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Opinions - Page 18

  • La république des coquins

    Il est insupportable de recevoir des leçons de morale du parti présidentiel. J’avais envisagé de vous donner le "top 10" des affidés et des larbins de Macron mis en examen ou condamnés. En fait c’est impossible tant ils sont nombreux. Souvenez-vous, il y a sept ans, l’avorton, candidat à la magistrature suprême, nous promettait de "gouverner autrement". Il disait vouloir introduire de la "moralisation" dans la vie publique; il nous annonçait même une "République  exemplaire". Vaste foutaise! Escroquerie intellectuelle et morale!

    Arnaque et mensonge éhontés!

    Depuis sept ans, la Macronie va de scandale en scandale. Rappelons-en quelques-uns:

    Au tout début du premier mandat de Macron, en 2017, trois membres du "MoDem", le parti (de traîtres) du crétin des Pyrénées, sont nommés à des postes importants: Bayrou à la Justice, Cruella de Sarnez aux Affaires européennes et la grosse mère Goulard aux Armées. En juillet 2017, le parquet de Paris ouvre une information judiciaire pour "abus de confiance, recel d’abus de confiance et escroqueries" pour des soupçons d’emplois fictifs d’assistants au Parlement européen. Les trois démissionnent dès le mois de juin. Sylvie Goulard a été mise en examen le 29 novembre 2019. Le 4 décembre 2019, Sarnez est mise en examen pour "détournement de fonds publics".

    Le 6 décembre 2019, c’est le tour de Bayrou. "Une douzaine de responsables du MoDem ont été mis en examen dans cette affaire", peut-on lire dans "Les Échos". Le 5 février 2024, "François Bayrou est relaxé" au bénéfice du doute ". Mais huit autres prévenus, dont cinq ex-eurodéputés, sont condamnés à des peines de dix à dix-huit mois de prison avec sursis, des amendes de 10 000 à 50 000 euros et à deux ans d’inéligibilité avec sursis.

    Le MoDem est condamné à 350 000 € d’amende, dont 300 000 € ferme" lit-on dans "Le Monde".

    En résumé, le MoDem a profité illégalement de fonds européens pour rémunérer des permanents. Les eurodéputés et les trésoriers du parti étaient au courant de la combine… mais pas forcément Bayrou; mon œil! On nous prend pour des billes.

    Le crétin des Pyrénées est pourtant un champion de la moraline à deux balles!

    – À l’été 2020, la plantureuse Lætitia Avia, députée, vice-présidente et porte-parole de LREM était visée par une enquête pour "harcèlement moral". Cinq de ses anciens assistants l’accusaient d’humiliations, de harcèlements et d’abus de pouvoir. Le 5 juillet 2023, elle a été condamnée à six mois de prison avec sursis et deux ans d’inéligibilité (pour "harcèlement moral");

    – En mai 2023, Anne-Christine Lang, ex-députée du parti présidentiel, a été condamnée à trois ans d’inéligibilité et 60 000 € d’amende pour "détournement de fonds publics". Elle a reconnu avoir utilisé une partie de son indemnité représentative de frais de mandat (IRFM) à des fins personnelles. Des "dépenses à hauteur de 44 650 €, sans lien avec son mandat de député";

    – L’ancien maire de Sarcelles et député MoDem, François Pupponi, a été condamné à 5 000 € d’amende et 29 000 € de dommages et intérêts, en janvier 2022, pour " abus de biens sociaux et faux et usage de faux". L’élu a fait appel de cette décision.

