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Opinions - Page 51

  • Coronavirus: deux France face-à-face, on y est!

    Les mesures de confinement s’appliquent à toute la France. Or on constate que dans bien des zones, elles ne sont pas appliquées et les contrevenants pas sanctionnés. Quand on prend la peine de regarder, il s’agit des zones de non-France que nous dénonçons depuis toujours. Eh oui ! (Jean Messiha).

    "Quand tu regardes, tu t’aperçois bien qu’il y a 2 France… Ceux qui font des problèmes dans les magasins? Ceux qui résistent à la police qui leur demande de se confiner? C’est qui? Moi, je n’ai plus envie de vivre avec ces gens. La solidarité, c’est entre personnes raisonnables“, s’insurge également une dénommée Gwen sur Twitter.

    "Des territoires entiers livrés à l’immigration ont fait sécession afin de pouvoir être en France, tout en étant ailleurs… Seul un retour massif de l’État, avec son autorité, sa force et sa contrainte peut assurer l’unité et l’état de droit ", ajoute Le Conservateur.

    À Grigny (Essonne)

        Sachez que ces jeunes habitants de Grigny seront prioritaires à l’hôpital par rapport à nos grands-parents. Franchement, qu’apportent ces gens à notre communauté nationale? Ils n’ont de Français que leur carte d’identité. pic.twitter.com/PdiYxXyLz6

        — Renaud

  • Lettre d’une Italienne à ceux qui pensent que tout ceci n’est pas inquiétant

    Je vous ai dit la dernière fois, en citant un médecin qui suit l’évolution mondiale de l’épidémie depuis longtemps, que le coronavirus n’en était qu’à ses débuts en France et ferait énormément de victimes, faute d’une politique adaptée.

    Voici la lettre d’une Italienne qui confirme cela.

    "Je vous écris de Bergame, en Italie, au cœur de la crise du Coronavirus. Les médias américains n’ont pas rendu compte de la gravité de ce qui se passe ici.

    Je vous écris parce que chacun d’entre vous, aujourd’hui, pas seulement le gouvernement, le district scolaire ou le maire, chaque citoyen a la possibilité, aujourd’hui, de prendre des mesures qui empêcheront la situation italienne de devenir la réalité de son propre pays.

    La seule façon d’arrêter ce virus est de limiter la contagion. Et la seule façon de limiter la contagion est que des millions de personnes changent leur comportement aujourd’hui.

    Si vous êtes en Europe ou aux États-Unis, vous êtes à des semaines de la situation actuelle en Italie.

    Je peux vous entendre maintenant. "C’est juste une grippe. Elle n’affecte que les personnes âgées qui en ont besoin".

    Il y a deux raisons pour lesquelles le Coronavirus a mis l’Italie à genoux. Premièrement, la maladie est dévastatrice lorsque les gens tombent vraiment malades et qu’ils ont besoin de plusieurs semaines de soins intensifs, et deuxièmement, en raison de la rapidité et de l’efficacité avec lesquelles elle se propage.

    Lorsque le Premier ministre Conte a annoncé hier soir que le pays tout entier, soit 60 millions de personnes, serait fermé, la phrase qui m’a le plus frappée a été " il n’y a plus de temps ". Parce que pour être clair, ce verrouillage national est une prière. Ce qu’il veut dire, c’est que si les chiffres de la contagion ne commencent pas à baisser, le système, l’Italie toute entière va s’effondrer.

    Pourquoi? Aujourd’hui, les unités de soins intensifs en Lombardie sont à pleine capacité – et même plus que la capacité. Ils ont commencé à installer des unités de soins intensifs dans les couloirs. Si les chiffres ne diminuent pas, le taux de croissance de la contagion nous dit qu’il y aura des milliers de personnes qui, dans une semaine? deux semaines? auront besoin de soins.

    Que se passera-t-il quand il y aura 100, 1 000, 10 000 ou 100 000 personnes qui auront besoin de l’hôpital et qu’il ne restera que quelques places dans les unités de soins intensifs?

    Lundi, un médecin a écrit dans le journal qu’ils ont commencé à devoir décider qui vit et qui meurt lorsque les patients se présentent aux urgences, comme ce qui se fait en temps de guerre. Cela ne fera qu’empirer.

