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Humain? - Page 145

  • Collabos: retenir leurs noms

    Les déchéants élus LREM refusent de déchoir de nationalité les djihadistes

    Macron l’Africain pour l’islamisation de la France refusera la déchéance de nationalité des djihadistes et il pourra enfin faire adhérer la République islamique de France à l’Organisation des États africains!

    En France, (avant la conformité obligée aux règles religieuses de la République islamique LREM), la déchéance de nationalité, proposée par le gouvernement Hollande, avait suscité un tollé après les attentats de 2015. C’est pourquoi Hollande l’audacieux, moi président de la rue du cirque, s’est condamné à renoncer.

    David Revault d’Allonnes: "Déchéance, un désastre politique majeur!".

    “Hollande, dans une allocution télévisée voulue courte et solennelle, a dû se résoudre à jeter la dernière pelletée de terre sur la réforme constitutionnelle qu’il avait annoncée dans son discours au Congrès réuni à Versailles: "J’ai décidé de clore le débat constitutionnel ", a abdiqué peu après midi le chef de l’État, qui avait reçu plus tôt dans la matinée les présidents de l’Assemblée et du Sénat. Et constaté avec eux l’impossibilité de trouver une voie de conciliation entre les deux textes votés, d’une part par la majorité de gauche du Palais-Bourbon, de l’autre par la majorité de droite du Palais du Luxembourg. Il n’y aura donc ni congrès ni révision constitutionnelle!

    " Pour Hollande, un nouveau et cruel aveu de faiblesse et une cuisante démonstration d’impuissance politique présidentielle. Condamné à renoncer, il a dû procéder en personne à l’enterrement d’une réforme engagée il y a plus de quatre mois, au lendemain des attentats du 13 novembre. Quatre mois de ping-pong entre Assemblées, de positionnements tactiques autant qu’idéologiques à droite et à gauche, et de débats qui, paradoxalement, ont laissé de marbre une opinion pourtant très majoritairement favorable à la mesure la plus contestée, contenue dans l’article 2: celle étendant la déchéance de nationalité aux binationaux nés français. Cette voie sans issue, bien sûr, était prévisible. Même si Hollande, en fin de quinquennat, dédaigne de moins en moins de jouer de l’effet de surprise, dont il aura usé tout au long de la sinueuse trajectoire de ce texte. D’abord, en dégainant devant le Congrès cette disposition empruntée à la droite, dans le mouvement d’une révision constitutionnelle, puis en la maintenant contre la volonté de sa ministre de la justice Taubira, et d’une partie de sa majorité, crispée par une transgression considérée comme majeure".

    Mais pour Hollande, comme la suite l’a montré, abandonner était devenu une nécessité habituelle.

    " Suite à un rapport de force historiquement bas et après cette retraite en rase campagne, Hollande a tenté d’habiller sa défaite en endossant la position sécuritaire ", la seule qui ait réussi devant l’opinion dans ce quinquennat raté: "Je ne dévierai pas des engagements que j’ai pris pour assurer la sécurité de notre pays" .

    Vous avez compris? Hollande partisan est le prototype avant Macron du fiasco présidentiel!

    Jean-Pierre Stroobants, le Monde de gauche, publié 25 mai 2016: " Les députés néerlandais votent la déchéance de nationalité des djihadistes " Ce projet, porté par le ministre de la justice, Ard van der Steur, a été défendu par la coalition de la droite libérale et de la gauche socialiste au pouvoir. Le projet du ministre néerlandais de la justice, Ard van der Steur, a été voté, mardi 24 mai 2016, par les membres de la Chambre basse, à La Haye. Il prévoit de déchoir de leur nationalité ceux qui rejoindraient une organisation terroriste, même s’ils n’ont pas été condamnés. Le texte est défendu par la coalition entre la droite libérale et la gauche socialiste au pouvoir. Il vise à empêcher le retour de personnes qui " représentent un danger pour la sécurité nationale ". Une fois privés de leur nationalité néerlandaise, ils seront déclarés " étrangers indésirables ".

