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Opinions - Page 23

  • Ne nous laissons pas faire!

    La dissolution de Génération Identitaire, une agression contre le peuple français

    Dès que nous avons appris la dissolution de Génération Identitaire, nous avons, entre autres réactions, sollicité Jérémie Piano, un des leaders du mouvement, pour recueillir ses premières réactions…

    Si tous ceux qui nous soutiennent manifestent avec nous…

    Riposte Laïque: Vous venez d’annoncer que le gouvernement a lancé la procédure de dissolution de votre mouvement. Quelles sont les échéances, et qu’allez-vous faire?

    Jérémie Piano: Sur les plans juridiques et politiques, nous avons quelques jours pour rendre nos " observations " au gouvernement et pour organiser un rassemblement contre la dissolution de Génération Identitaire. Ces observations ne changeront probablement rien à notre sort. En revanche, le rassemblement de ce samedi pourra faire pression sur le gouvernement, à condition d’être massif et populaire. Pour cela, nous avons besoin de la participation des grandes personnalités politiques de la droite, capables de mobiliser des milliers de Français derrière elles. Marine le Pen, Marion Maréchal, Éric Zemmour et bien d’autres nous soutiennent déjà de manière officielle contre cette dissolution! S’ils joignent l’acte à la parole et marchent à nos côtés lors de ce rassemblement, le Gouvernement se verra alors obligé de revenir sur sa décision.

    Cette dissolution est une atteinte grave au peuple français, qui ne supporte plus l’immigration

    Riposte Laïque: Je présume, qu’à défaut d’être surpris, vous êtes scandalisé, par une telle décision qui ne repose sur rien, au niveau juridique?

    Jérémie Piano: Cette décision est d’abord une grave atteinte à la liberté d’expression, à la liberté d’association et à la démocratie. C’est ensuite une grave atteinte au peuple Français, qui ne supporte plus l’immigration et qui compte notamment sur Génération Identitaire pour le défendre face à la politique multi-culturaliste du gouvernement. Nous ne sommes pas surpris car, terrorisé par nos récents succès et notre popularité grandissante, le gouvernement ne pense plus qu’à une chose depuis des semaines: se débarrasser de Génération Identitaire et, par ce biais, tenter de faire taire les Français contestataires. Cette dissolution est aussi un coup politique destiné à calmer les pressions de la gauche, très critique envers le gouvernement depuis les mesurettes prises à l’encontre des islamistes dans la loi sur le séparatisme. Elle ne repose donc sur rien de juridique, et nos avocats – Gilles-William Goldnadel en tête – feront tout pour annuler cette injuste décision politique dans les mois à venir.

    Ils ne pourront en revanche jamais dissoudre le sens du devoir de nos militants

    Riposte Laïque: Cela signifie-t-il que, si la dissolution était confirmée, vous ne pourriez plus militer?

    Jérémie Piano: Nous ne pourrons alors plus militer collectivement, car une " reconstitution de ligue dissoute " pourrait aller jusqu’à envoyer certains d’entre nous en prison. La question du militantisme devra donc être répondue par chacun de façon individuelle: où suis-je le plus utile à mon pays et à ma cause? Pour ma part, je passerai probablement de l’activisme à une autre forme de militantisme politique, mais je serai toujours là demain, au grand dam du gouvernement. S’ils peuvent dissoudre une structure, ils ne pourront en revanche jamais dissoudre le sens du devoir de nos militants ni leur volonté d’agir pour la France et pour l’Europe.

    La place d’un patriote est d’être à nos côtés, samedi à 14 heures, à Paris

    Riposte Laïque: Que proposez-vous aux patriotes qui souhaitent vous aider?

    Jérémie Piano: La place d’un patriote, d’un identitaire, d’un Français qui a à cœur de se battre pour son identité et pour sa liberté se trouve au rassemblement de ce samedi à 14 h. Je compte sur chacun d’entre vos lecteurs capables de se rendre à cette manifestation de se joindre à nous pour défendre un mouvement qui depuis des années, est en première ligne pour défendre notre pays face à l’immigration-invasion, l’islamisation, le racisme anti-blanc, l’insécurité, notre remplacement. Parlez de cet événement autour de vous, mobilisez-vous, ne laissez pas la dictature s’installer!

    Riposte Laïque: Souhaitez-vous ajouter quelque chose, Jérémie?

    Jérémie Piano: Le lieu exact du rassemblement sera communiqué dans quelques jours, lorsque nous nous serons entendus à ce sujet avec la Préfecture. Restez alertes!

    Propos recueillis par Pierre Cassen

    A cause des violents blacks-blocs, les médias diffuseront leurs fake-news de la violence causée par GI avec délectation…

    Il est fort à craindre que, lors de la manifestation pour la non-dissolution de Génération Identitaire, des blacks-blocs viennent semer le trouble et faire passer "Génération Identitaire" pour des violents, alors que ceux-ci ont toujours agi d’une façon “pacifique”.

    Eric Zemmour a dit -à juste titre- qu'il faut, à tant que faire, dissoudre les associations d'anciens combattants car ces gens ont protégé nos frontières!

  • Propriétaires ou locataire: attention!

    Des jeunes -qui ont crié dans la rue devant la maison de Roland- se sont fait agresser de façon violente par la gauchiasse! en bas de l'article, quelques conseils pour vous défendre si l'on a squatté votre maison... c'est ce que je ferais si l'on m'"expulsait" de mon logement... à vous d'en trouver d'autres! sinon, puisque la loi est pour les pauvres, contre les "riches proprios", payez un pauvre pour qu'il le fasse à votre place: il risquera moins que vous!