    – Ministre délégué, Alain Griset a été condamné, fin 2021 "six mois de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité avec sursis pour déclaration incomplète de son patrimoine". Un "oubli" de 171 000 €. En appel, il a été condamné à quatre mois de prison avec sursis;

    – "Harcèlement moral, non-paiement d’heures supplémentaires, manquement à l’obligation de sécurité" ont été reprochés à Sira Sylla, députée LREM de 2017 à 2022. Le 6 septembre 2022, elle était reconnue coupable par le Conseil des prud’hommes de Rouen. Elle a été condamnée à verser "près de 80 000 € à la victime dont 20 000 € d’heures supplémentaires impayées, 20 000 € pour les faits de harcèlement moral et près de 21 000 € de dommages et intérêts pour le licenciement";

     

    – Jacques Krabal, député de 2012 à 2022 – sous l’étiquette du PRG puis de LREM – a été condamné en novembre 2021 à la suite d’une plainte pour "travail dissimulé et harcèlement moral" de son ancien directeur de cabinet.

    En septembre 2021, Pierre Cabaré, député LREM est condamné pour "licenciement sans cause réelle et sérieuse" d’un collaborateur. Fin 2019, il a fait l’objet d’une enquête préliminaire de la PJ de Toulouse pour harcèlement sexuel et moral. Sa suppléante (et assistante parlementaire), a porté plainte pour agression sexuelle;

    – En février 2021, la députée LREM Sandrine Josso a été condamnée à un an d’inéligibilité pour n’avoir pas présenté ses comptes de campagne. D’après "Mediapart": "En 2018, Sandrine Josso a demandé à son assistante de lui prêter 10 000 € en contractant un crédit à la consommation. Elle ne l’a pas remboursée. La justice a ouvert une enquête pour "abus de confiance";

    – Le député Benoît Simian, élu LREM, a fait l’objet d’une enquête "pour harcèlement moral par conjoint… dans le cadre d’une "séparation houleuse" assortie de "plaintes croisées" pour violences", d’après "Sud Ouest". En juin 2022, Benoît Simian a été condamné à huit mois de prison avec sursis. Il doit également verser 5 000 € à son ex-compagne et a interdiction de s’approcher d’elle pendant un an. Toutefois, il échappe à une peine d’inéligibilité… Il fait aussi l’objet d’une enquête judiciaire pour harcèlement à l’encontre d’une collaboratrice;

    – Le 31 août 2017, M’Jid El Guerrab, alors député LREM, frappe violemment à coups de casque Boris Faure, du PS. Deux coups qui causeront un traumatisme crânien au socialiste. Pour sa défense, il accuse Faure d’"insultes racistes". Exclu du groupe LREM, il a été mis en examen pour violences volontaires avec arme. En mai 2022, il était condamné à trois ans de prison dont deux avec sursis et deux ans d’inéligibilité. Peine confirmée en appel en octobre 2023;

    – Jean-Paul Delevoye, celui que Macron avait nommé Haut-Commissaire aux retraites (et qui a mis deux ou trois ans pour accoucher d’une souris), a écopé de quatre mois de prison avec sursis et 15 000 € d’amende pour ne pas avoir déclaré plusieurs mandats – il en avait… treize – à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique;

    La liste est longue (et non exhaustive) donc je vais essayer d’abréger:

    – Stéphanie Kerbarh: condamnée pour "licenciement sans cause" d’un collaborateur;

    – Alexandre Benalla: "Six ans après le scandale… la décision de la plus haute juridiction judiciaire confirme la condamnation en appel d’Alexandre Benalla à trois ans de prison dont un an ferme, prononcée le 29 septembre 2023 par la cour d’appel de Paris" nous dit "Le Monde";

    – Jérôme Peyrat, condamné pour violences envers son ex-compagne à 3000 € d’amende avec sursis. Fidèle à l’idée macronienne de faire des violences faites aux femmes la "grande cause du quinquenna ", il est nommé conseiller politique auprès de Stanislas Guérini, le patron du parti…

    – Stéphane Trompille, condamné pour "harcèlement sexuel" " envers une ex-collaboratrice;

    – Mustapha Laabid, condamné à six mois de prison avec sursis, trois ans d’inéligibilité et 10 000 € d’amende pour "abus de confiance". Il a utilisé l’argent d’une association à des fins personnelles. Le montant du préjudice est de 21 930,54 €.

