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Humain? - Page 155

  • Celui qui dit la vérité doit être exécuté (chanson)

    Depuis mon passage sur LCI, dans la grande confrontation Zemmour/Cohn-Bendit sur LCI, j’ai été insultée par des voisins de mon village.

    Il y a un mois, j’ai été conviée sur le plateau de LCI pour participer, parmi six intervenants, à la grande confrontation entre Éric Zemmour et Daniel Cohn-Bendit sur le thème de l’Europe. La rédaction de LCI m’avait contactée pour intervenir sur le thème de l’immigration.

    Il y a plus de trois ans, le 13 novembre 2015, j’ai été confrontée à l’attentat du Bataclan car je vivais depuis dix ans dans l’immeuble de l’administration du Bataclan, juste à côté de la salle de concerts. Le soir de l’attaque, je me suis retrouvée seule face à un jeune homme décédé dans le bureau du Bataclan, à des scènes de chaos sur les trottoirs et à des images terribles de victimes grièvement blessées qui sont décédées dans les cours d’immeubles avoisinant le Bataclan.

    Après ce drame, j’ai décidé de quitter mon quartier endeuillé du 11e arrondissement de Paris pour déménager dans un petit village du Pas-de-Calais. La vie est certes plus agréable et calme mais nous vivons par ailleurs la réalité des migrants qui se déplacent dans toutes les petites gares de la région et qui sont logés dans de nombreuses villes du Nord de la France.

    Lors du débat sur LCI, j’ai voulu exprimer une vérité sur la signature islamique de l’attentat du Bataclan et mon inquiétude face à l’islamisation galopante de la France. J’ai évoqué notamment le développement du halal, les conversions à l’islam à travers les couples franco-musulmans et la prolifération de voiles islamiques sur notre territoire français. J’ai insisté sur le fait que cette immigration musulmane est un danger pour la cohésion de la Nation et la paix civile dans notre pays.

    Cette grande confrontation sur LCI a battu des records d’audience, l’émission a enregistré six fois plus de téléspectateurs que d’habitude, devançant ainsi toutes les chaînes d’informations nationales.

    De retour dans mon village du Pas-de-Calais, j’ai appris que de nombreux voisins ont suivi ce débat télévisé et certains m’ont félicitée pour ma franchise et mes prises de position à l’antenne. Toutefois, comme partout en France, la population de mon village est divisée d’un point de vue politique. De nombreux habitants sont sur une ligne gauchiste, refusant d’admettre le processus d’islamisation et la menace islamiste qui progresse chaque jour dans notre pays.

    J’en ai personnellement fait l’expérience au lendemain du débat sur LCI en recevant des messages d’insultes sur ma page Facebook de la part de voisins de mon village. Une voisine a notamment condamné mes propos pendant l’émission, considérant que ma prestation télévisée était " pitoyable " car j’avais osé faire un amalgame entre tous les musulmans. D’autres personnes de mon voisinage ont condamné mes positions en faveur d’Éric Zemmour ou du Rassemblement National. En quelques jours, mon nom a circulé dans mon village et je me suis retrouvée face à des inconnus qui multipliaient les propos malveillants à mon encontre sur Facebook. Aucune de ces personnes n’a eu un mot de soutien pour les victimes du Bataclan, bien au contraire, ils ont insisté sur le fait que cette attaque terroriste n’avait rien à voir avec les musulmans.

    Face à ces hostilités, j’ai été contrainte de faire une déposition auprès de la gendarmerie de mon village. Je sais que ma réputation est désormais ternie auprès de certaines personnes de mon entourage. Malgré tout, je ne regrette pas d’avoir pris la parole sur le plateau de LCI pour alerter l’opinion publique sur la montée de l’islam en France et pour honorer la mémoire des victimes du Bataclan qui ont tellement souffert.