    Et oui, même locataires, c'est déjà arrivé!

    En France, les squatteurs ont plus de droits que les propriétaires

    Propriété privée by belpo (CC BY-NC 2.0) — belpo, CC-BY

    Comment un citoyen peut-il investir ses économies dans l’immobilier si la loi ne lui permet pas de préserver son bien contre la spoliation, les dégradations et la voyoucratie?

    La négation de la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen

    L’article 17 de la DDHC et les articles 544 & 545 du Code civil sont désormais allègrement ignorés, contournés, bafoués. Les récentes et de plus en plus fréquentes accaparations de logements par des squatteurs, en sont l’illustration la plus spectaculaire.

    Ce phénomène qui n’est pas récent, n’a pas été pris au sérieux par les gouvernements précédents. Malgré une médiatisation importante, l’aggravation actuelle n’incite pas le gouvernement, pas plus que les élus, à réagir pour régler ce problème grave. Ils se réfugient derrière la notion très magnanime de droit au logement pour trouver prétexte à ne pas expulser des individus qui volent impunément le bien d’autrui.

    Ce bien dont les propriétaires acquittent au trésor public des taxes foncières, des droits de cession ou de mutation permet d’abonder le grand tonneau sans fond permettant de payer des allocations de soutien social aux spoliateurs de logements.

    Ces squatteurs très bien renseignés par le site Internet "Guide juridique de l’occupant sans titre" s’organisent pour profiter gratuitement et pratiquement sans risque d’un logement et de son contenu, (un meublé gratuit !) pour une durée variable.

    En effet, si la loi prévoit un an d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende pour occupation illégale du bien d’autrui, cette sanction est très rarement appliquée car les prisons sont encombrées et les allocations perçues par les squatteurs sont insaisissables.

    Et quand la force publique est enfin requise après des mois de procédure, celle-ci est réticente à exécuter l’expulsion qui doit être suivie d’un relogement. Le "bon" squatteur préférera squatter un autre logement plutôt que devoir payer un loyer !

    Vers une "soviétisation" de la propriété?

    La loi du 3 janvier 1992 déclare que l’eau fait partie du bien commun de la nation. Cependant, l’article 641 du Code civil dispose que tout propriétaire dispose des eaux pluviales qui tombent sur son fonds, ainsi que des eaux de sources qui y sont nées.  Cet article du Code civil, modifié par une ordonnance du 18 septembre 2019 devrait s’imposer comme plus récent que la loi de 1992.

    Il n’empêche qu’un propriétaire qui veut créer une réserve collinaire sur ses terres pour collecter les eaux de ruissellement hivernales, régulant l’excédent qui provoque des crues dévastatrices, ne peut le faire sans "l’agrément" des services administratifs, eux-mêmes soumis à l’agrément des associations environnementalistes.

    Ainsi, l’opinion qui approuve sans réserve la collecte et la mise en réserve de l’eau qui tombe sur les toitures, s’offusque et s’oppose le plus souvent contre le stockage de celle qui tombe sur les champs.

    Ainsi, au prétexte que l’eau appartient à tout le monde, on préfère laisser partir à la mer une eau de pluie si précieuse qui pourrait, par l’irrigation, lutter contre les dégâts des sécheresses estivales, permettant de réguler les récoltes en quantité et en qualité pour le bien commun.

    L’eau, bien commun, ne doit plus être utilisée comme propriété individuelle, même si la finalité est le bénéfice commun!

    Les prospectives des conseils gouvernementaux vont plus loin

    Mais la réflexion pour collectiviser les biens privés n’a pas de limites. Si l’air est depuis longtemps considéré comme un bien commun, les limites de propriété étant difficiles à définir, et étroitement surveillées pour des questions de salubrité publique, il est aussi prétexte à taxation (CO2) et restrictions (vignette Crit’Air) qui sont autant d’atteintes à la libre disposition des biens privés.

    Les besoins budgétaires incitent les têtes pensantes des gouvernements à réfléchir sur de nouvelles mesures pour éponger la dette abyssale de la nation. Ainsi France Stratégie, think tank ayant succédé au commissariat au plan récemment régénéré par la nomination de François Bayrou, proposait en 2017 de:

    Rééquilibrer comptablement le bilan patrimonial de l’État, par la voie d’un transfert d’actifs depuis le bilan des agents économiques privés résidents […] L’État décrète qu’il devient copropriétaire de tous les terrains construits résidentiels, à hauteur d’une fraction fixée de leur valeur, et que ce nouveau droit de propriété est désormais incessible.

    Non seulement cette proposition envisage de spolier les propriétaires d’une partie du terrain qui supporte leurs constructions, mais elle ne propose aucune indemnité, en infraction totale avec l’article 545 du Code civil. Plus encore, elle envisage l’obligation du paiement d’un loyer annuel sur la partie du sol accaparée par l’État.

    Le propriétaire, qui s’acquitte déjà des taxes et impôts qui normalement donnent obligation à l’État d’apporter ses protection et garantie, devient locataire et les loyers impayés éventuels seront retenus lors de la future cession de l’immeuble.