    N’oublions pas ceux qui sont (ou ont été) simplement mis en examen:

    – Damien Abad, ex-ministre (éphémère!). Il a été mis en examen pour tentative de viol sur trois femmes, en mai 2024;

    – Amélie Oudéa-Castera: "La ministre a été mise en examen en décembre dans l’enquête de la Cour de justice de la République après la plainte en diffamation de l’ex-patron de la Fédération française de football Noël Le Graët…  nous apprend "Libération";

    – Rachida Dati, mise en examen pour  corruption passive, trafic d’influence passif et recel d’abus de pouvoir" dans l’affaire des découvertes sur la gestion du patron de Renault-Nissan.

    Macron, quand il jouait les chevaliers blancs, nous assurait qu’un ministre mis en examen se devait de démissionner. Mais sa "moralisation" de la vie politique a consisté à nommer, en janvier 2024, une ministre de la Culture déjà mise en examen. Chapeau l’artiste!

    – Muriel Pénicaud: Une information judiciaire a été ouverte à son sujet pour des soupçons de favoritisme en juillet 2017. En octobre 2023, l’ex-ministre a été mise en examen pour "complicité de favoritisme", selon les informations du journal "Le Monde";

    – Alexis Kohler: Outre son rôle dans l’affaire Benalla, ce proche de Macron est embourbé dans une affaire de conflit d’intérêts. Il a été directeur financier (d’août 2016 à mai 2017) de l’armateur MSC, fondé par des membres de sa propre famille. Or, depuis 2010, il a aussi représenté l’Agence des participations de l’État auprès des Chantiers de l’Atlantique/STX France, dont MSC est client. Il siégeait également au conseil de surveillance du Grand Port maritime du Havre. Avec cette double (triple!) casquette, Alexis Kohler a ainsi pu conclure en 2011 des contrats entre MSC et le port du Havre. En clair, il aura eu le beurre, l’argent du beurre et la fille de la crémière;

    – Thierry Solère, un traître rallié à la Macronie. Début février 2019, le tribunal de Nanterre a ouvert une information judiciaire contre lui pour des soupçons de "fraude fiscale, manquements aux obligations déclaratives à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, détournement de fonds publics par dépositaire de l’autorité publique et recel, recel de violation du secret professionnel, trafic d’influence et recel… abus de biens sociaux et recel, abus de confiance et recel, financement illicite de dépenses électorales, détournement de la finalité de fichiers nominatifs, portant sur une période comprise entre 2005 et 2017". Fermez le ban!

    Non, pas tout à fait! En février 2022, il est mis en examen pour cinq nouvelles infractions. Il est notamment soupçonné d’avoir utilisé à des fins personnelles une partie de ses frais de mandat entre 2012 et 2019;

    – Richard Ferrand: encore un ministre éphémère. En juin 2017, le parquet de Brest ouvrait une enquête préliminaire sur son passé à la tête des "Mutuelles de Bretagne" de 1998 à 2012. Il aurait favorisé la société immobilière de sa compagne pour l’obtention d’un marché lors de la location d’un local commercial par les "Mutuelles de Bretagne".

    Il y a aussi, dans cette "République exemplaire" quelques affaires en cours sur lesquelles on ne peut pas s’attarder. Elles visent entre autres, Édouard Philippe pour "prise illégale d’intérêts, détournement de fonds publics, favoritisme et harcèlement morale" à la Mairie du Havre;

    Bruno Le Maire pour "faux en écriture publique";

    Agnès Firmin Le Bodo, sur les cadeaux de la multinationale "Urgo". Elle est soupçonnée d’avoir reçu "bouteilles de champagne, montres de luxe, etc. ".Des cadeaux qu’elle aurait omis de déclarer…;

    Marlène Schiappa pour "détournement de fonds publics par négligence, abus de confiance et prise illégale d’intérêts" dans l’affaire du "fonds Marianne". Ce fonds de 2,5 millions d’euros, créé en 2021 suite à l’assassinat de Samuel Paty, était destiné à des associations visant à "promouvoir les valeurs de la République et de lutter contre le séparatisme". Or, il semblerait que l’argent alloué ait surtout profité à des proches de la secrétaire d’État, à des fins de propagandes politiques.

