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Humain? - Page 302

  • Une avancée “épouvantable“

     

    Un cerveau humain qui commande un autre cerveau humain, c'est possible

    Le contrôle humain à distance, ce n’est plus de la science-fiction. Des chercheurs de l’université de Washington ont pu transmettre pour la première fois une information simple, directement d’un cerveau humain à un autre. L’expérience, décrite sur le site scientifique Plos One, se sert d’un dispositif "cerveau à cerveau", qui lit et analyse les informations neurales du sujet dit "émetteur", les décode, les traduit en informations numériques, les transfère au cerveau "récepteur", et entraîne l’action désirée.

    Le principe est le suivant: les deux chercheurs sont placés dans deux salles distantes, sans aucun moyen de communication. Le premier est équipé d’un bonnet couvert d’électrodes enregistrant son électroencéphalogramme (mesure de l'activité du cerveau). Le second est équipé d’une bobine de stimulation magnétique transcrânienne, placée près de la partie du cerveau qui contrôle les mouvements de sa main.

     

  • Les 10 innovations technologiques révolutionnaires à venir

     

    La technologie avance à la vitesse de l'éclair et elle n'est pas prête de s'arrêter là. Voici une petite sélection des nouveautés technologiques qui sont en voie de révolutionner votre futur quotidien.

    Les Google Glasses

    Vous en avez forcément entendu parler, les lunettes de Google, futur technologique révolutionnaire, font la une des médias. Elles seront commercialisées d’ici 2014 pour une somme avoisinant les 1 500 dollars alors que des bars et des cinémas les ont déjà interdites dans leurs enceintes. Il est un fantasme technologique pour certains, outil ultime de violation de la vie privée pour d’autres, les Google Glasses ne sont pas encore commercialisées, qu’elles suscitent déjà un vif débat de société. Il s’agit de lunettes à réalité augmentée, commandées à la voix, avec un petit écran transparent situé au coin de l’œil droit, sur lequel défilent des informations plus ou moins indispensables en réponse à une demande de l’utilisateur, ou sans qu’il ait demandé quoi que ce soit.

    Golden-I, le casque futuriste

    Golden-I est un ordinateur portable un peu particulier. Il prend place dans un casque futuriste à porter sur la tête. Entièrement contrôlable par la voix et les gestes, il dispose d’une caméra de 14 mégapixels. Le dispositif semble plutôt ambitieux et serait particulièrement adapté pour les travaux de construction et les services d’urgence. Ce qui est certain, c’est que ce gadget plaira en particulier aux amateurs de James Bond.

    L’Oculus Rift, le casque de gamer

    Sous ce nom barbare se cache en réalité un système de réalité virtuelle permettant de s’immerger pleinement dans le monde 3D de jeux prévus à cet effet. Un dispositif à la frontière entre un casque et une paire de lunettes, qui permet de plonger le joueur dans l’immersion la plus totale. Une fois le casque enfilé, ce dernier englobera complètement le champ de vision du joueur, faisait du jeu, sa nouvelle réalité.

    MYO, la télécommande virtuelle

    Le brassard MYO est peut-être l’innovation technologique de l’année. En enfilant l’appareil, il détecte l’activité électrique des muscles des bras. Ce dernier reconnait alors les mouvements de la main et du bras, qui deviennent alors une télécommande virtuelle pouvant accomplir toutes sortes d’actions, comme lancer une vidéo, tourner la plage d’un ebook ou encore jouer à un jeu vidéo. Pas de limites quant aux possibilités de l’appareil, elles dépendent uniquement de l’imagination des développeurs. Le brassard devrait être disponible en fin d’année, au prix de 149$.

    Des écrans souples pour ordinateurs, smartphones et tablettes

    Il n’existe pour le moment qu’un prototype de smartphone flexible avec Windows OS de Samsung, ainsi qu’un concept d’iPhone 6 avec écran légèrement souple, mais aussi un ordinateur portable, Pandora, capable d’être transformé en écran de télévision ou en tablette tactile. Sa charnière flexible permet d’être mis dans différentes positions. L’écran souple est donc une nouvelle façon de concevoir la mobilité.