    À l’issue d’un colloque organisé à l’Assemblée nationale le 27 novembre 2019 par les députés Dominique Potier, Jean-Michel Clément et Jean-Bernard Sempastous, un appel pour une nouvelle loi foncière a été signé par 17 organisations (collectivités territoriales, syndicats agricoles, ONG…). Parmi les neuf mesures proposées, figure en premier plan :

    Inscrire dans la loi le principe selon lequel le sol, comme les autres ressources naturelles, est un "élément du patrimoine commun de la Nation“.

    Cela aura-t-il comme conséquence la dépossession de leurs terres pour les propriétaires ruraux? Les bailleurs ruraux seront ils privés de leurs fermages? Les citadins pourront-ils accéder en tout temps et en tout lieu dans les champs agricoles, comme les seigneurs du Moyen Âge, pour des randonnées de loisirs sans avoir à répondre des dégâts aux récoltes?

    Une nationalisation masquée?

    L’État-providence se trouve confronté à une impossibilité mathématique. La production nationale ne suffit plus à équilibrer la masse monétaire qu’il distribue pour soutenir l’économie et aider les plus démunis à survivre. S’il continue à distribuer de l’argent qu’il n’a plus, il risque le défaut de remboursement de ses dettes; s’il cesse de soutenir l’économie et les citoyens, ce sera le chaos, puis la guerre civile.

    Comme il ne peut pas augmenter les impôts pour alimenter ses dépenses, pour rassurer ses créanciers il rééquilibre son bilan. Il regonfle son actif en s’accaparant les actifs de ses citoyens. Les actifs immobiliers ne pouvant se délocaliser sont les premiers visés. Il réalise ainsi un objectif progressiste d’égalité. Pourquoi des citoyens seraient-ils propriétaires et profiteraient d’une rente de situation

    Ce rééquilibrage ne tiendra qu’un temps: quand une société distribue plus qu’elle ne produit, la finalité est inéluctablement dans un premier temps l’appauvrissement, puis la faillite. Ainsi, les solutions envisagées vont dilapider en peu de temps des richesses ayant mis des générations à se construire. Un bien est -généralement- mieux entretenu par celui qui a peiné pour le construire ou l’acquérir que par celui qui l’utilise.

    Comme les solutions proposées ne règlent pas le problème de la production nationale et le déséquilibre de la balance commerciale, et que ce rééquilibrage de bilan ne sera que d’effet temporaire, quelles seront les prochaines propositions? Confisquer l’épargne des citoyens-fourmis pour la distribuer aux citoyens-cigales? Cela est déjà prévu par la loi Sapin 2…

    Il est temps de rétablir l’ordre et le respect d’autrui et de son bien

    L’Homme est ainsi fait qu’il préfère la carotte au bâton. Le citoyen qui peine chaque jour à produire de la richesse consent à partager le fruit de son travail par le biais de l’impôt. C’est ainsi que la société a progressé en confort, en justice sociale. Grâce à la démocratie, l’État se doit de garantir l’équité, la sécurité et la pérennité de la paix sociale.

    Mais on ne peut que constater chaque jour un peu plus la dégradation de ces critères. J’avais dénoncé dans un précédent billet la position ambiguë de l’État face aux dégradations et à son laxisme dans le maintien de l’ordre public.

    Comment un citoyen peut-il investir ses économies dans l’immobilier si la loi ne lui permet pas de préserver son bien contre la spoliation, les dégradations et la voyoucratie?

    Comment un paysan peut-il continuer à produire de la nourriture quand des individus s’attaquent à ses animaux, sabotent ses installations d’irrigation?

    Comment un commerçant peut-il exister quand à chaque manifestation son magasin est pillé, vandalisé, incendié?

    Comment le salarié peut-il continuer à se lever chaque matin pour aller travailler et payer par ses impôts les allocations sociales du voyou qui a brûlé sa voiture?

    La loi a imposé le soutien aux citoyens défavorisés, malchanceux, et c’est heureux. La majorité d’entre eux ont assez de sens civique pour respecter la loi et ses concitoyens. Mais la jurisprudence a supprimé tous les moyens de coercition efficace pour dissuader ceux d’entre eux qui se livrent à des actes inacceptables et destructeurs.

    On ne met plus en prison les délinquants même récidivistes, on laisse en liberté surveillée des individus dangereux qui peuvent égorger malgré le bracelet électronique, on ne peut pas diminuer ou supprimer les allocations ou subsides sociaux aux agresseurs, pilleurs de magasins ou brûleurs de voitures…

    Bref, si on est bénéficiaire de minimas sociaux, si on a peu ou rien, on peut voler, détruire, agresser… la punition est hypothétique! Si on n’a rien, on a tous les droits!

    Et malheur à celui qui, attaqué, a l’audace de se défendre… S’il prend le dessus, blesse ou tue son agresseur, tout sera fait pour lui retirer le bénéfice de la légitime défense et s’il a du bien, on le fera payer !

    Armand Paquereau

    papyrural.blog4ever....

     

    Si, on peut se défendre: par exemple, hurler devant la maison de l'avocat gauchiasse qui protège les squatteurs1 pour lui faire mauvaise image de marque devant ses voisins. Hurler plusieurs fois par jour, pas plus de 5 mn avant que la police n'intervienne et vous colle une contredanse et prendre soin d'hurler pas les mêmes jours et pas la même heure.

    Déjà, ces avocats de la gauchiasse seront plus modérés à défendre les squatteurs. D'ailleurs, vous pouvez faire la même chose devant votre propriété ou appartement squatté!