    Caroline-Christa Bernard

      

    Il y a un jeune homme que j’aime beaucoup: châtain aux yeux bleus et mèche rebelle: Geoffroy Lejeune, 28 ans, directeur de la rédaction de Valeurs actuelles. Je ne le connais pas, si on me demandait, je préférerais qu’il se coupe les cheveux, mais c’est une remarque de bonne femme. En plus, personne ne me l’a demandé, mon avis.

    Je l’apprécie encore plus depuis que j’ai découvert ce lien:

    http://www.fdesouche.com/1224469-geoffroy-lejeune-evoque-la-remigration-il-y-a-des-gens-qui-sont-francais-aujourdhui-qui-devraient-retourner-dans-leur-pays-dorigine

        " Il y a des gens qui possèdent la carte d’identité et qui ne partagent rien de la France. " @geoffroylejeune pic.twitter.com/ZT1D0fQXVK

         — Damien Rieu (@DamienRieu) June 18, 2019

     

    https://twitter.com/i/status/1140883710658699264

     

    Bravo, petit! En voici les termes exacts:

    " Il y a des gens qui sont Français aujourd’hui qui devraient retourner dans leur pays d’origine ". Vite, vite, jeune homme. Il y a urgence.

    La seule frontière qui compte aujourd’hui, c’est celle qui sépare les remplacistes des anti-remplacistes, ou réfractaires, ou résistants, ou dissidents (du remplacisme). D’un côté de cette frontière, il y tous ceux (les mauvais) qui consentent au Grand Remplacement, voire le promeuvent (les vraiment méchants), ou l’incarnent (les infâmes), ou qui le nient (les pathétiques); de l’autre il y a ceux qui le refusent de tout leur être, de toute leur chair, de toute leur âme. (moi, moi, moi!!)

    D’un côté, il y a ceux qui acceptent le changement de peuple et de civilisation, soit parce qu’ils en nient l’existence (les gros lâches), soit parce qu’ils n’en sont pas dérangés (les sales capitalistes), soit parce qu’il sert leurs intérêts (les vendus); de l’autre il y ceux qui aimeraient mieux mourir que de s’y résigner. (moi, moi, moi!!).

    D’un côté, il y a ceux pour qui l’occupation étrangère de notre pays n’est pas un problème, soit parce qu’ils ne la voient pas (les aveugles), soit parce qu’ils la jugent normale (les cons), inévitable (les ignorants), bien dans l’ordre des choses (les cathos); et de l’autre il y a ceux qui ne l’accepteront jamais. (moi, moi, moi!!).

    Il y a ceux que la colonisation de la France et de l’Europe laisse de marbre (est-ce possible?), ceux qui s’en réjouissent (salauds!), ceux qui ne s’en avisent pas (ceux qui ne lisent pas le journal), ou qui ne songent pas à la nommer de la sorte (les rampants); et il y a ceux qu’elle obsède comme un horrible cauchemar et qui n’ont qu’une hâte, s’en réveiller. (Comment saviez-vous ce qui m’obsède? On s’est déjà rencontrés?).

    On le voit, cette frontière concerne l’être, l’être même de notre patrie et de notre civilisation, et celui de chacun d’entre nous: leur existence, leur survie, leur persévérance dans l’être ou leur dissolution dans l’autre, dans le remplacement, dans le néant, l’ethnocide, le génocide par substitution, tels que les annoncent l’immigration de masse et l’islamisation méthodique de notre continent.

    La frontière n’est seulement politique, et pourtant tous les partis politiques sont du même côté d’elle, celui du remplacisme, des remplacistes et du Grand Remplacement: soit qu’ils s’en félicitent (les plus extrémistes), par antiracisme absolu (tiens, j’en connais même un!) ou par servilité impatient aux intérêts de l’hyper-classe (c’est quoi, ce bazar?); soit qu’il le nient (les plus bêtes ou les plus fourbes); soit qu’ils l’organisent (les collabos); soit enfin qu’ils s’en accommodent (les feignants), ou en le disant certains jours et en le niant le lendemain (les fluctuants) — un pas en avant, deux pas en arrière — (les danseurs-étoile).