    – Passons, très vite, sur Chrysoula Zacharopoulou qui fait l’objet de deux plaintes pour… viols;

    – Nathalie Elimas visée par une enquête sur des accusations de "harcèlement et de maltraitance au sein de son cabinet… Une demi-douzaine de personnes en seraient victimes";

    Laura Flessel qui a eu quelques démêlés avec le fisc; Roxana Maracineanu, épinglée dans la presse parce que, depuis 2012, elle occupait un logement social; Françoise Nyssen qui a fait réaliser des travaux "sans autorisation, ni déclaration au fisc" dans un immeuble classé, selon "le Canard Enchaîné"; etc.

    J’arrêterai là cet inventaire à la Prévert car moi – citoyen lambda – je fais la différence entre une "République exemplaire" et une association de malfaiteurs. Je n’ai pas beaucoup de sympathie pour la "Ripoux-blique" mais je la respecte quand elle est respectable.

    Ce n’est plus le cas et il serait temps de chasser l’avorton du pouvoir, à condition de ne pas le remplacer par pire que lui. Je ne souhaite à mon pays, ni Macron, ni le "Fronte Crapular".

    Cédric de Valfrancisque

  • Epidémie d'infections à Parvovirus B19 en France.

    Une épidémie d’infections à Parvovirus B 19 touche actuellement la France, ayant débuté en mai 2023 et affectant toutes les catégories d’âge et en particulier l’enfant. Le pic épidémique de la saison 2023-2024 n’est vraisemblablement pas encore atteint avec des données montrant des incidences 2 à 3 fois supérieures à celles de la dernière saison pré-pandémique. Les raisons de cette épidémie ne sont pas clairement établies, mais comme pour d’autres infections virales ou bactériennes, elle pourrait être liée à la levée des mesures sanitaires (notamment confinement et mesures barrières) qui a suivi la pandémie de COVID-19 durant laquelle une dette immunitaire a pu s’installer. Une augmentation du nombre d'infections par le parvovirus B19 a été récemment signalée par d’autres pays européens dont le Danemark, l'Irlande, les Pays-Bas et la Norvège

    Le 31 juillet 2023, le service de Pédiatrie Générale et Maladies infectieuses du CHU Necker signalait un nombre inhabituel d'hospitalisations pédiatriques graves liées à une infection à Parvovirus B 19 (entre avril et juillet 2023, 37 cas d’infections à Parvovirus B 19 avaient été hospitalisés dont 21 enfants atteints de drépanocytose et 5 ayant nécessité une hospitalisation en service de réanimation).

    Des données virologiques (CHU Cochin) montraient que le nombre de prélèvements positifs à Parvovirus B 19 avait triplé au cours des huit premiers mois de 2023 comparé à l’ensemble de l’année 2022. Dans le liquide amniotique le nombre de prélèvements positifs était dix fois supérieur.

    Au mois d'octobre, des signalements spontanés d’urgentistes ont mis en évidence la persistance de d’hospitalisations pour infections sévères à Parvovirus B 19. Des services de médecine périnatale signalaient des cas chez la femme enceinte.

    DONNÉES DE PASSAGE AUX URGENCES

    Il est noté une augmentation du nombre de passages aux urgences pour suspicion d’infection à Parvovirus B 19 chez l’enfant à partir de début décembre 2023. Le nombre de passage aux urgences chez les adultes de plus de 15 ans ne montrait pas d’augmentation et restait dans des effectifs faibles, y compris chez les femmes de 20-40 ans. Les hospitalisations après un passage pour suspicion d’infection à Parvovirus B 19 sont en légère hausse, mais les effectifs restent très faibles.