    1- on trouve des papiers à coller sur les vitres que le site en question vous indique de télécharger: il y a toujours le nom de l'avocat et son numéro de téléphone.

  • La vérité sur le squat de la maison de Roland

    Squat Toulouse : les classes populaires ont viré la racaille gauchiste

    Tout d’abord, on ne va pas cacher notre joie d’avoir vu la maison de Roland libérée et le droit de propriété rétabli. Toutefois, au-delà du concert de réjouissances, certains éléments de cette affaire doivent être décryptés car ils révèlent une nouvelle fois le jeu pervers des instances de pouvoir et de l’ultra-gauche.

    Par ailleurs, et c’est là le plus important, la réaction spontanée des supporters de Roland et leur victoire révèlent que l’idéologie gauchiste ne viendra jamais à bout de ce qu’il y a de plus profond dans la nature humaine; en particulier l’idéal d’accession à la propriété et le droit à la propriété privée.

    Enfin, le précédent est créé. Privés de la protection policière, les nervis de gauche ont été obligés de décamper face à la rébellion des couches populaires. C’est une digue de protection des élites qui vient de sauter, les nervis de gauche ne terrifient plus personne. Désormais, antifas et autres casseurs  vont devoir y regarder à deux fois avant de chercher à soumettre les classes populaires.

    Le squat vecteur de déconstruction du droit de propriété. Depuis les années 60, nos adversaires procèdent méthodiquement à la déconstruction, élément par élément, de tous les murs porteurs de notre civilisation. Tout y passe, et donc avec le reste, le droit de propriété. Cela se fait sur le long terme, pour aboutir à l’objectif final des mondialistes qui est l’abolition du droit de propriété. Dans ce sens, les pouvoirs publics successifs et les juges alliés à l’ultra-gauche ont institué un droit au squat et à l’appropriation du bien d’autrui.

    Il existe même un site dédié au squat et un manuel du parfait squatter édité par l’ultra-gauche; tout cela en parfaite transparence.

    La ville de Toulouse en pointe depuis 25 ans. Depuis l’occupation des locaux de l’usine Myrys en 1995, celle ensuite du Grand Hôtel et Tivolier propriété de la préfecture de 2001 à 2005 et le relogement du collectif Mix’art Myrys sur une vaste friche industrielle aux Ponts Jumeaux, Toulouse a été, avec la complicité des pouvoirs publics, un lieu d’expansion et d’expérimentation de la doctrine du squat comme moyen de déconstruction du droit de propriété. 

    http://mixart-myrys.org/presentation/historique/

    Jean-Luc Moudenc transige depuis toujours avec l’ultra-gauche pour acheter la paix sociale. C’est ainsi que la ville est piquetée de locaux associatifs que la municipalité a concédés à l’ultra-gauche après une période d’occupation illicite. J’avais déjà commenté le fait et dénoncé la duplicité de Jean-Luc Moudenc dans ces affaires.

    https://ripostelaique.com/toulouse-moudenc-protege-les-islamo-gauchistes.html

    Le squat progresse en tâche d’huile à partir des lieux d’implantation des collectifs d’ultra- gauche. Au vu des images de l’évacuation d’hier soir, les crétins crasseux qu’on a vus filer sous la protection de la police étaient manifestement venus en voisin depuis Mix’art Myrys. Ils y sont immédiatement retournés en attente de prochaines récidives. Car soyons-en certains, ils n’en resteront pas là. Le squat se propage à partir des lieux déjà squattés et ensuite concédés à l’ultra-gauche par la municipalité. C’est un processus bien rôdé qu’aucune volonté politique n’envisage d’arrêter, bien au contraire.

    Jean-Luc Moudenc traite aussi avec les musulmans pour acheter la paix sociale. C’est ainsi que la construction de la mosquée d’Empalot a fait l’objet d’une manipulation immobilière douteuse générant une plus value de 840 000 € pour la communauté musulmane, à laquelle il faut ajouter la cession à vil prix de son terrain d’assise par la ville de Toulouse. Hamdoulilah.

    https://liguedumidi.com/enclave-algerienne-a-toulouse-grace-a-jean-luc-moudenc/

    Par son usage abusif du droit de l’urbanisme, Jean-Luc Moudenc crée les conditions du squat et de la ruine de certains propriétaires. Il y a ainsi de très nombreux précédents où des propriétaires ont été spoliés. Dans l’affaire de Roland, c’est encore une fois le même scénario qui se répète. Le propriétaire, souvent sans grands moyens de défense, soit parce qu’il est une personne physique de condition modeste ou fragile, soit parce qu’il s’agit d’une institution sur laquelle les pouvoirs publics peuvent mettre la pression (exemple, l’évêché dans l’affaire du squat de la Chapelle…) se retrouve spolié par une décision d’urbanisme abusive et manifestement délibérée.

    C’est typiquement le cas de la maison de Roland, vraiment sans aucun intérêt architectural, coincée en dent creuse entre d’autres unités foncières, en retrait par rapport à l’alignement sur la voirie, sans cœur d’îlot à préserver à l’arrière et située dans un tissu faubourien en cours de requalification et de réhabilitation urbaines. Franchement, malgré les fausses raisons invoquées par la mairie, la maison de Roland ne justifie en aucun cas d’être préservée. D’ailleurs, dans le voisinage, il y en a déjà eu de nombreuses rasées pour édifier des immeubles neufs et redonner à cette avenue un semblant de cohérence urbanistique. C’est très simple, soit cette maison justifiait d’être préservée et alors il fallait l’identifier comme telle au PLU et détourer son terrain d’assise, soit son terrain d’assise est classé constructible au PLU et dans ce cas, cela veut dire qu’elle ne présente aucun intérêt ; sans possibilité d’invoquer de manière arbitraire le sursis à statuer pour refuser un permis de construire.