    (JM: en clair, Momo 40 ans, trafiquant de drogue, aura droit à l’appareil respiratoire et Jean-Pierre, 70 ans, retraité ayant cotisé toute sa vie, devra se passer d’appareil respiratoire car ses statistiques vitales ne sont pas terribles. Bah oui, on choisit celui qui a le plus de chance de survivre. Pas de bol, Jean-Pierre!)

        #Coronavirus A Bergame, les médecins se retrouvent " à devoir décider du sort d’êtres humains, à grande échelle ", témoigne le docteur Christian Salaroli. Il décrit " une médecine de guerre ", dont l’objectif est de " sauver la peau " du plus grand nombre. https://t.co/JfeyZLn2w2

     

        — Le Monde (@lemondefr) March 12, 2020

    Il y a un nombre limité de médecins, d’infirmières et de personnel médical et ils sont plus facilement contaminés par le virus. Ils travaillent aussi sans arrêt, sans relâche, depuis des jours et des jours. Que se passe-t-il lorsque les médecins, les infirmières et le personnel médical ne sont tout simplement pas en mesure de s’occuper des patients, lorsqu’ils ne sont pas là?

     

    Et enfin, pour ceux qui disent que cela n’arrive qu’aux personnes âgées, depuis hier, les hôpitaux signalent que des patients de plus en plus jeunes – 40, 45, 18 ans – viennent se faire soigner.

    Vous avez une chance de faire la différence et d’arrêter la propagation dans votre pays. Faites pression pour que tout le bureau travaille depuis la maison aujourd’hui, annulez les fêtes d’anniversaire et autres rassemblements, restez chez vous autant que possible. Si vous avez de la fièvre, n’importe quelle fièvre, restez chez vous.

    Faites pression pour que les écoles ferment, maintenant. Faites tout ce que vous pouvez pour arrêter la propagation, car elle se propage dans vos communautés – il y a une période d’incubation de deux semaines – et si vous faites ces choses maintenant, vous pourrez gagner du temps pour votre système médical.

    Et pour ceux qui disent qu’il n’est pas possible de fermer les écoles, et faire toutes ces autres choses, rappelez-vous que fermer l’Italie était impensable il y a seulement une semaine.

    Bientôt, vous n’aurez plus le choix, alors faites ce que vous pouvez maintenant. "

    Cristina Higgins

     

    Message diffusé par Coronavirus Info LIVE [12.03.20 02:33]

    À sauvegarder: ça pourra servir pour le procès de Macron.

    En Chine, l’épidémie est en voie de régression, suite à une quarantaine imposée à 750 millions de personnes et si l’on fait confiance au gouvernement chinois.

    En France, ce qui est sûr, c’est que l’épidémie ne fait que commencer (voir graphique ci-dessous).

    La France est la prochaine Italie.

    Tous les pays qui n’auront pas pris des mesures drastiques (fermeture des écoles, interdiction des rassemblements, fermeture des commerces autres qu’alimentaires et pharmaceutiques, quarantaine généralisée) parce qu’ils veulent protéger l’économie verront tout de même leur économie être sinistrée mais avec un nombre de morts bien plus importants que dans les autres pays et de manière bien plus grave puisqu’il faudra bien plus longtemps pour endiguer une épidémie qu’ils auront laissée se développer de manière incontrôlable.

    Sans les mesures de protection (fermeture des frontières, des écoles, des rassemblements, mise en quarantaine des clusters, l’épidémie progresse trop vite (voir courbe rouge) et dépasse de beaucoup les possibilités du système médical (ligne en pointillé) de traiter les 15-20 % de cas nécessitant une hospitalisation et les 5 % nécessitant des soins intensifs.

    Quand l’épidémie atteint trop vite un pic, le système de santé est saturé, il n’y a plus assez de lit, il n’y a plus assez d’appareil respiratoire et les personnels soignants (médecins, infirmiers) sont épuisés, commencent à tomber gravement malades du Coronavirus à force d’y être exposés et sont déjà au maximum de leurs possibilités.

    Si des mesures de protection avaient été mises en place suffisamment tôt en France, alors les cas de coronavirus auraient été suffisamment espacés dans le temps pour être tous traités par le système médical.