    3D Doodler, le stylo qui écrit en 3D

    Une invention peut être moins impressionnante pour les amateurs de technologie mais tout aussi audacieuse, le stylo 3D Doodler, permet de donner des formes et du volume à vos dessins, en dessinant en 3 dimensions à l’aide d’un fil de plastique fondu à séchage rapide. Le projet élaboré par Peter Dilworth et Max Bogue a déjà rassemblé plus de 1,7 millions de dollars sur la plateforme de crowdfunding kickstarter, explosant la barre des 30 000 dollars qu’ils demandaient. Prévu pour novembre 2013, ce stylo qui sera vendu pour la modique somme de 60$ en fin d’année, pourrait bien révolutionner le dessin.

    Des voitures sans chauffeur

    Non, nous ne sommes pas encore au stade des soucoupes volantes, mais au stade des voitures sans chauffeur. Sur l’autoroute, dans un embouteillage ou quand il n’y a pas trop de feux de circulation par exemple, il vous suffira d’enfoncer un bouton sur le volant pour que la voiture se mette à conduite toute seule. La voiture adapte automatiquement sa vitesse à celle qui la précède, et reste dans sa file en suivant le marquage au sol. Pendant ce temps, vous pourrez tranquillement lire vos mails ou passer un appel vidéo…

    Les montres intelligentes

    Après les smartphones, le prochain joujou technologique en vogue pourrait bien être la “smartwatch”, une montre qui permet d’avoir accès partout en toute discrétion aux messages et aux appels de son téléphone portable. En attendant l’éventuelle iWatch sur laquelle travaillerait le géant américain Apple, d’autres poids lourds comme Sony ou de petits acteurs comme Pebble et I’m Watch occupent le terrain. La cible va des utilisateurs qui ont du mal à décrocher de leur téléphone lorsqu’ils sont en réunion ou au cinéma, jusqu’aux sportifs qui souhaitent surveiller leur rythme cardiaque pendant l’effort. Elles fonctionnement comme un complément du smartphone, avec lequel elle communique via le Bluetooth. L’utilisateur peut ainsi, sans sortir son téléphone de la poche, répondre ou rejeter un appel, consulter ses mails ou voir ses notifications sur les réseaux sociaux.

    Les écouteurs…sans écouteurs

    Le nouveau casque de Panasonic permet d’écouter sa musique tout en restant attentif à son environnement extérieur. Le nouveau casque de Panasonic exploite la connectivité osseuse de la boîte crânienne. Les embouts sont placés directement sur les os de la tempe et les vibrations sont transmises vers le nerf auditif par les os.

    La télévision intelligente, qui vous regarde

    Cela peut sembler inquiétant pour ceux qui ont lu 1984 de George Orwell, mais selon les acteurs du secteur, c’est la nouvelle étape de l’évolution de la télévision : Des télévisions "intelligentes", connectées à internet, équipées de technologies qui "voient" le spectateur, avec l’objectif de proposer des programmes plus adaptés. Méfiance tout de même, nombreuses sont les personnes qui pensent que notre vie sera de plus en plus assaillie par les publicitaires, qui pourront mettre au point des annonces encore plus ciblées qu’aujourd’hui.

     

  • Danger dans le futur...

    USA : la machine à 1200 dollars qui permet de faire des armes à la maison

    Le dernier projet de Cody Wilson est de construire une arme véritable à l’aide d’une fraiseuse branchée sur son ordinateur.

    Par Andy Greenberg.

    En 2013, en présentant le premier pistolet entièrement imprimé en 3D, Cody Wilson a prouvé que de nos jours, n’importe qui peut fabriquer une arme fonctionnelle et létale dans son garage en quelques clics. Maintenant, il s’est lancé sérieusement dans la fabrication d’armes " artisanales ". Et cette fois, le résultat n’est pas en plastique.

