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Opinions - Page 21

  • C'est tropohirrble!

    Selon Libération, ça y est, la droite et l’extrême droite est partout alors qu’en réalité, l’ultra-gauchisme règne incontestablement.

    Immense surprise dans le Landernau informationnel et le microcosme journalistique des journalistes professionnels du journalisme de journal: il semblerait qu’une chaîne de télévision offre une part non négligeable de ses plateaux politiques à l’extrême droite. C’est donc l’horreur. Pensez donc: les cris de toute la classe jacassante sont quasiment couverts par les bruits de bottes!

    L’enquête de Libération ne laisse aucun doute. Les petits graphiques illustratifs de la rédaction du journal fondé par Sartre et positionné à l’extrême gauche ne permettent aucune interprétation à cette abominable vérité vraie: CNews (car c’est d’elle qu’il s’agit) se vautre dans la facilité d’inviter jusqu’à 36% de politiciens d’extrême droite. Selon les comptes méticuleux de toute l’équipe de Libération qui s’est consacrée à éplucher les programmes de cette abomination télévisuelle entre juin 2020 et juin 2021, la chaîne de Bolloré a par exemple osé recevoir plus de 130 fois Jean Messiha ce qui est évidemment troporibl.

     

    Le travail était dur, la tâche ingrate et obligeait à manipuler des miasmes nauséabonds d’une beuhête immonheudeu mais les zanalystes de Libération n’ont cependant pas hésité à s’y coller avec abnégation et ont même produit une petite synthèse qui, là encore, ne laisse aucune place à une interprétation aimable: quand on fait bien tous les petits calculs, les politiciens du Rassemblement National sont très très invités par CNews (jusqu’à 26,5% du temps d’antenne consacré à la politique). Quelle abomination!

    Quand on voit tout ça, difficile de retenir un haut-le-cœur: malgré les efforts incommensurables déployés par toute la rédaction de Libération depuis des décennies pour repousser toujours plus loin, plus fort les relents du fascisme et des pires extrêmes à savoir ceux de droite, il semble bien que la leçon ne parvienne pas à porter partout, que la Bonne Parole ne réussisse pas à atteindre les moindres recoins de certaines chaînes de télévision.

    La situation est grave. Que dis-je, elle est terrible!

    Il faut en effet comprendre que si le quotidien (et tous les journalistes derrière cette rédaction et bien au-delà) a produit tel article, c’est bien parce qu’une chaîne vient de briser un tabou français: donner la parole aux gens de droite et, notamment à ceux d’extrême droite non pas à proportion de ce que la rédaction estime qu’ils méritent, mais à celle que leur donne leur représentation dans la politique nationale. Et si on commence à laisser les gens de droite (et a fortiori d’extrême droite) s’exprimer ainsi dans les médias un média à proportion de ce que le public veut entendre, c’en est fini du discours actuellement dominant de la Belle Gauche Humaniste, Universaliste et Inclusive dont cette rédaction (et tant d’autres) se veut l’étendard.

    En réalité, il est particulièrement intéressant de voir que, au sein même de CNews, les journalistes émettent des petits couinements plaintifs à l’idée que certains, comme Zemmour ou Praud, puissent ainsi trouver un temps d’antenne pour y exprimer leurs opinions: comme ces dernières sont officiellement estampillées nauséabondes, il est inconcevable qu’on puisse les laisser parler. La démocratie, la liberté d’expression, ça va pour la météo et les idées de gauche, mais pas pour les idées de droite et les sujets qui fâchent. Et puis quoi encore?

    Ce qui explique sans doute le détachement voire la gourmandise de ces mêmes journalistes et des autres rédactions à inviter, tendre le micro, analyser et recueillir les paroles d’un nombre dodu de partisans de l’extrême gauche, et ce absolument sans aucun rapport avec le poids réel de ces idées et de ces gens dans la politique nationale.

    Et là apparaît toute l’hypocrisie dégoulinante de ces distributeurs automatiques de morale de synthèse: lorsqu’on prend un court temps de réflexion, on s’aperçoit assez vite que les quelques heures d’antennes supplémentaires que l’extrême droite et la droite ont grapillées sur CNews ne permettent même pas d’équilibrer le temps global de ces représentations politiques dans les médias.