     

        Cette scène d’un homme qui agonise sur la voie publique se passe en Italie. Dans une semaine on aura la même chose en France. #COVID19 #20hmacron pic.twitter.com/FZyo6zynk7

     

        — Damien Rieu

  • DOSSIER: coronavirus, ce qu'il faut savoir

    La Covid-19 est un réel danger!"

    deux scientifiques font le point sur le coronavirus SARS-CoV-2

    "Nous sommes très préoccupés". Pour les médecins qui souhaiteraient avoir un panorama complet des connaissances sur le nouveau coronavirus, deux scientifiques proposent une revue exhaustive de la littérature. Laurent Lagrost est Directeur de recherche à̀ l’INSERM. Didier Payen est l'ancien chef du service d'anesthésie-réanimation de l’Hôpital Lariboisière à Paris.

    Après deux mois d’annonces, de révélations, d’étonnements et de réactions, nous y voyons un peu plus clair, grâce à la fulgurance de la réaction sanitaire, épidémiologique, scientifique, sociologique, politique et économique. La lecture attentive des données récentes, et maintenant disponibles, semble confirmer l’impérieuse nécessité de considérer la maladie à coronavirus 2019 (Covid-19), maladie infectieuse causée par le coronavirus SARS-CoV-2, avec beaucoup de sérieux et de pragmatisme. Ceci n’exclut pas, bien au contraire, de rester positif et optimiste grâce à la rigueur d’analyse des faits, en évitant la panique née de l’ignorance, de l’incohérence d’attitude ou de la course au sensationnel.

    Ainsi, les sources les plus sérieuses comme le relevé global des cas rapportés chaque jour par l’Université Johns Hopkins CSSE, les publications volontairement rapides en accès libre dans les prestigieux Lancet, Journal of American Medical Association et New England Journal of Medicine par des équipes chinoises en collaboration avec des auteurs extérieurs, nous éclairent et nous instruisent (1-3). Le SARS-CoV-2 qui nous touche (ou peut-être les SARS-CoV-2 comme il ressortira peut-être un jour des études rétrospectives) est un réel danger. Si les comparatifs en vogue mais nécessaires avec le SRAS, le MERS, Ebola ou autres épidémies H1N1 présentent un réel intérêt pour les experts épidémiologistes et cliniciens, leur présentation "à la découpe" dans les médias semble pouvoir produire aujourd’hui un effet contre-productif et erratique dans l’esprit du grand public, premier concerné. La transparence, si nécessaire pour tous, semble trouver des limites dictées parfois par des connotations affairistes et/ou politiques, arguant de la nécessité d’éviter la "panique".

    Celle- ci naît pourtant de l’ignorance ou pire du doute sur l’information donnée. Ainsi, s’il est reconnu aujourd’hui que la pandémie de grippe espagnole de 1918, due à une souche H1N1, a tué entre 50 et 100 millions d’individus, plus que la peste noire, bien peu de nos compatriotes la placeraient pourtant d’emblée devant la première guerre mondiale et la considèreraient tout aussi massacrante que la seconde. Et pourtant.

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  • La journée internationale ses seins nus!

    En attendant la journée internationale des seins nus du 26 août prochain, organisée par le mouvement américain Go Topless Day pour commémorer aux États-Unis le droit de vote obtenu par les femmes le 26 août 1920. Une journée où l’homme ne saura plus à quel saint se vouer, ni où donner de la tête.

    https://ripostelaique.com/jai-fait-un-reve-de-seins-nus.html

    Donc notre histoire se passe à New York où l’on sait honorer la femme. Ce que Balzac avait déjà décrit dans ses scènes de la vie privée: "Émanciper les femmes, c’est les corrompre".

    Voilà donc que notre très belle jeune femme écrit à un cabinet de conseil en investissements pour demander des adresses en vue d’épouser un homme très riche.

    "Je suis une belle jeune femme, je dirais même très belle, de 25 ans, bien élevée et j’ai de la classe. Je souhaite me marier avec un homme qui gagne au moins un demi-million de dollars par an.

    Avez-vous dans vos fichiers les adresses de quelques hommes célibataires de New York, veufs ou divorcés, qui gagnent annuellement 500 000 dollars ou plus?

    J’ai déjà été fiancée à des hommes qui gagnent de 200 à 250 000 dollars pas plus mais 250 000 ce n’est pas suffisant pour que je puisse vivre à Central Park West.