    Ceux-là ne peuvent pas rompre tout à fait avec le remplacisme, même s’ils le critiquent, parce que le remplacisme c’est le système, c’est le pouvoir, ce sont les places, c’est l’argent, c’est l’accès aux médias, ce sont les médias eux-mêmes, dont il importe peu de connaître l’opinion politique mais beaucoup de savoir à qui ils appartiennent et d’où vient leur financement; car leur véritable opinion c’est celle-ci: le remplacisme global, l’immigration de masse, l’accroissement des besoins par la croissance démographique, les usines de fabrication de la MHI, la Matière Humaine Indifférenciée.

    Un constat: le Grand Remplacement est le seul problème sérieux, qui rend secondaires tous les autres, même les plus graves, et qui empêchera toujours de leur trouver une solution. (Parfois, je me demande même comment il est possible que des politiques se réunissent pour parler d’AUTRE CHOSE. Un peu comme si vous mettiez à jouer à la crapette dans votre maison en feu).

    Et la seule solution, que ce soit à l’insécurité ou à la surpopulation carcérale, au déséquilibre des comptes sociaux ou à l’artificalisation galopante, à la sécession des " quartiers " ou au réensauvagement de l’espèce, à l’hébétude hyper-violente, à l’expansion du totalitarisme islamique, c’est la remigration, la décolonisation, la libération du territoire. (Excellent choix!!!).

    Dans ces conditions pourquoi songer à une liste aux élections européennes? Nous n’avons pas un sou, nous n’avons aucun accès aux médias, c’est l’adversaire qui établit les règles du jeu et qui les fait appliquer. Nous partons vaincus d’avance, nous n’avons rien à faire sur un terrain qui n’est pas le nôtre et où tout est prévu pour nous perdre, puisque nous nommons seuls ce qui ne doit absolument pas être nommé et que les électeurs sont formatés dès l’enfance, par l’école, à ne pas voir, à ne pas entendre et à ne pas comprendre. Ces élections sont européennes, et c’est l’Europe entière et sa civilisation qui sont menacées de mort.

    L’Europe, il ne faut pas la quitter, il faut s’en emparer avec nos alliés et en chasser les traîtres, pour la reconstruire; il ne faut pas en sortir, il faut en sortir l’Afrique! Pour réveiller nos concitoyens hébétés, drogués, manipulés, nous devons saisir toutes les occasions qui se présentent, nous afficher partout et ne laisser passer aucune chance, même légale, même électorale, d’interrompre l’ethnocide en cours et d’attirer sur lui l’attention.

    Ce n’est pas parce qu’un combat menace de ne pas aboutir qu’il ne faut pas l’entreprendre. Avec toujours la même exigence: œuvrer au rassemblement de tous les Français, de tous les Européens, toutes sensibilités politiques confondues, pour affronter ensemble les périls de ce temps.

    Nous disposons d’une arme formidable, que les autres, par définition, n’ont pas: la vérité. On l’a vue renverser des murailles, et défaire d’un coup des systèmes presque aussi redoutables que celui auquel nous avons affaire, et comme lui construits sur le mensonge.

    Vous l’aurez peut-être remarqué, je n’ai pas rédigé seule ce texte, je m’en suis largement inspirée et y ai ajouté quelques remarques plus personnelles.

    https://aucoeurdunationalisme.blogspot.com/2019/05/renaud-camus-et-karim-ouchikh.html

     ⦁ Pas eu le temps de tout faire, il faut bien que mes abricots se transforment en confiture!