    " L’un des problèmes soulevés par des juristes est que la nouvelle loi ne pourra s’appliquer qu’à ceux qui possèdent une double nationalité. Un million de résidents sont dans ce cas, dont 70 % d’origine extra-européenne. Nombre d’entre eux, nés à l’étranger ou dont les parents y sont nés, ne peuvent renoncer à cette double nationalité, ce qui est proscrit par leur pays d’origine, dont le Maroc. Mais il sera impossible de déchoir un terroriste uniquement néerlandais qui en ferait un apatride, ce qui est interdit par les traités internationaux auxquels ont souscrit les Pays-Bas. Ainsi, Victor Droste, alias Zakariya Al-Hollandi, un converti rallié à l’État islamique, ne pourra être déchu de sa nationalité alors qu’un de ses comparses d’origine marocaine ne pourra plus pénétrer dans l’espace Schengen, soulignent les juristes Kees Groenendijk et Peter Rodrigues dans De Volkskrant: " Si un returnee regagnait le territoire néerlandais, il ne pourrait être expulsé: La justice déciderait qu’il ne peut être renvoyé vers son pays où il risquerait de subir un traitement inhumain"!. Ben voyons!

    "Le Conseil d’État, un organe d’avis et de conseil auprès duquel pourra être introduit un recours par les personnes concernées, a jugé que le projet du gouvernement était inutile. D’après la haute juridiction, un terroriste qui rentrerait de Syrie ou d’Irak peut déjà être arrêté et incarcéré. Et sa nationalité peut, en l’état actuel du droit, lui être retirée s’il est prouvé qu’il a participé à la préparation de délits à caractère terroriste.

    " L’actuelle loi néerlandaise sur la déchéance de la nationalité s’applique aussi à ceux qui tueraient le roi ou se rendraient coupables d’actes de trahison en temps de guerre.

    "Dénoncé par la gauche radicale et les écologistes, le parti social-démocrate au pouvoir l’approuve!".

    Le Figaro.fr avec AFP, Publié le 13/09/2017: " Pays-Bas: 4 djihadistes déchus de leur nationalité! "

    " Les Pays-Bas ont déchu 4 djihadistes de la nationalité néerlandaise après l’entrée en vigueur d’une nouvelle loi antiterroriste, a annoncé le ministre de la Sécurité et de la Justice". Ces quatre personnes ont rejoint une organisation terroriste dans une zone de conflit " et " ont été déclarées étrangers indésirables… Ils ne peuvent donc plus se rendre aux Pays-Bas ou circuler dans l’espace Schengen légalement ", a déclaré Stef Blok dans un communiqué. Bien que le ministre n’ait pas nommé les quatre hommes, ni précisé leur autre nationalité, les médias néerlandais les ont identifiés comme " Driss B., Noureddin B., Anis Z. et Hatim R"., partis combattre en Syrie. Les 4 hommes se sont rendus en Syrie pour rejoindre des groupes djihadistes, y compris l’État Islamique, selon les médias néerlandais". C’est le cas de Driss B., qui n’est peut-être plus en vie ", a rapporté l’agence de presse ANP. Les Pays-Bas ont approuvé une loi qui confère au gouvernement le pouvoir de retirer la nationalité néerlandaise à un terroriste, même non condamné auparavant. Toutefois, la déchéance de nationalité pour ces 4 djihadistes doit être approuvée par un juge, a précisé le gouvernement".

    Macron l’Africain pour l’islamisation de la France refusera la déchéance de nationalité des djihadistes et il pourra enfin faire adhérer la République islamique de France à l’Organisation des États africains!

    Moralité: Le refus de la déchéance de nationalité des djihadistes en France sera une nouvelle étape de la déchéance morale et politique de Macron et des élus LREM-socialistes dhimmis.

    Thierry Michaud-Nérard

    https://ripostelaique.com/les-decheants-elus-lrem-refusent-de-dechoir-de-nationalite-les-djihadistes.html

     

  • Au secours!

    journée aux urgences de Poissy: vive la diversité!

    Avant d’entamer ma bafouille autour de certaines choses vues, je tiens à planter le décor: les urgences de l’hôpital de Poissy – Centre Hospitalier Intercommunal Poissy/Saint-Germain-en-Laye, exactement. Cet hôpital se trouve au cœur d’un de ces quartiers bucoliques que nous vantent les progressistes, lesquels s’interdisent toutefois d’y vivre pour des raisons qui n’ont rien à voir avec celles que les vilains petits canards racistes invoquent… évidemment!