    Je connais une femme, dans mon cours de yoga, qui s’est mariée à un banquier. Elle vit à New York, dans le quartier branché Tribeca, et pourtant elle n’est ni aussi belle que moi, et pas même intelligente. Mais alors, qu’a-t-elle fait que je n’ai pas fait? Comment puis-je atteindre son niveau de vie?".

    Et la réponse de l’expert financier, fleurant bon le machisme patriarcal adulé par les féministes bien de chez nous, pour lui proposer une savante et implacable négociation:

    "J’ai lu votre courrier avec une grande attention, et après avoir longuement étudié votre demande c’est avec grand soin que je me suis livré à une analyse financière de votre situation.

    Premièrement, je ne vous fais pas perdre de temps puisque moi-même je gagne plus de 500 000 dollars par an. Ceci étant dit, je considère les faits de la façon suivante. Ce que vous offrez est simplement une bien mauvaise affaire.

    Voici pourquoi:

    Laissons les subterfuges de côté. Ce que vous proposez est une affaire simple à résumer. Vous mettez votre beauté physique et je mets l’argent.

    L’offre est claire et sans détours. Cependant un problème existe: il est certain que votre beauté va s’étioler et va un jour disparaître, alors qu’en même temps, mes revenus et ma fortune continueront très probablement de croître.

    Ainsi, en termes économiques, vous êtes un passif qui subit une dépréciation et je suis un actif qui produit des dividendes.

    Vous subissez donc une dépréciation, mais comme celle-ci est progressive, votre valeur diminue de plus en plus vite!

    Soyons plus précis: Vous avez aujourd’hui 25 ans, vous êtes belle et sans doute le resterez- vous durant les 5 ou 10 années à venir.

    Mais chaque année un peu moins, et quand vous vous comparerez à une photo prise aujourd’hui, vous constaterez combien vous avez vieilli.

    Cela signifie que vous êtes aujourd’hui dans la phase de croissance: c’est donc le bon moment pour être vendue mais non pour être achetée.

    En utilisant le langage de Wall Street, celui qui vous possède aujourd’hui à intérêt à vous avoir en "Trading position", position de vente, et non dans "buy and hold", acheter et conserver. C’est pourtant ce que vous offrez.

    Par conséquent, toujours en termes économiques, le mariage, qui est un " buy and hold " avec vous n’est pas une bonne affaire à moyen ou à long terme.

    En revanche, la location pourrait se révéler une affaire raisonnable dont nous pourrions discuter vous et moi.

    Cependant, ce qui est une pratique habituelle en affaire, je souhaite faire un essai, c’est à dire un "test drive" avant de concrétiser l’opération.

    Somme toute: comme le fait de vous acheter est une mauvaise affaire pour cause de dévaluation croissante, je vous propose une location aussi longtemps que le matériel restera en bon état.

    En attendant de vos nouvelles. Cordialement à vous".

    Balzac nous donne la morale de cette histoire: "La plus corrompue exige, même avant tout, une absolution pour le passé, en vendant son avenir, et tâche de faire comprendre à son amant qu’elle échange, contre d’irrésistibles félicités, les honneurs que le monde lui refusera".

    Alain Lussay

    https://ripostelaique.com/reponse-a-une-jeune-femme-qui-voulait-epouser-un-riche-mari.html

     

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  • Gôôôôchiasse: L’insulte au Colonel Beltrame

    Si certaines villes n’ont pas traîné pour honorer le sacrifice du Colonel Beltrame en lui attribuant une rue ou une place, il en est allé autrement à Marseille où il aura fallu attendre deux ans pour qu’enfin, une plaque soit posée à son nom sur une des places de la ville…

    Le Colonel Beltrame, c’est ce militaire qui a choisi d’échanger sa place avec celle d’un otage lors de l’attaque terroriste de Trèbes, le 23 mars 2018. L’otage survivra, le militaire non. Beaucoup jugèrent nécessaire de garder trace de ce comportement héroïque, comme en témoigne l’assez longue liste de lieux qui portent désormais le nom du militaire.

    À Marseille cependant, il fut prudemment décidé que bah non finalement: selon les élus socialistes et communistes, aucune place ne semblait assez prestigieuse pour un tel nom (et en tout cas, pas chez eux). Selon l’élu Rassemblement National, il s’agissait surtout de " ne pas provoquer les populations locales ".