    Face au mondialisme, la Dissidence Française propose l’organisation sans délai d’une politique de remigration, c’est-à-dire d’inversion des flux migratoires, par 8 mesures immédiates et concrètes:

    ⦁ le rétablissement permanent des contrôles aux frontières;

    ⦁ l’instauration immédiate de la préférence nationale;

    ⦁ l’expulsion systématique des clandestins et délinquants étrangers ou binationaux;

    ⦁ l’abolition du droit d’asile et du regroupement familial;

    ⦁ la suppression de l’A.T.A., de l’A.M.E. et des allocations destinées aux clandestins et demandeurs d’asile;

    ⦁ la réforme du code de la nationalité, impliquant l’abolition du droit du sol et la réintroduction de la prééminence du droit du sang pour l’acquisition de la nationalité française;

    ⦁ la dissolution des associations immigrationnistes ou communautaristes et l’application des peines concernant l’aide au séjour irrégulier et l’emploi de travailleurs clandestins;

    ⦁ l’interdiction des financements publics ou étrangers des mosquées et l’interdiction des associations liés aux réseaux islamistes internationaux.

    Réalité du Grand Remplacement et nécessité de la remigration

    Pour la France, les Français d’abord.

    Anne Schubert

  • ENFIN!!!! Vive la langue française

    MANIFESTE ADRESSÉ AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

    Dans sa qualité, dans son usage même, la langue française sombre en déshérence. Comme tant d’autres langues, et avec trop d’autres cultures, elle se trouve de fait colonisée par l’hégémonie anglo-américaine.

    À l’occasion du soixante-dix-neuvième anniversaire de l’appel à la résistance du Général de Gaulle, un collectif composé de représentants de vingt-cinq nations s’adresse au Président de la République française.

    Au chef de l’État premier contributeur de la Francophonie, ce collectif demande de montrer l’exemple de la résistance, plutôt que de collaborer à la colonisation de notre pays.

    Monsieur le Président de la République,

     La langue française va mal. Non plus étoffée mais étouffée par l’anglo-américain, elle voit désormais son usage même évincé par cette dernière langue devenue si peu étrangère. Confrontée à cette invasion, notre mémoire renvoie en écho un passé douloureux de soumission et d’oubli de soi. Une majorité capitulatrice plaidera le réalisme, hermétique aux cris sourds d’une identité enchaînée par une pseudo « langue universelle », en réalité servante d’un maître particulier.

     Le français outragé, le français brisé, le français martyrisé. Mais le français rendu à la dignité si, Monsieur le Président, vous choisissez de suivre enfin la trace laissée par l’esprit de résistance.

     – Il est demandé au chef de l’État premier contributeur à l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), de montrer l’exemple : en renonçant à l’emploi de l’anglo-américain à l’étranger, quand le français demeure l’une des deux premières langues d’usage d’une majorité d’organes internationaux ; en renonçant à l’utilisation peu digne de l’anglo-américain en France même, décourageant ainsi nos visiteurs de pratiquer une langue désertée par ses locuteurs naturels.

     – Il est demandé au chef de l’État : De faire étudier une loi renforçant le dispositif linguistique présent en en rendant notamment l’application contraignante. De rappeler aux autorités judiciaires leur pouvoir de poursuivre les contrevenants à une loi constamment bafouée. De rappeler, immédiatement, les préfets à leur obligation de contrôle de légalité pour les collectivités en infraction, par défaut, avec l’article 15 de la Loi du 4 août 1994.

     – Il est demandé au garant de la Constitution d’interrompre la marche suicidaire vers l’intronisation de la langue anglo-américaine comme seconde langue officielle de la nation ; ainsi devrez-vous mettre un terme au projet sacrilège prétendant dispenser dans les établissements scolaires des cours de matières générales en anglo-américain.

    Ce manifeste reçoit des signatures venues de France, mais aussi des francophones du monde entier. Du pays source de la langue commune, la Francophonie attend légitimement le signal fort d’une résistance enfin consciente de l’enjeu.

    – Il est donc attendu du chef de file de l’OIF qu’il mette la politique étrangère de la France en accord avec les revendications humanistes de l’organisation, fidèle à la langue des Lumières, celle de l’égalité et du partage. À cet égard, nous déplorons l’installation au poste de secrétaire générale de l’OIF d’une personnalité rouandaise membre actif d’un régime politique détestable.