    Non seulement CNews, avec 36% consacrés à l’extrême droite ne fait que s’approcher de la proportion de ces opinions dans l’électorat comme en témoigne la dernière élection présidentielle de 2017, mais en plus la dominance des idées de toutes les gauches sur les services publics laisse carrément songeur lorsqu’on se rappelle qu’il s’agit là d’argent pris de force à des contribuables qui, de fait, voient leurs contributions utilisées pour diffuser des idées avec lesquelles ils ne sont pas majoritairement d’accord… Au contraire de CNews qui, chaîne privée, se doit donc de coller aux désirs de ses spectateurs.

    L’équilibre qu’on serait en droit d’attendre du service public n’existe pas et c’est finalement le privé qui montre l’exemple, ce qui déclenche l’urticaire journaliste de façon prévisible.

    Le décalage est encore plus violent lorsqu’on tient compte des parts d’audience comme ne le font surtout pas les petits hypocrites de Libération et leurs inénarrables Décodeurs, véritables montres arrêtées qui indiquent le sud: l’abominable équilibrage de CNews avec 2,2% de part d’audience prend alors une autre tournure devant les 12,3% réalisés par France Inter et son gauchisme quasiment institutionnel. Autant dire que les gesticulations des journaleux militants de Libération se basent essentiellement sur un gros fantasme de sur-représentation, ce qui leur permet d’oublier complètement la sous-représentation de la droite dans absolument tous les autres médias.

     

    En tenant compte de ces éléments, l’article de Libération montre en réalité par contraste toute l’étendue de la médiocrité du service public et des médias sur-subventionnés par l’État: loin des contingences du marché et donc loin des opinions réelles des lecteurs, des auditeurs et des téléspectateurs, ces productions fonctionnent maintenant en vase clos, recrutant leurs équipes dans les mêmes viviers tous orientés politiquement de la même façon, avec un rapport de plus en plus ténu avec la réalité, le terrain et les problèmes réels du pays.

    Ceci explique à la fois le décalage croissant des sujets politiques abordés avec ceux que la majorité des Français désirerait effectivement voir traités (ce qui aboutit aux dernières constatations de la Fondapol qui remarque dans une récente étude que plus de 60% des gens ne s’estiment pas représentés par les médias dominants) et le décalage des politiciens avec les Français, les premiers croyant niaisement que la presse rapporte ce que pensent les seconds, ce qui permet au passage à ces médias d’orienter plus ou moins lourdement ces politiciens dans leur sens.

    En fait, l’orientation actuelle de CNews et ses excellents résultats d’audience sonnent comme un véritable avertissement à tous les autres médias actuellement confits de leurs certitudes et de leur hypocrisie dans l’argent gratuit des autres: vous êtes moins que médiocres, vous êtes nuls, et vous allez périr minablement.

    Et quelque part, ce sera ni surprenant, ni même triste.

    H.16 sur Contrepoints

     

  • Esclavagisme: ça les dérange!

    En regard du phénomène de cette traite "occidentale" et des sociétés qui en ont résulté, il faut considérer la traite dite " orientale ", c’est-à-dire les traites, pas seulement négrières, pratiquées par les esclavagistes arabo-musulmans dès la naissance de l’islam et quasiment jusqu’à nos jours, soit sur plus de douze siècles!

    Car des millions d’hommes, de femmes, d’enfants européens ont été également enlevés et vendus sur tous les marchés islamiques. Et d’ailleurs on sait bien l’étymologie du mot " esclavage": "ex-slaves", les populations slaves étant très recherchées par les caravaniers du Prophète…

    Mais pour nous en tenir au seul esclavage islamique des Africains, portant sur un chiffre également estimé à quelque quinze millions de personnes, qu’en résulte-t-il aujourd’hui? Un simple chiffre: un million environ, un million à peine de Noirs dans les populations arabo-islamiques. Soit beaucoup moins d’un pour cent de celle des Noirs afro-américains!