    Le quartier en question – La Coudraie – a même connu son heure de gloire artistique, puisqu’il a servi de décor à un film du réalisateur français Jacques Audiard, récompensé entre autres d’une palme d’or au festival de Cannes: " Dheepan ". Un film qui, pour n’avoir pas exalté le bonheur de ces lieux enchanteurs, a reçu de la part de la presse bien-pensante de sévères réprimandes. Ainsi, les inénarrables Inrockuptibles se sont irrité le gosier face à ce tableau si noir d’une diversité qu’ils veulent à toute force heureuse, évoquant avec ironie une: "peinture délirante d’une cité française proche du New York 1997 de Carpenter, entièrement aux mains de gangs de dealers qui guettent tels des snipers-sentinelles du haut de barres d’immeuble/miradors. Heureusement que Dheepan est là pour nettoyer la racaille au Karcher".

    Mais je m’égare. Revenons à nos moutons…

    Jeudi 15 août, à la suite d’une chute bête comme nous en avons tous connu, une amie a été accompagnée par les pompiers aux urgences de l’hôpital de Poissy, me demandant dans l’intervalle de l’y rejoindre pour ensuite la ramener chez elle. Les urgences de l’hôpital de Poissy, il faut vous le dire, chers amis lecteurs, provoquent des sueurs froides à tous ceux qui les ont fréquentées. Car là-bas c’est le règne de la diversité la plus décomplexée et il n’est pas rare d’y croiser de longues barbes et des hijabs en veux-tu en voilà, avec la bienséance qui les caractérise!

    Sauf que je ne m’attendais pas à ce que le personnel – clamant pourtant à longueur de banderoles son désarroi et son intérêt pour les patients – suive la route tracée par sa "clientèle" majoritaire.

     

     

    En français dans le texte, la personne que j’assistais dans cette épreuve que sont, hélas, les urgences françaises, souffrait terriblement au niveau de son genou gauche, sur lequel elle était malencontreusement tombée dans sa chute.

    Voici qu’après un certain temps arriva un médecin –lui-même de la diversité–; il ausculta sa patiente, l’envoya à la radio, revint, toujours après un certain temps, la voir, tandis que les urgences, ce soir-là, n’étaient pas trop encombrées, même si l’on entendait gémir de douleur des patients laissés là sur des brancards et sans aucun mot de réconfort. Là, le médecin nous dit que nous pouvions y aller et qu’un Doliprane ferait l’affaire. Devant l’impossibilité pour mon amie de mettre le pied par terre, je suggérai au praticien qu’il serait peut-être judicieux de lui procurer au moins une attelle. Ce qu’il accepta, après une hésitation qui me fit douter de ses compétences, je le confesse.

    Et c’est là que ça devient formidable…

    Une infirmière, plus occupée à plaisanter et minauder avec ses collègues masculins que faire ce pour quoi elle était payée – je l’observais depuis un certain temps, à accomplir des allers et retours sans but dans le couloir –, arriva en traînant des pieds et frappant par jeu lesdits collègues avec l’attelle. Mon amie, toujours en proie à la douleur physique, je lui dis, devant l’infirmière occupée à lui mettre son attelle: "Si tu souffres trop on reste ici".

    L’infirmière en question me balance alors, avec le ton de la Grosse Bertha crachant le feu de l’enfer: "Excusez-moi mais ce n’est pas vous qui décidez!".

    Moi de lui répondre qu’on ne laisse pas partir comme ça une patiente en état de souffrance, qu’ici c’est un hôpital, me semble-t-il".

    Déjà, vous vous calmez!" se met-elle à grogner, faute d’arguments valables à m’opposer. Et de monter en puissance, de plus en plus menaçante, agitant violemment les bras pendant qu’elle éructe, reprochant à mon amie d’avoir refusé de prendre un Doliprane pour la soigner – un Doliprane aurait-il la vertu de soigner? Jusqu’à ce que je la menace à mon tour d’appeler le commissariat si elle continue ses invectives et ses gestes dignes d’une recrue des cités environnantes…

    Soudain, tandis que deux mâles de la diversité, eux aussi employés de l’hôpital, surveillaient la scène avec le regard mauvais comme il faut, j’ai décidé de laisser tomber car je savais par avance que j’avais tout contre moi et que je risquais de me faire démolir le portrait au moindre geste suspect, ainsi qu’une condamnation en bonne et due forme…

    Avant de partir, j’ai quand même pris le temps de dire à la furie qu’elle avait raison, que j’étais un "imbécile" mais que je n’en resterai pas là, même si je savais par avance qu’elle jouirait d’une totale impunité en cas de plainte. Au fait, m’aurait-elle parlé sur ce ton si j’avais porté une djellaba et mon amie un niqab? J’en doute…

    Dernier point: sur la fiche de sortie de mon amie, il était écrit qu’elle n’était pas accompagnée. C’était faux bien sûr, mais on n’avait plus la force de se frotter à ce petit monde et lui signifier son incompétence.