    – Il est attendu du chef de file de l’OIF qu’il défende l’usage de la langue française, non qu’il le rétrécisse. Les francophones se sont particulièrement émus de votre adoubement, lors du dernier Sommet de la Francophonie, de l’anglo-américain comme « langue d’usage » pour le monde. À en juger par le dynamisme économique d’une majeure partie de l’Afrique francophone, comme par la vitalité économique du Canada francophone, terre de créativité et de haute technologie, leur « langue d’usage » – le français – en vaudrait pourtant d’autres.

     Lors de ce Sommet, nous vous avons également entendu ceindre la langue française du titre de « langue de la création ». Conviendrait-il déjà que l’État encourageât les appellations françaises pour baptiser nouveaux produits et services créés par toute entreprise revendiquant son aide ; mieux, par toute entreprise où entrent des capitaux d’État. Or il se produit très exactement l’inverse.

    Faute d’avoir su précéder le Québec comme référence mondiale pour la défense du français, du moins sachons nous inspirer de sa pugnacité et abandonner nos comportements serviles. Il y va de notre identité nationale et de l’avenir de la Francophonie.

     Nous vous remercions de l’attention que vous voudrez bien porter à notre requête.

    Veuillez croire, Monsieur le Président de la République, à notre haute considération.

    Signataires

    Associations du collectif LANGUE FRANÇAISE

    Louis Maisonneuve et Dr Pauline Belenotti, Président et secrétaire d’Observatoire des Libertés, France. Philippe Carron et Jacques Badoux, responsables de l’antenne Suisse romande pour le collectif, Suisse. Jean-Paul Perreault, Président du Mouvement Impératif français, Montréal, Canada.

    Associations partenaires

    Philippe Reynaud et Lucien Berthet, Président et secrétaire de Défense de la Langue Française-Savoie, France. Pierrette Vachon L’Heureux, Présidente de l’Association pour le soutien et l’usage de la langue française, Québec-ville, Canada. Albert Salon, docteur d’État, ancien ambassadeur, Président d’Avenir de la langue française (ALF), Paris, France. Régis Ravat Président de l’Association Francophonie Avenir (AFRAV), Nîmes, France. Edgar Fonck, directeur de l’Association pour la Promotion de la Francophonie en Flandre, De Haan, Belgique. Alain Ripaux, Président de Francophonie Force Oblige, Appilly, France. Catalina Hadra, secrétaire générale de Dicifran (Association pour la diffusion de la Civilisation Française en Argentine), Buenos Aires, Argentine.