    Nous sommes manifestement là face un usage abusif, arbitraire et scandaleux du droit de l’urbanisme. Aujourd’hui, toute la ville de Toulouse est cartographiée, chaque parcelle est identifiée, toutes les maisons ont été repérées et identifiées. Il est donc tout à fait possible de mettre fin à l’arbitraire et de clairement définir au PLU celles qui doivent être conservées et celles qui peuvent être rasées. Si le statu quo est maintenu, ce n’est que parce que les élus souhaitent conserver une latitude et la possibilité de faire jouer l’arbitraire et donc l’injustice. Alors pourquoi et pour quelles mauvaises raisons?

    Qu’est ce qui anime les pouvoirs publics pour un tel usage abusif? Connerie ambiante? Démagogie par rapport à certains comités de quartier qui ne représentent personne mais s’arrogent le droit de bloquer toutes les opérations? Délires d’instructeurs ou de chefs de services à l’urbanisme qui n’ont jamais rien dessiné ni construit de leur vie? Délires de ratés de l’architecture marqués par l’idéologie qui ne peuvent exister que par leur pouvoir d’entrave? Corruption de certains? Cela s’est déjà vu.

    Sentiment de toute-puissance qui grise les élus? Interstices laissés en attente permettant toutes les magouilles? Sans doute un peu de tout cela. Toujours est-il que les pouvoirs publics ne font rien pour assainir cette situation génératrice d’injustices et de conflits d’intérêts, donc cela crée un climat détestable.

    Roland spolié par Jean-Luc Moudenc. Alors pourquoi un refus de permis de construire qui stérilise l’affaire et empêche Roland de réaliser son bien aux meilleures conditions avec un promoteur? Pourquoi avoir invoqué un faux prétexte pour refuser le permis de construire puisque la maison de Roland n’est même pas une vraie Toulousaine à préserver? Ou alors, si c’en est une, toutes les maisons individuelles de Toulouse sont des Toulousaines et il faut toutes les protéger. Quelles mauvaises raisons, quelles combinaisons se cachent derrière cette décision totalement arbitraire?

    Tous les doutes sont permis et avec eux toutes les suspicions.

    Comment les squatters ont-ils eu connaissance du dossier de Roland? On pourra toujours dire qu’ils rôdaillent en permanence dans la ville, qu’ils observent les allées et venues des uns et des autres à la recherche d’opportunités. En tout cas, là, ils n’auront pas pu voir de permis de construire affiché puisqu’il n’y en a pas eu… Personnellement, je pense plutôt qu’ils ont des relais au sein même des services d’urbanisme où nidifient de nombreux parasites gauchistes qui leur signalent les bons coups. Car ce n’est pas n’importe quelle maison vide qui a été occupée. Celle de Roland avait été promise à un promoteur et le permis de construire refusé; arguments justifiant la lutte contre les bétonneurs et donc le squat. On voit donc très bien pourquoi la maison vide de Roland a été choisie par idéologie plutôt qu’une autre et comment elle justifiait le squat par un habillage fallacieux.

    Des salopards qui accusent Roland d’avoir instrumentalisé son cas. La mauvaise foi de ces hyènes est sans limite. Dans un de leurs communiqués, ils se sont autorisés à accuser Roland d’instrumentaliser son cas et d’avoir créé les conditions d’une soi-disant violence contre eux. Bande de salauds, venir à une trentaine cagoulés pour lui piquer sa baraque, le conchier sur les réseaux sociaux ; et en plus ils osent se présenter comme les défenseurs des opprimés. Vous êtes vraiment des sous-merdes, des couilles molles parties comme des lopes, de peur de prendre la branlée où vous n’auriez eu aucun scrupule à vous mettre à plusieurs contre un adversaire isolé, comme vous l’avez si souvent fait.

    Voici ce qu’on lit sur leur site :

    ‘’La Dépêche et Roland le proprio ont choisi d’instrumentaliser la situation de cette maison peu de temps après l’annonce du prolongement de deux mois de la trève hivernale, créant un mouvement de défense de la propriété privée et un déferlement de haine et de violence. Depuis dimanche, une cohorte de harceleur.euse.s, mélant les protagonistes habituel.les que sont les keufs, les fachos et les médias auxquel.les se rajoutent des “citoyen.nes vigilant.es”, menacent, tabassent et tentent d’expulser les habitant.es.’’

    Une saine réaction du voisinage. Il faut ici préciser la sociologie du quartier. Il s’agit d’un tissu faubourien ancien au-delà des barrières ; en l’occurrence celle de Paris. Quartier traditionnellement populaire mélangeant classe moyenne de souche en cours de paupérisation, populations immigrées de deuxième et troisième générations et récemment immigrées d’Afrique de l’Est, du Moyen-Orient et d’Asie Centrale. Le quartier est clairement en voie de submersion migratoire, dans le cadre plus vaste du Scot qui  prévoit l’implantation de  300 000 (trois-cent-mille) nouveaux venus d’ici 2030.