    Et ce, sans aucune émergence de quelque jazz, de quelque musique originale, de quelque littérature nouvelle…

    Alors pourquoi cette infime population? Pourquoi cette éradication culturelle? Cela tient en un mot: " castration "!

    Les hommes en effet achetés aux esclavagistes africains étaient systématiquement castrés. Les maîtres arabo-musulmans ne voulaient que des eunuques. Et les eunuques n’ont pas de progéniture! Voilà pourquoi  il n’y a guère de descendants des esclaves noirs  dans les nations arabes, turques ou iraniennes!

    Et c’est ainsi que la castration systématique des esclaves noirs ne peut être qualifiée que de génocidaire!

    Ce dont madame Houria Bouteldja, admiratrice inconditionnelle de l’Algérie des barbaresques, ne parle guère.

    Ce dont ne parle pas non plus madame Assa Traoré, issue de la plus grande tribu de chasseurs et vendeurs d’esclaves du Sahel: les Soninké.

    Voilà pourquoi madame Houria Bouteldja n’a pas accepté le débat que nous lui avons proposé sur Radio-Courtoisie. Car la vérité, c’est que son idéologie dite " décoloniale " est une escroquerie!

    Voilà pourquoi l’Agrif dénonce le négationnisme raciste de la castration génocidaire des esclaves noirs dans l’islam. Il faut que cela soit enseigné dans les écoles!

    Bernard Antony

  • SCANDALE!

    Au micro de RTL, Élise Lucet, présentatrice de l’émission Cash Investigation, révèle que les données de nos cartes Vitale sont revendues sans consentement à IQVIA, société privée, leader mondial des data de santé.

    L’autorisation a été émise par la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil).

  • Emmanuel Macron: 4 ans et un bilan de plus en plus lourd

    Le 7 mai 2017 était élu Emmanuel Macron. Quatre ans plus tard, les Français éprouvent un sentiment très spécial: celui d’être gouvernés par un Président qui leur est hostile. Hostile à leur histoire, hostile à leur culture.

    Par Claude Robert.

    Tel un Don Quichotte en costume-cravate, Emmanuel Macron s’est engagé dans un combat contre trois ennemis tout à fait hypothétiques: l’oppression dont souffriraient les minorités (religieuses, ethniques et sexuelles), l’amalgame qui existerait entre le terrorisme et l’Islam, et la fureur destructrice des Gilets jaunes.

    Mais il n’a rien entrepris contre les Black-blocs, ni contre l’insécurité et ses causes évidentes, ni contre les syndicats de fonctionnaires qui ont bloqué le pays. Surtout, il a poursuivi le travail de démantèlement de l’économie engagé par son mentor Hollande. Démantèlement qu’il a même accéléré en imposant une série de confinements délétères afin de pallier l’impréparation de son gouvernement face à la pandémie.

    Ainsi se sont révélées ces quatre années de gouvernance Macron, une succession de mauvaises décisions économiques assaisonnées de déclarations intempestives sur fond d’absence de réformes de fond.

    Mais est-ce une surprise? Emmanuel Macron ne s’était-il pas déjà distingué auprès du président Hollande? Voici les faits.

    La France, seul pays à avoir raté la reprise post-crise bancaire

     

    C’est parce que Hollande décide d’augmenter fortement la pression fiscale que l’Hexagone a manqué la reprise économique qui a suivi la crise bancaire. De par son rôle de conseiller fiscal du Président puis de ministre, Emmanuel Macron est naturellement considéré comme co-responsable de cette erreur contra-cyclique, erreur dont les conséquences vont rapidement se révéler funestes.

    Pendant le mandat de Hollande, la France voit son nombre de chômeurs s’accroître jusqu’à atteindre +1,132 million tandis que les Allemands et les Anglais en perdent respectivement 500000 et 400 000.

    La dette publique flambe de +4,1% par rapport à la moyenne européenne malgré des prélèvements fiscaux qui augmentent de 17,64% à 18,65% du PIB! Une véritable débâcle.

