Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Humain? - Page 141

  • Quelle douleur!

    La France est en train de crever de l’antiracisme à sens unique

    Comment la France pourrait-elle survivre quand les minorités qu’elle a accueillies ne partagent pas ses valeurs républicaines et rejettent à la fois sa culture, son histoire et son mode de vie?

    Comment notre société pourrait-elle survivre quand le discours des minorités se racialise, tout en niant le racisme anti-Blancs alors que celui-ci se répand chaque jour?

    Comment notre démocratie pourrait-elle survivre quand il n’y a plus ni police ni justice dignes de ce nom?

    On apprend en effet que sept mineurs viennent d’attaquer un commissariat à Arras pour " libérer " un des leurs. Présentés devant la justice, ces rebelles de la République se sont vu infliger un simple rappel à la loi!

    Mais pour les jeunes patriotes de Génération Identitaire, le tarif n’est pas le même. Ceux qui ont voulu bloquer des migrants clandestins au col de l’Échelle, dans les Hautes-Alpes, ont écopé de prison ferme!

    Imagine-t-on la même situation aux États-Unis ou en Israël avec une telle impunité, une telle lâcheté des autorités?

    Rendons leur autorité aux policiers en appliquant la tolérance zéro et en supprimant les allocations familiales aux familles de mineurs délinquants, et on divisera par deux le nombre de suicides dans les forces de l’ordre.

    Mais le gouvernement préfère la soumission. Les policiers sont systématiquement traduits devant l’IGS pendant que les racailles impunies pavoisent.

    La France n’est plus un pays de droit. Le multiculturalisme est devenu le terreau du racisme anti-Blancs et de l’antisémitisme menant à la désintégration de la nation.

    Les policiers ont ordre de raser les murs et la justice ne punit plus. C’est la démission à tous les niveaux, le renoncement permanent, la soumission de l’État par peur d’une insurrection généralisée.

    Macron s’imagine que la croissance et l’emploi sont les clés de l’intégration. Quelle erreur! Ceux qui ont la haine de la France se foutent pas mal de la croissance et du vivre-ensemble. Un barbu ne jure que par le Coran et le nombre de mini-califats explose dans nos banlieues.

    Peur des émeutes, peur des représailles, c’est tout l’édifice républicain qui est en train de s’effondrer pendant que Macron nous chante les vertus du multiculturalisme.

    Policiers, enseignants, pompiers, personnels soignants subissent de plein fouet les bienfaits de la diversité.  Le paradis multiculturel n’est que conflit permanent.

    La France est en train de crever de l’antiracisme à sens unique.

    https://www.marianne.net/debattons/billets/thuram-rokhaya-diallo-ligue-de-defense-noire-africaine-d-ou-vient-le-racisme-des

    Ici, c’est la LDNA qui appelle à tuer les Blancs, les Chinois, les Indiens, devant l’ambassade de l’Afrique du Sud. Silence radio chez les antiracistes!

    Rappelons que 70 000 Blancs ont été tués en Afrique du Sud depuis 1994 et qu’en un an, plus de 22 000 personnes ont été assassinées, selon la police, soit 58 meurtres par jour! L’Afrique du Sud est submergée par l’immigration de pauvres.

    Là, c’est le rappeur Nick Conrad qui chante  Pendez les Blancs" et qui appelle à tuer les bébés blancs dans les crèches. Condamné à 5 000 euros d’amende avec sursis, il s’empresse de déclarer qu’il ne renie rien et pense vraiment ce qu’il a dit! Réaction de l’État? Aucune!

    Les racialistes font la loi et refusent toute intégration tout en niant le racisme anti-Blancs.

    http://www.a-droite-fierement.fr/la-folie-indigeniste/

    SVP: faites des conserves pour faire face, l'été prochain!

  • La viande de brousse?

    Kenya : une députée propose une loi contre les pets dans les avions, pour la sécurité aéronautique

    Une députée kenyane a demandé qu’une loi soit adoptée pour aider les équipages à faire face aux passagers qui lâchent des pêts à bord des avions.

    Lilian Achieng Gogo, députée de la circonscription de Rangwe, dans l’ouest du Kenya, a déclaré au Parlement que les passagers qui pètent devenaient de plus en plus une menace pour la sécurité en raison du malaise causé aux autres voyageurs.