    Le lendemain, nous sommes allés dans une clinique privée où l’accueil et la compétence, justement, étaient plus notables! Bilan: une IRM – imagerie par résonance magnétique – a été programmée car, selon un avis médical avisé cette fois, ce pourrait être plus grave qu’un simple bobo ne nécessitant qu’un Doliprane. Les ligaments pourraient être touchés, toujours selon le praticien de la clinique. Au fait, l’hôpital de Poissy possède tout le matériel nécessaire pour faire passer une IRM!

    Je tiens aussi à préciser que j’ai fréquenté plusieurs autres urgences d’hôpitaux publics français et que je n’avais, jusqu’à présent, jamais été confronté à une pareille épreuve. Je suis aussi conscient de tout le travail accompli par le personnel soignant en général. Mais les urgences de Poissy sont décidément fidèles à leur déplorable réputation…

    Ghislaine Dumesnil, avec son édifiant témoignage – "Mahomet au volant, la charia au tournant" –, nous avait déjà alertés sur l’atmosphère islamique au sein des transport en commun; nous savions que l’Éducation nationale préférait l’exotisme aux faces de craie ; nous savions ce qu’il en était des tribunaux – où le Blanc est ontologiquement coupable tandis que la diversité bénéficie presque immanquablement de circonstances atténuantes – ; nous n’ignorions pas, notamment à travers le mouvement des Gilets jaunes, que les forces de l’ordre avait comme consigne de cogner plus volontiers sur le peuple réel de France que les hordes des cités; nous constations que les migrants avaient plus de droits que le pauvre clochard visage pâle, juste bon à crever dans la rue, etc. En sera-t-il de même pour la Santé, pleine d’empathie pour l’Autre et de mépris pour l’Autochtone? Question brûlante et non moins effrayante.

    Malgré toutes ces preuves, les progressistes montent sur leurs ergots parce que nous autres, Français de cœur, nous révoltons contre cet état de fait. Nous avons simplement peur de voir notre mode de vie anéanti par de sombres volontés destructrices qui fantasment un monde sans identités ni frontières ; un monde qui n’est qu’une promesse de chaos, comme ces urgences où l’on se défoule sur les proies faciles, à savoir nous, les Blancs! Attention toutefois: "La peur peut faire faire des choses bien plus dangereuses que la colère" (Bernardin de Saint-Pierre).

    Charles Demassieux

     

  • Les militants anti-corridas sont bien silencieux quand il s’agit de l’Aïd el-Kebir…

    À cause d’un ministre qui a eu la mauvaise idée d’assister à une corrida, nous avons eu droit à des débats passionnés sur toutes les chaînes de télévision de France et de Navarre.

    De "beaux parleurs" se sont montrés "horrifié " par les tortures infligées à ce noble animal qu’est le taureau de combat.

    Je ne suis pas un fan de la corrida mais le taureau affronte l’homme, il se défend, attaque et succombe certes mais, quelquefois, c’est lui qui encorne le matador.

    J’ai assisté quelquefois à des corridas et il est vrai que le spectacle de ces picadors à cheval, brisant l’échine du taureau avec leur lance, est loin d’être plaisant, notamment quand le cheval est lui-même éventré.

    Mais le reste du spectacle, ce ballet entre le toréador et le taureau, ces passes virevoltantes, à quelques centimètres des cornes puissantes et dangereuses, c’est envoûtant!

    Cet homme à genoux, offrant sa poitrine devant les naseaux fumants de l’animal coléreux, et on le comprend, cela atteint le sublime!

    Et puis arrive l’instant de la mise à mort et c’est à ce moment que le sublime peut devenir "écœurant".

    Ou le matador, du premier coup de son épée sacrifie l’animal, qui succombe aussitôt, avec, mais il s’agit là, sans doute, de mon imagination, un regard reconnaissant vers celui qui l’a vaincu, et que lui n’a pu vaincre.

    Ou, celui que l’on ne peut plus appeler un " matador ", martyrise et torture son noble adversaire sans parvenir à le sublimer dans la mort et l’on assiste à ce spectacle révoltant de ce combattant qui ne paraît pas comprendre qu’on le fasse souffrir autant, après qu’il se soit battu avec fougue et dignité sous un soleil brûlant.

    Voilà pour la corrida!