    Emmanuel Macron et quinze mois de révolte sociale des Gilets jaunes

    À peine élu président, Macron soulève la rue, les Gilets jaunes en l’occurrence, sur une durée record de 65 semaines, à raison d’un blocage des principaux centres urbains et de nombreux péages autoroutiers les samedis, battant ainsi le fameux record d’Alain Juppé.

    Déclenché par l’anachronique limitation à 80 km/h, perçue comme une opération d’extorsion d’argent, puis renforcé par les hausses de taxes, ce mouvement protestataire révèle à grande échelle un climat social terriblement dégradé.

    Car à la différence des grèves conduites par les syndicats d’extrême gauche arcboutés sur la défense pavlovienne des privilèges de certaines corporations de fonctionnaires, les Gilets jaunes sont issus de la vraie vie. Celle des travailleurs du privé, des petits entrepreneurs, des chômeurs et des laissés pour compte.

    N’étant pas du bon côté, ceux-ci se heurteront à un gouvernement Macron d’une impitoyable brutalité. Une brutalité qui incitera, excusez du peu, Amnesty International (17/12/18) puis le Conseil de l’Europe (26/02/19) puis de nouveau Amnesty international (29/09/20) à réagir pour respectivement "recours excessifs à la force ", "utilisation des LBD" et "acharnement judiciaire" contre les manifestants!

    D’innombrables plaintes ont été déposées contre le gouvernement à l’occasion de violences qui ont fait au total 140 blessés graves parmi les Gilets jaunes, dont 14 ayant perdu un œil.

    Loin de calmer les émeutes, Emmanuel Macron les aura même exacerbées avec ses déclarations malencontreuses, en particulier celle prononcée à l’arrivée du Tour de France: " On a commencé l’année avec les Gilets jaunes, on l’a finie avec le maillot jaune ". Ainsi est-il logiquement devenu l’une des motivations de l’insurrection, un grand nombre de Gilets jaunes réclamant désormais sa tête.

    Ce mouvement de révolte sociale qui ne s’est arrêté que pour des raisons de pandémie, car le pseudo grand débat n’a apporté aucune espèce de réponse, a coûté 12,5 millions d’euros à la collectivité. Un splendide échec.

    Emmanuel Macron et la fausse réforme ruineuse de la SNCF

    Enflammer les syndicats pour une réforme qui n’en est pas une, puisqu’il ne s’est agi que d’interrompre le recrutement sous statut de fonctionnaire, fournit un exemple grandiose de l’incapacité du Président à moderniser notre pays.

    Rien n’aura été tenté afin d’améliorer les méthodes de travail et l’efficience d’un mastodonte qui revient à environ 15 milliards d’euros chaque année aux Français, et qui est censé affronter le marché concurrentiel exigé par la Communauté européenne.

    Rien que pour la SNCF elle-même, ces 36 jours de grève auront coûté 790 millions d’euros, sans compter les conséquences induites sur l’économie. Un nouveau ratage particulièrement révélateur.

    L’obscure réforme inachevée des retraites

    Après le déploiement de violence contre les Gilets jaunes, la réforme des retraites fournit une autre illustration de la façon dont Macron envisage le dialogue social. À force de débats opaques et de concepts trompeurs tels que l’âge pivot, le gouvernement a déclenché une avalanche de grèves (SNCF, RATP, Air France, trafic aérien, etc.) qui auront paralysé le pays pendant plus d’une quarantaine de jours.

     

    Cette longue agonie de réforme qui s’est momentanément achevée sur un passage en force au 49.3 et donc sans le moindre consensus, aura coûté plus de 15 milliards d’euros à l’économie française, en plus des respectivement 200 et 850 millions d’euros perdus pour la RATP et la SNCF.

    Saluons là aussi un bel échec, échec qui risque de se prolonger lorsque la réforme, gelée pour cause de pandémie, reprendra son cours.

    Des résultats économiques plus mauvais que chez nos voisins

    Manquer le rebond économique post-crise bancaire n’était qu’un début. La série noire se poursuit, avec des résultats économiques systématiquement moins bons que ceux de l’UE (27 pays).