    Proche des Isards et de Borderouge, le quartier comporte de très nombreux logements locatifs de construction récente. Disons que c’est traditionnellement un quartier pauvre, un quartier de la mixité invasive que les Blancs, qui en ont les moyens, sont progressivement en train de fuir. C’est donc à partir de ces populations mixées, souvent précaires que s’est déclenché un mouvement spontané de soutien à Roland et, en fait, de défense de la propriété privée.

    Un fait saillant, un rayon de lumière qui doit être remarqué. Il s’agit d’une très bonne nouvelle, les catégories les plus pauvres n’adhèrent pas à l’idéologie gauchiste d’abolition de la propriété privée ; ni à aucune idéologie gauchiste d’ailleurs. Au contraire, cette histoire le démontre, l’accession à la propriété, même si elle est hors de portée de la plupart de ces catégories, reste un idéal et un élément important de la construction personnelle et de l’insertion sociale.

    Oui, la propriété privée est un droit sacré de la personne humaine, un idéal pour toutes les catégories sociales. C’est ce qu’ont affirmé haut et fort les supporters de Roland dont la plupart ne sont probablement pas propriétaires, et probablement sans espoir de jamais le devenir.  Sacrée déconvenue pour les gauchistes promoteurs de l’abolition du droit de propriété. C’est l’un des rayons de lumière de cette affaire.

    Quand les catégories populaires se rebellent contre les nervis gauchistes, le préfet est obligé de les lâcher. À Toulouse, comme dans toutes les métropoles de France, ce sont les antifas et les nervis de gauche qui se sont alliés au pouvoir pour éteindre la poussée révolutionnaire venue de la France périphérique lors du soulèvement des Gilets jaunes.

    L’éviction d’hier peut être considérée comme un précédent et comme un raté majeur dans le jeu de rôle que jouent les pouvoirs publics et les agitateurs d’ultra-gauche contre les catégories populaires.

    À Toulouse, le peuple excédé s’est invité dans la partie et il a mis en échec cette alliance perverse. Sous la pression, le préfet qui avait refusé l’éviction accordée par le juge et accordé le maintien jusqu’à la fin de la période hivernale reportée au 1er juin, a finalement dû laisser filer et envoyer sa police protéger les gauchistes de la vindicte des supporters de Roland.

    Le précédent fera sûrement date et les élus de tous bords feraient bien de faire très attention. Il se pourrait bien que désormais les gens ne se laissent plus duper et qu’ils se dressent contre les gauchistes instrumentalisés par les élites. Cette digue derrière laquelle ils se protégeaient vient de céder, et c’est tant mieux

    Jamais l’idéologie gauchiste ne viendra à bout de ce qu’il y a de plus profond dans l’âme humaine. 

    Jamais l’idéologie gauchiste n’aura le dernier mot.

    À Toulouse hier soir, face aux couches populaires, antifas, zadistes, squatters et nervis de gauche sont partis la queue entre les jambes sous protection policière.

    SOURCE:

  • France indigne et dégueu  …

    Stéphanie Bataille, fille du comédien Étienne Draber, décédé début janvier, entré à l’hôpital pour un problème cardiaque, et finalement victime de la Covid-19… et de tous les odieux et inacceptables interdits sortis du cerveau des malades qui nous gouvernent, planquant leur incompétence à gérer une crise qu’ils auraient dû laisser aux vrais médecins… à moins que ce soit seulement leur obéissance aux cyniques mondialistes, souhaitant éradiquer tous les humains en surplus, qui les gêne dans leur plan de Nouvel Ordre Mondial !

    L’acteur, âgé de 81 ans, se retrouve isolé dans une unité Covid avec pour interdiction de voir sa famille. Son état se dégrade malgré une amélioration passagère. “Je dis que j’aimerais le voir”, raconte Stéphanie Bataille. “On me répond: "Ah non, vous ne le verrez qu’au dernier moment. "Déjà, ça, c’est très dur à entendre…”

    Une situation intolérable pour la comédienne, qui s’en prend au patron de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP): “Quand M. Martin Hirsch ose me dire que j’aurais pu voir mon père, non ce n’est pas vrai. On n’a pas le droit d’entrer en unité Covid. Et mon père me/nous réclamait. Il nous disait à travers l’écran, “Sortez-moi de là, je vais crever.” Il sentait qu’il partait, car il avait ce manque de nous, et nous, on avait ce manque de lui.”

    Écoutez la totalité de son témoignage sur la vidéo du lien ci-après.

    Source:

     

    Ainsi Sylvie A. profondément meurtrie, témoignant des conditions inhumaines dans lesquelles son père est mort en novembre dernier à Marseille.

    Mon dernier souvenir, c’est un baiser qu’il a fait de sa main avant que la porte de l’ambulance se referme.

    Mon père est mort seul, sans qu’on puisse le visiter, le soutenir, et je l’ai vu juste quelques minutes une fois décédé. On m’a appelée, le médecin m’a dit qu’il était désolé mais que cela avait été très vite, il n’avait pas eu le temps de me prévenir. On m’a dit d’apporter des vêtements, je l’ai aperçu sur son lit de mort quelques instants. Finalement, ils m’ont dit qu’ils n’avaient pas besoin des habits. Je suis redescendue, dans un état second, les déposer dans ma voiture. Quand je suis revenue, mon père avait été mis dans une housse, avec les vêtements qu’il avait en arrivant à l’hôpital pliés sur la housse. Ils ne l’avaient pas habillé.

