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Blog - Page 39

  • Message rassurant du Dr Besnainou : la pandémie est presque finie !

     

    Les traitements qui marchent sont :

     

        Hydroxychloroquine + Azithromicyne : Didier Raoult (France), Steven Smith (USA)

        Hydroxychloroquine + Azithromicyne + Sulfate de zinc : Zev Zelenko (USA).

        Azithromycine + Singulair + Zinc : Médecins de l’Est, Philippe de Joux.

        Chloroquine + Doxycycline : médecin de Long Island (USA).

        Macrolide + C3G : Sabine Palliard-Franco (France).

        Azithromycine + Effizinc + Singulair + Héparine : trois médecins généralistes (France)

        (L’oxyde nitrique inhiberait le cycle de réplication du coronavirus :

        (L’anti-grippal japonais Avigan aurait de bonnes performances :

     

  • Les menteurs dévoilés…

     

    Le terrifiant témoignage de Fang Fang sur les méthodes chinoises

    Confinement. Jour 31.

    Luis Sepulveda et le virus chinois n’ont pas fait bon ménage. L’écrivain chilien est mort en Espagne. Le vieux ne lira plus des romans d’amour, ne racontera plus l’histoire d’une mouette et du chat qui lui apprit à voler.

    Les marchés d’animaux vivants rouvrent à Wuhan. Les Américains et les Australiens font la gueule. Les Européens se taisent. À Pékin, le quotidien nationaliste Global Times dénonce les " préjugés " occidentaux et l’idée " ridicule " de les fermer. La pro-chinoise OMS indique qu’elle n’a jamais plaidé pour la fermeture de ces marchés.

    Les pangolins sont inquiets.

    Et l’écrivain Fang Fang aussi.

    Cette intellectuelle de Wuhan a tenu un journal de sa vie et de sa ville pendant le confinement. Soixante récits en soixante-deux jours. Ce qu’elle voyait de sa fenêtre et ce que ses amis lui confiaient par Internet.

    Elle racontait: "Je vis à Wuhan, centre de l’épidémie, assignée à résidence, et ne communique avec mes amis et collègues que par Internet. Je note chaque jour ce que je vois, ce que j’entends, et j’attends que le point d’inflexion arrive. Lui [Xiang Ligang, patron du site Feixiang, proche du pouvoir, détracteur de Fang Fang] est à Pékin, libre de ses mouvements, mais dépense son énergie à m’insulter quotidiennement. Et il appelle ça avoir de la conscience? Qu’il sache que les gens sont de plus en plus nombreux à lire mon blog et à trouver que cette lecture les rassure.

    (…)

    Wuhan vit aujourd’hui une catastrophe. Il ne s’agit pas de l’obligation de porter des masques ou de rester cloîtré chez soi. Il s’agit de la liste des décès qui ne cesse de s’allonger. Jusqu’à présent, lorsqu’une personne mourait, son corps était mis en bière et emporté au crématorium. Maintenant, on transporte les cadavres dans des sacs, emportés sur des charrettes. Il n’est pas question d’un mort d’une seule famille, mais de morts par centaines en quelques semaines.

    Ce qui est catastrophique, c’est d’affronter le vent, le froid et la pluie pour tenter de trouver un lit dans un hôpital, mais sans résultat. Ce qui est catastrophique, ce sont ces queues interminables qu’il faut faire dans les hôpitaux pour s’inscrire, des queues qui peuvent durer deux jours, et, parfois sans même avoir réussi, vous vous écroulez à terre. Ce qui est catastrophique, c’est d’attendre chez soi une notification pour une place dans un hôpital, et lorsqu’elle arrive enfin, il est déjà trop tard. Le pire, ce sont ces patients gravement malades hospitalisés, qui, lorsqu’ils entrent, disent adieu à leurs proches, car ils ne les reverront jamais.