    La députée contribuait à l’élaboration d’une motion visant à modifier une loi sur les infractions commises à bord d’un aéronef. Parmi les réformes qu’elle proposait, il y en avait une qui permettrait aux équipages de conduite de fournir des médicaments contre les pets aux passagers.

    BBC

     

  • Le désastre de l'école en France

    Allez lire l'article, il est bien plus long et très édifiant!

     

    France: une enseignante témoigne sans langue de bois du désastre de l’éducation des enfants musulmans

     

    Dreuz, 15 février 2017

    Une enseignante répond à un commentateur sur le blog d’Ivan Rioufol qui prétend que les petits immigrés ou fils d’immigrés sont discriminés à l’école.

    Je suis enseignante (prof d’histoire-géo-éducation civique) depuis plus de 20 ans. J’ai exercé dans 5 collèges de banlieue, dont deux Zep et un établissement classé zone violence.

    J’ai donc vu passer dans mes classes (de la 6e à la 3e) plus de 4 000 jeunes de banlieues, que j’ai eu à charge d’instruire, d’encourager et d’accompagner, avec une bienveillance et une abnégation qui ne m’ont jamais fait défaut.

    Vous prétendez que les populations des banlieues sont "mises au garage dès le collège et le lycée "?

    Que "le socle d’une société épanouie est l’éducation" et, de ce fait, vous insinuez que les minorités ne reçoivent aucune instruction dans notre pays?

    Quelle vaste blague! Non: quelle aberration, quelle mauvaise foi, quelle vision erronée et mensongère de la réalité!

    Mes élèves des cités reçoivent la même instruction que tous les petits Français de souche. Leur instruction est gratuite (sans compter les aides et prestations diverses censées aider ces familles mais qui sont systématiquement dépensées pour tout autre chose que l’école…)

    Si, au terme d’un parcours scolaire la plupart du temps désastreux, le corps enseignant se voit contraint de leur proposer une orientation professionnelle en fin de 3e, c’est qu’on ne peut pas raisonnablement proposer à un adolescent de 15 ans d’envisager de poursuivre des études de médecine alors qu’il n’a toujours pas daigné apprendre à compter (et à parler correctement le français). Ignorez-vous l’importance de la résistance à l’apprentissage du français dans nos écoles?

    Le français est pour eux une "langue étrangère", la langue des "mécréants" comme ils aiment à me le répéter.

    Voici le fruit de ma réflexion, après 20 années d’expérience au contact de votre soi-disant "génération sacrifiée":

    Je suis en première ligne pour témoigner des moyens financiers, humains et techniques mis à dispositions de ces jeunes depuis des décennies (oui, des millions dépensés dans les collèges et lycées pour ces populations).

    Je vous signale, à titre d’exemple, que le collège où je travaille actuellement met à leur disposition permanente 14 TNI d’une valeur totale de 100 000 euros – un dans chaque classe -, deux salles informatiques contenant 50 PC avec connexion internet, une bibliothèque magnifique sur deux étages, des dizaines d’heures de soutien hebdomadaires et tutorats en tous genres (qui coûtent beaucoup d’argent à l’État car payées en heures supplémentaires), un service de restauration quasi gratuit, des voyages scolaires (musées, voyages en Espagne, en Italie, en Angleterre et en Allemagne, pris en charge par le foyer socio-éducatif) etc, etc, etc. Je continue?

    Les autres enfants de la commune (qui ne vivent pas dans la cité) sont loin d’avoir ce genre de privilèges.

    Malgré tout, ces jeunes des banlieues (comme vous les appelez) n’ont que la haine de la France à la bouche. Leur seule référence est "le bled". Leur seul désir: imposer leur culture en remplacement de notre culture nationale. Ils ne s’en cachent même plus: ils le revendiquent comme une fierté.

    Leur communautarisme rend inopérant toute tentative d’instruction et d’intégration.

    Quel que soit le sujet que j’aborde, en Histoire, en géographie ou en éducation civique, je ne rencontre de leur part que mépris et hostilité vis-à-vis de notre passé, de nos valeurs, de notre vision de la démocratie. Je n’ose même plus prononcer le mot "laïcité" en classe, de peur de les voir me vomir dessus ou pire, m’insulter.

    La plupart des collègues ont abdiqué depuis longtemps.