    Le dernier projet libertarien de Cody Wilson est une fraiseuse, qu’il a surnommée le Ghost Gunner et qui est connectée à son PC. Comme toute fraiseuse contrôlée par ordinateur, cette boîte noire d’une trentaine de centimètres de côté utilise un foret monté sur une tête qui se déplace dans les trois dimensions, modelant des formes à partir de blocs de polymères, de bois ou d’aluminium. Mais cette fraiseuse-ci, vendue 1200 dollars (environ 950€) par l’entreprise de Wilson, Defense Distributed, a pour but de créer un objet en particulier : la platine d’un AR-15.

    Ce simple petit morceau de métal est devenu l’épicentre du contrôle des armes à feu. La platine est la partie de l’arme qui relie les différents éléments qui la composent, ce qui en fait l’élément le plus réglementé de l’ensemble. Si vous produisez votre propre platine chez vous, cependant, vous pouvez commander sans problème les autres composantes sur Internet, créant ainsi une arme semi-automatique sans numéro de série, sans contrôles d’identité, sans période d’attente, en bref, sans législation à respecter. Certains partisans du contrôle des armes à feu l’appellent une " arme fantôme " (Ghost Gun). Il est tout à fait illégal de vendre cet élément intraçable ; par contre, rien ne vous interdit de le fabriquer vous-même.

    L’exploitation des failles dans la réglementation des platines d’armes à feu est loin d’être une idée nouvelle ; certains armuriers amateurs fabriquent les leurs depuis des années. Mais Wilson, qui signe avec le Ghost Gunner une énième provocation envers les lois fédérales, est déterminé à simplifier et à démocratiser le processus. " Cela a toujours été réservé aux armuriers, pas aux utilisateurs lambda. C’est là que le numérique et la tendance à fabriquer les choses par soi-même prend toute son importance. Nous avons développé un outil très bon marché, qui rend l’armurerie traditionnelle accessible à tous. N’importe qui peut la pratiquer à la maison. "

    La volonté de Wilson de donner à chacun la possibilité de fabriquer une arme intraçable fait partie d’une mission anarchiste de grande envergure : montrer comment la technologie peut rendre la notion même de gouvernement obsolète. Wilson a passé les deux dernières années à développer des armes à feu qui peuvent être imprimées aussi facilement que de l’encre sur une feuille, déjouant toute tentative de contrôle des armes à feu. " C’est une façon de marquer les esprits des étatistes, une façon d’humilier le pouvoir qui veut vous humilier ", explique-t-il.

    Les créations controversées de Defense Distributed incluent des chargeurs en plastique et des platines d’AR-15 imprimables en 3D, ainsi qu’un pistolet entièrement imprimable qu’il a appelé le Liberator. Mais Wilson affirme que sa transition de l’impression 3D à la fraiseuse contrôlée par ordinateur, qui forge le métal, participe à la démocratisation des armes létales. " L’impression 3D [d'armes à feu] en plastique, c’était juste un aperçu du futur. Aujourd’hui, on peut utiliser ces machines pour créer une arme qui respecte les standards de qualité auxquels on s’est habitué. Le standard de la communauté des possesseurs d’armes, c’est le métal. "

    Le processus de fabrication de cette platine en métal est plus simple, physiquement et légalement, qu’on pourrait le croire. Utiliser le Ghost Gunner pour tailler une platine à partir d’un bloc d’aluminium serait une entreprise longue et complexe, mais la communauté des porteurs d’armes échange des " platines 80% ", c’est-à-dire des pièces de métal en forme de platines qui se vendent pour à peine 80 dollars et sont taillées à environ 80%. Il leur faut seulement quelques cavités supplémentaires pour être finalisées. Le bureau de régulation de l’alcool, du tabac et des armes à feu a déterminé que cette limite de 80% d’avancement de la production était le maximum légal pour qu’un élément ne soit pas considéré comme fonctionnel, et ne nécessite donc pas un traçage via un numéro de série gouvernemental. Les 20% restants, c’est-à-dire la finition des platines, ont jusqu’à maintenant été effectués en utilisant des fraiseuses qui coûtent des dizaines de milliers de dollars.