    L’affaire aurait pu en rester là: après tout, rien n’oblige une municipalité à nommer les places et les rues en fonction des individus les plus héroïques du pays. D’ailleurs, on n’oubliera pas que certaines mairies, largement aux mains d’idéologues détendus du communisme (même le plus brutal), ont trouvé l’habile subterfuge de distribuer du Stalingrad (place, rue, avenue et j’en passe) en lieu et place du Staline tout court, par trop corrosif pour notre République. Dès lors, oublier Beltrame à Marseille aurait été parfaitement possible et apparemment tout à fait souhaitable pour une partie des élus de gauche de la municipalité phocéenne.

    Cependant, à force d’insister, les élus Rassemblement National ont fini par obtenir gain de cause: une plaque a finalement été posée sur la place devant l’école Sainte-Marthe Audisio (dans le quatorzième arrondissement de Marseille), sans tambours ni trompettes et dans une telle discrétion qu’absolument aucune cérémonie n’avait été préparée. Les édiles ont été obligés d’improviser quelque peu.

    Rassurez-vous: comme toute la représentation politique de la municipalité marseillaise était là, il n’y a plus aucun doute que cet hommage ne posait en réalité qu’un problème temporaire d’emplacement comme l’expliquait alors Patrick Mennucci, le socialiste assumé du cru. Tout est bien qui fi… Oups, on me fait savoir dans l’oreillette qu’en réalité, il n’y avait que les élus du Rassemblement National sur place, ce qui tend malheureusement à accréditer la thèse que les gauchistes marseillais ont jugé totalement inutile de se déplacer pour cet hommage.

    Pourtant, ce sont ces mêmes socialistes et autres communistes qui se gargarisent d’habitude de ces valeurs républicaines qu’il convient d’appeler à la rescousse à chaque fois qu’il le faut mais qu’on se gardera bien ni de définir, ni d’appliquer lorsqu’une occasion pourtant ô combien symbolique se présente…

    Pourtant, ce sont ces mêmes socialistes et autres communistes qui poussent les cris les plus stridents lorsqu’on laisse le champ libre à ces élus d’un autre bord, d’une autre extrémité que la leur, douillette et validée par tous.

    Pourtant, ce sont ces mêmes socialistes et autres communistes qui n’ont que l’État français et le vivrensemble à la bouche ; on ne peut que s’étonner de les voir se carapater alors qu’on entendait là honorer un représentant tout ce qu’il y a de plus officiel de l’État français, dans l’exercice tout ce qu’il y a de plus officiel de ses fonctions, qui a fait preuve d’un acte tout ce qu’il y a de plus honorable.

    Dans le meilleur des cas, on en viendrait à croire que ces brochettes de gauchistes refusent simplement d’être vues en compagnie des élus RN. Attitude aussi infantile que peu digne de l’occasion, mais – il faut l’avouer – pas vraiment en décalage avec le niveau moyen des politiciens.

    Dans le pire des cas, on arrive à imaginer qu’en fait, c’est bien parce que cet hommage dérangerait effectivement certaines populations, celles qui seraient trop heureuses de la mort d’un militaire français tué par un terroriste islamiste. Et que déranger ces populations, ce serait risquer, pour ces élus en carton, de perdre leur mandat aux (trop) prochaines élections.

     

    La couardise de cette attitude électoraliste de courte vue contraste assez violemment avec l’acte héroïque du Colonel Beltrame. On comprend mieux, dès lors, que ces lâches méprisables ne veuillent pas infliger la flétrissure de leur présence à un hommage qui lui serait rendu.

    En cela, ils ont raison.

    Mais leur attitude lamentable est véritablement exécrable en ce qu’elle contient les germes d’une démission complète du courage, du bon sens et, surtout, un aplatissement consternant d’officiels républicains devant ceux qui entendent pourtant de façon de plus en plus claire en finir avec eux, par l’épée s’il le faut. Pire encore, ce manque minable de courage donne un argument de plus à ces populations décidément fort sensibles émotives pour les mépriser et les manipuler électoralement: prisonniers de leur mandat par la bonne soupe municipale, on les retrouve donc prêts à toutes les démissions et les compromissions idéologiques les plus basses pour conserver la gamelle.