    ACTES MÉDICAUX SOS MÉDECIN :

    Dans le réseau SOS Médecins, on observait une augmentation régulière du nombre d’actes pour diagnostic « Maladies Infectieuses diverses » depuis début décembre 2023 chez les enfants de moins de 15 ans

    DONNÉES DE LABORATOIRE :

    La surveillance virologique des infections à Parvovirus B 19 a mis en évidence une augmentation du nombre de diagnostics réalisés dans les trois groupes de la population considérés : enfants de moins de 15 ans, femmes de 20-40 ans et autres personnes âgées de 15 ans ou plus. La forte incidence en particulier pédiatrique est reflétée par le taux de positivité qui était chez l’enfant entre 30 et 40% au mois de mars 2024 alors qu’elle était < 20% au cours des saisons précédentes.

    DONNÉES DE MORTALITE :

    Le nombre de décès liés à une infection à Parvovirus B 19 était en moyenne de 1,8/an en période pré-pandémique et touchait majoritairement les adultes. Même si ce nombre reste faible et cohérent avec la faible sévérité de l’infection, il est à surveiller car il a augmenté de façon notable depuis 2022 en lien avec la circulation plus active du virus et affecte davantage les enfants, qui constituent la totalité des 5 décès déjà enregistrés pour l’année 2024 via la certification électronique des décès. Ces 5 décès surviennent chez des enfants âgés de moins d’un an dont 4 nouveau-nés suite à une infection congénitale. Pour le 5ème décès (âgé de 8 mois), il n’existait pas de comorbidité ni d’immunodépression.

    DANS CE CONTEXTE, IL EST IMPORTANT :

        de poursuivre la sensibilisation des professionnels de santé sur la persistance d'une incidence élevée et d'une saison épidémique qui se prolonge de manière inhabituelle.

        d'informer sur les risques particuliers chez l'enfant immunodéprimé/drépanocytaire et chez la femme enceinte et sur la nécessité d'éviter tout contact avec une personne atteinte ou suspectée d'être atteinte par une infection à Parvovirus B 19. Dans le contexte épidémique actuel, une diminution des mouvements actifs fœtaux doit conduire à rapidement consulter un service spécialisé.

        de rappeler qu'une infection par le Parvovirus B 19 devra être évoquée devant un cas de rougeole non confirmé par les examens biologiques.

        de rappeler qu’en cas de cas groupé on évitera l'exposition des sujets à risque (femmes enceintes, personnes immunodéprimées).

    RAPPEL SUR LES INFECTIONS A PARVOVIRUS B 19

    Le Parvovirus humain B 19 est à l'origine d’une infection le plus souvent asymptomatique, mais aussi d’un érythème infectieux, le mégalérythème épidémique ou cinquième maladie, une infection infantile bénigne. Il s’agit d’un virus strictement humain dont le principal mode de transmission est la voie respiratoire. Les signes cliniques apparaissent après une incubation de 4 à 21 jours. La primo-infection peut entraîner des manifestations sévères chez les personnes atteints d’anémie hémolytique chronique, chez des personnes immunodéprimées et chez les femmes enceintes chez qui elle peut être responsable de fausses couches et d’anasarque fœto-placentaire.

    Une myocardite ou une encéphalite peuvent parfois être observées. Cette maladie ne fait l’objet d’aucune mesure de prévention spécifique, en particulier l’éviction scolaire n’est pas préconisée. Il est néanmoins recommandé d’informer les sujets à risque et les femmes enceintes lors de la survenue de cas groupés ou de cas en collectivité afin d’éviter les contacts. L’infection par le Parvovirus B 19 ne fait pas l’objet d’une surveillance spécifique en France.

  • ALERTE GENERALE!