    Or, je n’ai pas entendu un seul de ces "beaux parleurs", ces défenseurs des animaux, réclamer l’interdiction de l’Aïd el-Kébir parce qu’on égorgeait vivants des millions de moutons de par le monde!

    Ces moutons ne peuvent ni se défendre, ni attaquer. Ils subissent leur massacre en silence, dans l’ombre.

    Les moutons doivent être égorgés "avec dextérité" par le sacrificateur. (Selon la législation française) mais c’est bien loin d’être le cas partout dans le monde musulman où l’on assiste à des tueries sanguinaires, dans la fête et la joie, quand le couteau tranche la gorge de l’animal sans défense.

    N’est-ce pas également "avec dextérité" que le toréador doit mettre à mort le taureau? Avec, en plus, le respect dû à un adversaire qui lui a opposé une brillante résistance?

    A-t-on assisté une seule fois à l’attaque d’un sacrificateur par un mouton?

    Il faut un courage certain pour se placer debout face à un taureau de 600 kilos qui pénètre dans l’arène et fonce sur son adversaire.

    Est-ce que le sacrificateur du mouton aurait ce courage d’affronter un taureau?

    Il aurait fallu aussi un certain courage pour oser s’opposer publiquement à ces rites religieux qui imposent leur bestialité, leur violence et leur goût pour le sang répandu, dans ses lois et même dans ses "fêtes"!

    Il ne s’agit pas de criminaliser uniquement cette religion, bon nombre d’entre nous, quelle que soit leur religion, et même s’ils n’en ont pas, font preuve d’autant de sauvagerie.

    Ce courage, pas l’un d’entre vous, messieurs les "beaux-parleurs", ne l’avez présenté.

    On ne peut que s’en désoler!

    Il est vrai que vous préféreriez tous affronter un mouton bêlant qu’un taureau de combat!

    Manuel Gomez

    https://ripostelaique.com/les-militants-anti-corridas-sont-bien-silencieux-quand-il-sagit-de-laid-el-kebir.html

  • Libération de la France: quelques rappels historiques, et quelques chiffres…

    " La rapidité avec laquelle les divisions s’emparent, non sans de durs combats, de Toulon et de Marseille assure aux forces alliées un avantage excellent immédiat… Après ces opérations, la 1re armée pousse vers le nord au cours de l’automne et de l’hiver et se trouve engagée dans des combats difficiles et continus dans les Vosges; les formations nord-africaines, particulièrement les Tirailleurs et les Goumiers, jouent à nouveau un rôle essentiel dans la montagne, au prix de lourdes pertes… "

    (Anthony Clayton(1)).

    On a beau être, comme je le suis, un opposant farouche de Micron, on est parfois obligé de reconnaître et même d’admirer les talents d’illusionniste de ce petit homme narcissique.

    Il vient encore de nous en faire une belle démonstration en commémorant le débarquement en Provence le 15 août 1944. Ce fut un coup de maître, et disons-le, un coup de génie: sa cote de popularité va remonter en flèche auprès des militaires, qui aiment qu’on honore leurs combats (et leurs rares victoires); auprès des Franco-Maghrébins (d’Algérie, de Tunisie et du Maroc) qui essaient, depuis des années (2), de nous faire croire qu’on les a utilisés comme " chair à canon " pour libérer la métropole; auprès de " Pieds-Noirs " qui sont contents qu’on reconnaisse enfin leur participation à la libération de la patrie; et auprès des admirateurs de Sarkozizi, ce nain sautillant qui ne manque pas une occasion de flagorner et de caresser Micron dans le sens du poil. L’andouille de Tulle, lui, a décliné l’invitation ce qui prouve qu’il est un ingrat (et un nain gras).

    Des journaleux nous expliquent depuis hier que Micron, par cette commémoration, est dans la suite logique de son " itinérance mémorielle " à l’égard des Poilus de 14-18, et qu’il prend ainsi une dimension de chef d’État " disparue depuis le général de Gaulle ".

    Or Micron nous a simplement démontré sa capacité à dire tout et son contraire pour glaner quelques suffrages: il honore l’armée d’Afrique "et en même temps" il fustige le colonialisme et les "crimes contre l’humanité" commis en Algérie. En clair, il racole chez les musulmans!

    C’est une bonne chose que de saluer la libération de notre sol national, mais encore fait-il le faire avec un minimum d’honnêteté intellectuelle.