    (…)

    Au tout début de l’épidémie, les hôpitaux manquaient de main-d’œuvre, de lits et de protections pour le personnel médical. Or, la zone d’infection est immense, la main-d’œuvre insuffisante au crématorium, les camions pour transporter les dépouilles et les incinérateurs trop peu nombreux. Néanmoins, les cadavres contaminés par le virus doivent être brûlés au plus vite. Savez-vous tout cela? Ce n’est pas que les gens ne remplissent pas leurs devoirs, mais, depuis que l’épidémie s’est répandue, chacun fait de son mieux, même débordé, mais il est impossible de faire ce que prônent les trolls au service de la propagande".

    Deux maisons d’éditions – une américaine, Harper Collins, l’autre allemande, Hoffmann und Campe – s’apprêtent à publier son journal de confinement. Depuis l’annonce de ces publications, le régime communiste chinois orchestre une campagne de haine contre elle.

    "Je considère sérieusement que tu es une traîtresse", "Tu seras la honte de l’histoire" sont les mots les plus sympathiques qu’elle reçoit.

    Sinon, les menaces de mort pleuvent. Elle craint de disparaître comme Ai Fen, la patronne des urgences de l’Hôpital central de Wuhan.

     

    Début mars, Ai Fen a donné une interview dans laquelle elle affirmait qu’on avait essayé de la faire taire alors qu’elle voulait alerter contre le Coronavirus. Depuis, aucune nouvelle sérieuse d’elle. Sinon par son compte Weibo, un réseau social hybride entre Twitter et Facebook et contrôlé par le régime.

    Mais chuuutt ! Ne pas dire que la Chine est une dictature, que ses dirigeants sont des menteurs professionnels qui ont trompé le monde entier sur le danger du virus de Wuhan, sur le nombre de morts dans leur pays.

    Il ne faudrait surtout pas vexer Xi Jinping.

    Marcus Graven

    https://ripostelaique.com

     

  • Bon à savoir

    Non, il n’est pas obligatoire de faire ses courses au plus près de chez soi

    Comment et où faire ses courses? Les autorités françaises ont précisé les choses lors d’une cellule interministérielle de crise.

    Lors d’une cellule interministérielle de crise qui s’est tenue lundi, les autorités françaises ont, notamment, fait un point sur les pratiques autorisées pour faire ses courses.

    Est-on obligé de faire ses courses dans le magasin le plus proche de chez soi? Comment faire quand nos pratiques alimentaires nous obligent à nous rendre dans des magasins spécialisés? Autant de questions dont les réponses restaient floues. "Ce qui est certain, c’est que les consignes ne sont pas suffisamment claires et induisent en erreur même les personnes les plus respectueuses de la loi", confirmait, il y a une dizaine de jours dans nos colonnes, un gradé de la police.

    Plusieurs témoignages, comme celui de ce père de famille de Lanester (56) verbalisé à hauteur de 135 € pour avoir privilégié un supermarché à Lorient plutôt que son hypermarché habituel, suggéraient fortement qu’il fallait faire ses courses dans le magasin le plus proche de son domicile.

    "Aucune obligation de se rendre dans le magasin le plus proche" mais…

    Lundi, une cellule interministérielle de crise a éclairci plusieurs zones d’ombre. La décision finale indique qu’il " convient de rappeler aux préfets et aux forces de l’ordre les éléments suivants: tout achat réalisé dans un commerce dont les activités demeurent autorisées est considéré comme un achat de première nécessité; les forces de l’ordre ne doivent ni analyser, ni contrôler le contenu ou la manière de faire les courses".

    De même, il est souligné qu’il n’existe aucune obligation de regrouper ses courses dans un même commerce, ni de se rendre dans le magasin le plus proche. "Les usagers peuvent continuer à se rendre dans les magasins alimentaires spécialisés (boulangeries, fruits et légumes, chocolatiers, etc.) et confessionnels".

    Néanmoins, le gouvernement rappelle sur son site Internet que "chacun doit faire preuve de responsabilité et que la règle reste le déplacement bref et à proximité du domicile". Et il faut évidemment toujours être muni d’une attestation - papier ou numérique - toujours à jour sur soi.

    https://www.letelegramme.fr

     

    Ce que les policiers et gendarmes ont le droit (ou pas) de faire pendant un contrôle

    Les forces de l’ordre multiplient les contrôles pour veiller au bon respect du confinement. Mais sont-elles autorisées à fouiller vos courses ou à vous demander la raison de votre déplacement chez le médecin? Eléments de réponses.