    Personnes privées

    Ilyes Zouari Président du Centre d’étude et de réflexion sur le monde francophone, France.Jean-Pierre Luminet, astrophysicien, directeur de recherche au CNRS, Marseille, France. Tahar Ben Jelloun, écrivain, Prix Goncourt, France, Maroc. Michel Bühler, auteur-compositeur et chanteur. Sainte- Croix, Suisse. Vladimir Fédorovski, écrivain, Neuilly, France. Rémy Pagani, Maire honoraire de la ville de Genève, Suisse. Zachary Richard,auteur-compositeur et chanteur (« Travailler c’est trop dur »), Louisiane, États Unis d’Amérique. Jean-Marie Rouart, écrivain, membre de l’Académie française, Paris, France.Jean Ziegler, homme politique, écrivain, vice-président du comité consultatif du « conseil des droits de l’homme » de l’ONU, Suisse. Pierre Perret, chanteur, Seine-et-Marne, France. Jeannie Longo, cycliste, championne olympique et du monde, Savoie, France. Boris Cyrulnik, neuro-psychiatre, Toulon, France. Guimba Konate, ingénieur, ex-conseiller au Ministère des Télécommunications du Sénégal, Sénégal. Didier Van Cauwelaert, écrivain, Prix Goncourt, France. Jacques Drillon, journaliste-écrivain, Paris, France. Lakhdar Amrani, professeur de français, Algérie. Benoit Bergeron, enseignant en biologie, Montréal, Canada. Anna Maria Campogrande, fonctionnaire européenne, président d’Athena, Association pour la défense et la promotion des langues officielles de la Communauté européenne, résident à Bruxelles, Belgique. Huguette Lemieux, interprète, Ottawa, Canada.Michel Feltin-Palas, journaliste, Paris, France Marianne Périllard, traductrice, Lausanne, Suisse. Erasmia Boutsikari, avocate, Gytheion Grèce. Agnès Rosenstiehl, auteur, illustratrice (« Mimi Cracra »), Paris, France. Ingrid Stromman, professeur de français et d’anglais, Trondheim, Norvège. François Delarue, cardiologue, Paris, France. Jean-Pierre Siméon, poète et dramaturge, directeur de la collection poésie, éditions Gallimard, Clermont-Ferrand, France. Paul Miédan-Gros, pilote de ligne, ancien Président de la du Syndicat National des Pilotes de Ligne, Santeny, France. Rosana Pasquale, professeur de français, université nationale de Lujan-Buenos Aires, Argentine. Fernand Melgar, cinéaste, Lausanne, Suisse. Yvan Lepère, journaliste, Bruxelles, Belgique. Alexandre Riblet, professeur de français, Mexico, Mexique. Angel Viñas, enseignant, ancien directeur à la Commission européenne, Bruxelles, Belgique. Miltiades Vassilatos, ingénieur, Montréal, Canada.Renato Corsetti, enseignant, Londres. Royaume Uni. Thierry Saladin, médecin, secrétaire de l’AFRAV, Montpellier, France. Paolo Monaco, expert de l’organisation internationale pour la sécurité de la navigation aérienne, Bruxelles, Belgique. Jean-Louis Carpe, professeur de philosophie, Orléans, France. Pia Sylvie Marquart, enseignante, Hurghada Égypte. Monique Phuoeng, directrice de société, Phnom Penh, Cambodge. Rodolphe Clivaz,artiste, directeur de théâtre, Lausanne, Suisse. Alain Borer, écrivain, poète, Los-Angeles (E.U.A.) et Paris, France. Olivier Belle, auteur-compositeur et chanteur, Neuilly, France. Étienne Guilloud, pasteur, Bière, Suisse. Yves Montenay, Président de l’Institut culture, économie et géopolitique, vice-président de l’ALF, France Bérénice Franca Vilardo Irlando, ex fonctionnaire du Ministère des Affaires Étrangères d’Italie, Rome, Italie. Valeria Pancrazzi, professeur de français, Tigre-Buenos Aires, Argentine. Philippe Mougel, conseiller artistique, Clermont-Ferrand, France. René Fournier, maire honoraire de Carignan, Québec, Canada. Louise Chevrier, romancière, Chambly, Québec, Canada. Micheline Khemissa, enseignante, Écublens, Suisse. Daniel Perrenoud, médecin, Lausanne, Suisse. Gérard Laurin, professeur de français, Gatineau, Québec, Canada.Ralph Stehly, professeur émérite de l’Université de Strasbourg, France. Claude Filatrault,conseiller à Hydro-Québec, Québec-ville, Canada. Françoise Carré, enseignante, Landevieille, France. Philippe Prudhomme, professeur de français, Président de l’association « Les amis de Bougainville », Papeete. Tahiti, France. Benoît Cazabon, linguiste, enseignant en biologie, co-fondateur et ex-directeur de l’Institut franco-ontarien, Vernet, Ontario, Canada. Claude Sybers, auteur littéraire, dramaturge Saly, Sénégal. Jean-Louis Brion, ingénieur, Nouvain-la-Neuve, Belgique. Veronica Gebauer, professeur de français, Université nationale de Cordoba, Argentine. Luc Charrette, pédiatre, Gatineau, Québec, Canada. Cyril R. Vergnaud, professeur de langues, Pingtung, Taiwan. Nicolae Dragulanescu, professeur d’université, Président de la Ligue de coopération culturelle et scientifique Roumanie France, Bucarest, Roumanie. Bert Schumann, ingénieur, Rennes, France. Michel Donceel, violoneux, Bertirx, Belgique. Gérard Cartier, ingénieur et auteur, L’Étang-la-Ville, France. Laurent Martin, pianiste, Vollore, France. Madana Gobalane, Président de l’association indienne des professeurs de français, Chennai, Inde. Fara Nume, professeur de français, Temara, Maroc. Alicia Santana, professeur de français, Tigre-Buenos Aires, Argentine. Jean Maisonneuve, pilote de ligne, Billom, France. Évelyne Raimbault, secrétaire, Fontenay sous Bois, France. Daniela L. Martinez, professeur de français, Buenos-Aires, Argentine. Nicolas Bitterlin, ouvrier du livre, Québec-ville, Canada. Bernard Joss, dessinateur, Lausanne, Suisse. Geneviève Despinoy, professeur d’espagnol, Agen, France. Emilie Szczukiecka,enseignante, Wroclaw Pologne. Damien Feron, photographe. Madrid, Espagne. Ines Mensi, enseignante, Tunis, Tunisie. Dominique Lambilotte, fonctionnaire de police, Bertrix, Belgique.Kader Ali Lahmar, inspecteur d’enseignement du français, Oran, Algérie. Johan Nijp, professeur de français, Groningen, Pays-Bas. Mohamed Farhat, enseignant, Joub Jenin, Liban. Nathalie Pacico, technicienne, Courcelles, Belgique. Didier Catineau, journaliste, écrivain, Plassay, France. Jean-Pierre Roy, réalisateur, Montréal, Canada. Roger Rochat, ingénieur, Cottens, Suisse. André Creusot, administrateur, Ottawa, Canada.