    Ce n'est pas un poisson d'avril… hélas

    Un nouveau délit qui ne devrait pas faire l’unanimité. En effet, dans le projet de loi de "sécurisation de l’espace numérique" qui pourrait être adopté au début du mois d’avril, un nouvel élément a été intégré à l’article 5 bis. Selon les informations de Mediapart, il s’agit du " délit d’outrage en ligne ", sanctionné par une amende forfaitaire délictuelle. Cette procédure pourrait permettre de sanctionner des faits sans passer par un procès. Sera puni de 3 750 euros d’amende et d’un an d’emprisonnement "le fait […] de diffuser en ligne tout contenu qui soit porte atteinte à la dignité d’une personne ou présente à son égard un caractère injurieux, dégradant ou humiliant, soit créé à son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante", explique le texte.

    La portée de ce texte est relativement large, car il semblerait que l’ensemble des outils de communication en ligne soit visé par l’article, c’est-à-dire les réseaux sociaux, les plateformes de partage de vidéos, mais aussi les messageries privées. En cas de partage d’un message offensant, dégradant, haineux sur Twitter par exemple ou dans une boucle privée WhatsApp, la personne qui l’a diffusé pourra être obligée de payer une amende.

    Toutefois, le Conseil constitutionnel pourrait mettre son veto à l’adoption définitive de ce texte en raison du caractère subjectif de la définition du délit. En effet, la plus haute juridiction administrative a déjà rappelé que des amendes forfaitaires délictuelles ne pouvaient s’appliquer qu’à des faits "aisément contestables".

    Le gouvernement craint d’ailleurs que l’article soit censuré. " Bien que nous partagions évidemment les objectifs, nous sommes beaucoup plus dubitatifs sur la sécurité juridique et constitutionnelle de la démarche", a précisé le cabinet de Marina Ferrari, secrétaire d’État chargée du Numérique, auprès de Tech&Co.

    https://www.valeursactuelles.com

  • Rire ou pleurer?

    Recrutement des instituteurs 2023  

    "Marianne" a compulsé une quinzaine de rapports des jurys du concours de recrutement des enseignants en école primaire de l’année 2023. Les évaluateurs notent des lacunes en grammaire, orthographe et mathématiques chez certains candidats et déplorent une pauvreté des références culturelles: de nombreux aspirants professeurs citent des émissions de télé-réalité ou des films de Disney et méconnaissent la culture littéraire et patrimoniale.

    Comme les années précédentes, les correcteurs pointent les lacunes en orthographe, en grammaire et en mathématiques. Mais ils s’inquiètent aussi, tout particulièrement, du manque de culture générale des candidats qui ont pourtant un niveau master, soit cinq ans d’études après le bac. […]

    Les exemples littéraires, historiques ou pris dans des films "de qualité" ont été "rarissimes", poursuit-il. […] "On attend de futurs enseignants qu’ils ne confondent pas les œuvres littéraires avec leur adaptation par la maison Disney (“Le Bossu de Notre Dame de Victor Hugo”)", cite encore le jury de l’académie de Normandie, qu’ils "dépassent les références aux séries télévisées (“Glee”), aux Youtubeurs ou leurs souvenirs d’enfance (“La Reine des neiges”) pour diversifier leurs propositions et appréhender également les récits avec toute la distance critique nécessaire", poursuit ce dernier. […]

    Et à l’oral, ce n’est pas toujours merveilleux. Le jury de Nice note leur langage peu professionnel de "certains candidats":

    Des expressions familières voire des termes peu français ont été relevés comme l’emploi de ces formulations "Si j’aurais" ; "Les enfants qui z’ont…" ; "ch’sait pas" ; "Ils vont avoir la pression".[…]

    Marianne

  • IMPAYABLE!  

      Le wokisme toucherait beaucoup plus les femmes et les “woke” seraient bien plus déprimés, anxieux et malheureux révèle une étude finlandaise sur 5000 personnes

    Des chercheurs en psychologie de Finlande ont créé une évaluation permettant de mesurer l’engagement d’un individu envers les principes de justice sociale et ont fait des découvertes surprenantes au sein de la population finlandaise, notamment une corrélation négative entre les idéaux progressistes et les niveaux de bonheur.