    Ici, on pourrait s’en tenir à ce constat.

    Malheureusement, ce qui s’est passé sur cette place Beltrame dans le 14ème à Marseille n’est pas la simple dérive d’une brochette de larves gauchistes en mal de réélection, dont l’appétit de la gamelle dépasse de loin tout sens de l’honneur: ce genre d’électoralisme se retrouve dans un nombre croissant de communes urbaines et périurbaines de grandes métropoles, gangrenées par ces quartiers trop émotifs et qui, d’abandons républicains en recherches forcenées de compromis et d’apaisements artificiels, se sont muées en zones de non-droit où imaginer faire revenir le droit et la loi revient à déclencher des émeutes et l’inévitable Niagara d’outrances de toutes les associations lucratives sans autre but que celui de surjouer une victimisation qui rapporte (financièrement et électoralement).

    Ces élus font la démonstration de ce qu’avoir choisi la République du #Padevague entraîne en déliquescence du pays, où plus personne ne semble en mesure de faire simplement appliquer les lois essentielles de la vie en société. Par abandon successif de tout courage, de peur de passer pour un affreux réactionnaire, voire un homme de drouate ou pire encore, un fasciste (pensez donc: réclamer le retour de l’Ordre, c’est l’horreur, quasiment le nazisme !), ces élus ont choisi, sinon consciemment mais en tout cas par défaut, de laisser s’installer les pires pratiques (incivilités au départ, puis trafics en tous genres, puis activités de plus en plus criminelles jusqu’au terrorisme maintenant).

    En délavant les valeurs françaises de liberté, d’égalité et de fraternité au point d’arriver à un simple triplet d’égalité, de taxes et de pantoufles, ces élus ont ouvertement choisi le suicide pour tous, par contrition, par attrition et par soumission à des racailles.

    Ce pays est foutu.

    https://www.contrepoints.org

  • L’hôtel pour les migrants, les toilettes publiques pour Philippe, 63 ans

    À Vannes, Philippe, 63 ans, vit dans des toilettes publiques depuis deux ans. Ce sont des choses qui se passent en France. Dans notre pays, il vaut mieux être migrant que SDF français. Philippe n’avait qu’à être migrant, c’est simple!

    http://www.fdesouche.com/

    Philippe, ancien ouvrier chez Michelin, a installé un matelas et quelques couvertures dans les toilettes pestilentielles de la ville de Vannes. Il reçoit régulièrement des visites de Pascale, qui est Gilet jaune, et aussi de la Croix-Rouge, les restaurants du coin lui donnent leurs restes. Malheureusement il ne peut pas avoir de réserves, car il se les fait voler sur-le-champ par d’autres sans-abris.

    C’est pour cela qu’il ne peut être logé dans un hébergement d’urgence : il se fait automatiquement dépouiller de ses pauvres biens.

    Le cabinet du maire, alerté, répond qu’il va trouver une solution. Mais cela fait un an et demi que le cabinet du maire fait cette réponse.

    Il y a une centaine de sans-abris autour de Vannes. Dans toute la France, il y a une augmentation de sans-abris. Je vous parlais la semaine dernière d’un SDF de 72 ans à La Seyne-sur-Mer (Var).

    Tout cela est très choquant mais quand on connaît les priorités de La Seyne-sur-Mer, on est scandalisé. Dans cette ville viennent d’arriver ce qu’on appelle par un détournement du langage, des mineurs non accompagnés. J’en ai rencontré deux ou trois lors d’un passage dans le Var, et suis prête à parier qu’ils avaient plutôt 25-30 ans. Ils sont quarante. Ils sont hébergés au fort Saint-Elme, près de la plage des Sablettes.

    Lors d’une petite conférence, un responsable des Orphelins apprentis d’Auteuil chargés de ce projet, a raconté que ces mineurs non accompagnés (qui ne sont parfois ni mineurs ni non accompagnés) sont logés, nourris, blanchis, habillés, "accompagnés" par des "éducateurs", tout cela pour la modique somme de 125 euros par jour, ce qui fait quand même 4 600 euros par mois.

    Évidemment, les 25 accompagnateurs doivent recevoir un salaire. Les MNA, et toutes les associations qui gravitent autour comme des mouches à miel, c’est un business, un pactole, une mine de diamants pour tous les opportunistes sans éthique et sans conscience qui se servent et s’engraissent.