    Sur l’ensemble des indicateurs, celui du chômage semble certes se rapprocher de la moyenne en 2020, mais au prix d’une détérioration encore plus forte de notre croissance et de notre dette publique (en gras sur les tableaux), ce qui au contraire garantit durablement un faible taux d’emploi.

    De cette accélération de l’aggravation de l’endettement et de la croissance découle toujours la même question brûlante: où passe donc l’argent de cette fiscalité confiscatoire qui nous vaut régulièrement le record de l’OCDE?

    Pour les électeurs qui espéraient un président réformateur et libéral, la déception est immense car il n’en a rien été. Derrière un flux ininterrompu de promesses, Emmanuel Macron ne fait que poursuivre le travail de sape de son prédécesseur, asphyxiant l’économie sous le poids d’un État toujours plus insatiable, toujours plus socialiste.

    Une insécurité record sur fond d’autorité de l’État bafouée

    Il ne reste plus que 17 % des Français à faire confiance au gouvernement pour lutter contre l’insécurité (Odoxa, SudRadio 19/02/21). Ce score historique fait d’ailleurs suite à une chute quasi-ininterrompue depuis l’élection du président Macron.

    Les meurtres par égorgement revendiqués haut et fort, les attaques de policiers, les profanations de monuments, les tirs de mortier contre un commissariat, tout cela crée un sentiment d’autant plus anxiogène que le gouvernement paraît nettement plus enclin à honorer les victimes qu’à déployer une stratégie de prévention efficace.

    Alors que de nombreux actes terroristes affichent ostensiblement une symbolique religieuse, alors que les faits établissent un lien entre insécurité et immigration non contrôlée, Macron tente de dévier sur des problématiques absconses de " séparatisme islamique " et de défense de la laïcité.

    Empêtré dans son idéologie soi-disant progressiste, le Président s’est même flanqué d’un ministre de la Justice et d’un ministre de l’Intérieur en sérieux déphasage avec les peurs de la population.

    La pétition lancée par plus d’un millier de militaires contre " le délitement du pays et le risque de guerre civile " (VA, 21/04/21) est certes surprenante, mais ne fait que traduire le malaise actuel. Ce que confirme le sondage Harris Interactive (LCI 29/04/21): près de 60 % des Français la soutiennent.

    Emmanuel Macron et la gestion surréaliste de la pandémie de Covid-19

    Avec ses 105 387 morts du coronavirus et ses 1612 décès par million d’habitants, la France affiche une mortalité quatre fois supérieure à la moyenne mondiale. Avec en prime la plus forte récession européenne, conséquence du confinement non ciblé et de la très rapide et paradoxale incitation au chômage partiel, ces deux mesures imposant un arrêt brutal et plus fort que nécessaire de l’économie du pays.

    Mesures typiquement médiévales, les confinements et couvre-feux successifs n’ont été déclenchés que pour pallier l’absence d’une stratégie de prévention réactive et orchestrée.

    Importants retards dans l’approvisionnement en masques puis en tests de dépistage, absence de politique d’isolement des porteurs du virus et des personnes à risque, absence de plan de crise permettant d’actionner l’ensemble des professionnels de la santé qu’ils soient publics ou privés, lancement raté de l’application Stop-covid… les manquements se sont succédé sans discontinuer depuis l’arrivée du virus.

     

    Dernier en date, l’approvisionnement en vaccins extrêmement tardif, du fait notamment de la nomination d’un responsable de la logistique après le démarrage de la période de vaccination, exemple ô combien révélateur du niveau d’impréparation gouvernementale. De la part d’un pays qui truste les records de prélèvements obligatoires de l’OCDE, ces ratages sont inexcusables.

    S’est ajouté à cela un autoritarisme des plus consternants, sous la forme d’un questionnaire de justification de déplacement digne de l’occupation avec, ultime raffinement, une limitation kilométrique chiffrée, le tout contrôlé par des milliers de policiers.