    Leurs conclusions, publiées dans le Scandinavian Journal of Psychology, suggèrent que d’autres nations occidentales pourraient observer des tendances similaires parmi leurs citoyens socialement conscients.

    […]

    “Le fossé entre les sexes m’a probablement le plus surpris”, a déclaré M. Lahtinen au PsyPost à propos des opinions finlandaises. Trois femmes sur cinq voient les idées “woke” d’un bon œil, mais seulement un homme sur sept.

    Cela était particulièrement vrai pour les femmes travaillant dans des domaines tels que les sciences sociales, l’éducation et les sciences humaines. En revanche, les participants travaillant dans les sciences dures étaient plus enclins à critiquer les efforts de justice sociale associés au “wokisme”.

    Cependant, le résultat le plus inquiétant est la relation entre la santé mentale et la conformité aux critères. Plus précisément, les chercheurs ont constaté une forte prévalence de l’anxiété et de la dépression chez les personnes qui croient à l’affirmation “Si les Blancs ont en moyenne un revenu plus élevé que les Noirs, c’est à cause du racisme”. De manière plus large, ils ont constaté que les personnes qui s’identifiaient comme étant de gauche étaient les plus susceptibles de faire état d’un bien-être mental moindre.

    Lahtinen met en garde contre une extrapolation de ces résultats à l’échelle internationale, en particulier dans les pays occidentaux.

    “Les études étaient assez solides, avec un échantillon de plus de 5 000 personnes et de bonnes propriétés psychométriques”, a déclaré M. Lahtinen. “Toutefois, l’ensemble des critères devrait être validé dans des échantillons nord-américains afin de savoir comment ces attitudes se manifestent dans ces pays. J’encourage mes collègues américains à étudier la prévalence de ces attitudes dans le pays d’où elles sont venues.

    New York Post – PsyPost

    https://www.youtube.com/watch?v=Fm2PbGAVK78

  • L'horreur pour nos Français SDF

    Vivant dans sa voiture et épuisé par la faim, il meurt à 67 ans sur un parking!

    Si pendant des décennies chaque hiver voyait quelques SDF trépasser, faute de n’avoir trouvé que quelques cartons pour se loger… non seulement le scandale n’a pas été éradiqué, mais en 2024 les chiffres ne sont pas près de baisser, puisque désormais, les nouveaux arrivants (suivez mon regard) sont toujours prioritaires pour obtenir un logement, y compris dans des endroits somptueux… qui seront quittés ensuite, sans un merci mais avec moult frais de remise en état, nécessaires pour accueillir les suivants… pendant que les sdf nationaux continueront de crever dans la rue… sans que cela n’écorche l’incessante et extravagante autosatisfaction de nos vaniteux dirigeants, parfaitement incapables mais toujours satisfaits d’eux-mêmes !

    C’est ainsi que ce vendredi 15 mars 2024, vers 11 h 45, les secours ont été appelés par des passants ayant découvert un homme gisant au sol, sur le parking du Complexe Sportif-Le Marasquer, d’Argelès-sur-Mer (Pyrénées-Orientales)

    Des gens ont relevé l’homme et l’ont aidé à marcher, avant qu’il ne rechute. Il leur indique sa voiture et les témoins tentent de l’aider à la regagner, mais en y arrivant celui-ci s’écroule.

    Avant de perdre connaissance, ce dernier aurait déclaré ne pas avoir mangé depuis plusieurs jours. L’homme vivait en fait dans son véhicule, qui était aménagé avec un matelas.