    Hélas, j’ai cru un temps, comme vous, qu’il était possible de leur transmettre connaissances, sagesse et foi en l’avenir de notre communauté nationale.

     

    J’ai renoncé. Je suis tous les jours confrontée aux discours les plus intolérants qui m’aient été donnés d’entendre: propos haineux à l’égard des Français, des juifs, des femmes, des homosexuels… L’évocation du terrorisme fondamentaliste les fait sourire (dans le meilleur des cas) quand ils ne font pas ouvertement, en classe, l’apologie de l’État islamique et de la charia.

    Notre Histoire ne les intéresse pas. Ils ne sentent aucun passé, ni aucun point commun avec les "sous-chiens" et les "faces de craie" comme ils nous appellent.

    Retournez donc à l’école ne serait-ce que pour un petit stage d’une journée… vous seriez mortifié.

    Et vous réfléchirez peut-être à deux fois avant d’écrire de telles inepties.

    © lu en commentaire d’un article d’Yvan Rioufol et publié par Gaïa pour www.Dreuz.info

    Julien Martel

     

    https://ripostelaique.com/soutien-a-cedric-villani-qui-a-ose-lier-echec-scolaire-et-immigration.html

  • Ben, voilà!

    La France doit défendre son héritage chrétien contre le cancer musulman

    Les musulmans sont en droit de défendre les racines musulmanes de leurs pays en dépit des évidences historiques et anthropologiques et les dégâts dévastateurs de l’islam tandis que les Européens ne peuvent pas en faire autant.  Des origines qu’ils doivent cacher pour ne pas heurter les susceptibilités de cette population importée réputée pour son incurie intellectuelle, son fanatisme, son ignorance, son obscurantisme, sa culture monolithique et son amnésie historique.

    Et pourtant, sans les historiens et archéologies européens, jamais l’humanité n’aurait découvert l’histoire glorieuse de l’Irak, la Syrie, la Perse, l’Égypte, les Égyptiens et l’Afrique du Nord.

    L’Europe berceau de deux des plus illustres civilisations, la grecque et la romaine,  n’ose pas se référer à ses racines chrétiennes. La France elle-même a été enfantée par la chrétienté.

    Comme s’il s’agissait d’un passé noir que l’on ne veut pas étaler, peur de l’assumer, on le nie et on le cache du regard de l’histoire, à moins que l’on ne veuille pas froisser la sensibilité des " nouveaux " Européens importés des pays majoritairement musulmans. Un choix qui est en train de basculer l’Europe chrétienne et gréco-romaine dans les fonds abyssaux de l’histoire.

    Dès qu’une voix s’élève pour défendre l’identité chrétienne de l’Europe, elle provoque un tollé général et une vague d’indignation comme si c’était un sacrilège que de rappeler une réalité historique incontestable.

    On doit taire cet héritage chrétien et le passer en pertes et profits. Un voile est mis sur l’histoire de l’Europe à l’image du voile des femmes musulmanes.

    Un sujet tabou que Chirac s’était empressé d’enterrer à l’époque où l’on avait voulu l’inscrire dans la Charte européenne. Il aurait certainement changé d’avis si l’on avait proclamé aussi les racines musulmanes de l’Europe.

    Elle ne doit rien à l’islam. Et ce n’est pas la présence de l’islam en Andalousie et pas sur tout le territoire espagnol qui aurait servi de catalyseur à sa renaissance non plus. L’Europe est sortie de son Moyen Âge contrairement à l’islam qui n’est jamais sorti du sien depuis 1 441ans, à la différence de l’Église qui s’est recentrée sur son rôle d’Église. L’islam n’y est pas encore et jamais il ne se résoudra à séparer le temporel de l’intemporel, c’est signer son propre arrêt de mort.

    Il n’est pas chez lui en Europe. Mais on ne fait rien pour le cantonner à son seul domaine cultuel. On lui laisse les coudées franches pour imposer sa propre vision de l’histoire et son mode de vie au nom de la prééminence de son système de valeurs sur tous les autres.

    L’Europe n’a pas à lui dérouler le tapis rouge et à chercher à le ménager. C’est un conquérant et doit être traité sans ménagement ni réserve.

    Il faut une Europe décomplexée, forte et unie autour des valeurs communes sinon c’est le glas pour elle.