    Cependant, les fraiseuses assistées par ordinateur sont en pleine transition : de la fabrication industrielle, elles s’adaptent à une utilisation personnelle et accessible. Le Shapeoko ou le Nomad, par exemple, coûtent quelques milliers, voire même quelques centaines d’euros seulement. Le Ghost Gunner a été bâti à partir de micro-contrôleurs Arduino à 20 dollars, une tête sur mesure et un foret en acier. La machine de Defense Distributed ne peut pas modeler des pièces aussi grandes que celles de ses concurrents, mais sa petite taille la rend plus solide et précise, lui permettant de façonner une platine complète à partir d’un bloc taillé à 80% en une heure environ. Wilson dit que cette tâche serait impossible avec des fraiseuses bas de gamme pour amateurs, mais qu’elle ne requiert pourtant pas non plus un matériel à plusieurs milliers de dollars. " Nous rendons la fabrication infiniment plus facile ", dit-il.

    Ambitions subversives mises à part, Wilson ne cache pas le fait que le Ghost Gunner est un projet à but lucratif. Contrairement aux projets d’impression 3D passés de Defense Distributed, cette fraiseuse permet à l’entreprise de Wilson de financer ses activités annexes. Il souhaitait proposer des pré-commandes de la machine via une campagne Indiegogo ou Kickstarter, mais ces sites interdisent la vente d’armes ou d’outils pour les fabriquer.

    Depuis le lancement de Defense Distributed, en 2012, Wilson a prouvé son talent pour jeter de l’huile technologique sur le feu politique, des armes imprimables en 3D sans le moindre contrôle à un logiciel de blanchissement d’argent grâce aux Bitcoins. Sa dernière innovation promet d’être tout aussi controversée : il lancera le Ghost Gunner juste après un débat en Californie touchant à un projet de loi interdisant la fabrication de toutes les armes sans numéro de série. Cette loi, appelée le " Ghost Gun Ban " et proposée par le sénateur Kevin de Leόn plus tôt dans l’année, a pour objectif de criminaliser à la fois l’impression 3D et la finition de platines à 80% sans un numéro de série déterminé par le gouvernement, et ce dans l’État entier. La loi a été approuvée par le Sénat et l’Assemblée de l’État, mais soumise à un veto en janvier par le gouverneur Jerry Brown, qui a affirmé qu’il " ne [voyait] pas en quoi l’ajout d’un numéro de série à une arme à feu artisanale [améliorerait] la sécurité publique ".

    Ce veto représente encore une déception pour les partisans de la prohibition comme le sénateur De Leon, qui ont déjà averti des dangers des platines faites maison. " Les nouvelles technologies qui permettent à n’importe qui de fabriquer une arme posent cette question : ces armes sont-elles faites par des individus dangereux [par exemple...] des criminels et des personnes mentalement instables ? ", a demandé De Leon lors d’une conférence de presse en janvier. " La menace est réelle. Nous commençons à observer une industrie émergente et un marché des armes fantômes [...] personne ne sait qu’elles existent, jusqu’à ce qu’un crime soit commis avec. "

    Il s’avère que la police pense qu’un AR-15 construit de cette façon a été utilisé par John Zawahri, 23 ans, pour tuer cinq personnes à Santa Monica l’an dernier avant d’être lui-même abattu par la police. Zawahri avait des antécédents psychiatriques et sa demande de permis de porter des armes avait été refusée auparavant. L’arme semi-automatique qu’il a assemblée est de plus illégale en Californie.

    Après le veto du gouverneur concernant le Ghost Gun Ban, la fraiseuse de Wilson pourrait rendre ces armes intraçables bien plus accessibles au grand public, et Wilson ne s’en dédouane pas, confrontant même directement les prohibitionnistes. Il est même allé jusqu’à déposer une demande de copyright pour l’expression " Ghost Gun " (arme fantôme), un geste qui pourrait limiter son utilisation légale par les prohibitionnistes.

     

    " Si Kevin de Leόn ne devait pas en entendre parler, ces efforts seraient inutiles. Ce que je veux, c’est offrir ce monde aux politiques. Notre stratégie est d’incarner et de réaliser leur cauchemar, leur donner le monde dont ils parlent ", explique Wilson.