    Je voudrais, par exemple, qu’on arrête d’entretenir le mythe, aussi stupide que mensonger, de " la France libérée par elle-même " et du "premier résistant de France" boutant le Teuton hors de France à coups de croix de Lorraine, aidé par les FTP communistes (3).

    La " barbarie nazie " a été mise à bas par… 360 divisions soviétiques, et sur notre sol, par 90 divisions américaines, 20 divisions britanniques et… l’armée d’Afrique.

    Il n’est donc pas exagéré de dire que l’armée d’Afrique a libéré la France.

    Rappelons, pour mémoire, que lors du débarquement en Provence d’août 1944, le général Giraud mobilisa 27 classes de Français d’Algérie. Du jamais vu, même pendant la Grande Guerre!

    176 500 furent réellement incorporés. Ils se sont remarquablement battus et leur taux de pertes au feu fut deux fois supérieur à celui des autres unités alliées ayant participé, de près ou de loin, à la libération du sol national. Et tant pis s’il faut, ici, contredire les auteurs du film "indigènes" mais l’effort demandé aux musulmans fut moindre: sur 14 730 000 habitants de l’Algérie, 233 000 furent mobilisés soit 1,58% de la population. La majorité était constituée d’engagés volontaires.

    L’effort consenti librement par les musulmans d’Afrique du Nord (Algérie, Tunisie ET Maroc) fut 10 fois moins important que celui demandé aux " Pieds-Noirs ".

    À partir du 15 août 1944, ce sont environ 260 000 combattants de " l’armée B " du général de Lattre de Tassigny qui sont arrivés dans le sud de la France. 10% étaient originaires de la métropole (les " Français libres " de De Gaulle), 90% venaient d’Afrique du Nord dont une écrasante majorité pour les départements d’Algérie. (48% étaient des "Pieds-Noirs").

    Pour relativiser les choses, il faut se souvenir que le 6 juin 1944, les "Français libres" qui débarquèrent ce jour-là étaient… 170: les " bérets verts " du commando Kieffer.

    La 2e DB du général Leclerc – celle qui est entrée dans l’Histoire – n’a débarqué qu’en août 44, presque deux mois plus tard, sur le sol de France.

    Et, aussi glorieuse soit-elle, ce n’était jamais qu’UNE division.

    On va me dire que j’oublie "le poids considérable de la Résistance". Non, je n’oublie rien et j’ai un profond respect pour les vrais résistants. Ceux qui n’ont pas attendu les deux débarquements pour voler au secours de la victoire (4). Mais la Résistance, d’après l’historien Basil H. Liddell Hart, a représenté l’équivalent de deux divisions; deux… sur les 500 venues à bout du nazisme.

    Il faut se souvenir aussi que lors de la Libération, l’armée a réussi à incorporer – péniblement – moins de 100 000 résistants alors que, sur les trois départements d’Algérie, le général Giraud avait mobilisé 300 000 hommes.

    Pourquoi nos manuels d’histoire nous parlent-ils si peu de l’armée d’Afrique?

    Sans doute pour faire oublier qu’après une guerre gagnée militairement, le 19 mars 1962, la France a lâchement, tragiquement, honteusement, abandonné les Pieds-Noirs et les musulmans venus la libérer en 1944…

    Si Micron veut être honnête, il doit rendre hommage aux Pieds-Noirs pour l’effort consenti pour libérer la métropole. Il doit aussi reconnaître les bienfaits de l’œuvre française en Algérie et demander pardon de l’avoir qualifiée de crime contre l’humanité.

    Mais, s’il voulait être honnête, il ne serait pas président de la "Ripoux-blique"!

    Éric de Verdelhan

    1)- " Histoire de l’armée française en Afrique "  d’Anthony Clayton, (Albin Michel, 1994).

    2)- En particulier depuis la sortie du film de propagande "indigènes" réalisé par Rachid Bouchareb, en 2006. Avec ce film, Jacques Chirac découvrait, parait-il, le rôle des musulmans dans la libération de la France.

    3)- J’ai traité ce sujet dans mon livre " Mythes et Légendes du Maquis " (Éditions Muller, 2018).

    4)- Pas les salopards-revanchards qui punissaient la " collaboration horizontale " à coup de tondeuse!

  • L'Histoire vraie

    Encore un mot sur l’armée d’Afrique, pour éduquer un général inculte

    "Le rôle joué pendant la Grande Guerre par les indigènes algériens a été grand, leur sang s’est mêlé au sang français sur tous les champs de bataille, leur acquérant des droits légitimes par des sacrifices communs…". (Baron de Feuchins " Rapport sur le bilan des pertes "(1924)).