    Sans oublier une communication gouvernementale mensongère et dangereuse qui a déclenché une cascade de plaintes en justice. Au nombre desquelles se trouve celle d’un collectif de plus de 600 médecins, pour rien moins que "mensonges d’État" et "mise en danger des personnes"!

    L’ennemi est à l’intérieur

    Comble du ridicule et de l’inconscience combinés, quatre ans après sa fameuse déclaration " il n’y a pas de culture française ", le président Macron vient d’appeler à " déconstruire notre propre histoire ". Il est clair que l’ennemi de l’Hexagone se trouve aux commandes même de son gouvernement.

    Ceci constitue une configuration assez originale, dont il serait hautement souhaitable que l’ensemble des électeurs prenne la mesure d’ici les prochaines élections.

    Source:

     

  • 2e Tribune complète des militaires d'active

    Monsieur le Président de la République,

    Mesdames et Messieurs les ministres, parlementaires, officiers généraux, en vos grades et qualités,

    On ne chante plus le septième couplet de la Marseillaise, dit “couplet des enfants”. Il est pourtant riche d’enseignements. Laissons-lui le soin de nous les prodiguer:

     

        “Nous entrerons dans la carrière quand nos aînés n’y seront plus. Nous y trouverons leur poussière, et la trace de leurs vertus. Bien moins jaloux de leur survivre que de partager leur cercueil, nous aurons le sublime orgueil de les venger ou de les suivre”

     

    Nos aînés, ce sont des combattants qui ont mérité qu’on les respecte. Ce sont par exemple les vieux soldats dont vous avez piétiné l’honneur ces dernières semaines. Ce sont ces milliers de serviteurs de la France, signataires d’une tribune de simple bon sens, des soldats qui ont donné leurs plus belles années pour défendre notre liberté, obéissant à vos ordres, pour faire vos guerres ou mettre en œuvre vos restrictions budgétaires, que vous avez salis alors que le peuple de France les soutenait.

    Ces gens qui ont lutté contre tous les ennemis de la France, vous les avez traités de factieux alors que leur seul tort est d’aimer leur pays et de pleurer sa visible déchéance.

    Dans ces conditions, c’est à nous, qui somme récemment entrés dans la carrière, d’entrer dans l’arène pour avoir simplement l’honneur d’y dire la vérité.

    Nous sommes de ce que les journaux ont nommé “la génération du feu”. Hommes et femmes, militaires en activité, de toutes les armées et de tous les grades, de toutes les sensibilités, nous aimons notre pays. Ce sont nos seuls titres de gloire. Et si nous ne pouvons pas, réglementairement, nous exprimer à visage découvert, il nous est tout aussi impossible de nous taire.

    Afghanistan, Mali, Centrafrique ou ailleurs, un certain nombre d’entre nous ont connu le feu ennemi. Certains y ont laissé des camarades. Ils ont offert leur peau pour détruire l’islamisme auquel vous faites des concessions sur notre sol.

    Presque tous, nous avons connu l’opération Sentinelle. Nous y avons vu de nos yeux les banlieues abandonnées, les accommodements avec la délinquance. Nous avons subi les tentatives d’instrumentalisation de plusieurs communautés religieuses, pour qui la France ne signifie rien -rien qu’un objet de sarcasmes, de mépris voire de haine.

    Nous avons défilé le 14 juillet. Et cette foule bienveillante et diverse, qui nous acclamait parce que nous en sommes l’émanation, on nous a demandé de nous en méfier pendant des mois, en nous interdisant de circuler en uniforme, en faisant de nous des victimes en puissance, sur un sol que nous sommes pourtant capables de défendre.

    Oui, nos aînés ont raison sur le fond de leur texte, dans sa totalité. Nous voyons la violence dans nos villes et villages. Nous voyons le communautarisme s’installer dans l’espace public, dans le débat public. Nous voyons la haine de la France et de son histoire devenir la norme.

    Ce n’est peut-être pas à des militaires de dire cela, arguerez-vous. Bien au contraire: parce que nous sommes apolitiques dans nos appréciations de situation, c’est un constat professionnel que nous livrons. Car cette déchéance, nous l’avons vue dans bien des pays en crise. Elle précède l’effondrement. Elle annonce le chaos et la violence, et contrairement à ce que vous affirmez ici où là, ce chaos et cette violence ne viendront pas d’un “pronunciamento militaire” mais d’une insurrection civile.