    Avis au lecteur: il lui est proposé ici, donc sur Agora Vox, la version initiale de ce manifeste, accompagnée de l’ensemble des signataires. Ce manifeste est paru ce jour, le dimanche 16 juin 2019, dans Le Parisien / Aujourd’hui en France mais sous une version quelque peu raccourcie du seul fait de la rédaction du quotidien.

    http://www.leparisien.fr/societe/defense-de-la-langue-francaise-100-signatures-pour-refuser-la-dictature-du-tout-anglais-16-06-2019-8094285.php

    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/appel-des-100-pour-refuser-la-215939

    Pour tout contact : langue-francaise2018@laposte.net

    06 76 24 24 01

    plus Josyane JOYCE, moi-même

     

  • 62 antécédents judiciaires! dehors de France, la vermine

    Lyon (69) : un braqueur multi-récidiviste arrêté et frappé par les clients d’un fast-food

    Quinze jours d’ITT avec le visage bien tuméfié et des blessures importantes. Un homme de 27 ans, connu des services de police, a été passé à tabac par des clients d’un fast-food de Lyon qu’il venait de braquer. Les faits se sont déroulés, samedi soir, dans le McDonald’s, situé avenue des Frères Lumières.

    Armé, le suspect, qui aurait attaqué un autre restaurant juste avant, a fait irruption dans l’établissement, menaçant le personne pour se faire remettre au final 60 euros, indique la police lyonnaise. […] Le suspect, qui compte 62 antécédents judiciaires, a indiqué que l’arme utilisée était factice. Elle n’a toutefois pas été retrouvée sur place. […]

    donc, c'est un mensonge! 1 de plus pour nous faire prendre des vessies pour des lanternes

    20 Minutes

  • Boycottez ces entreprises qui font entrer les migrants en France!