    À la suite de mon article sur le débarquement en Provence le 15 août 1944, publié dans "iposte Laïque", j’ai reçu un mail d’un général en retraite rencontré chez des amis.

    Pur produit de la glorieuse arme de l’Intendance (il en faut, je sais!), il a réussi à faire une longue et belle carrière, et à finir " général quart de place " sans avoir fait la moindre " Opex ", ce qui ne l’empêche pas d’être plus décoré qu’un sapin de Noël ou qu’un caporal-chef mexicain.

    Je l’ai surnommé "Porcelaine de Chine" car, comme les céramiques chinoises, il supporte les décorations mais craint le feu. Ce brave général m’écrivait ceci:

    "J’ai lu avec intérêt votre article sur le débarquement du 15 août 1944… etc… etc… Mais vous ne pouvez pas nier que les troupes issues d’Afrique ont servi de " chair à canon " pendant la guerre de 14-18… ". Et, dans son mail, il mélangeait allégrement, dans un style aussi pompeux que pontifiant, l’armée d’Afrique et les Bataillons d’Afrique (les fameux " Bat’d’Af ").

    Je me demande parfois ce qu’on enseigne à nos futurs officiers à Coëtquidan, à Navale ou à Salon-de-Provence! Certains sont aussi nuls en histoire que Micron!

    Depuis que la France est entrée en repentance et qu’elle culpabilise sur son passé colonial, on nous dit que nos troupes indigènes ont été utilisées comme " chair à canon " durant la Grande Guerre, ce qui est inexact ou, pour le moins, très exagéré!

    À l’époque coloniale, nos forces étaient réparties en trois ensembles: l’armée métropolitaine, les troupes coloniales et l’armée d’Afrique qui dépendaient d’un seul état-major général.

    Dans la terminologie militaire, les troupes coloniales désignaient les troupes "indigènes", hors Afrique du Nord, et métropolitaines: les anciennes formations de marine ("Marsouins" pour l’infanterie et "Bigors" pour l’artillerie), qui fusionnent, en 1900, pour former l’" armée coloniale" (ou "la Coloniale"). Ces troupes se distinguent donc des troupes d’Afrique du Nord "indigènes" (Tirailleurs, Spahis) et européennes (Zouaves, Chasseurs d’Afrique, Légion étrangère), qui forment l’armée d’Afrique (19e corps d’armée) et provenaient essentiellement d’Algérie.

    Certains régiments, mixtes, regroupaient des chrétiens, des juifs et des musulmans, comme les unités de Zouaves ou de Tirailleurs. On estime que l’Empire a fourni, en quatre années de guerre, entre 550 000 et 600 000 "indigènes" à la  mère-patrie, dont 450 000 vinrent combattre en Europe. 270 000 mobilisés, dont 190 000 combattants, étaient des Maghrébins, 180 000 mobilisés, dont 134 000 combattants, étaient des Sénégalais.

    Les autres venaient de tout l’Empire: Madagascar, Indochine, Océanie et Somalis.

    Les "indigènes" ont représenté 7% des 8 410 000 mobilisés de l’armée française, affectés majoritairement dans les régiments de Tirailleurs. La proportion de Français au sein des régiments de Tirailleurs nord-africains était d’environ 20%. Un peu moins dans les bataillons de Sénégalais.

    En 1918, à la fin de la guerre, notre armée disposait de cent divisions dont six divisions composées de troupes de l’armée d’Afrique et sept divisions composées de troupes de l’armée coloniale. La moitié des effectifs de ces treize divisions étant d’origine métropolitaine.

    Si ces effectifs peuvent sembler relativement faibles, les troupes "indigènes" comptent à leur actif bon nombre de faits d’armes glorieux et leur rôle ne saurait être sous-estimé.

    Leur apport a été très important dans les semaines décisives de septembre 1914, lors de la bataille de la Marne. Si quelques cas de panique furent signalés lors des premières semaines de combats (comme dans d’autres unités métropolitaines), par la suite, ces unités se montreront à l’égale des meilleurs.

    Durant la Grande Guerre, le nombre de tués de nos troupes "indigènes" est estimé à plus de 70000: 36000 Maghrébins et 30 000 "Sénégalais".