    Depuis le 17 mars, 100 000 policiers et gendarmes sont mobilisés pour s’assurer que les Français observent bien les mesures de confinement et sortent de chez eux uniquement pour les motifs autorisés. En cas de contrôle, ils peuvent verbaliser pour absence d’attestation dérogatoire de déplacement ou sortie non légitime. Au 1er avril, quelque 5,8 millions de contrôles et 359 000 procès-verbaux ont été dressés par les forces de l’ordre, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur.

    Mais sur les réseaux sociaux, des témoignages font état de contrôles abusifs et verbalisations injustifiées. Des femmes racontent par exemple avoir été verbalisées pour être sorties acheter des protections hygiéniques ou un test de grossesse, un internaute pour avoir mal recopié l’attestation à la main ou encore un autre parce qu’il portait un jean pendant sa pratique sportive. Alors jusqu’où peuvent aller les forces de l’ordre lors  d’un contrôle?

    Le montant de l’amende forfaitaire encourue en cas de non-respect du confinement grimpe vite: 135 € en cas de première sanction, 200 € en cas de récidive dans les quinze jours qui suivent, majorée à 450 € si elle n’est pas payée dans les 45 jours. En cas de multi-récidive dans les 30 jours qui suivent la première verbalisation, la violation des règles de confinement devient un délit passible de 3 750 € d’amende et six mois de prison.

    Les forces de l’ordre peuvent-elles fouiller vos sacs de courses?

    Non, "une inspection visuelle ou une fouille sont des atteintes à votre droit à la vie privée", rappelle l’Observatoire parisien des libertés publiques dans un communiqué. Les forces de l’ordre ne peuvent avoir le droit de procéder à la fouille ou à l’inspection visuelle que dans le cadre d’une réquisition du procureur ou d’une enquête de police judiciaire. Pour contourner cet obstacle, ils peuvent vous demander d’ouvrir vous-même votre sac.

    Vous êtes en droit de refuser mais étant donné les circonstances, "le rapport de force des policiers prévaut et ils risquent de vous emmener en garde à vue ou en vérification d’identité et sans témoin, il va être compliqué de vous défendre, notamment d’accusations de rébellion ou d’outrage".

    Les forces de l’ordre peuvent-elles juger ce qu’est un achat de première nécessité?

    Non, si vos achats sont effectués dans les commerces autorisés à ouvrir, les policiers ne peuvent pas les contester. Le décret du 23 mars ne précise d’ailleurs pas ce qu’est un produit de première nécessité, "de sorte qu’une contravention qui se fonderait sur l’absence de nécessité première du bien acheté pourrait être contestée, pour absence de prévisibilité de l’infraction", précise l’Observatoire parisien des libertés publiques.

    Les forces de l’ordre peuvent-elles vous verbaliser pour avoir pris plus d’une heure pour faire vos courses?

    Non, la limite d’une heure de déplacement s’applique uniquement aux sorties de loisirs : promenade, pratique sportive, sortie d’animaux. De même, la distance maximale d’un kilomètre ne concerne pas les déplacements pour aller faire vos courses.

    Les forces de l’ordre peuvent-elles demander la raison d’un rendez-vous médical?

    Non, le secret médical s’applique.

    Les forces de l’ordre peuvent-elles demander le paiement d’une amende sur place?

    Non, le paiement en liquide et immédiat d’une contravention sur le lieu du contrôle ne peut être exigé que "si le contrevenant ne dispose pas d’une adresse de domiciliation en France", rappelle la gendarmerie nationale.

    Les forces de l’ordre peuvent-elles vous raccompagner chez vous?

    Si rien ne les en empêche, le gouvernement précise sur la page consacrée aux informations sur le coronavirus qu’"on demandera aux personnes de retourner chez elle mais il n’y aura pas de reconduites à domicile".

    Les forces de l’ordre peuvent-elles vous contrôler dans les jardins de votre copropriété?

    Non, les contrôles s’exercent uniquement sur la voie publique.