    Liste des entreprises françaises membres de la communauté B Corp :

       Imfusio

        Quorum

        Investir&+

        Blédina

        Imagin/able

        BRIGHTNESS SAS

        Bartle

        ENGIE Rassembleurs d’Énergies

        norsys

        hudi

        PHENIX

        VEJA

        CONNEXING

        EPONYME

        Les Grappes

       EQOSPHERE SAS

        Davidson Consulting

        Alter Ego

        MySezame

        Big Mamma

        Kimso

        TENZING

        Laboratoires Expanscience

        HAATCH

        Coopérative Mu

        Nuova Vista

        SPYGEN

        Foncière Chenelet

        148

        Investisseurs et Partenaires

        WattValue

        ARP-Astrance

       Les 2 Vaches

        PinotBleu

        TOOVALU

        WeNow

        WASTE IS MORE (CLIP IT)

        NEWMANITY

        Altman Partners

        B&L évolution

        Smiile

        Bjorg Bonneterre et Compagnie

        La Ruche qui dit Oui !

        PatteBlanche

       Lemon Tri

        Lygo

        Château Maris

       Daktari

        BIRDEO

        Turningpoint Leadership

        Sora Finance

        AguiaLabs

        PUR Projet

        SIDIESE

        PIXELIS

        Le Rêve du Dogon

        recyclivre.com

       SQUIZ

        New Angles

        CAMIF MATELSOM

        microDON

        Citizen Capital

        Ulule

        Des Enjeux et des Hommes

        ekodev

        Lumo

        AIR coop

        Aggelos

        Nature & Découvertes

        UTOPIES

     

     

  • Gauchiasse dorée

    Encore un qui a le monopole du cœur (porte-monnaie)

    Manuel Valls aurait touché 20 000 euros par mois comme candidat à la mairie de Barcelone

    C’est beau, l’engagement désintéressé. Pour tenter de conquérir la mairie de Barcelone, Manuel Valls aurait touché un salaire mensuel net de 20.000 euros par mois, rapporte le quotidien catalan Ara. D’après l’enquête du journal espagnol, parue ce jeudi 13 juin, l’ancien Premier ministre français, battu le 26 mai avec 13,20% des voix, aurait réclamé à ses contributeurs de lui verser ces émoluments en plus de la participation à ses frais de campagne.

    Pour réclamer cette indemnisation, Manuel Valls aurait fait valoir auprès de ses donateurs la perte de revenu engendrée par la démission de son mandat de député français, le 2 octobre 2018 (…).

    Une belle opération, puisque la somme représente près du triple de la rémunération perçue par un député à l’Assemblée nationale (7 239 euros bruts par mois). En tant que simple candidat à la mairie de Barcelone, celui que Bernard-Henri Lévy estime être l’incarnation du " panache français " et du " chevaleresque catalan " aurait même été mieux rémunéré que lorsqu’il était à Matignon, entre 2014 et 2016 (14 910 euros brut) (…).

     Marianne

  • Les macaques ont faim

    Bargny (60): ils tuent et découpent une vache en plein champ

    Plusieurs individus s’en sont pris à un troupeau le week-end dernier. Ils ont finalement abattu à la hache et prélevé la viande d’une vache de 400 kg.

    Une scène d’horreur en pleine nuit. Le lendemain matin, en allant les nourrir, Dominique Garnier, agriculteur depuis 1991 a découvert la carcasse dépecée d’une génisse de 14 mois, pesant plus de 400 kg. "Il y avait du sang partout sur la route, se remémore-t-il, encore ému. Ils ont profité que les vaches soient dociles et se fassent souvent caresser par les enfants du village pour les approcher. "Ici, le lait de ces 200 vaches est transformé et notamment vendu au roi du Maroc quand il est à Betz.

    Les agresseurs auraient enfermé les vaches dans un petit enclos où elles s’abritent sous un hangar. Puis, avec une hache, ils auraient frappé plusieurs d’entre elles sur le crâne pour tenter de les tuer. Comme en témoigne la tête de deux autres jeunes bovins où deux énormes cicatrices sont encore visibles.

    "Ils en ont ensuite sorti une et l’ont amenée quelques mètres plus loin pour la découper", s’attriste Dominique. Le filet, les pattes avant et arrière sont découpées" précisément, le fait d’un connaisseur".

    (…) Le Parisien