    Pour ergoter sur la forme de la tribune de nos aînés au lieu de reconnaître l’évidence de leurs constats, il faut être bien lâche. Pour invoquer un devoir de réserve mal interprété dans le but de faire taire des citoyens français, il faut être bien fourbe. Pour encourager les cadres dirigeants de l’armée à prendre position et à s’exposer, avant de les sanctionner rageusement dès qu’ils écrivent autre chose que des récits de batailles, il faut être bien pervers.

    Lâcheté, fourberie, perversion: telle n’est pas notre vision de la hiérarchie.

    L’armée est au contraire, par excellence, le lieu où l’on se parle vrai parce que l’on engage sa vie. C’est cette confiance en l’institution militaire que nous appelons de nos vœux.

    Oui, si une guerre civile éclate, l’armée maintiendra l’ordre sur son propre sol, parce qu’on le lui demandera. C’est même la définition de la guerre civile. Personne ne peut vouloir une situation aussi terrible, nos aînés pas plus que nous, mais oui, de nouveau, la guerre civile couve en France et vous le savez parfaitement.

    Le cri d’alarme de nos Anciens renvoie enfin à de plus lointains échos. Nos aînés, ce sont les résistants de 1940, que, bien souvent, des gens comme vous traitaient de factieux, et qui ont continué le combat pendant que les légalistes, transis de peur, misaient déjà sur les concessions avec le mal pour limiter les dégâts ; ce sont les poilus de 14, qui mouraient pour quelques mètres de terre, alors que vous abandonnez, sans réagir, des quartiers entiers de notre pays à la loi du plus fort; ce sont tous les morts, célèbres ou anonymes, tombés au front ou après une vie de service.

    Tous nos aînés, ceux qui ont fait de notre pays ce qu’il est, qui ont dessiné son territoire, défendu sa culture, donné ou reçu des ordres dans sa langue, ont-ils combattu pour que vous laissiez la France devenir un Etat failli, qui remplace son impuissance régalienne de plus en plus patente par une tyrannie brutale contre ceux de ses serviteurs qui veulent encore l’avertir?

    Agissez, Mesdames et Messieurs. Il ne s’agit pas, cette fois,  d’émotion sur commande, de formules toutes faites ou de médiatisation. Il ne s’agit pas de prolonger vos mandats ou d’en conquérir d’autres. Il s’agit de la survie de notre pays, de votre pays.

    Première Tribune: " Pour un retour de l’honneur de nos gouvernants ": 20 généraux appellent Macron à défendre le patriotisme

        Tribune des militaires: le chef d’État-major des armées souhaite la "mise à la retraite d’office" des signataires en activité, soit 18 soldats, qui passeront devant un "conseil supérieur militaire" (MàJ) – https://t.co/rW4cNyRge6 pic.twitter.com/TZabi4InpG

        — Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) April 28, 2021

     

  • Dès que Macron parle à l’étranger,

     

    il salit notre France millénaire

    Une fois de plus, monsieur Macron vient de cracher sur la France et sur le peuple français, déclarant sur la chaîne américaine CBS : “Nous devons déconstruire notre propre histoire”. C’est sidérant.

    Macron interrogé par la chaîne américaine CBS : “Nous devons déconstruire notre propre histoire”

    C’est plus fort que lui. Dès que notre Président est à l’étranger, c’est pour salir notre France millénaire, pour la dénigrer, pour l’humilier. Il ne se contrôle plus. Il a la haine des nations et son vœu le plus cher est d’être réélu pour pouvoir poursuivre son œuvre machiavélique de démolition.

    Mais dès qu’il voit que ses propos ignobles scandalisent et blessent les Français, ses services de communication tentent aussitôt de déminer le terrain en nous expliquant que nous n’avons rien compris à son message. Pitoyable !