    Il est resté quinze jours au dépositoire ou dans les camions frigorifiques qui étaient à l’extérieur (par manque de place,) et j’ai dû payer 45 € par jour (les trois premiers jours sont offerts).

    Voilà l’état de nos hôpitaux publics : plus d’humanité, de l’argent récupéré sur la souffrance des familles.

    Source:

     

    Quand on pense aux milliards déversés sur l’Afrique (principal souci de Macron, avant nos malades et nos vieux !), ainsi qu’à toutes les aides versées tant aux fainéants français (souvent d’adoption) qu’aux envahisseurs illégaux, jamais contents et osant réclamer toujours plus… il y a de quoi se taper la tête contre les murs, mais surtout de difficilement contenir les envies de meurtres qui ne peuvent manquer de nous assaillir devant tant d’injustices… émanant de tous ces donneurs de leçons à la terre entière, pourtant la pire vermine, les pires assassins !

    Le plus indigne étant que malgré tout le cinéma que toutes ces ordures font dans les médias, ils persistent à fermer, encore et encore, des lits d’hôpitaux qui manquaient déjà cruellement avant leur prétendue pandémie… en réalité, prétexte à accélérer la mort des vieux gêneurs, en les euthanasiant de toutes les façons possibles !

    Source:

     

     

    Âgé de 88 ans, Roland comptait vendre sa maison pour rejoindre son épouse dans un Ehpad. En attendant, il louait depuis deux ans un appartement qui le rapprochait de celle qu’il souhaite rejoindre. L’heure venue de passer à l’action et de mettre en vente le pavillon dans lequel il a passé sa vie entière… Trop tard ! Des marginaux ont forcé les portes et changé les serrures. Passées 48 heures, ils sont inexpulsables.

    Outre ce problème de froidure qui risque de les enrhumer, les squatteurs doivent avoir le temps de saccager toutes les pièces du pavillon. Les membres du tribunal d’instance à l’origine de la décision savent que les travaux ne peuvent être effectués en quelques jours. Cuisine, salle de bains, salon, chambres. Compter deux bons mois. Roland doit enfin comprendre qu’il n’est qu’un odieux propriétaire recroquevillé sur son patrimoine.

    Source:

  • Etre islamo-collabo ne protège de rien: preuve

    Paris : Claire Chazal cambriolée samedi après-midi

    LePanacheFrançais

    C’est vers 18 heures qu’elle a donné l’alerte. La journaliste de télévision a quitté son domicile vers 16 heures. A son retour, elle a découvert que la porte d’entrée de son appartement avait été fracturée.

    « Son logement a été entièrement fouillé, précise une source proche de l’affaire. 800 euros et son coffret à bijoux ont été dérobés. Elle estime son préjudice à 41 000 euros ». […]

    Actu17

     

    François Hollande cambriolé, mandat de dépôt requis contre cet Algérien arrêté en trois jours, il sera expulsé à l’issue de sa peine

    […] Bien que la victime n’ait pas encore porté plainte, ordre est donné aux policiers de terrain de faire intervenir illico leurs experts techniques et scientifiques pour des prélèvements sur le lieu du délit. […] Le 28 janvier, les traces palmaires matchent et permettent d’identifier le suspect : un jeune homme de 19 ans, né … Lire la suite de

     

    Bordeaux : deux migrants condamnés à 4 mois ferme pour avoir cambriolé le domicile de Noël Mamère

    Ils s’étaient fait épingler en sortant de la maison, les poches pleines d’objets volés, le 3 décembre dernier. Deux jeunes étrangers sans-papiers ont été condamnés mardi à quatre mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Bordeaux, pour avoir cambriolé le domicile de Noël Mamère, l’ancien maire EELV de Bègles, rapporte Sud Ouest. A la barre, les deux jeunes déjà … Lire la suite de

     

    Cambriolage chez Philippe Val : deux rolex et un pistolet 7.65 dérobés

    L’appartement du journaliste et ancien patron de Charlie Hebdo, Philippe Val, a été cambriolé hier. Vers 21h30, il se rend compte que son domicile du XIIIe arrondissement de Paris a été visité. Le ou les voleurs ont forcé la fenêtre de la cuisine, rapporte Le Parisien . Les malfaiteurs sont partis avec un joli butin: … Lire la suite de

     

    Laurent Fabius cambriolé

    Le domicile du président du Conseil constitutionnel a été visité par des malfrats. Quatre mois après celui de son fils Thomas… Le Point

    Fdesouche

     

    Oissel (76). Un ancien sénateur PCF ligoté avec sa famille par des cambrioleurs

    Trois cambrioleurs cagoulés ont fait irruption dans la nuit de dimanche à lundi chez un élu d’Oissel. Il a été frappé puis ligoté avec sa femme et sa fille et se sont fait voler 8.000 €. Cagoulés, trois « individus se sont introduits dans la maison vers 1 heure du matin. Ils sont tombés nez … Lire la suite de

     

    Trocadéro (Paris) : action du collectif féministe Némésis contre le «World Hijab Day» La présidente interpellée par la police (MàJ)

    Jeanne

     

    Demain aura lieu le #WorldHijabDay , qui existe depuis 2013 dans 140 pays et qui s'est implanté en France avec la complicité de @sciencespo . Arme idéologique visant à banaliser le voile, c'est une véritable insulte pour les femmes qui sont obligées de le porter. pic.twitter.com/l8U1FP1kIF

    — Collectif Némésis (@NemesisNemesi18) January 31, 2021

    Le collectif @NemesisNemesi18 mène une action #nohijabday et l'islamisation au Trocadéro Alice, présidente du groupe, est interpellée par la police. #hijabday pic.twitter.com/zrbZKQfs6n

    — Valeurs actuelles ن (@Valeurs) January 31, 2021

    Notre présidente Alice a été interpellée par la police. Notre crime ? 40 femmes réunies pour dénoncer l'islamisation de la France à travers une action pacifique.
    Alors que @sciencespo qui en fait la promotion n'avait pas eu ce problème…#nohijabday #nemesis #Feminism https://t.co/u2a8iXUJpp

    — Collectif Némésis (@NemesisNemesi18) January 31, 2021

     

    «#NoHijabDay»

  • Scandaleux!