    Ce n’est pas de la haine que de ne pas céder aux desseins hégémoniques de l’islam et ce n’est pas de la haine non plus que de revendiquer haut et fort l’identité chrétienne de l’Occident.

    L’Occident c’est l’Occident et l’Orient musulman c’est l’ Orient musulman, qui ne n’aurait jamais connu la lumière sans les chrétiens d’Orient.

    Salem Benammar

    https://ripostelaique.com/la-france-doit-defendre-son-heritage-chretien-pour-contrer-le-cancer-musulman.html

  • Suède: le premier pays qui tombe

    Lettre d’adieu à une Suède islamisée: les mots d’une femme qui fuit l’enfer pour aller vivre en Hongrie

    A ne pas manquer, Identité française, Immigration

    Lettre d’adieu à une Suède islamisée: les mots d’une femme qui fuit l’enfer pour aller vivre en Hongrie

    Exclusivité Résistance républicaine. L’article peut être reproduit avec le lien d’origine et la mention: écrit et traduit pour Résistance républicaine par Jules Ferry.

    La Suède est  en train de payer lourdement sa tolérance aveugle et son relativisme culturel face à l’islam. La colonisation musulmane est en train de gangrener le pays.

    Certains décident de partir pour fuir l’enfer.

    Voici l’introduction du webmagazine suédois "Katerina" qui publie cette lettre, témoignage effrayant de la Suède vue de l’intérieur:

    J’ai choisi  [la rédactrice du magazine]  de publier cette lettre d’adieu à la Suède. Celle qui en est l’auteur a récemment publié le texte sur Facebook, et je souhaitais que ses mots soient plus largement diffusés. Car ils sont nuancés, équilibrés, tristes, et absolument pas outranciers comme on le reproche souvent aux critiques du système suédois défaillant.

    En effet, beaucoup de gens ressentent la même tristesse dans leur cœur aujourd’hui, en 2019, alors que la situation en Suède devient insupportable à bien des égards.

    Cela résume ce que beaucoup de citoyens suédois ressentent aujourd’hui.

    J’ai déjà publié l’interview d’un couple qui a déménagé à Marbella, mais je pense qu’il est utile de relayer  davantage la parole de ceux qui décident de partir. Peut-être qu’ils peuvent contribuer au réveil des  politiciens. On peut toujours espérer.

     

    Le message de  Mercedes Wahlby.

    "Nous parlons de quitter la Suède depuis cinq ans et nous venons d’acheter un appartement à Budapest"

    Ce n’est pas le cœur léger ni sans une certaine angoisse que nous avons pris cette décision. Nous parlons de quitter la Suède depuis au moins cinq ans, en évoquant la question dans tous les sens. Mon mari d’origine suédoise a été le plus motivé. Au fil des années, j’ai essayé de trouver des tonnes d’excuses pour retarder cette décision.

    J’ai toujours espéré que cela finirait par s’arranger en Suède. Mais année après année, j’ai pu constater que les choses empiraient et j’ai peu d’espoir que cette évolution négative puisse être inversée. Je pense que c’est trop tard et que cela n’arrivera pas de mon vivant.

    Je ne peux plus vivre avec cet énorme stress mental, l’insécurité grandissante, les assassinats, les coups de feu, les exécutions, les explosions, les viols, les viols collectifs, les  vols, les cambriolages des habitations, les passages à tabac, les feux de voitures, les incendies dans les écoles, les grands criminels qui, après un séjour en prison relativement bref, se retrouvent libres et  circulent librement parmi nous, la sécurité sociale de plus en plus démantelée, le manque de personnel soignant, d’enseignants, de logements pour personnes âgées, le manque de soins pour les personnes âgées, le nombre croissant de retraités pauvres, les municipalités en instance de faillite ou en  faillite avérée, toutes ces zones interdites [no-go zones]  nommées avec d’autres mots dans le discours officiel, le  manque de forces de  police à qui il faut une heure et demie ou deux heures  pour se rendre sur les lieux d’un crime en cours, ou bien qui finalement ne font pas le déplacement du tout, ces politiciens menteurs, quelle que soit leur couleur politique et les prétendus médias bien-pensants, l’étouffement de la pensée dissidente, la diminution de la liberté d’expression, de la démocratie et bien sûr -ceci  n’étant pas la raison moindre-  l’islamisation actuelle et généralisée du pays…

    Si j’avais voulu cette forme d’Etat, j’aurais eu le choix entre 53 pays différents !