     

    https://www.dossierfamilial.com

     

  • Coronavirus: Sabine Palliard-Franco a-t-elle trouvé la solution?

    Un docteur français pourrait avoir réussi à trouver un traitement efficace contre le Covid-19 (Sars-Cov-2) qui marche mieux que celui du docteur Raoult (chloroquine + azithromycine).

    Je ne suis pas docteur, je me contente donc de présenter ici quelques textes. Charge à d’autres personnes compétentes d’analyser ces données brutes.

    Les traitements prometteurs que j’ai relevés pour l’instant sans faire de recherche approfondie, mais en m’intéressant un peu au sujet toutefois sont:

     

    > Hydroxychloroquine + Azithromicyne: Didier Raoult (France), Steven Smith (USA)

    > Hydroxychloroquine + Azithromicyne + Sulfate de zinc: Zev Zelenko (USA),

    > Chloroquine + Doxycycline: médecin de Long Island (USA).

    > L’oxyde nitrique inhibe le cycle de réplication du coronavirus: lien.

    > L’anti-grippal japonais Avigan a de bonnes performances: lien.

    > Macrolide + C3G: Sabine Palliard-Franco (France).

    > Azithromycine + Effizinc + Singulair + Héparine: trois médecins généralistes (France)

     

    Le compte-rendu d’expérience du docteur Sabine Palliard-Franco (extraits)

     […] Pour un jeune de 23 ans ayant les mêmes symptômes grippaux, mais ne présentant pas de risque autre qu’un terrain allergique, avec fièvre, toux et aggravation inquiétante de l’essoufflement et oppression thoracique à J7 , n’ayant que la clinique pour prendre une décision, je l’ai traité par ZECLAR/Innovair/anti-histaminique comme pour une surinfection de bronchiolite chez les nourrissons ou une pneumopathie atypique printanière. Traitement qui a donné un très bon résultat en à peine 24 h sur tous les symptômes…

    Confortée par la rapidité et l’efficacité de cette classe médicamenteuse, j’ai donc ajouté à tous mes cas critiques cette prescription de macrolide (ZECLAR, RULID ou Zithromax dont on connaît l’action bactéricide sur les germes atypiques et l’action virucide), ce qui a dans les 24 h amélioré les symptômes subsistants chez tous les patients, même sévères, âgés ou polypathologiques.

     […] Pour ceux à la limite de l’hospitalisation, je constate que sous ce double traitement, (Rocéphine IM ou SC et macrolide per os, bronchodilatateurs) ils n’ont plus de symptômes inquiétants ou sont déjà guéris.

    Pour les cas les moins sévères, le macrolide suffit et agit dès les premières 24 h tant sur la toux, la fièvre, les myalgies, les signes ORL et l’état général. C’est étonnant.

     

    Quel que soit le stade d’avancement de la maladie lors du début du traitement (J5, J7, J9 ou J12) je constate une réponse significative en moins de 48 h et généralement dans les 24 h, sur la surinfection et les symptômes inquiétants, manifestement dissociée de l’évolution naturelle du virus.

    N’ayant pas accès aux tests, je ne peux pas savoir si la charge virale diminue avec ce traitement, mais il est certain qu’avec ce traitement on lutte efficacement contre la surinfection et l’inflammation, ce qui est l’objectif et m’a permis d’éviter au moins 7 hospitalisations dont 5 au-dessus de 75 ans.

    Texte complet pdf : traitement coronavirus palliard-franco

     

    Lettre du fils du docteur Paliard-Franco: "Je suis TRÈS fier de ma mère qui a guéri 100 % de ses patients atteints du Coronavirus ".

    Extraits: Depuis plus d’un mois, ma mère est confrontée à plusieurs patients présentant les symptômes du Covid-19. Dans sa commune du Nord-Isère, de nombreuses personnes travaillent à Lyon, ville fortement touchée par l’épidémie.