    Et si sa fraiseuse est utilisée pour créer des armes incontrôlables qui mènent à la violence, comme pour John Zawahri ? Wilson répond qu’il a déjà répondu à cette question quand on la lui a posée à l’époque des armes imprimables : la violence potentielle est le prix à payer pour la liberté. " J’ai la conviction que ça fait partie de ce que le peuple mérite, un idéal républicain cohérent et respectueux des libertés civiles. "

     " On peut avoir une brosse à dents sans numéro de série, et on peut avoir un fusil d’assaut sans numéro de série. C’est important pour moi. L’arme à feu intraçable est ce pour quoi je me bats ", termine Wilson.

    Traduction Contrepoints de " The $1,200 Machine That Lets Anyone Make a Metal Gun at Home"

     

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  • Qui est NAO ?

    Les français ont l'intelligence de créer un robot qui se présente comme une machine; les Japonais fabriquent des robots qui nous ressemblent! ça, c'est la catastrophe annoncée: un jour où l'autre, les humains s'entretueront à cause de machines ressenblantes parce que l'on ne saura plus si celui qui est devant nous est notre ami ou voisin de pallier ou si c'est une machine!

    GRÂCE AUX JAPONAIS: LA DESTRUCTION DE LA SOCIÉTÉ HUMAINE EST AVANCÉE!

     

    NAO est un robot humanoïde de 58 cm de haut. Il est petit, mignon, tout en rondeur, vous ne pouvez que l'aimer ! NAO est destiné à être un compagnon bienveillant dans vos maisons. Il peut se déplacer, vous reconnaître, vous entendre et même vous parler !

    Depuis sa naissance en 2006, il n'a cessé d'évoluer pour vous être agréable, vous distraire, vous comprendre et vous aimer. Bref, pour devenir un jour votre ami.

    Aldebaran a créé NAO pour être un véritable compagnon au quotidien : il est la petite créature qui saura vous aider à devenir meilleur. Sa forme humanoïde et son extrême interactivité le rendent très attachant et créateur d'émotions.

    Son histoire

    En attendant d'être prêt pour entrer dans vos foyers, NAO est devenu une star dans le monde de l'Éducation. Dans plus de 70 pays, il s'est installé dans les classes d'informatique ou de sciences, du primaire jusqu'à l'université. Grâce à lui, les étudiants apprennent la programmation de manière ludique et appliquée. Ils le programment pour le faire marcher, attraper de petits objets, ou encore pour le faire danser !

    Il a ensuite conquis les communautés de développeurs qui voient en lui un support puissant et incroyablement expressif pour la création d'applications. Imaginez-vous tout ce qu'il est possible de faire faire à NAO. C'est un nouveau monde d'applications qui s'ouvre à eux... pour la prochaine étape qui est sa commercialisation pour le grand public.

    NAO, bientôt dans vos foyers!

    Parlez, il vous répond !

    Demandez-lui quelque chose et il le fait ! Vous pourrez par exemple demander à NAO d'apprendre les tables de multiplication à vos enfants, de vous réveiller le matin, de surveiller votre maison en journée ou de vous apprendre de nouvelles choses dès que vous le demandez. Vous n'avez plus besoin de clavier, d'ordinateur ou de souris pour communiquer avec la technologie. Il suffit de lui parler et il vous répond !

    Un nouveau membre de la famille

    Imaginez maintenant qu'il puisse apprendre à détecter vos humeurs pour avoir toujours le bon mot, qu'il sache reconnaître les membres de votre famille par leur prénom, qu’il ait appris de vous vos goûts musicaux, culinaires ou cinématographiques.

    C'est l'objectif auquel travaille Aldebaran: en faire un compagnon interactif intéressant et complice. Sa forme humanoïde vous transporte dans un monde d'émotions et d'affection, sa gestuelle lui donne vie et le rend attachant, sa capacité d'interaction fait de lui un nouveau membre de la famille.

    http://www.aldebaran.com/fr/qui-est-nao

     

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  • Boudu!!!

    Espoir pour lutter contre l'infertilité

    FIV : des Français réalisent la 1ère impression en 3D d'un embryon

    Pour la première fois, des chercheurs ont réussi à reconstituer et à imprimer un embryon humain en 3D. Un espoir pour les couples infertiles qui ont recours à la fécondation in vitro.

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    C'est une première mondiale et qui plus est française. Selon Europe1, les chercheurs du CHU de Montpellier ont réussi à reconstituer et à imprimer un embryon humain en 3D. Ce progrès scientifique constitue, à n'en pas douter, une lueur d'espoir pour les couples infertiles qui ont recours à la fécondation in vitro (FIV). Surtout qu'à l'heure actuelle, deux FIV sur trois se soldent encore par un échec.

    La 3D pour mieux voir les éventuelles anomalies de l'embryon

    Pour l'équipe de scientifiques, l’objectif  est ici de faciliter la sélection du " bon embryon " à implanter lors d’une  fécondation in vitro. Au moment d'une FIV, plusieurs embryons sont en effet créés et les médecins doivent ensuite choisir celui ou ceux qui auront le plus de chance de se solder par une grossesse.

    Mais pour faire ce choix, ils ne disposaient jusqu'à présent que de peu d’outils pour repérer les défauts de l’embryon et travaillaient à l’aide d’un microscope. Une histoire qui s'écrit peut-être au passé car cette technique d’impression 3D pourrait bien changer la donne.

    A l’aide de photos et d’un logiciel, les chercheurs ont donc réussi à agrandir et matérialiser un embryon, au stade préimplantatoire, et à en imprimer une réplique exacte en 3D pour mieux l’observer.

    Cette impression 3D qui aurait " la taille d'une pomme ", selon cette radio, permettrait donc d'en découvrir les éventuelles anomales, avant de choisir de procéder ou non à l’implantation.

    Pour l'équipe, cette avancée scientifique permettrait aux médecins " de mieux appréhender la phase implantatoire de la FIV, et ainsi d’améliorer les chances de réussite de l’implantation de l’embryon dans l’utérus. "

     

  • Toto, le robot

    Un robot autostoppeur va traverser le Canada

    Deux professeurs de communication ont conçu ce petit robot qui traversera le pays à partir du 27 juillet. L'idée : expérimenter la réaction humaine face à la robotique.

     

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    HitchBot, c'est le nom de ce robot, grand comme un enfant de six ans et chaussé de bottes rouges, qui partira le 27 juillet pour un périple de plus de 6000 kilomètres d'un bout à l'autre du Canada, depuis Halifax à l'est jusqu'à Victoria à l'ouest. Mais ne pouvant pas se déplacer tout seul, le bon déroulement de son aventure dépend entièrement de la participation des gens qui le croiseront sur leur chemin. Posé sur le bord d'une route le bras et le pouce levé, HitchBot fera de l'autostop afin d'être recueilli par des automobilistes, qui devront le transporter et même le recharger via leur allume-cigare.

    Cette initiative unique doit permettre d'expérimenter la gentillesse et la générosité des gens, ainsi que la manière dont ils réagissent vis-à-vis des robots dans un environnement ouvert. Au centre du questionnement: la confiance que peuvent faire les gens à une technologie encore méconnue. "En temps normal, on se demande si l'on peut faire confiance aux robots… mais ce projet inverse la question: les robots peuvent-ils faire confiance aux êtres humains?", explique Frauke Zeller, un des deux professeurs de communication à l'origine du projet, au Daily Mail.

    Les créateurs de ce robot pas comme les autres espèrent qu'il saura séduire la population canadienne afin d'arriver à destination. Car HitchBot, non content de savoir parler, peut interagir et réagir sur n'importe quel sujet, grâce à sa base de données directement alimentée par Wikipedia. Et au-delà du Canada, le monde entier pourra suivre ses aventures. Equipé d'une caméra embarquée et d'une connexion 3G, il peut poster automatiquement des vidéos sur son site internet et possède même un compte Twitter, spécialement créé pour l'occasion. Un seul souci pour traverser le Canada: HitchBot ne parle pas encore français!