    Je n’en peux plus d’entendre ou de lire quotidiennement que c’est comme cela dans la nouvelle Suède et que qu’il faut accepter et se satisfaire de  la situation.

    Je n’en peux plus d’entendre les conseils de la police, progressivement complétés par de nouvelles recommandations, comme  verrouillez les portes de la voiture en conduisant, ne sortez pas seule le soir et la nuit, n’allez pas  courir seule dans les bois, ne restez pas dans les ruelles sombres ou les rues, ne portez pas de montres coûteuses ou de bijoux en or, ne portez pas certains types de vêtements, ne montez pas dans certains taxis ou ne vous  promenez pas seule en ville le soir ou la nuit, ne répondez pas aux accusations et ne regardez pas certains hommes dans les yeux pour que cela ne soit pas interprété comme une invitation, etc.

    En d’autres termes, restez entre les quatre murs de la maison!

    J’ai l’impression de vivre dans une prison, de ne pas pouvoir respirer librement, de devoir constamment me poser les bonnes questions, être aux aguets avec mon environnement et regarder par-dessus mon épaule.

    Je suis une citoyenne franco-suédoise depuis de nombreuses années. Je vis en Suède depuis 1972. Je me considère bien intégrée et assimilée. Mon mari a souvent répété, dans le cadre de nos discussions sur l’émigration, que je suis plus suédoise que lui. Il a probablement raison, car j’ai aimé la Suède d’avant et l’ai considérée comme ma patrie.

    La Suède m’a donné beaucoup plus que la France. Tôt dans ma jeunesse, la Suède m’a donné le bonheur. J’y ai aussi trouvé deux merveilleux amours. J’ai eu l’occasion de faire des études dès mon plus jeune âge. J’ai travaillé dur, j’ai eu une carrière et j’ai bien travaillé pendant toutes ces années. J’ai pris ma retraite à 67 ans, mais j’ai continué d’assumer des tâches jusqu’à l’âge de 69 ans. J’ai remboursé toutes mes dettes, y compris les dettes d’études, payé des impôts élevés et contribué davantage au contrat social que je ne l’ai utilisé.

    Pour moi, la Suède est plus qu’un pays avec des paysages magnifiques et merveilleux tels que les hautes montagnes où j’ai passé trois semaines en 1992, les cottages rouge et blancs, les soirées en plein l’été où vous dansez autour du majstången, (fête autour du mât enrubanné/

    arbre de mai) et chantez "Les petites grenouilles". Pour moi, la Suède, c’est aussi la culture suédoise dont nos politiciens, entre autres, nient l’existence.

    La Suède, ce sont les Vikings, leur Ásatrú [culte de divinités tels qu’Odin et Thor],  leurs ravages, jusque dans mon ancienne patrie, la France et plus particulièrement la Normandie, où j’ai mes racines. La Suède, c’est aussi  ses  grands rois tels que Gustave Iᵉʳ Vasa, Charles XII (Carl de Suède), Gustave VI Adolphe de Suède, ses auteurs comme A. Strindberg, S. Lagerlöf, W. Moberg, A. Lindgren, ses artistes comme A. Zorn, B. Liljefors.

    La Suède est A. Nobel, les nombreuses inventions suédoises dont la liste est  longue. La Suède, c’est Skansen avec ses vieux cottages d’antan, où vous pouvez sentir les ailes de l’histoire, son artisanat avec, par exemple, le soufflage de verre, la broderie de paysage, la filature de laine et de lin, le nouage et bien plus encore.

    Au cours des dernières années, j’ai fait des recherches sur un départ dans un nouveau pays. La France est considérée depuis plusieurs années comme une alternative, et  l’Espagne, l’Italie, l’Angleterre, la Belgique et les Pays-Bas ne sont attractifs que d’un point de vue linguistique.

    Le Danemark a longtemps été une opportunité, mais il a ses propres problèmes, même si sa situation n’est pas  aussi grave qu’ici en Suède,  en partie pour d’autres raisons. En dehors de l’UE, il est trop tard pour nous. Nous sommes trop âgés.

    Quant aux pays du Groupe de Visegrád [la Hongrie, la Pologne, la République tchèque et la Slovaquie], plus j’entendais et lisais des choses négatives à leur sujet, plus j’étais intéressée pour enquêter moi-même sur le contenu des allégations. Nous avons visité la Pologne l’année dernière et cette année la Hongrie.