    En l’absence de piste de traitement pour ses patients – car c’était avant les premières apparitions publiques du Pr Raoult –, elle décide alors de leur prescrire une combinaison "Macrolide + C3G": deux familles d’antibiotiques bien connus, très peu chers et faciles à produire, utilisés depuis 20 ans contre les pneumonies atypiques. Après tout, elle trouve que cela ressemble bien à une pneumonie…

    En 24 à 48 h, tous les symptômes disparaissent brutalement. Prodigieusement. Cela chez tous ses patients, des formes bénignes aux plus graves

    Quinze personnes présentaient des formes sévères de la maladie, avec des problèmes respiratoires et des terrains à risque (personnes très âgées, fumeurs, diabète, cancer, etc.). Elle imaginait devoir les envoyer aux urgences rapidement, et pensait même ne plus revoir certains d’entre eux.

    Mais aucun n’a eu besoin d’aller à l’hôpital. Tous ont intégralement guéri en 24 à 72 heures!

    Je peux moi-même témoigner de l’efficacité de ce traitement. Après avoir tenu un bureau de vote la journée du 15 mars pour les municipales, j’ai eu plusieurs symptômes du Covid. Au bout de plusieurs jours, j’étais de plus en plus malade et fatigué. Quand ma mère m’a prescrit ce traitement un matin, j’étais remis sur pied le soir même ! Le lendemain, je n’avais plus aucun symptôme et j’étais en pleine forme.

    […]

    Depuis, plusieurs praticiens, partout en France, mais aussi de nombreux services hospitaliers et Ehpad en Isère, Savoie, Haute-Savoie, dans le Grand Est et en région parisienne appliquent son protocole de soins. De nombreuses vies ont pu être sauvées! Il y a quelques jours encore, ma mère a reçu les remerciements d’un médecin qui a ainsi pu guérir un patient de 97 ans en insuffisance respiratoire.

    Nous avons beaucoup entendu parler du professeur Raoult et de l’hydroxychloroquine. Le débat s’est vite porté sur cette molécule: traitement-miracle pour les uns, inefficace voire même dangereux pour les autres à cause de ses effets secondaires.

    Mais ce tumulte nous fait oublier quelque chose: le professeur Raoult ne donne pas seulement l’hydroxychloroquine. Il la combine avec un antibiotique: l’azithromycine (ou Zithromax). Et qu’est-ce que l’azithromycine? Un macrolide! Référez-vous au début du texte: c’est ce que ma mère prescrit à ses patients ! Inutile de vous dire que cela l’a confortée dans sa conviction que son protocole fonctionnait.

    Seulement, ma mère n’a jamais prescrit de chloroquine associée au macrolide. Il n’y a donc pas ces risques d’effets secondaires cardiovasculaires. […]

    Et si le traitement miracle, ce n’était pas la chloroquine dont on n’arrête pas de parler?

    Et si c’était le macrolide, donné à la fois par le Pr Raoult, par ma mère et divers autres praticiens avec les mêmes excellents résultats?

    Julien Martel

    https://ripostelaique.com/coronavirus-sabine-palliard-franco-a-t-elle-trouve-la-solution.html

     

    J'ai entendu que l'on faisait un essai thérapeutique avec des cellules mésenchymateuse (ce sont des cellules sanguines prélevées dans la moelle osseuse ou sang du cordon). Or, il devait se faire, il y a deux ans, un essai thérapeutique pour deux maladies auto-immunes voisines (myopathie inflammatoire et sclérose en plaques) qui semblent identiques dans le processus inflammatoire, essai fait sur des malades en réanimation...

    Or, j'affirme que ces essais ont été abandonnés il y a deux ans PARCE QUE TROP CHERS! donc les personnes en réanimation sont des cobayes gratuits! je certifie sur mon honneur que ce que je dis est exact; en effet, ma fille souffre de la myopathie inflammatoire depuis 1991 et je suis atteinte de sclérose en plaques depuis 2005; je connais bien cet essai qui a été abandonné car il coutait terriblement cher; malgré le fait qu'il soit financé par AFM téléthon (dont ma fille est adhérente à cause de cette maladie) et par une assoc de la sclérose en plaques);

    Le service hospitalier qui s'en occupait est un service de Purpan Toulouse (avant que l’hôpital change de nom) où je suis soignée depuis 2005 et dont mon spécialiste a rencontré ma fille (soignée sans un autre service) et c'est même moi, qui lui avait signalé cette recherche de service hospitalier en France par les financeurs! du coup, mon spé a été choisi car en fait, nous étions deux dans la même famille!