     

    Sur 450 000 combattants réellement engagés, le taux de pertes au feu a été de 19% chez les Maghrébins et de 23% chez les Sénégalais. Ces chiffres sont à rapprocher des 1 500000 tués de la Grande Guerre. Les monuments aux morts des villes et villages français sont là pour nous rappeler que la grande boucherie de 14-18 aura été, hélas, assez "égalitaire".

    Les combattants de notre Empire y ont eu leur part… comme les autres, ni plus, ni moins.

    Disons un mot des Bataillons d’Afrique, pour conclure:

    Les Bataillons d’infanterie légère d’Afrique (BILA), plus connus sous les surnoms de "Bat’ d’Af’" (ou de "Joyeux"), étaient des unités qui relevaient, effectivement, de l’armée d’Afrique.

    L’infanterie légère d’Afrique, après un projet avorté en 1831, a été créée en juin 1832 pour recycler les soldats condamnés par la justice militaire.

    Cantonnées en Afrique du Nord (Algérie, Tunisie, Maroc), "à Biribi", nom générique pour désigner leur casernement(1), ces unités constituaient l’instrument répressif de l’armée française: destinées à mater les fortes têtes, elles furent conçues pour "redresser ceux qui ont failli ".

    Les "Joyeux", selon la tradition, arboraient le tatouage "Marche ou Crève". C’est à cela qu’ils étaient respectés, voire craints, dans le milieu. Autre particularité des "Bat’d’Af": la pratique de l’homosexualité dans les rangs (héritée des passages en prison).

    Les bataillons d’infanterie légère d’Afrique formaient corps. Leurs soldats relevaient de… 54 catégories judiciaires différentes, allant du simple délit à la tentative de meurtre. Mais certaines sections étaient majoritairement constituées de petits voyous et de proxénètes.

    En 1914, à la déclaration de la guerre, les effectifs restent en garnison en Afrique du Nord afin d’y assurer le maintien de l’ordre. On a formé pour la durée de la guerre, et par prélèvement dans les 5 BILA, trois bataillons de marche d’infanterie légère d’Afrique (BMILA), qui ont été engagés en métropole où ils se sont distingués: les 1er, 2e et 3e BMILA.

    Les plumitifs en mal de copie à sensation confondent souvent les " Bat’d’Af " avec la Légion étrangère, ce qui est, à mon (humble) avis, une insulte à notre belle Légion étrangère.

    Le chant de marche des " Bat’d’Af " – " Le bataillonnaire "(3) – a été modifié et repris par les régiments parachutistes(2).

    Mon brave général ignore visiblement cette page d’histoire de nos armes. Il est comme son " chef des Armées ": il ne sait rien mais il le dit avec force et conviction. Dans les salons mondains, ça impressionne quelques rombières qui, pour un peu, en renverseraient leur tasse de thé…

    Éric de Verdelhan

    1)- J’ai eu l’occasion, il y a des années, de visiter une ancienne garnison de " Bat’d’Af ", à Tataouine, dans le sud tunisien.

    2)- " En passant par la portière" ("Il est là-bas en Algérie… "). Ceux qui ont eu le privilège de servir chez les paras connaissent ce chant.

    3)- Chanson que certains auteurs attribuent à Aristide Bruant, ce qui est inexact: Bruant a écrit "Au Bat’d’Af" qui n’est pas le chant de marche des BILA.

    https://ripostelaique.com/encore-un-mot-sur-larmee-dafrique-pour-eduquer-un-general-inculte.html

  • Un logement vide pendant les vacances peut être squatté!

    Elle rentre de vacances et trouve un migrant installé chez elle

    Clermont-Ferrand:

    Un "Tanguy" indésirable s’incruste dans un appartement de Clermont-Ferrand pendant les vacances de la locataire

     […]

    Ce lundi matin, après deux semaines d’absence, une jeune femme se présente l’esprit léger devant son appartement de la rue Philippe-Glangeaud. Elle découvre alors que la porte a été fracturée. Et qu’un homme se trouve tranquillement à l’intérieur.

    La trentenaire prévient aussitôt la propriétaire du logement, qui alerte elle-même les policiers. L’intrus est interpellé dans la foulée. Dans ses poches, des bijoux appartenant à l’occupante régulière des lieux sont saisis.

    Pris avec un portable volé

    Cet Ivoirien de 18 ans avait en fait profité des vacances de la locataire pour s’installer sur place, avec ses oreillers et sa couette personnels. Le jeune homme était également en possession d’un smartphone haut de gamme volé à une passante, le 29 juin, place de Jaude.