    25 accompagnateurs pour 40 jeunes?… C’est beaucoup, non? Les scouts se débrouillent beaucoup mieux, avec deux ou trois chefs pour 25 ou 30 scouts…

    125 euros pour ces MNA, c’est un minimum; dans certaines villes cela va jusqu’à 200 euros par jour, soit 6 000 euros par mois pour une personne.

    De 4 600 euros par mois à 6 000 euros par mois selon les communes, voilà ce que coûte un mineur non accompagné. Sans parler de l’argent de poche parfois versé en sus, et des cartes bancaires "d’urgence". Ni des soins médicaux.

    Ce que n’a pas dit ce responsable, c’est que les travaux du fort Saint-Elme pour accueillir ces mineurs qui ne sont pas mineurs, ont coûté 450 000 euros, payés par le conseil départemental.

    Le conseil départemental pourrait s’intéresser d’abord aux Seynois de souche, dont beaucoup sont en galère, comme on dit.

    Mais, concluait le responsable à la fin de sa conférence, "il faut s’occuper de ces mineurs, sinon ce sont eux qui s’occuperont de nous. " Menace à peine voilée. De toutes manières, ils s’occupent déjà de nous par leurs prédations diverses et variées…

    Dorian Munoz, candidat RN à La Seyne-sur-Mer, donne des explications intéressantes:

    https://www.presseagence.fr/lettre-economique-politique-paca/2019/12/11/la-seyne-sur-mer-dorian-munoz-rn-migrants-a-saint-elme-la-solidarite-a-sens-unique/

    En effet, c’est totalement à sens unique. On ne demande aucune contrepartie, aucun effort à ces "mineurs non accompagnés "et surtout pas de se lever le matin pour faire leur lit, ranger leur chambre ou essayer de trouver un travail. Un responsable d’une de ces villes ayant visité un de ces centres me racontait qu’on laissait ces " djeunes " faire la grasse matinée et qu’il ne pouvait visiter leurs chambres parce qu’ils dormaient.

    En prime, souvent ces mineurs non accompagnés, pour se faire de l’argent de poche, dealent et se livrent à toutes sortes de trafics, et on les retrouve dans de nombreuses agressions sexuelles, mais chuut! il ne faut pas le dire.

    En décembre 2017, nous avions sur le sol français environ 25 000 mineurs non accompagnés. Et aujourd’hui?…

    La politique d’accompagnement des mineurs nous coûterait deux milliards d’euros par an :

    https://www.ifrap.org/emploi-et-politiques-sociales/un-point-sur-la-problematique-des-mineurs-non-accompagnes

    Ce sont des chiffres qu’on se garde bien de crier sur tous les toits.

    Un lycéen en France coûte à l’État entre 6 000 et 10 000 euros par an. C ‘est bien moins qu’un mineur étranger.

    Rappelez-moi combien un agriculteur touche comme retraite. Et le minimum retraite est de 702 euros par mois.

    Nous ne devons absolument rien à ces MNA qui ne sont pas français, sont trop souvent illettrés et ne sont souvent pas employables ni intégrables dans la société française.

    Philippe, ou le SDF de 72 ans de La Seyne-sur-Mer ou encore n’importe quel SDF de France et de Navarre aimerait toucher ne serait-ce qu’une toute petite partie du scandaleux pactole donné en pure perte aux MNA, qui ne nous le rendront jamais.

    Ayant travaillé et cotisé en France, étant français, ces SDF devraient être prioritaires. Mais voilà: nos idéologues préfèrent financer l’invasion.

    Qu’on se rassure, cela ne durera pas éternellement. Un jour les caisses seront vides. Un jour, le Français moyen sans dents alimentant cette poule aux œufs d’or, sortira sa fourche pour mettre tout ce beau monde dehors.

    Un pays qui ne prend pas soin de ses aînés et qui les laisse dormir dehors, préférant s’occuper d’étrangers ingérables, agressifs, et animés de mauvaises intentions, est un pays qui perd ses valeurs, qui perd les pédales et qui va mourir.

    Sophie Durand

    https://ripostelaique.com/lhotel-pour-les-migrants-les-toilettes-publiques-pour-philippe-63-ans.html

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