    J'ai été vraiment stupéfaite de voir ce reportage et je me dis que cet essai qui, il me semble, coûtait 700 000 euros par patient,  est abusif: on a pas demandé l'avis des patient, j'en suis presque sure!

     

    https://ripostelaique.com/coronavirus-sabine-palliard-franco-a-t-elle-trouve-la-solution.html

     

     

     

  • C'est ça les Français: parfois aussi, un peu débiles

    Confinement, délations, petites dictatures et autres réjouissances françaises

    Le confinement semble autoriser tous les débordements " citoyens ": de la délation de voisin au rejet du touriste. Une situation hélas déjà vue dans le passé, dont nous n’avons rien retenu.

    Tout est bon pour lutter contre le coronavirus, même et surtout les mesures les plus stupides. Certains maires vont jusqu’à prendre des arrêtés municipaux qu’ils sont obligés d’annuler au bout de quelques jours tellement ils entrent en contradiction avec la Constitution ou avec la loi.

    Voici un florilège des décisions et des déclarations les plus étonnantes. À méditer pour de futurs choix électoraux lorsque ceux-ci seront de nouveau à l’ordre du jour…

    Interdiction d’acheter une seule baguette

    Ferdinand Bernard, maire de Sanary, a interdit aux habitants de sortir à plus de 10 mètres de chez eux.

    Il n’en était pas à son premier essai: agacé que certains aillent acheter leur pain ou leurs cigarettes et "en profitent" pour se promener, il avait tenté de faire passer une interdiction d’acheter un seul produit: il était donc obligatoire d’acheter plusieurs baguettes et plusieurs paquets de cigarettes! Il a finalement annulé ces deux arrêtés.

    Interdiction des locations saisonnières

    Dans les stations balnéaires ou à la montagne, on prend des mesures drastiques. Outre l’interdiction de l’accès aux plages, à Belle-Ile les locations saisonnières sont devenues interdites. Idem aux Sables-d’Olonne. Rappelons que les locations appartiennent non pas aux communes, mais à des propriétaires qui s’acquittent en retour d’un certain nombre d’impôts et de taxes.

     

    À Morlaix, la mairie a interdit de 9 h à 15 h l’usage des outils bruyants, tant pour jardiner que pour bricoler chez soi, au motif de permettre aux soignants de se reposer. Que ne ferait-on pas pour votre bien.

    La montagne, ça vous perdra

    Mais c’est dans un petit village de montagne que les mesures prennent un tour consternant.

    Le maire de Saint-Gervais-les-Bains, excédé par quelques personnes venues occuper leur résidence secondaire, critique la présence de ces habitants ponctuels:

    "Il y en a quelques-uns et ce sont quelques-uns de trop. On le voit à quoi ? Ce sont les voisins qui voient les chalets qui sont subitement allumés, qui mettent un message en disant:  "Mais pourquoi ils sont là? Qu’est-ce qu’ils viennent faire? Qu’ils restent chez eux, du début à la fin!"/

    La France, décidément, garde de vieilles habitudes bien ancrées. Que de voisins bien intentionnés qui veillent sur vous…

    Jean-Marc Peillex, le maire de Saint-Gervais, poursuit:

    "Ils auraient choisi Saint-Gervais pour se confiner, pas de souci ; ils auraient été accueillis à bras ouverts, mais ce n’est pas à la carte".

    Les habitants ponctuels de son village sauront apprécier la variabilité de l’accueil au moment où ils s’acquitteront de leurs taxes foncière et d’habitation, qui, elles, ne souffrent pas de paiement "à la carte".

    D’ailleurs ce charmant village donne surtout envie de ne plus y mettre les pieds, avec une formule du maire, qui fleure bon la menace et l’appel au règlement de comptes:

    "On est un petit village et les gens se souviendront que telle famille n’a pas respecté, que telle famille est venue".