    Mais le message est pourtant clair : Macron n’a jamais aimé la France ni son peuple. C’est un Européen et un citoyen du monde avant d’être un Français.

    Ce qu’il vient de dire dépasse l’entendement. Après avoir nié la culture française, Macron crache sur l’héritage que nos ancêtres nous ont légué.

    Un héritage d’une valeur inestimable, construit dans le sang et les larmes au fil des siècles. C’est une ignominie de plus.

    Il est clair que les habits de la magistrature suprême sont trop grands pour lui, tant il est petit dans ses comportements.

    Les plus illustres personnages de notre histoire, qui ont forgé les siècles de grandeur de notre chère France, doivent se retourner dans leur tombe en l’écoutant cracher sans cesse sur notre pays, c’est-à-dire le pays qu’il est censé protéger et faire rayonner.

    Emmanuel Macron nous parle de race, d’inégalités et de discours de haine.

    Mais ce n’est pas en faisant l’éternel procès de la France que nous réussirons l’intégration. Avec Macron, c’est le seul peuple français qui est raciste. Mais qui diffuse la haine de la France?

    Qui a chassé les Juifs de nos banlieues?

    Qui organise des ateliers interdits aux Blancs?

    Qui a chassé les autochtones des cités, tout en se plaignant aujourd’hui qu’il n’y ait plus de mixité?

    Qui a mené de multiples attentats sanglants au cri de “Allahu akbar”?

    Qui est parti combattre la France sous la bannière noire de l’État slamique?

    Quand 74% des jeunes musulmans préfèrent la charia à la loi républicaine, il est où,  le crime des Français?

    Quand un sans-papiers est mieux soigné qu’un natif qui travaille et cotise, il est où, le privilège d’être blanc?

    Quand un immigré de 65 ans perçoit une retraite de 900 euros sans avoir jamais travaillé ni cotisé en France, il est où, le racisme institutionne ?

    Quand un paysan crève de faim avec 350 euros par mois, alors que chaque mineur isolé coûte 50 000 euros par an au contribuable, elle est où, l’inégalité?

    Alors, faut-il déconstruire notre Histoire pour mieux vivre ensemble ?

    L’esclavage?

    Mais tous les peuples l’ont pratiqué depuis l’Antiquité. La France l’a aboli en 1848 et a reconnu que c’était un crime contre l’humanité. Quel pays arabe ou africain en a fait autant ?

    L’esclavage est le crime le mieux partagé de l’humanité. Il perdure en Afrique et au Moyen-Orient mais seule la France est coupable.

    La colonisation?

    J’aimerais savoir si les Arabes ont dit aux Berbères et autres peuples qu’ils ont soumis que la colonisation était un crime contre l’humanité.

    Il y a deux sortes d’immigrés, quelle que soit leur race ou leur religion.

    Ceux qui veulent s’intégrer et veulent devenir des Français de cœur.

    Et ceux qui quittent leur pays en perdition, viennent en France pour mieux vivre, mais refusent de s’intégrer et nous reprochent d’être blancs !

    Et le plus anti-Blancs de tous, c’est Macron qui donne des gages au discours décolonial et indigéniste.

    Nous avons élu un mondialiste qui considère les patriotes comme une menace pour la cohésion nationale.

    C’est un total renversement des valeurs, où les natifs sont coupables de ne pas s’effacer devant d’autres cultures, au nom du “vivre-ensemble”.

    Mais si le “vivre-ensemble” signifie la destruction de la civilisation occidentale et le reniement de notre patrimoine culturel, cela ne peut que mener au chaos.

    La France, c’est un peuple avec ses racines et sa culture, une langue, un territoire, une longue Histoire et des traditions ancestrales.

    Déconstruire l’Histoire de notre France millénaire, c’est oublier ce que nous sommes, c’est un génocide culturel absolu. C’est donc un crime.

    Repentance et génuflexions permanentes sont des aveux de faiblesse porteurs de lendemains tragiques.

    En 2022, dans l’isoloir, il conviendra de se souvenir de cette énième trahison d’Emmanuel Macron.

    Jacques Guillemain

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