    Je suis restée à Budapest pendant 35 jours et je m’y suis sentie bien.

    Entre autres choses, je me suis sentie en sécurité.

    Chaque jour, je prenais le bus et le métro même tard le soir et la nuit. Pas de problèmes. Je n’oserais jamais faire cela à Stockholm. J’ai vu un peuple sympathique et serviable, fier de son pays, de ses origines et de son drapeau. Devant le Parlement, il y a par exemple un mât avec le drapeau hongrois et  au moment où le drapeau est levé, il est honoré par deux soldats.

    Je ne suis pas  naïve. Je ne pense pas que tout en Hongrie soit parfait. Par exemple, j’ai vu qu’il y avait de la pauvreté, qu’il y avait des personnes âgées qui mendiaient dans les rues et sur les places, probablement parce que leur pension n’était pas suffisante. J’ai vu qu’il y avait des toxicomanes et j’ai entendu dire qu’il y avait des problèmes avec un certain type de personnes comme celles qui traînent devant nos épiceries. Je comprends également que la Hongrie, qui subit de fortes pressions pour ne pas dire une extorsion de fonds de la part de l’UE, sera un jour obligée de faire ce que veut l’Union européenne, mais j’espère que je ne serai plus en vie.

    MERCEDES WAHLBY

     

    Cet article a été publié en suédois sur Facebook et dans le webmagazine; il n’existe à notre connaissance pas de version en français, à ce jour, autre que le présent texte présenté sur RR.

    En suédois:

    https://www.facebook.com/politikfakta/posts/2433593973398990

    http://katerinamagasin.se/vi-har-i-fem-ars-tid-diskuterat-att-lamna-sverige-och-har-nu-kopt-lagenhet-i-budapest/

    Ici en hongrois:

    https://badog.blogstar.hu/2019/08/29/a-level-magyarul/82969/

     

     

    http://resistancerepublicaine.eu/2019/09/09/lettre-dadieu-a-une-suede-islamisee-les-mots-dune-femme-qui-fuit-lenfer-pour-aller-vivre-en-hongrie/

  • Il voit double, le pauvre!

    ... ou plutôt, le riche...

    Val-de-Marne. Le député Jean-Jacques Bridey, LREM, ancien maire de Fresnes, se faisait rembourser deux fois ses notes de frais

    Le député LREM, qui s’est fait rembourser deux fois de nombreux repas en 2016 et 2017 évoque "une simple erreur d’inattention sur quelques doublons". MENTEUR, VOLEUR, ESCROC...

    Jean-Jacques Bridey, l’ancien maire (PS) de Fresnes et député LREM n’est plus seulement soupçonné d’avoir indûment perçu 100 000 euros grâce au cumul de ses différents mandats et d’avoir laissé des frais de bouches dispendieux à la société d’économie mixte locale d’aménagement de Fresnes (Semaf) — qu’il a présidé de 2001, date de sa première élection municipale, jusqu’en juillet 2017, à la fin de son mandat de maire.

    L’ancien maire, proche d’Emmanuel Macron, s’est aussi fait rembourser deux fois, en 2016 et 2017, des notes de frais contractés au restaurant " À la marée ", un établissement de Rungis qu’il fréquentait régulièrement. Une fois par la Semaf et une deuxième fois par la mairie de Fresnes.

    En mars 2016, la mairie de Fresnes et la Semaf ont toutes deux remboursé 724,20 euros – soit 1448,40 € in fine – pour un déjeuner (le 14 mars, trois couverts, 303,80 euros) et deux dîners (le 2 mars, trois couverts, 215,60 euros et le 23 mars, deux couverts, 204,80 euros). Le rituel est le suivant: quelques coupes de champagne (14 € l’unité) en guise d’entrée en matière, suivies d’huîtres, de gambas, de Saint-Jacques, de poissons fins… Le tout souvent accompagné d’une bouteille ou de plusieurs verres de vin.

    Contacté, Jean-Jacques Bridey assure qu’il va "rembourser". L’ancien maire minimise les faits ("On ne va pas en faire un fromage!") c'est toi qui pue! évoquant " une simple erreur d’inattention sur quelques doublons " sans pour autant en expliquer la raison.

    (…) Le Parisien