    LREM planque les cadavres dans les placards!

    Mise en place le 17 mars 2020 par la Conférence des présidents du parlement à l’initiative du président LREM de l’Assemblée nationale, le très “casseroleux“ Richard Ferrand, la "Mission d’information sur l’impact, la gestion et les conséquences dans toutes ses dimensions de l’épidémie de coronavirus-Covid-19" vient d’être dissoute ce mercredi 27 janvier par le même Ferrand.

    La macronie s’est méfiée de cette mission dès sa mise en place. En période de crise, en effet, moins le bon peuple connaît la vérité et mieux le pouvoir se porte.

    "Le gouvernement pense que, vu l’état de méfiance dans l’opinion, il faut saisir toutes les occasions d’explications pour dissiper les malentendus. Ce n’est pas le moment, mais la situation est comme cela" se désolait ainsi Jean-Michel Apathie, l’un des très nombreux porte-paroles officieux du gouvernement sur les médias du régime.

    Cette "Mission" a déjà entendu quelque 75 personnalités (politiques, médecins, chercheurs…) et rendu publics deux rapports, le premier en juin 2020  et le second en décembre.

    Ces rapports dénonçaient les failles béantes de l’action gouvernementale dans la gestion de la crise sanitaire. Le deuxième avait provoqué une abstention de la majorité, les élus LREM et MoDem critiquant un "rapport partiel et partial", un "réquisitoire", une "instrumentalisation politique" de la part de l’opposition. Ambiance…

    La Mission s’apprêtait à rendre public un troisième rapport, encore plus dévastateur pour le pouvoir macronien.

    Compte tenu de l’opposition croissante que rencontre son action dans la population française (les prochaines présidentielles ne sont que dans un peu plus d’un an, et un sondage récent annonce Macron et Marine Le Pen au coude à coude au second tour), voire des risques de véritables émeutes, le pouvoir a jugé plus prudent d’écarter le déballage médiatique de son incurie.

    L’opinion publique française tend désormais une oreille attentive vers les sources d’information alternative. C’est ainsi que la première intervention sur TVLibertés, en juillet 2020, d’Alexandra Henrion-Caude :

     

    https://www.tvlibertes.com

    Une généticienne aux avis très hétérodoxes sur la Covid et la gestion de sa crise par les autorités de la République, a dépassé les deux millions de vues.

    Quant à la seconde prestation de la généticienne sur le même média, le 16 janvier dernier :

    https://odysee.com/@labibliothequealternative:4/Acte-II-Covid-vaccin-la-ge%CC%81ne%CC%81ticienne-Alexandra-Henrion-Caude-nous-dit-tout:f

    Elle a carrément été censurée par YouTube :

    https://twitter.com/tvlofficiel/status/1351236513376382983

    Sans doute à la plus grande joie du pouvoir macronien.

    On se souvient qu’en septembre dernier, l’intervention du professeur Raoult devant les sénateurs membres de cette mission avait été un grand moment de vérité :

    https://www.youtube.com/watch?v=YSMdF7hI-L0

    Une prestation-coup de poing que le pouvoir veut évidemment éviter à l’avenir.

    Pour Damien Abad, président du groupe LR à l’assemblée, la dissolution de cette Mission constitue un "naufrage démocratique totalement surréaliste (…) irrespectueux des droits du Parlement".

    Eric Ciotti, membre LR de la Mission, dénonce pour sa part "un coup de force institutionnel et une dérive solitaire dans la gestion de la crise".

    Du côté du Modem et d’Agir, groupuscules-croupions alliés de LREM au sein de la majorité présidentielle, ça grince un peu. Non sur le fond, mais sur la méthode.

    C’est ainsi que pour Agnès Firmin Le Bodo d’Agir: " Je comprends les arguments du président [Ferrand]: une mission, ça a un début et une fin. À partir du moment où un rapport a été rendu, je peux entendre que la Mission soit arrêtée. Ce qui me gêne, c’est que rien ne la remplace. J’aurais voulu que le président s’engage à cela".

    Gloubi-boulga plus centro-centriste, tu meurs.

    Les groupes LR et PS à l’Assemblée viennent d’annoncer leur intention de demander à Richard Ferrand de revenir sur sa décision de dissolution de cette Mission. On peut toujours rêver.

    Le Sénat, où l’opposition dispose en revanche de la majorité, vient pour sa part de créer une nouvelle "Mission d’information destinée à évaluer les effets des mesures prises ou envisagées en matière de confinement ou de restrictions d’activités".

    Nos gentils sénateurs vont "évaluer", alors qu’il serait peut-être temps d’agir…

    Henri Dubost

    Source: