa mort, des Toulousains de tous horizons, venaient frapper à notre porte et disaient à ma mère: “je viens d'apprendre la mort de Lazare, je vous fais toutes mes condoléances, c'était un brave type…. “.

    Mon père, contrairement à Georges Marchais et tout un tas de conn… qui ont critiqués les gens du STO, A ÉTÉ PRISONNIER et pas volontaire

    il a fallu bien des décennies pour que les STO obligatoires soient reconnus par l'Allemagne… certaines familles de ces prisonniers obligatoires devaient toucher, soi-disant, des indemnités: je ne sais si cela a été fait, nous, n'avons rien vu.

    Mais, l'essentiel est qu'il est revenu... s'est marié... a eu 4 enfants... même s'il est décédé bien trop tôt pour moi: tant que je vivrais, j'y penserais... d'ailleurs, c'est pour cela que j'écris, ici.

     

  • Profs de merde!

    J'ai vu hier soir sur une chaîne infos du satellite des jeunes d'Agen obligés de marcher sur des livres scolaires pour entrer en classe et passer des épreuves du bac, la moitié de l'écran était occupée par une putassière syndiquée qui osait dire: “ce sont des ouvrages périmés qui doivent aller à la benne“ ne se rendant même pas compte que c'est ce que l'on reproche aux gens de daech qui on fait sauter Palmyre et les autres, en Afghanistan, qui ont fait sauter des statues anciennes de plusieurs centaines d'années.

    Tu sais au moins ce que c'est un autodafé? la plus monstrueuse atteinte et insulte à l'intelligence humaine!

    J'ai eu un haut le cœur et les larmes aux yeux, moi, qui allait à l'école, entre 1954 et 1958, à pieds, sur 2,5 km alors âgée de 4 à 8 ans; lorsqu'il arrivait que j'étais fiévreuse, je vous jure sur mon honneur, que je secouais le thermomètre, en cachette, pour faire baisser la température marquée et pouvoir ainsi aller à l'école.

    J'ai vu des documentaires montrant des gosses d'un dizaine d'années faisant une dizaine de km, tous les jours, dans la froidure, le soleil brûlant, grimpant des éboulis au-dessus de précipices ou louvoyant entre des épineux du désert, d'autres faire une soixantaine de km à cheval dans des conditions de météo tout aussi difficiles pour aller à l'école où le prof n'a qu'un livre pour les plus de 40 élèves la classe. Quel courage et quelle ténacité!

    A 14 ans, j'ai dû aller dans une usine à confection, ramener une petite paye à ma mère, veuve avec six enfants. On m'a trouvé un QI de 130 et nul doute que j'aurais pu faire de longues études dans une fac.

    Et quand je vois ces ponctionnaires à la peau du ventre bien tendue, se comporter de cette façon, je me dis que si la sclérose en plaques se transmettait par le sang, j'entaillerais profondément mes mains et j'irais à la ville voisine de Toulouse, leur coller des gifles avec grande joie et bonheur, me foutant totalement de devoir faire un séjour en taule!

    Quand on pense que la majorité des profs sont reçus à leur diplômes avec 3,5 sur 20, je me dis que de nombreux enfants de leur classe sont, sans aucun doute, plus intelligents qu'eux.

    Ce n'est pas du pognon et des prébendes supplémentaires qu'il leur faut car la conscience professionnelle ne s'achète pas!

    C'est un retour à la maternelle pour leur enfoncer dans le crâne l'art d'être un ponctionnaire capable d'empathie avec les enfants qui leurs sont confiés par des parents qui veulent que leurs enfants ne soient des gilets jaunes, comme eux.

    3,5 sur 20!!! pas croyable!!!

    J'assume totalement ce que j'écris et je me tape des émotions perturbées de ces fragiles poulpes qui se prennent pour des intellectuels.

    Mierda à la gauchiasse.

  • Défoncés de la calebasse!

    vraiment basse, la calebasse!

     

    Le genre expliqué aux nuls!

    Envoyé par une amie médecin

    Dans le temps, on pouvait avoir mauvais genre, mais la notion d'être genré, n'existait pas et ne prenait pas la tète.

    J'ai du me  faire raconter cette histoire deux fois, pour être sûre d'avoir bien compris ( parce que c'était raconté un peu dans le désordre) et pourtant je suis assez au point sur le "genre".

    Il s'agit d'une très banale "histoire de genre" parfaitement loufoque comme on sait les faire maintenant

    Histoire drôle .... je vais remplacer Campagnol bientôt... :-)

    Un jeune homme part à Paris faire des études dans le "cinéma“.

    Au bout de quelques mois, il déclare à son père qu'il est finalement une fille, il se sent fille etc... Ce qui est possible après tout par les temps qui courent...

    Le père fait “gloup's“, puis se fait à l'idée.

    Le jeune homme fait une visite à ses parents à Noel, et leur avais dit "je vous amènerai mon copain"...

    Re-“gloup's“, mais quand on aime un enfant, on se fait à  l'idée qu'il pourrait être "homo" en quelque sorte, en plus de se sentir fille... donc les parents se préparent "mentalement"…

    donc le grand jour arrive... et les parents voient arriver: leur garçon (XY) habillé en garçon,  et son copain, mais il s'agit en fait d'une fille XX, mais qui se sent garçon.. et qui pour faire "joli" a mis une robe

    J'espère que vous avez tout suivi

    Donc, le père qui n'y connait rien à ses histoires de genre ne s'en remet pas ...

    Il y a un peu de quoi

    Ni l'un ni l'autre du couple, ne veut se faire opérer pour changer de sexe physique, et changent même de "genre"  quand ils veulent... si la fille se sent mec, elle est mec et vis versa.

    Ils sont gender fluid

     

    Tout ceci relève d'une "posture mentale", d'un " genre " qu'ils veulent se donner si je peux m'exprimer ainsi.

    (Opérationnellement et "médicalement", ou physiologiquement, ce sont une fille et un garçon)

    Bref: cela s'appelle du "déconstructivisme"  dont la pseudo théorie du genre n'est qu'une expression.

    Une pseudo-théorie perverse inventée par les féministes américaines sur aucunes bases scientifique, neurologiques, hormonales ou sociologiques (du bla-bla basé sur du vent)

    Si cette histoire vous rend bizarre, ou crée en vous de la dissonance cognitive, c'est tout à fait normal... :-)))) MDR

    Bon maintenant, comme toujours, il faut expliquer le plus drôle:

    Il y a le sexe "physique": XX ou XY, (ou assignation de genre: paf, t'est prisonnier d'un corps pas de chance :-) ), le genre, et l'orientation sexuelle

    Un garçon XY  peut se sentir fille, et se dire homosexuel: donc il couchera avec une fille...

    Au total, il y a 8 combinaisons

    micmac

  • Grippe

    En France métropolitaine, la semaine dernière (2020s02), le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 85 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [74 ; 96]).

    Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Provence-Alpes-Côte d’Azur (134 [69 ; 199]), Ile-de-France (102 [72 ; 132]) et Occitanie (100 [65 ; 135]).

    Conclusion du groupe de travail pour la surveillance de la grippe en France métropolitaine :

    - Augmentation des indicateurs de l’activité grippale en métropole

    - Passage en phase épidémique en Ile-de-France et en Provence-Alpes-Côte d’Azur

    - Phase pré-épidémique pour les 11 autres régions métropolitaines

     

  • Royalement stupide!

    Ségolène Royal cite une phrase de Voltaire... qu'il n'a jamais écrite

    Par Auteur valeursactuelles.com 

    “Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire”, a écrit la future ex-ambassadrice des pôles.

    Loupé. Souhaitant s’exprimer sur sa probable éviction du poste d’ambassadrice des pôles, notamment pour manquement à son devoir de réserve, Ségolène Royal, philosophe, a voulu citer Voltaire dans un tweet. Problème: la citation qu’elle a postée sur le réseau social n’est tout simplement pas de lui, rapporte Le Figaro.

    L’esprit voltairien ne nous manque t’il pas? < Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire > VOLTAIRE https://t.co/0oaZ2T89bX

    "Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire ", a écrit l’ancienne ministre de l’Environnement avec ce commentaire: "L’esprit voltairien ne vous manque-t-il pas? ".

    Cette erreur vient d’une missive qu’aurait écrite Voltaire à un certain abbé Le Riche, le 6 février 1770, avec ces termes: "Monsieur l’abbé, je déteste ce que vous écrivez, mais je donnerai ma vie pour que vous puissiez continuer à écrire".

    Seulement, cette lettre n’a en fait jamais existé, rappelle Le Figaro.

    Une phrase qui expliquait la pensée voltairienne

    Sur le site Projet Voltaire, Sandrine Campese, auteur d’“Un petit dessin vaut mieux qu’une grande leçon“ explique -en effet- que cette citation provient en fait d’une certaine Evelyn Beatrice Hall, qui tentait de résumer, en anglais, la pensée voltairienne.

    Elle écrivait: "I disapprove of what you say, but I will defend to the death your right to say it’ was his attitude now". Ce que l’on peut traduire en français par: "Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire“ était alors sa pensée".

    C’est en mettant entre guillemets cette citation qu’Evelyn Beatrice Hall a créé la confusion. Une fois traduite en français, on la crut de la main de Voltaire, explique Le Figaro.

    Royalement stupide… non mais, attendez le mieux: on l'a vue avec un ours blanc: Super! Sauf que l'ours était empaillé!

    Elle avait oublié de dire "faut qu'il ait l'air vivant"!