    Pompiers et SAMU ont tenté une réanimation, mais le malheureux, âgé de 67 ans, a été déclaré décédé sur les lieux, juste avant 12 h 45. Il était originaire du nord-est de la France et de nationalité française. Les gendarmes de la brigade territoriale de Port-Vendres ont procédé dans l’après-midi à l’audition des témoins et tentaient de joindre la famille du défunt. Enfin, le parquet de Perpignan a ordonné un examen du corps afin d’éliminer toute piste de mort suspecte. 

     

    https://www.lindependant.fr/2024/03/15/pyrenees-orientales-un-homme-qui-vivait-dans-sa-

    Homme blanc, âgé, français d’origine… le pauvre homme cochait toutes les cases du désintérêt teinté de mépris, de la part de tous ceux qui à des postes divers, se targuent d’une humanité s’avérant « à géométrie variable », puisque s’adressant toujours exclusivement aux mêmes profils… ceux convenant aux goûts atypiques du fou furieux qui dirige la France.

    Un commentaire à la suite de l’article de l’Indépendant résume en quelques mots la vraie saloperie de nos dirigeants… et de tous ceux qui se gavent de subventions, prétendument pour venir en aide aux démunis, au nom d’une humanité mensongère et hypocrite puisqu’elle cible uniquement ceux venus d’ailleurs, et que l’intolérable misère de leurs concitoyens les laisse de marbre !

    Dangvs66

    "Trop d’associations subventionnées pour s’occuper de migrants (économiques) en situation irrégulière… Sans se soucier de la misère qui concerne nos concitoyens"…

    Ne rangez toutefois pas vos mouchoirs tout de suite, car vous en aurez besoin

    quand vous saurez comment vivait Jeanine, 74 ans, dans le village de Maule (Yvelines), et dans quelles conditions épouvantables elle a été retrouvée morte !

    La victime vivait depuis des années dans un cabanon de jardin complètement insalubre, sans eau courante ni chauffage, avec sept chats et au milieu des rats. Le toit menaçait de s’effondrer.

    Jeanine a été retrouvée morte près de son lit, une partie du corps rongé par les rats.

    Elle était en rupture avec ses deux enfants, mais des bénévoles l’aidaient à se nourrir et à réaliser des démarches administratives. Elle avait failli obtenir un logement social de haute lutte ces derniers mois, mais il avait finalement été attribué à quelqu’un d’autre. Jeanine avait atterri dans ce cabanon suite à la mort de son mari et des difficultés à faire valoir ses droits administratifs.

     

    https://www.lavoixdunord.fr/1438592/article/2024-03-08/jeanine-74-ans-ete-retrouvee-morte-rongee-par-les-rats-dans-un-logement-de

    Une dernière info avant de vous laisser digérer la décadence humaine dans laquelle Macron a précipité ce pays depuis qu’il a accepté le deal de le massacrer ; mon vœu serait que cette vidéo-reportage sur l’enfer vécu par les femmes SDF dans la rue, parvienne à toutes les pseudo-féministes qui, comme Sandrine Rousseau, s’imaginent stupidement œuvrer pour la condition féminine en ciblant uniquement l’homme blanc… tout en accueillant à bras ouverts les hordes de violeurs congénitaux que nous imposent les potes à Macron !

     


    Est-ce acceptable, au 21ème siècle, dans ce pays que tant de grands hommes et femmes ont fait rayonner pendant des siècles ; ce pays qui a enfanté les droits de l’homme et du citoyen… que les gougnafiers d’aujourd’hui piétinent allégrement, même s’ils en ont plein la bouche mais uniquement pour les détourner avec perfidie… de constater à quel point les citoyens d’origine sont méprisés, manipulés, et réduits uniquement au statut de "cochons de payants" juste bons à régler l’addition surtout sans moufter, pour la réalisation des délires des précités?

    500.000 immigrés accueillis tous les ans, et on laisse crever les Français comme des chiens, puisque tous nos impôts et taxes vont toujours « aux autres avant les nôtres » !

    Jusqu’à quand allons-nous supporter cela?

    Josiane Filio

    au nom de la Liberté d’expression