    Certains commerçants râlent aussi, au motif que quelques touristes viennent leur faire prendre des risques:

    "Dans les Bauges aussi, certains commerçants locaux s’agacent de recevoir ces jours-ci la visite de clients… qui étaient absents jusqu’à présent. C’est le cas du chocolatier Jacob qui à l’approche de Pâques voit certains vacanciers dans son magasin. Il leur demande de rester en dehors de la boutique ou de se faire livrer à domicile" explique France Bleu.

    Le confinement monte les gens les uns contre les autres

    Au lieu de voir une opportunité économique dans l’apport d’une poignée de touristes, les gens ont pris peur, se dénoncent les uns les autres, se surveillent.

    On pleurera sur l’arrêt de l’activité économique, mais on ne veut pas de touristes qui font vivre les commerces. On pleurniche sur les " lits froids ", que dénonce souvent le même Jean-Marc Peillex, ces lits inoccupés et ne rapportant rien à la commune. Mais on n’en veut pas, de ces touristes.

    D’ailleurs on se demande si ces maires ont bien compris que l’avenir de leur commune est lié à la manne financière apportée par les touristes et les propriétaires de résidences secondaires. Même eux finissent par mordre la main qui les nourrit. Jean-Marc Peillex, toujours très remonté contre les résidents secondaires de sa station de ski, déclare:

    "Pour eux ce n’est pas un problème d’argent ou d’amende. Celui qui a un beau chalet dans les Alpes, une belle maison sur la Côte d’Azur ou sur la côte atlantique, 135 euros ou 500 euros ce n’est pas grand-chose", constate Jean-Marc Peillex, impuissant devant cette situation. "

    Ces salauds de riches sauront apprécier.

    Délation, encore et toujours

    Certes, des idiots n’ont rien compris au mode de contamination. Mais monter dans sa voiture, faire 1, 10, 100 ou 500 km, et en descendre pour rester dans sa résidence secondaire ne contamine personne d’extérieur à la famille.

    Marcher sur un chemin ou une route, seul, ou accompagné de ces mêmes personnes ne contamine personne non plus.

    Il serait temps de mettre fin à ce zèle délétère, temps d’arrêter de faire passer quelques touristes pour des criminels.

    Par Margot Arold.

    Sur Contrepoint.org

  • Les CPF en action

      "Samedi en début de soirée, les policiers ont poursuivi un jeune homme qui conduisait sa moto sans casque dans Chanteloup-les-Vignes jusqu’au quartier de la Noé, mais au moment de l’interpellation, ils ont été pris à partie par une cinquantaine de personnes qui leur ont lancé des projectiles, des pierres et des pavés, selon le parquet de Versailles. Les forces de l’ordre ont répliqué avec leurs lanceurs de balles de défense (LBD). " " La mère assure que la fillette a reçu une balle de LBD sur la tête mais pour l’instant l’enquête ne le confirme pas. Ce qui est certain en revanche, c’est que la blessure de la fillette a bien été faite en même temps que les incidents.

    https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/yvelines-deux-enquetes-ouvertes-apres-des-incidents-entre-habitants-et-policiers-une-fillette-blessee-l-igpn-saisie_3901193.html?fbclid=IwAR014Bolicm56AAEeuA1UShZu2i-pwIaPBcKA7G_r2voHnDoWS5Zk306WKo

     

    Bordeaux: "Les faits se sont déroulés hier soir, quand des riverains ont appelé la police parce que des personnes d’origine immigrée pratiquaient des " rodéos urbains " et jouaient un match de football en plein confinement.

    Selon France Bleu Gironde, "une cinquantaine de jeunes lancent des pierres et des pavés en direction des forces de l’ordre. D’autres jeunes leur envoient également toutes sortes de projectiles depuis les balcons des immeubles et les passerelles aériennes. Un frigo s’écrase même au pied des policiers"!

    http://www.infos-bordeaux.fr

     

    Dans un pays normal, quand on attaque des policiers au couteau et à la machette, on meurt. Pas en France, où l’on peut même, si l’on s’y prend bien, être relâché assez tôt pour récidiver. Avec les compliments de la ministre.

    https://www.sudouest.fr/

    https://www.sudouest.fr

     

    C'était vu en novembre